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Hier soir des millions de Français ont découvert le vrai
visage , la vraie personnalité …. J’ai trouvé le mot qui qui le symbolise le
mieux, , ce mot aui lui correspon en fait sibien, c’est un freluquet … et j’ai
regardé l dans le dictionnaire, et un freluquet c’est un jeune homme frivole et
prétentieux, et je dois dire que j’ai admiré le calme olympien de Marine Le
Pen.
J’avoue qu’à certains moments j’avais envie de lui dire ma
vérité, alors j’ai envie comme ça de lui envoyer un petit message à ce petit
freluquet, lui dire d’abord que lorsqu’on est président de la République et qu’on tient à le rester,, on ne se
présente pas comme ça…, on ne se tient pas comme ça,on ne méprise pas comme ça..
et, en fait il a méprisé Marine Le Pencomme il méprise tout le monde, son
attitude a été indiqgne, et j’imagine que s’il se comporte face à Biden, face à
Poutine, face à d’autres, comment il est considéré et pourquoi toute la
politique française est un fiasco depuis son arrivée
Mais au-delà de cela j’aurais aimé le renvoyer dans ses buts et
de lui dire tout d’abord : « Monsieur Macron on ne me parle pas comme ça, on ne
m’interromps pas, on me respecte , premier point, deuxième point sur différents
thèmes j’aurais aimé lui dire quelques choses, sur le pouvoir d’achat je lui
aurais dit : le seul pouvoir d’achat que vous remportez c’est celui des
milliardaires avec l’abolition de l’impôt sur la fortune, voilà c’est tout ,alors
ne nous faites pas de leçon du pouvoir d’achat de grâce !, sur l’Europe je
lui aurais dit qu’il n’est pas européen,
parce qu’il n’aime que l’Europe européenne, que l’Europe des lobbies , que
l’Europe qui fait la guerre.
Il n’est pas européen
du tout, il précipite et je pense que
Marine Le Penaurait pu lui dire carrément qu’ill aller nous amener à la 3me
guerre mondiale et qu’il fallait arrêter !, car voter MACRON c’est voter la gueree.
J’aurais aussi lui dire en réponse à la question sur lla
Banque Russe qu’il vaut peut-être mieux
contracter un prêt dans une banque Russe
juste une fois dans la vie et ce n’est pas mon cas, que d’avoir
travaillé à la Banque Rothschild et d’avoir installé les banques à l’Elysée,
et d’avoir donné un milliards d’euros aux cabinets de conseils dont McKinsey … alors il ne manque pas de culot, ça on peut
lui décerner le premier prix du culot et du mensonge !
J’aurais aimé lui dire aussi qu’il parle de libertés toute la
journée et de valeurs, de valeurs, de
valeurs … mais que c’est lui qui a enfermé à trois reprises les français, c’est
lui qui a laissé l’Etat d’urgence
sanitaire jusqu’au 31 juillet , c’est lui
qui a instauré la vaccination forcée, c’est lui qui a menti, c’est lui
qui a détruit les masques,c’est lui qui a détruit 17.308 lits d’hôpitaux
pendant son quinquennat, et toute la vie
pendant la crise du Covid, et il ose parler de valeurs !, et comment
accepter àa ?
Enfin j’aurais aimé lui dire que quand il parle avec des trémolos
dans la voix des enfants, de l’école etc…, c’est lui qui veut faire payer
l’Université et détruire le modèle
universaliste français, c’est lui qui veut mettre en cause le recrutement des
professeurspar l’état et laisser les collèges recruter les professeurs des collèges qu’ils veulent, c’est la fin de
l’Education Nationale et je veux dire aux enseignants qui m’écoutent voter Macron c’est détruire l’Education Nationale , comme
il a détruit l’hôpital et tous les services publics.
Voilà ce que j’aurais aimé lui dire.
J’aurais aussi aimé dire qu’il ose défendre le Gaullisme,
alors qu’il a signé tous les traités qui mettent à bas l’indépendance
nationale.
Voilà j’aurais tellement aimé hier soir le renvoyer dans ses
buts , peut-être aurai-je été trop agressif ,
de toute façon quelle que soit l’attitude de son opposant, eh bien c’est
toujours lui qui a raison, c’est toujours lui qui est le plus beau sur les
plateaux de télé ,après c’est « il est excellent, excellent », enfin
c’est pire que l’Union Soviétique, on ne sait plus où on vit ,
Alors moi je vous le dis , le petit freluquet vous allez le
mettre dehors, on va le mettre dehors mobilisons nous , on va pas quand même
supporter ça 5 ans de plus, imaginez, imaginez comment il est 3 jours avant
l’élection présidentielle, l’arrogance, le mépris, la suffisance de prétentions, mais comment il sera aussi au lendemain de l’élection quand il aura 5
ans devant lui ?
Ce sera un grand défi, nous sommes en légitime défense, nous
devons l’empêcher d’être réélu, je vous lance cet appel, laisser les égos de
côté, mettez vos préventions de côté, mobilisez- vous sur un seul objectif,
Et demain je parlerai de Mélenchon qui nous distrait parce qu’il veut nous dissimuler sa lâcheté. Nous en reparlerons demain.
Bonsoir.
oo0oo
Jean-Michel Macron, le père d’Emmanuel Macron, nous a accordé une interview exclusive à Amiens à notre initiative. La parole du neurologue, qui vit toujours dans la maison où son fils a grandi, est rare. Il parle de son bilan du second tour et de ses relations avec Brigitte Macron.
Jean-Michel
Macron, qu’on dit un peu distant avec son fils, exprime son « admiration
pour la façon dont il dirige l’État et pour son courage ». Photo
EBRA/Luc CHAILLOT
Quel regard portez-vous sur votre fils
président ?
« J’ai beaucoup d’admiration pour
la façon dont il dirige l’État actuellement. Je trouve qu’il faut avoir
beaucoup de courage et que les Français sont très ingrats mais ce n’est pas
nouveau. J’approuve 90% de ce qu’il fait. On n’est jamais d’accord à 100%. Je
ne suis pas un adepte d’une secte. »
Êtes-vous inquiet pour le second tour ?
« On est toujours inquiet pour ses
enfants. On verra. »
Cela risque d’être serré ?
« Oui peut-être. Ce n’est pas comme
il y a cinq ans. Rien ne se ressemble jamais. »
« Il n’y a pas beaucoup de dirigeants européens
qui ont fait ce qu’il a fait. »
Avez-vous peur que Marine Le Pen gagne le
24 avril ?
« Non je n’ai pas peur mais c’est
toujours un risque. Malgré tout, je reste confiant. »
Quel est votre regard sur les cinq ans du mandat de
votre fils ?
« Il a eu beaucoup de mérite à
faire front sur tout ce qui lui est tombé sur la tête, notamment le Covid. Face
à la guerre en Ukraine, il a eu beaucoup de courage. Il n’y a pas beaucoup de
dirigeants européens qui ont fait ce qu’il a fait. »
Il y a cinq ans, votre fils était en tête au premier
tour à Amiens, sa ville natale. Cette fois, c’est Jean-Luc Mélenchon. Comment
l’expliquez-vous ?
« Il vaut mieux que ce soit
Jean-Luc Mélenchon que Marine Le Pen. »
Votre fils vient souvent vous voir à Amiens ?
« Moi je vais le voir de temps en
temps mais pas souvent. J’étais à son meeting à la Défense Arena à Nanterre le
2 avril. Lui vous voyez son emploi du temps… La dernière fois qu’il est
venu gentiment me voir ici dans la maison où il a grandi c’était le
21 novembre 2019, à l’occasion de l’inauguration de la nouvelle faculté
des sciences d’Amiens. »
Une
photo inédite d’Emmanuel Macron au CP à l’école Delpech d'Amiens (tout en bas à
droite). Photo DR
Vous étiez au Louvre pour sa victoire en 2017. S’il
gagne dimanche, allez-vous fêter sa réélection avec lui ?
« On verra. Je ne sais pas. Pour
l’instant, il n’y a rien de prévu. »
Emmanuel Macron a-t-il fait assez pour sa
ville natale depuis qu’il est président ?
« Il n’a pas fait de favoritisme
mais il a aidé Amiens dans certaines circonstances. Il a annoncé l’installation
d’une annexe de la Bibliothèque nationale de France mais la maire d’Amiens a
décidé de soutenir la candidate Les Républicains (LR). Quand on a autant de
tact et d’élégance, on fait autre chose que de la politique. »
Emmanuel n’est pas parti à 17 ans pour fuir Brigitte.
Il devait depuis le début faire sa terminale à Paris.
Votre fils a quitté Amiens prématurément lorsqu’il
avait 17 ans. Il garde une rancœur envers sa ville natale ?
« Ce sont des histoires et des
contes d’enfants. Depuis le début, Emmanuel devait aller faire sa terminale à
Paris au lycée Henri-IV pour rentrer plus facilement en classe prépa. Rien n’a
été changé. Ce n’était pas pour fuir son épouse actuelle. Cette journaliste
dont je ne veux pas me rappeler le nom et qui m’énerve profondément [Anne
Fulda, auteure du livre Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait (Plon
2017), NDLR] a écrit des choses fausses. »
Avez-vous gardé un peu de ressentiment envers Brigitte Macron qui vous a
« enlevé » votre fils alors qu’il était encore très jeune ?
« Peut-être plus la mère d’Emmanuel
que moi. Quand on est un homme, on estime aujourd’hui que les adolescents de 17
ans font ce qu’ils veulent. Ça les regarde. C’est leur vie. La première valeur
à laquelle je tiens, c’est la liberté. Emmanuel a montré qu’il était libre. Il
a assumé. Simplement c’était peut-être précoce. Mais bon sur le fond… La suite
a d’ailleurs montré que c’était quelque chose de solide. »
Quelles relations avez-vous avec Brigitte ?
« J’ai de bonnes relations, même si
je ne déjeune pas tous les jours avec elle. Ça va, on se parle. On ne se tape
pas dessus. Il n’y a pas de problème. »
Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025. ...