06 avril 2017

ONU : Attaque chimique en Syrie - Le conseil de Sécurité de l'ONU reporte son vote ..( info - revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

C’est une nouvelle fois avec une grande précipitation que les chancelleries occidentales ont vivement réagi suite à l’attaque chimique supposée dans la province rebelle d’Idlib. Toutes accusent Damas, appelant à une réaction internationale et réunissant d’urgence le Conseil de Sécurité de l’ONU.

Le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni  à la demande des États-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne, suite à l'attaque présumée chimique qui aurait tué — dans la matinée du 4 avril — des dizaines de personnes à Khan Cheikhoun.

En effet, malgré le démenti catégorique de l'armée syrienne d'avoir eu recours à toute substance chimique, on remarque une fois de plus que les occidentaux se sont précipités   dans l’accusation avant toute analyse des faits , en effet  Damas a immédiatement été accusée  par les chancelleries occidentales qui entendaient soumettre un projet de résolution afin de diligenter une enquête conjointe des Nations Unies et de l'OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques).

Cet  emballement  immédiat des médias et de la classe politique européenne, qui ont rivalisé d'imagination dans les superlatifs afin d'accabler Damas, la résolution américaine tiraient aussi  ses conclusions et ce avant même que l'enquête n'ait débuté.

Ce  texte  de résolution dénué d’impartialité a été rejeté  par la Russie. 

Un texte que Maria Zakharova avait  présenté comme « catégoriquement inacceptable » lors d'une conférence de presse, expliquant que le « défaut » du texte est « d'anticiper les résultats de l'enquête et de désigner des coupables. »


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Pour résumer :

Le 4 avril 2017 l'Elysée publiait un communiqué dans lequel était notamment  indiqué : "

Le Président de la République dénonce avec indignation l’attaque aérienne à l’arme chimique perpétrée ce matin vers 7 heures à Khan Cheikhoun, une ville du nord-ouest de la Syrie tenue par les rebelles. Au moins une cinquantaine de personnes, dont de nombreux enfants, ont été tuées.
Comme à la Ghouta le 21 août 2013 Bachar el Assad s’en prend à des civils en utilisant des moyens bannis par la communauté internationale.
Une fois encore le régime syrien va nier l’évidence de sa responsabilité dans ce massacre. Comme en 2013, Bachar el Assad compte sur la complicité de ses alliés pour bénéficier d’une impunité intolérable.
Ceux qui soutiennent ce régime peuvent une nouvelle fois mesurer l’ampleur de leur responsabilité politique, stratégique et morale."
- fin de citation -
Le Conseil de Sécurité  réunit hier mercredi en urgence  et a repoussé le vote d'une éventuelle résolution de condamnation de la Russie soutien de Damas,   selon un texte présenté par Washington , Paris et Londres .
Les médias rapportent que  l'ambassadeur britannique à l'ONU Matthew Rycroft  a indiqué à la presse que "les négociations continuaient avec ses  collègues au Conseil de sécurité" et qu'il "ne prévoyait  pas" qu'elles se concluraient mercredi, et que de son côté  François Delattre  ambassadeur français à l'ONU a précisé que les négociations se déroulaient dans "un bon état d'esprit", et   dit "espérer" un vote "le plus tôt possible", peut-être dès jeudi.
Les médias ajoutent que d'autres diplomates paraissaient plus pessimistes, tablant sur un nouveau veto russe. 
L'ambassadeur adjoint pour la Russie, Vladimir Safronkov, a jugé que la résolution occidentale avait été préparée à la hâte et n'était pas utile, mais il a accepté une éventuelle "enquête objective". 

Rappelons que mercredi  Moscou avait jugé  "inacceptable" en l'état le projet de résolution condamnant cette attaque mardi contre la ville syrienne de Khan Cheikhoun ( ndlr : qui aurait  fait 86 morts, dont 30 enfants et 20 femmes selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme ).
La Russie avait apporté mercredi une proposition alternative de résolution ne demandant pas spécifiquement à Damas de coopérer avec l'enquête, selon des diplomates.

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Complément d'information :

Dans un article publié le 5 avril par Sputnik France il est indiqué que :    

" Moscou appelle à ne pas faire confiance aux rapports des Casques blancs et de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), deux ONG qui ont régulièrement fabriqué de fausses informations et qui cette fois accusent Damas d'un nouveau crime contre son peuple, imputant à l'armée syrienne une attaque chimique à Khan Cheikhoun." 

Ci-dessous extrait de cet article : 

"Moscou met en garde contre les mensonges des ONG

21:09 05.04.2017(mis à jour 22:33 05.04.2017) 

" Moscou appelle à ne pas faire confiance aux rapports des Casques blancs et de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), deux ONG qui ont régulièrement fabriqué de fausses informations et qui cette fois accusent Damas d'un nouveau crime contre son peuple, imputant à l'armée syrienne une attaque chimique à Khan Cheikhoun.

" Suite aux frappes de l'aviation syrienne contre un entrepôt terroriste abritant des substances toxiques situé près de la ville de Khan Cheikhoun dans la province d'Idlib, les Casques blancs et l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) ont accusé le gouvernement de Bachar el-Assad d'une attaque « chimique » qui aurait fait des dizaines de morts et des centaines des blessés. Damas rejette ces accusations qu'il juge infondées. Moscou, pour sa part, appelle à ne pas faire confiance à ces ONG qui ont à plusieurs reprises colporté de fausses informations.

« En ce moment, la tâche principale est de comprendre objectivement ce qui est arrivé. Pour l'instant, je voudrais également souligner que tous les rapports falsifiés sur ce sujet proviennent uniquement des fameux Casques blancs et de cet Observatoire syrien des droits de l'homme qui est déjà devenu odieux. Il ne faut faire confiance ni aux Casques blancs, ni à l'Observatoire syrien. Ils ont à maintes reprises sapé leur crédibilité par des vidéos truquées et par une information qui a été ensuite démentie par toutes les parties » a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova lors d'un briefing à Moscou.

" L'opposition syrienne a accusé mardi le gouvernement de Bachar el-Assad d'avoir mené à Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib, une attaque « chimique ». Si l'opposition syrienne fait état de 80 morts et près de 200 blessés, l'Observatoire syrien des droits de l'homme a annoncé la mort d'au moins 58 personnes, dont 11 enfants. Donald Trump a aussi imputé l'attaque au gouvernement du Président syrien Bachar el-Assad.

" Damas a pour sa part démenti toutes les accusations, invoquant leur caractère infondé.

« Il n'est pas exclu qu'ils aient eux-mêmes procédé à l'attaque, dans le but de lancer une campagne de propagande contre l'armée syrienne », a indiqué à Sputnik une source au sein des forces armées syriennes.

" Moscou a aussi déclaré ne pas être concerné par les accusations. Selon le ministère russe de la Défense, « aucune frappe aérienne n'a été menée par l'aviation russe dans les environs de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib.»

" Rappelons que Damas ne détient plus d'armes chimiques depuis 2014, date à laquelle les armes chimiques syriennes ont été détruites en mer sous le contrôle d'experts américains." 

- fin de l'extrait  - 

REVUE DE PRESSE



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Éditorial de lucienne magalie pons

Pour information :



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L'actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :
– échec des négociations en Guyane : quelles solutions ?
– Macron à Marseille : leçon de « République »

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Marine Le Pen - Réunion publique à Monswiller en Alsace ( vidéo )

Éditorial de lucienne magalie pons



* Source et références
Direct: Réunion publique de Marine à Monswiller en Alsace (05/04/2017)
Marine 2017 


Diffusé en direct il y a 2 heures
Visitez le site officiel de campagne ➡️ https://www.marine2017.fr
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Marine LE PEN interviewée au Parlement Européen par Jean-Pierre Elkabbach

Éditorial de lucienne magalie pons



Source et références de la vidéo

L'info à l'envers III
Ajoutée le 5 avr. 2017

GRAND DEBAT ou Examen de passage ? : Ni l'un ni l'autre, une émission politique trop longue d'ou rien de nouveau n'a émergé (Infos - revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons



Je me suis obligée à suivre le prétendu "Grand débat" ... qui était à mon avis un trop long débat, au cours duquel nous avons vu une émission organisée  comme une  séance d' examen de passage sous la conduite de deux journalistes l'une et l'autre sévère ou revêche par moments, ou à d'autres doucereuses, qui l'une ou l'autre posait  des questions à chacun des candidats à la présidentielle,  et des candidats lesquelles répondaient avec des propos adaptés à la circonstance  sous l’œil scrutateur des autres candidats.

En effet parler  avec à ses côtés ses adversaires politiques qui vous scrutent et ne perdent pas une syllabe mal prononcée, et avec des millions   de téléspectateurs devant les écrans,  c'est un tout autre exercice que de discourir sur une scène devant quelques milliers de sympathisants, hors de la présence de médias hostiles et de rivaux politiques.

D'autant que les journalistes se prenaient à leur jeu en se conduisant par moments comme des institutrices rigides, à d'autres comme des censeurs , ou encore comme des  juges inquisiteurs en fonction , ce qui n'a pas manqué de fausser l'ambiance de l'émission.

Les candidats n'ont pas toujours observé la règle qui était de laisser parler un candidat sans l'interrompre et de ne prendre la parole qu'en réponse à la question qui lui était posée par la journaliste,  dans un cadre très strict de la question , et  quelquefois  fois le brouhaha s'est installé, les candidats couvrant la voix de celui qui parlait en lançant des remarques,  des invectives, voire même des menaces  en s'apostrophant les uns contre les autres. 

Il y avait des candidats plus ou moins disciplinés mais l'un d'eux ( je ne veux nommer personne vous les  découvrirez en Revue de presse) , l'un d'eux habillé comme poune séance de sport, très décontracté, jouait particulièrement le rôle de "l'indiscipliné  de la classe".

Un  autre devenu  calme et   depuis que les sondages le "remonte" et "baisse" un de ses concurrents ,  s'était offert un look physique de président,  avec une nouvelle coiffure très soigneusement disciplinée,  ce qui enlève tout de même à son apparence ce look" d'extrême gauche insoumis"  qui le caractérisait.

Nous avons vu aussi un candidat  "en marche"  sur une marge de prudence,  se montrer en deçà des excentricités qu'il débite habituellement  dans ses shows politiques, mais il n'a  pu s'empêcher  avec des cris  de fouine enragée de  se livrer à certains moments à des démonstrations de violences contre  sa cible habituelle,  pour la traiter de fasciste, à ce moment là curieusement  certains  de ses rivaux faisaient chorus avec lui,

 Et puis nous avons entendu un candidat qui se croit  le seul capable de redresser la France  prêcher l'austérité, couplets et  refrain connu, et refuser de répondre à Laurence Ferrari sur certains faits précis et indéniables qui lui sont reprochés , en contournant la question pour parler d'autre chose. 

Un  candidat qui considère le candidat LR comme son principal concurrent,   l’a directement  attaqué à plusieurs reprises ,il a commencé par   jeter des pierres   «  à ceux  qui ont menti" aux Français.

"En politique, il y a ceux qui parlent et ceux qui font. Il suffit de regarder mon parcours pour savoir qui je suis et quel président je serai"…. a-t-il dit , "Je suis fier d'avoir redressé une ville qui était en faillite et d'avoir été élu à trois reprises. J'ai toujours fait passer mes convictions gaullistes, républicaines et sociales. Aujourd'hui, Français, vous avez le choix. Soit vous continuez avec ceux qui ont ruiné la France et qui vous ont menti. Soit vous continuez avec moi, vous reprenez le pouvoir pour reconstruire une France forte, juste, belle", puis revenant à son rival :  "Franchement, qui peut vous croire ? Moi je n'ai pas trahi mes idéaux.", en soulignant  qu'il avait lui  "toujours refusé les traités européens" et qu'il s'était même "battu contre" …  "Comment croire le premier ministre qui a bafoué le sort des français, alors que le traité de Lisbonne a été le viol du peuple ?" … "En vérité, les gouvernements, que ce soient ceux de monsieur Fillon ou Hollande sont passés en force", a-t-il ajouté.

 Par ailleurs nous avons découvert l'infatigable candidat qui pendant des mois a parcouru le monde et le territoire français pour s'informer exactement à la source et pour informer ensuite  ses "Chers compatriotes" en toute connaissance de cause ,   avec son fort  accent du terroir de sa région,  fort sympathique du reste, mais qui étonne les parisiens à l'accent snob  avec quelques accents pointus. 

Un autre  candidat qui a fait toute sa carrière dans la haute fonction publique à très haut niveau de proximité officielle auprès de plusieurs anciens Présidents de la République,  très carré, très instruit  des traités européens  a démontré plusieurs fois par A + B , article par article,  que les pays de l'UE sont cadenassés  par Bruxelles , que les autres candidats  n'obtiendront aucune réformes, et  en développant des arguments forts  il est quant  à lui déterminé au Frexit pour en finir avec l'UE, pour  sortir de" l'UE aux ordres de Bruxelles", et de" l'OTAN aux ordres de Washington".

Un autre candidat moins radical, moins carré , est aussi contre les institutions européennes et développe ses explications d'une manières assez nuancée.

La candidate des travailleurs  chargent surtout les patrons capitalistes en dénonçant leur responsabilité sur les bas salaires, les atteintes à la protection sociale, les durées excessives  du travail, ...  en affirmant que l'UE n'est pas responsable de tout nos maux  et que les patrons ont leur part de responsabilité  dans nos misères sociales,

La candidate du peuple et des patriotes  a expliqué qu'elle questionnerait le peuple par référendum avant de négocier des réformes avec l'UE, elle  s'est aussi expliqué sur certaines procédures à son encontre et son refus de se rendre aux convocations, et son immunité parlementaire. 

Le candidat socialiste a rabâché ses intentions, ses critiques contre les uns et les autres , a lancé ses coups de griffes contre l'une des candidates, vous devinez laquelle.

Finalement les deux journalistes ont finies par arriver sans trop de dégat à la fin de l'émission, toutefois elles du une ou deux fois intervenir avec énergie pour discipliner la classe des candidats en poussant des cris perçants pour ramener le calme, et même une fois rappeler à l'auditoire de ne pas troubler l'émission que chacun était là pour exprimer ses convictions et être écouté.

Je ne pense pas qu'un candidat ait surclassé les autres mais certains médias pensent  que Mélenchon a tiré profit de cette émission.

Mon avis est que finalement ce genre d'émission est d'abord  conçue pour faire mousser le média qui l'organise, après ça  des politologues , des experts , des membres d'instituts de sondages  et des communicants sont sollicités pour donner leur avis  sur  "le perdant" et le "vainqueur" du débat, et les médias ensuite  relatent toute cette opération à leur sauce,   mais  au fond tout ce grand ramdam  n'influence pas vraiment  l'opinion publique .

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