10 octobre 2014

Christian Jacob -UMP-, invité de RFI - (vidéo publiée le 8/10/2014 )

Éditorial de lucienne magalie pons

Invité de RFI,  Christian Jacob, président du groupe UMP à l’Assemblée Nationale, député de Seine-et-Marne , en répondant aux questions de Frédéric Rivière, s'est exprimé sur les actualités  politiques françaises et européennes., notamment  sur le projet de budget 2015, qui doit être soumis à l'avis de la Commission européenne prochainement , sur la politique menée par le gouvernement français, sur la nomination pressentie  de Pierre Moscovici comme commissaire  européen aux affaires économiques,  sur le retour de Nicolas Sarkozy en politique, et sur des questions de sociétés, telles que le mariage pour tous, la PMA et la GPA, la circulaire Taubira ...

En ce qui concerne le Budget 2015 Monsieur Christian Jacob  a estimé notamment ... «Ce qui est en cause n’est pas le Commission, mais le gouvernement et la manière dont ce budget 2015 a été monté sur des prévisions très hypothétiques ......Aujourd’hui, nous sommes dans une situation où les déficits et où les impôts explosent».
Pour les autres sujets abordés voir la vidéo :

09 octobre 2014

Politique familiale ( extrait d'une question posée par la députée Valérie Lacroute et la réponse de Laurence Rossignol , secrétaire d'Etat chargée de la famille ...

Éditorial de lucienne magalie pons

La politique familiale est à l'ordre du jour , notamment la remise en cause des mesures du congé parental , et les diverses propositions de la gauche PS de modulation des allocations familiales en fonction du revenu de la famille.

Nous avons déjà écrit un éditorial sur ce sujet , mais nous considérons très interressante la question posée par    Mme.  Valérie Lacroute, Députée UMP ,  au Premier Ministre, au sujet  du congé parental et des allocations familiales  lors de la séance  de  "questions au Gouvernement " du 7 octobre  2014 , à l'Assemblée Nationale .

Voir l'extrait vidéo  ci-dessous  qui débute par la question posée par Valérie Lacroute, qui a reçu réponse de Mme Laurence Rossignol secrétaire d’État chargée de la famille, des personnes âgées et de l’autonomie. : ( l'extrait vidéo se poursuit ensuite par les interventions d'autres députés , toujours sur des questions touchant la politique familiale)

 

extrait : 



 Extrait du compte rendu de la séance du  6 octobre 2014 :
……..  
Politique familiale
M. le président. La parole est à Mme Valérie Lacroute, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.
Mme Valérie Lacroute. Monsieur le Premier ministre, des mesures catastrophiques sont annoncées dans votre projet de loi de financement de la Sécurité sociale : remise en cause de la prime à la naissance ; remise en cause du congé parental ; baisse de l’allocation pour les enfants entre 14 et 16 ans, soit 4 500 euros pour une famille de trois enfants ; décalage du versement de la prestation d’accueil du jeune enfant. Et j’en passe.

Hier, vos réponses à nos questions ont été plus qu’approximatives. Cerise sur le gâteau, on apprend ce matin que le président du groupe socialiste veut moduler les allocations familiales en fonction des ressources !

Monsieur le Premier ministre, depuis 1945, notre système d’allocations familiales repose sur le principe intangible d’universalité, qui a toujours fait consensus à gauche comme à droite. Nous avons été scandalisés par cette annonce de mise sous conditions de ressources, qui remet en cause ce principe essentiel de notre pacte républicain. Nous avons été choqués d’entendre que le rapporteur du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, Gérard Bapt, considère les allocations familiales comme « de l’argent de poche » pour certaines familles.
Plusieurs députés du groupe UMP. Honteux !
Mme Valérie Lacroute. Les allocations familiales ne sont pas un revenu complémentaire. Elles ne vous sont pas distribuées parce que vous avez tel ou tel revenu, mais parce que vous avez des enfants. En aucun cas, elles ne sont de l’argent de poche ! Il n’y a pas d’enfants de riches, pas d’enfants de pauvres. Il n’y a que des enfants ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Depuis deux ans, vous détruisez la politique familiale. Plutôt que de vous attaquer aux familles, remettez en question la gratuité de l’aide médicale d’État pour les étrangers en situation irrégulière ! Quel est votre objectif, monsieur le Premier ministre ? Réduire l’autonomie des femmes, ou tout simplement les renvoyer dans leur foyer ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
M. le président. La parole est à Mme la secrétaire d’État chargée de la famille, des personnes âgées et de l’autonomie.
Mme Laurence Rossignol, secrétaire d’État chargée de la famille, des personnes âgées et de l’autonomie. Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, madame la députée Valérie Lacroute, je réponds à votre question, comprenant que vous souhaitez que, du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, nous évoquions exclusivement la branche famille.

Vous ignorez peut-être que l’accueil de l’enfant et le soutien aux familles ne se déploient pas seulement grâce à la branche famille et à la caisse d’allocations familiales. L’ensemble des politiques publiques mobilisées pour l’accueil des enfants et le soutien aux familles représente aujourd’hui entre 80 et 120 milliards, si l’on compte les avantages de la politique fiscale, l’action des collectivités territoriales, l’ensemble des prestations servies aussi bien pour le logement des familles que pour l’accueil des jeunes enfants de moins de 3 ans dans l’éducation nationale. Dans ce décompte, je n’inclus pas l’effort sans précédent consenti par le Gouvernement en matière d’accueil et de formation des enfants par l’éducation nationale.

Sans sous-estimer la somme de 700 millions d’euros demandée cette année à la branche famille, il convient de la relativiser à l’aune de cet engagement de l’État de 120 milliards.

Vous avez évoqué la proposition faite par le président du groupe socialiste d’un débat sur la modulation des allocations familiales. Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015 conserve et protège l’universalité des prestations familiales. Néanmoins, pour bien défendre notre politique familiale, il n’y a pas de débat tabou. Cette proposition, à l’initiative du président du groupe socialiste, n’est pas celle du Gouvernement, mais je pense qu’elle donnera lieu à l’Assemblée nationale à un très beau débat sur notre politique familiale, ses qualités, son excellence et le moyen de la faire évoluer, dans le cadre du redressement des comptes publics. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC et du groupe écologiste.)
____________________________________/
Extrait du compte-rendu de la séance du 7 octobre 2014 :
……………..

Julien Sanchez, Maire FN de Beaucaire répond aux questions de France Bleu - 5 OCTOBRE 2014 -

Éditorial de lucienne magalie pons


En déplacement le dimanche 5 octobre 2014 à Toulouse, Julien Sanchez, maire FN de Beaucaire a répondu aux questions de France Bleu Toulouse.
 

Marion Maréchal-Le Pen - question écrite à l'adresse de Mme la Ministre des Affaires sociales ..sur la réforme de l'allocation de congé parental

Éditorial de lucienne magalie pons

Nous publions ci-dessous le texte de la question écrite de Mme Marion Maréchal-Le Pen  par laquelle elle attire l'attention de Mme la Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes,  sur la réforme de l'allocation  de congé parental.

A l'heure ou nous reprenons ce texte  sur notre site aucune réponse ne figure encore sur le site de l'Assemblée Nationale.

Nous y reviendrons plus tard afin d'en prendre connaissance et de vous en faire partager.

ooOoo



Question écrite n° 65942 publiée le 7 octobre 2014
travail - congé parental d'éducation - réforme


Mme Marion Maréchal-Le Pen appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la réforme de l'allocation de congé parental. Pour résorber le déficit de la sécurité sociale, le Gouvernement prévoit un rabotage de 700 millions d'euros sur la branche famille lors de la prochaine loi de financement de la sécurité sociale, sans compter la division par trois de la prime de naissance au second enfant, la baisse pour nombre de familles du complément de garde aux ménages. L'égalitarisme imposé aux parents par l'actuel ministre de l'éducation nationale et sa loi sur l'égalité femme-homme, avait lancé la répartition du congé parental en redistribuant six mois sans rétrocession pour le père sur l'enveloppe de trois ans, jusqu'alors attribuée indifféremment aux deux parents. Cette contrainte occultait que le congé parental, concernant 540 000 bénéficiaires, est consommé à 97 % par les mères. L'option de réduire à 18 mois le congé de la femme, au nom d'un équilibre parfait entre la mère et le père, est un raisonnement insidieux dont les conséquences sur le budget des familles, notamment les plus modestes, sont alarmantes. Ce sont majoritairement les employées et les ouvrières qui utilisent le congé parental pour modérer les dépenses relatives à la garde de l'enfant et au transport. Le partage n'est économiquement pas viable car l'homme touche une meilleure rémunération que la femme dans plus de 50 % des foyers. Dans la grande majorité des cas, au terme des 18 mois, les parents seront contraints de faire appel à une assistante maternelle ou de mettre l'enfant en crèche : ces deux solutions augmentent les dépenses de l'État, l'enfant gardé en crèche coûtant environ 1 200 euros par mois à l'État contre 390 euros lors d'un congé parental. En outre, il manque 350 000 places de crèches : face à cette inquiétante pénurie de garde, nombre de mères sans solution seront obligées de quitter leur emploi. C'est pourquoi elle demande que le ministère de la santé s'engage à ne pas modifier le système du congé parental au risque de se rendre coupable d'une régression sociétale touchant au droit de la famille ainsi qu'à la liberté pour la femme d'accomplir son statut de mère.
 Globalement, elle demande à Mme la ministre de ne pas assainir les dépenses publiques en fonction d'une idéologie partisane qui agit au détriment des familles françaises et du dynamisme
démographique de notre pays. Pour cela, elle propose l'instauration de la priorité nationale, levier indispensable au soutien et à la sécurité des familles françaises en période de crise.
 

Marine Le Pen Modulation des allocations familiales : préservons l'universalité du modèle français

Éditorial de lucienne magalie pons

Source :  Site Front National

Modulation des allocations familiales : préservons l'universalité du modèle français

Communiqués / 8 octobre 2014
Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National 

Le Front National s’oppose très fermement au projet de modulation des allocations familiales porté par la majorité socialiste et envisagé ce matin par Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement.

Les allocations familiales ne répondent pas à des considérations fiscales mais à une véritable politique de protection et de développement de la famille, dans l’intérêt de toute la Nation.
Le principe d’universalité des allocations ne doit donc pas être remis en cause ni sacrifié sur l’autel de l’austérité bruxelloise.
Le gouvernement, soutenu en cela par l’UMP, poursuit pied à pied son œuvre de déconstruction du modèle social français au profit d’un système toujours plus individualiste et injuste.

Il faut donc rompre avec l’austérité imposée par Bruxelles et recréer les conditions d’une relance de l’économie ; seule la création de richesse permettra de pérenniser les allocations familiales et d’en garantir l’universalité.
La seule modulation urgente et juste à mettre en œuvre, serait celle qui consiste à réserver les allocations familiales aux Français.

Marine Le Pen au Sommet de l'élevage de Cournon

Éditorial de lucienne magalie pons







Ajoutée le 4 oct. 2014
J'aime ce Sommet de l'élevage que j'ai déjà eu l'occasion de visiter il y a deux ans! C'est une vitrine mondialement reconnue de l'excellence du savoir-faire français en matière d'élevage et il suffit de regarder le nombre impressionnant de délégations étrangères qui le parcourent pour s'en convaincre.

Si la réputation de nos savoir-faire et de nos productions est solidement établie à travers le monde, il semble par contre qu'elle échappe totalement au gouvernement de M Hollande et, plus encore, aux technocrates de Bruxelles, son maître. Pourquoi, sinon, se donneraient-ils autant de mal pour mettre définitivement à terre ce que des générations d'éleveurs ont construit ?

C'est en effet la survie d'une majorité d'entre eux qui est en jeu. Bruxelles, fidèlement suivie par l'UMP et le PS, a commencé par détricoter patiemment tous les mécanismes de régulation et d'aide efficaces de la politique agricole. Réduite comme peau de chagrin, la PAC, qui a perdu environ 40% de ses budgets d'aides en euro constant depuis 2000, n'est plus apte à faire progresser notre agriculture, ni même à la protéger. Aucune grande puissance digne de ce nom ne voudrait d'une telle politique agricole! L'embargo russe est un excellent révélateur de l'incapacité de Bruxelles à gérer efficacement une crise agricole : pour la France, le manque à gagner devrait dépasser le milliard d'euros en un an quand l'aide annoncée pour l'ensemble de l'Europe 365 millions d'euros. Aides qui ne concernent que les fruits et légumes ainsi que certains laitages alors que l'immense majorité des filière est lourdement impactée. Pendant ce temps là, les cours plongent et nombre d'agriculteurs vont, une fois encore, devoir travailler pour ne rien gagner, voir à pertes. L'irresponsabilité de Bruxelles et du gouvernement mène tout droit à la catastrophe et la violence, comme ont pu le constater nos concitoyens il y a dix jours lors de la révolte des légumiers bretons à Morlaix.

Dans le même temps, l'UE a sciemment laissé exploser le dumping social entre pays membres en s'élargissant à tout va et en tolérant les utilisations les plus scandaleuses de la directive sur le détachement des travailleurs. Comment faire face quand vos concurrents allemands, espagnols ou italiens, à quelques centaines de kilomètres de votre exploitation ou de votre usine, payent leur main d'oeuvre une poignée d'euro de l'heure? Un dumping, rappelons-le au moment où, en Bretagne, les abattoirs Gad annoncent 400 nouvelles suppressions d'emploi et le producteur de poulet Tilly-Sabco (330 salariés) est placé en liquidation judiciaire, un dumping qui, pour le seul Grand Ouest coutera à terme 50 000 emplois directs et indirects (estimation FO). Profitons-en aussi pour évoquer l'escroquerie du SMIC allemand vendue par l'UMPS avant les élections européennes comme l'ultime parade contre ces pratiques. En réalité, ce fameux salaire minimum ne changera rien dans l'agriculture et l'agroalimentaire tant les exemptions votées au Bundestag sont larges.

Le libre-échange vire au cauchemar au sein même de l'UE? Qu'importe pour Bruxelles qui entend désormais le généraliser à l'extérieur au seul profit d'une poignée de multinationale. Maroc, Ukraine, Canada, demain Etats Unis, après demain Mercosur... Le liste ne cesse de croître. A chaque fois l'agriculture, et plus particulièrement l'élevage, se retrouve en première ligne. A qui fera-t-on croire que les éleveurs français pourront survivre à des concurrents américains ou canadiens dont les coûts de productions sont inférieurs de 25% à 40%? Qui peut être assez naïf pour croire que la nouvelle PAC, déjà mise en difficulté par le seul embargo russe, fera le poids face au nouveau Farm Bill américain et à sa politique de prix minimum garantis aux agriculteurs? Qui peut encore soutenir que les américains se plieront gentiment à nos normes sanitaires et environnementales?

Cette semaine, à Bruxelles, sont auditionnés les futurs commissaires européens. Je peux déjà vous dire que leur seul mission est d'imposer dans les secteurs dont ils ont la responsabilité, par tout les moyens, le niveau de dérégulation requis pour conclure au plus vite ces traités de libre-échange. Mme Malmström, qui brigue la place de commissaire au Commerce extérieur, a, lundi, clairement annoncé la couleur : il est hors de question de renégocier les terme de l'accord UE-Canada, et il ne faut surtout pas se montrer trop exigent dans les négociations du Traité transatlantique en refusant le mécanisme permettant aux multinationales d'attaquer les Etats devant des tribunaux d'arbitrage. Une procédure dont aucun démocrate digne de ce nom ne peut s'accommoder puisqu'il consiste à ôter au peuple son pouvoir de choisir ses lois afin de le confier aux multinationales!

Marine Le Pen

Florian Philippot sur Sud Radio | Front National

Florian Philippot sur Sud Radio | Front National

publié le 7 octobre 2014 

Pour accéder à l'émission cliquez sur le lien ci-dessus 

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...