09 octobre 2012

GRECE : 25.000 manifestants protestent contre la visite d'Angela Merkel - 9 Octobre 2012 -

Éditorial de lucienne magalie pons

 La visite de la Chancelière Allemande Angela Merkel qui est venue apporter son soutien à la politique d'austérité et de rigueur d' Antonis Samaras, le Premier Ministre Grec, a donné  lieu à de violentes manifestations qui ont tourné à l'affrontement avec les forces de sécurité Le Gouvernement Grec n'avait pas lésiné sur les moyens de protection mis en place depuis hier  pour protéger Angela Merkel et sa délégation,  6000 agents de police, renforcés par  des unités antiterroristes dont des tireurs  d'élite postés  les toits étaient déployés dans le Centre d'Athènes.

Mais ce mardi 9 Octobre , les manifestants,  qui ont ressenti  la visite d'Angela Merkel comme une provocation;  ont affronté la police, ce  mardi 9 octobre, avec des pierres, des bouteilles , des projectiles divers et des bâtons. Ils ont tenté de démanteler une barricade érigée pour protéger Angela Merkel et sa délégation., au cours de ces incidents des dizaines de manifestants ont été arrêtés dans l'après-midi.


Ce sont  près de 25 000 manifestants qui protestaient   contre sa visite dans les rues et le Centre d'Athènes , , à l'appel des syndicats, du   principal parti d'opposition de gauche radicale, le Syriza, et de formations de droite nationaliste.


Le Chef du  Syrisa soutenu  par une délégation du parti de gauche allemand Die Linke,  se trouvait dans le cortège des manifestants avec ses militants. L'arrivée d'Angela Merkel "nous donne l'occasion de dire que l'Europe des peuples vaincra l'Europe de la rigueur ...,  la tradition démocratique européenne ne laissera pas la Grèce devenir un cimetière social", a notamment  lancé Tsipras.


Les manifestants des groupes   de droite nationaliste  brandissaient des panneaux  et poussaient des   slogans  hostiles comme "mal venue", "dehors les impérialistes", "non au IVe Reich". Les médias rapportent qu'un   homme brandissait  un panneau où les photos d'Angela Merkel et des trois Premiers ministres grecs s'étant succédés  depuis 2010,  surmontés  de croix gammées, l'emblème de l'Allemagne nazi.

A l'écart de la foule et  des nombreux  innombrables barrages érigés par la police dans le centre, une demi-douzaine  de manifestants déguisés en Officiers SS avec des croix gammées sur leurs uniformes  circulaient   dans un véhicule noir avec des drapeaux  à croix gammée , en faisant le salut nazi en signe de défi contre la visite de la  Chancelière Allemande

Rappelons que le gouvernement d'Antonis Samaras négocie  actuellement avec la Troïka  les bailleurs internationaux (UE-BCE-FMI )de nouvelles restrictions budgétaires pour  en vue de s'assurer  du  versement de la prochaine tranche du plan de renflouement de 130 milliards d'euros, afin de maintenir le pays à flot.

La visite de la Chancelière a durée six heures au cours desquelles elle a  pu , au cours d'une conférence de presse au côté d'Antonis Samaras , le Premier Ministre grec, saluer notamment  les  "efforts" et "progrès accomplis" par la Grèce en vue de la réduction de ses déficits publics en souhaitant que la Grèce "reste dans l'euro" en ajoutant e:  "Nos discussions montrent clairement qu'il y a en ce moment des progrès tous les jours." Et s'est dite "convaincue que l'effort difficile en vaut la peine".

Manifestement la population grecque qui ne peut  plus supporter  " les efforts difficiles et "progrès (sic)  qui lui sont imposés  de plus en plus   par le Gouvernement grec et la Troïka  des créanciers  de la Grèce (UE-BCE-FMI),  a  tenu à manifester en masse  plutôt que danser le sitarki, la ceinture serrée  devant leurs buffets vides.


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Semaine Présidentielle Française du 24 au 30 septembre 2012

Éditorial de lucienne magalie pons

Vidéo-Digest

Venezuela : Le parcours de combattant politique d' Hugo Chavez

Editorial de Lucienne Magalie Pons




Affaibli physiquement  par un cancer détecté en 2011,   deux opérations en 2011 et 2012, et   les traitements médicaux qu’il a subis, Hugo Chaveza a combattu  courageusement cette grave maladie, tout en maintenant son cap politique et sa popularité.

 Il  s’est  déclaré  guéri en 2012 , avant de se  lancer  en campagne pour sa réélection à la Présidence du Venezuela  ,qui vient d’intervenir  Dimanche  7 Octobre 2012 .


Hugo Chavez a obtenu  54,42 % des voix  face à son  principal opposant Henrique Capriles qui a obtenu   44,97 %, sur  90 % des suffrages.


Après l’annonce de ces résultats par la présidente du Conseil National électoral( (CNE), le peuple et les partisan  du président CHAVEZ,    ont immédiatement  envahi les rues de la capitale Caracas, pour manifester leurs joies,  en allumant des feux d’artifices et  faisant exploser pétards et feux d'artifice, en dansant chantant et acclamant nom de leur  Président réélu « Chavez »

L’adversaire de Hugo Chavez,  Henrique Capriles, a félicité dimanche soir le président Hugo Chavez en reconnaissant sa défaite.

A la veille des élections de Dimanche, Hugo Chavez s’était  adressé à son peuple en les invitant à le rejoindre, à s’unir  avec lui,  à  la révolution qu’il a initié depuis sa prise de pouvoir au Venezuela. Nous nous sommes risqués à traduire ci-dessous  ici une petite partie de son discours :

 «  Vous , ceux qui indécis,  effeuillent la marguerite, ne doutez pas plus : Le Venezuela ne peut aller en arrière, ce serait une catastrophe , pour toutes, pour tous, pour nous, et surtout pour nos fils (enfants), pour la jeunesse qui est levée, cette génération que je n’hésite pas à appeler la meilleure des générations qui est passée dans notre histoire sur cette terre Vénézuélienne, cette jeunesse qui se lève, ces enfants, ces enfants , c’est pour eux que nous  allons voter en votant Chavez , en votant pour la Patrie, donc ne doute pas  plus,  voies- toi avec nous , ne continue pas de douter » …


Si Dieu lui prête vie Hugo Chavez  accomplira donc un nouveau  mandat de six ans comme Président du Venezuela, ce qui nous porte aux environs de 2019, puisque l’année 2012 est presque terminée
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Quelques notes sur le parcours    de combattant  politique d’Hugo Chavez  

1982

Hugo Chavez, 58 ans,  le Président du Venezuelas est un ancien parachutiste  lieutenant-colonel, c’est  dès 1982 qu’il s’inspire  pour  l’élaboration de son projet socialiste  de Simon Bolivar, le héros  de l’indépendance acquise contre les Espagnols.

1992 -1999

En 1992, toujours  lieutenant-colonel  parachutiste, il lance  un coup d'Etat  contre le président vénézuélien de l’époque  Carlos Andrés Pérez, qui le jette pour deux ans  en prison, ce qui vaudra à Hugo Chavez une grande  popularité dans le pays dont les habitants aspirent au changement et à l’essor social.

En 1998, six  ans après, Hugo Chavez candidat d'une coalition de partis de gauche,  remporte l'élection présidentielle, avec 56% des suffrages. Il  se retrouve  ainsi à la tête du premier pays exportateur de pétrole sud-américain et commence à mettre en œuvre son projet socialiste « révolutionnaire » sur lequel  il construit  sa popularité  en réalisant progressivement nombreux programmes sociaux dans la santé et l'éducation

.En dépit, à l’époque,  d’une inflation en progression, les habitants les  plus défavorisés jusqu’alors  lui vouent  depuis  une reconnaissance sans limites  et  « sont fiers »  qu'il leur ait  rendu leur dignité.

Avant son élection de 1998 il était, depuis sa fondation en 1997,  le chef du parti politique  Mouvement Cinquième République,   il le restera  jusqu'en 2007, puis il devient alors  le chef du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV).

. Tout reste à construire  cependant, première urgence il faut organiser un référendum sur l’opportunité d’une  Assemblée constituante qui aura pour mandat de préparer une nouvelle Constitution pour remplacer celle de 1961

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 Hugo Chavez met en œuvre le 25 avril 1999 un référendum sur l'opportunité de former une nouvelle assemblée constituante, de programmer des élections pour cette dernière et une nouvelle élection présidentielle pour l'année 2000, ce référendum verra une victoire du « oui » à 92 % avec un taux de participation de 40 %.

 

 Le 7 août, la nouvelle Assemblée constituante est instituée,  Hugo Chavez a annulé le défilé militaire qui accompagne habituellement cette cérémonie pour marquer  soumission de l'armée aux autorités civiles dans un pays qui a connu  dans son histoire de nombreuses dictatures militaires. Le  défilé est remis au 4 février, date anniversaire de sa première tentative de coup d'État.

 

Cette assemblée à 95 % Chaviste a pour mandat  rappelons-le de préparer une nouvelle constitution afin de remplacer celle de 1961, Les  131 membres de l’assemblée sont  la plupart sans aucune expérience politique, et n’ont 'ont que trois mois pour la rédiger Il est prévu de faire ratifier cette nouvelle constitution par référendum et le  19 décembre de la même année, 72 % des participants au référendum acceptent la nouvelle constitution bolivarienne.

 

Principaux changements de la Constitution bolivarienne du Venezuela :

 

          Changement de nom du pays en « République bolivarienne du Venezuela » ;

 

          Abolition du Sénat, passant ainsi à un système monocaméral ;

 

          Le mandat du président passe de 5 ans à 6 ans ;

 

          Le président peut être réélu immédiatement à la fin de son mandat une seule fois. La constitution antérieure permettait la réélection du président, mais seulement après une période d'au moins 10 ans ;

 

•Mise en vigueur du « référendum révocatoire » qui permet au peuple de destituer n'importe quel gouvernant, fonctionnaire ou administrateur public, y compris le président

 

2000 -Première réélection 

 

Les élections générales  ont lieu le 30 juillet 2000. Hugo Chavez est réélu président avec 59,5 % des voix, le  MVR remporte 93 des 165 sièges de l'Assemblée nationale.


Le 10 août 2000, dans le cadre d'une tournée de l'OPEP (pays producteurs de pétrole), Chávez effectue une visite officielle en Irak, il est  le premier chef d'État à s'y rendre depuis la première guerre du Golfe


2001-2002 – deux années difficiles -


À la suite des attentats du 11 septembre 2011, les cours du pétrole brut s'effondrent ce qui provoque une crise économique, l'économie du Venezuela reposant en grande partie sur le pétrole ( le pays est le troisième exportateur mondial), et dans le même temps le gouvernement est aux prises avec d'importants troubles sociaux grèves et manifestations  fomentés par l’opposition minoritaire mais agissante.


Sur le plan de la politique intérieure trois séries de mesures  sont particulièrement critiquées par l'opposition et le patronat : la réforme agraire, la prise en main du secteur pétrolier et l'augmentation des redevances sur le pétrole, et la saisie de terrains côtiers pour une surface équivalente à celle de la Belgique L'opposition et le patronat jugent en particulier que ces mesures vont à l'encontre du droit à la propriété privée


 Ces grèves et ce climat de tension contribueront à alimenter un mouvement qui culminera par la suite dans le coup d'État de Pedro Carmona en 2002

Pedro Carmona considère que les mesures économiques prises par Chavez représentent la plus grande confiscation de propriété privée de l'histoire du Venezuela et le 10 décembre 2001, le patronat et des syndicats  vénézuéliens  proches du patronat appellent à une grève générale pour protester contre les mesures économiques d'Hugo Chavez.

 

 Au même moment, des milliers de partisans du gouvernement se réunissent à Caracas afin de soutenir le président, et écoutent un discours d’Hugo Chavez justifiant les mesures engagées.

 

 Le dimanche 7 avril 2002, Hugo  Chavez,  lors de son émission en direct  « Aló Presidente » met  spectaculairement «  à la porte » sept  cadres dirigeants de la Compagnie nationale des pétroles du Venezuela (PDVSA) et en oblige douze autres à prendre leur retraite. 

 

Révoltés,  les cadres de la compagnie protestent et la Confédération des travailleurs du Venezuela, (CTV), de concert avec le patronat, appelle à une grève générale de 24 heures. Le secteur pétrolier, responsable de 80 % des exportations du pays n'emploie que 2 % de la main-d'œuvre et dispose d'un poids économique important lors des mouvements de grève

 

.Le coup d'État de   Pedro  Carmona (11-13 avril 2002)

 

Le 9  avril 2002, à la suite du licenciement  le 7 Avril 2002  des cadres dirigeants de PDVSA,   le syndicat CTV (Confédération des travailleurs du Venezuela) et Fedecámaras (syndicat patronal) déclenchent une grève générale de 24 heures pour soutenir les dirigeants de PDVSA. L'opposition convoque une manifestation le 11 avril, réussissant à regrouper plus de 200 000 personnes12. Cette manifestation est au départ prévue et autorisée jusqu'au siège de PDVSA, situé dans le secteur de Chuao, vers l'est de Caracas, mais sur un appel à "marcher sur Miraflores", elle est déviée de 8 km vers le Palais présidentiel, où se trouvait le rassemblement pro-Chavez ; Quand  la manifestation atteint le centre-ville, de violents  affrontements  éclatent. Le maintien de l'ordre est assuré par la Police métropolitaine de Caracas ou par la Garde Nationale.


Chavez, qui se trouve au Palais de Miraflores, déclenche à ce moment-là  le "plan Avila" ,plan d'opérations de l'armée pour contenir des troubles à l’ordre public mais l’ordre n'est pas exécuté car le Général Manuel Antonio Rosendo, chef de l’Etat-major du  Commandement Unifié de l'Armée Nationale,  soutient les officiers qui demandent la démission du gouvernement.


Les chaînes de télévision privées émettent le 11 avril avec un "écran divisé", montrant sur une moitié les émissions habituelles et sur l'autre Chavez et des scènes des troubles au centre de Caracas. Le gouvernement ordonne l'arrêt des émissions, mais les chaînes  privées les rétablissent cinq minutes plus tard.
En début d’après midi apparaissent  à Caracas  les  premiers morts et blessés par balle ,  quelques heures plus tard les chaînes de télévision diffusent un message enregistré par Otto Neustald de CNN dans la matinée, lu par le Général Lucas Rincon Romero, entouré de hauts officiers, qui déclarent ne pas reconnaître l'autorité du gouvernement de Chavez et font allusion aux morts survenus à Caracas


Peu après, Venevision diffuse des images d'un groupe de partisans de Chavez qui tirent au pistolet depuis le Pont Llaguno vers le sud   Ces images, selon Chavez et des porte-parole du gouvernement, étaient manipulées et ne montraient pas qui était la cible des tireurs, bien que la voix off indiquait qu'ils tiraient sur des manifestants de l'opposition. Les tireurs, arrêtés quelques jours plus tard, déclareront qu'ils ripostaient au feu des snipers postés sur les étages des immeubles adjacents et des fonctionnaires de la Police Métropolitaine de Caracas.


Dans ce secteur douze décès sont comptabilisés. Lors du procès pour ces homicides et les blessures infligées à 29 autres personnes, neuf fonctionnaires de Police et deux militaires de la Garde Nationale, en plus des tireurs du Pont Llaguno (dont un conseiller municipal du parti MVR de Chavez) seront mis en examen, le jugement final prononçant une condamnation contre trois commissaires et huit agents de la Police métropolitaine.


Pendant la nuit, les officiers à l'origine du coup demandent à Chavez de se rendre et démissionner, sous menace d’attaquer  le Palais de Miraflores, protégé par des partisans du gouvernement. Vers 0h00 du 12 avril 2002, le Général Rincon Romero, alors Ministre de la Défense apparaît à la télévision et déclare que la démission a été demandée à Chavez, ce qu'il a accepté.  Quelques heures plus tard Chavez se rend, quitte le Palais de Miraflores et est transporté à la base militaire de Fuerte Tiuna, à Caracas..


Pendant l'après-midi du 12 avril Pedro Carmona, président du syndicat patronal Fedecamaras, est proclamé Président par intérim  selon l’ « l'Acte de constitution du Gouvernement de transition démocratique et d'unité nationale », signé par environ 400 personnes présentes au Palais de Miraflores , ensuite   le Pouvoir législatif est dissous et tous les députés de l'Assemblée nationale et leurs suppléants sont destitués, de même,  les maires élus depuis l'élection de Chavez, les membres du Tribunal Suprême de Justice, des institutions du Ministère public et de la Cour des comptes , du  Contrôle  General de la République, du Bureau de l'Ombudsman,  et du Conseil National Électoral.


Tout parait gagné pour l’opposition, mais   le  13 avril au matin  des manifestations de soutien à Hugo Chavez   s'organisent dans plusieurs secteurs de Caracas, bloquent les autoroutes qui vont vers l'Est et vers la Guaira où se trouvent  l'aéroport de Caracas et le principal port du Pays ..


Les émissions de certaines chaînes privées vénézuéliennes ne comportent alors que des dessins animés et des films, mais  la chaîne d'informations par câble CNN et la chaîne privée colombienne Caracol ,- radio et télévision , -  continuent à diffuser des informations sur les évènements.


Hugo Chavez est alors transféré à une base navale à Turiamo, où il écrit dans une note manuscrite "Je n'ai pas renoncé au pouvoir légitime que le Peuple m'a donné", il sera transféré   à l'Île La Orchilla.


Pendant la nuit, du 13 au 14 Avril 2002, des partisans de Chavez parviennent à investir  la chaîne "Venezolana de Televisión", jusqu'alors contrôlée par la Police de l’État de Miranda, gouverné par l'oppositeur Enrique Mendoza. Les partisans de Chavez  commencent à émettre en direct.

  Un bataillon basé à Maracay sous le commandement de Raul Isaías Baduel déclare son adhésion à la Constitution et met en route l'action nommée "Opération de Sauvetage de la dignité nationale". Les partisans de Chavez occupent le Palais de Miraflores, abandonné par le gouvernement de facto en début d'après-midi et un peu plus tard le vice-président Diosdado Cabello prête serment comme Président provisoire.


Le vent de l’histoire a tourné  en faveur d’Hugo Chavez sauvé par son peuple, au petit matin du 14 avril une unité héliportée libère Chavez à La Orchilla et le ramène à Caracas. Diosdado Cabello fait la passation des pouvoirs. Chavez s'adresse à la Nation


Le vent de l’histoire a tourné en 3 jours  en faveur pour Hugo Chavez sauvé par son peuple et ses partisans.
 Ainsi il n’a  pas  suffit  sous l’égide de Pedro Carmona  à une minorité d’opposants composé du patronat, des syndicats proches du patronat,  de se constituer en  « société civile », avec le soutien de l’Eglise , des classes moyennes et de certains médias privés et de plus avec  le soutien   du Président des Etats-Unis dont hauts fonctionnaires de son administration avaient reçu  auparavant à Washington les représentants des futurs « putschistes » militaires  et civils, les Etas Unis qui avait immédiatement salué comme acquise la mise à l’écart  d’ Hugo Chavez  le dirigeant socialiste révolutionnaire Président du Venezuela. 


De même  il n’a pas suffit à Pedro Carmona que le Gouvernement espagnol, l’Espagne  présidant à l’époque l’Union Européenne,  publie dès le 12 avril, à partir de Washington, une déclaration commune avec le gouvernement américain, appelant les « putschistes » à créer « un cadre démocratique stable » 

 
Ironie du sort la création  d’un  «  cadre démocratique stable » souhaité par  les Etats-Unis et l’Espagne par les putschistes  n’a pas vue le jour, le coup d’Etat de Pedro Carmona a été  mis en échec et balayé en 3 jours  par le  raz de marée populaire et par les militaires loyaux, ils ont par leur action de résistance rétabli  le 14 Avril  la légalité à Caracas et  le Président Hugo Chavez dans ses fonctions de Président du Venezuela..


 2004 - Le référendum révocatoire de mi-mandat 




 L'opposition s’emploie  a réuni le nombre de signatures nécessaires pour entamer cette procédure de révocation à mi-mandat. Les signatures sont refusées par le Conseil national électoral (CNE), car une partie de celles-ci a été collectée avant la fin de la période de mi-mandat règlementaire


 L’opposition s’emploie de nouveau à réunir, après la fin du mi-mandat du Président Chavez, à réunir  le nombre suffisant de signatures pour permettre l'organisation du référendum révocatoire,  le gouvernement  accepte  la liste de signatures présentée par l'opposition


Le référendum révocatoire est mis en place pour le 15 août 2004. Pour en garantir la régularité, il est surveillé par la Fondation Carter et par l'Organisation des États américains (OEA). 


Le soir du 15 Août 2004, les résultats préliminaires indiquent qu'environ 58 % des votants se prononcent contre la destitution de Chavez, ces résultats préliminaires sont  confirmés par la fondation Carter et l'OEA, mais les opposants  prétendent que le résultat est entaché de fraudes, mais finalement dans les jours suivants  la majorité de l'opposition  devant l’évidence des résultats finaux confirmés par la fondation Carter et l’OEA, reconnaît la victoire de Chavez.


Le Résultat final annoncé le 23 Août confirme une victoire du non à 58,91 %,  Hugo Chavez reste en place.
Le parti de Mendoza est le seul à  refuser  d'admettre les résultats du Référendum.


2006 – 2010 


Le 3 décembre 2006, Chavez  remporte  l'élection présidentielle avec près de 63 % des voix, contre Manuel Rosales, le chef de l'opposition.


Le 4 septembre 2006, Hugo Chavez  annonce l'organisation pour 2010 d'un référendum constitutionnel afin notamment  d'abolir toute limite au nombre de mandats pouvant être effectués par le président.


Le 18 janvier 2007, le parlement vénézuélien – dont tous les membres appartiennent au  MVR et à des partis  de gauche  favorables au gouvernement, accorde à Chavez les « pleins pouvoirs » pour une durée de dix-huit mois, en votant une loi l'autorisant à légiférer par décret dans certaines parties du pays. 


En août  2007 , lors d’un meeting de lancement,  Hugo Chavez  annonce  la formation du Parti socialiste unifié du Venezuela lors d'un meeting, ce  nouveau parti  qui revendique 2,5 millions d’adhérents  aura  pour vocation de regrouper  les formations politiques soutenant la  « révolution bolivarienne » entreprise par le gouvernement

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Comme il  l’avait déjà annoncé le  4 septembre 2006, Hugo Chavez  annonce à nouveau  l'organisation pour 2010 d'un référendum constitutionnel, en vue   notamment  d'abolir toute limite au nombre de mandats pouvant être effectués par le président,    de permettre des mesures d'exception à la liberté de la presse en temps de crise.


 Le 24 octobre 2007, le socialisme est inscrit dans la constitution du Venezuela,  de nombreux opposants protestent qu’il s'agit d'une remise en cause du pluralisme politique, le socialisme étant « érigé en doctrine d'État ».


 Par ailleurs en ce qui concerne la suspension de la liberté de la presse lorsque l’état d’urgence est proclamé, ainsi que les normes de justice, les partisans d’Hugo Chavez  soutiennent que ces dispositions  sont semblables et  existent dans d’autres démocraties, mais pour l’opposition c’est une nouvelle  atteinte aux libertés publiques.


En novembre, un ancien  partisan  d’Hugo  Chavez, Raül Isaïas Baduel,  ancien           Général et Ministre de la Défense, (qui avait fondé avec lui le MBR-200 et avait aidé son  rétablissement  au pouvoir  lors du coup d’état avorté de Pedro Carmona en  2002)  a qualifié la réforme de « coup d'État » se proclamant dans le même discours « chef de l'opposition ».


Il avait déjà  déclaré  en juillet 2007 à propos de la réforme constitutionnelle  « l'orthodoxie marxiste, qui considère la démocratie  comme un simple instrument de la domination bourgeoise ».


Finalement, le 2 décembre 2007, l'électorat vénézuélien rejette par référendum la réforme constitutionnelle proposée par Hugo Chavez,  avec 50,7 % des suffrages exprimés, au terme d'une consultation marquée par une abstention de 49,7 % des inscrits.


C’est la première défaite de Chavez lors d’une consultation du peuple,  depuis qu’il est au Pouvoir.


 Après sa  défaite  sur la réforme constitutionnelle,  Hugo Chavez  annonce qu’il se retirera à l’issue de son mandat en cours, soit en 2013;


Certains médias occidentaux, notamment  l'hebdomadaire libéral britannique The Economist accusent le Président  du Venezuela  de prendre des mesures violant la constitution de 1999. .En effet,  plusieurs de ces mesures  ont été introduites par décret présidentiel, le jour où ses pleins pouvoirs prenaient fin.


Le 9 mars 2008 est fondé officiellement  le « « Parti socialiste unifié du Venezuela »  (PSUV), qui revendique près de deux millions et demi d'adhérents, - rappelons qu’Hugo Chavez avait annoncé   ce nouveau  parti à l’époque en formation   dans un meeting  de lancement en Août 2007) ,  ce nouveau parti  regroupe le  Mouvement Cinquième République, et  plusieurs petites formations soutenant le gouvernement, mais il n’a pu en regrouper d’autres qui s’y sont refusées notamment  le Parti communiste du Venezuela, qui ont refusé d'abandonner leur indépendance pour se dissoudre dans le nouveau parti.


Lors des élections régionales du Dimanche 23 Novembre 2008,  quatre régions les plus peuplées et les plus riches du pays passent à l'opposition, de même que la capitale.


Ce qui fait écrire dans les médias de l’opposition : « Le parti Chaviste a gagné dans des zones rurales peu peuplées,  tandis que l'opposition a gagné  là où cela était important ».


Après un premier rejet par référendum en 2007, notamment  de la suppression de la limite des mandats dans la Constitution, Chavez « récidive »   et  défend son idée d’organiser  un référendum pour février 2009.


L’opposition l’a  dénoncé alors   à nouveau de vouloir organiser une « présidence à vie »


2011-2012 : 


.Affaibli physiquement  par un cancer détecté en 2011,   deux opérations en 2011 et 2012, et   les traitements médicaux qu’il a subi, Hugo Chavez a combattu cette grave maladie, tout en maintenant son cap politique et sa popularité.


 Il  s’est  déclaré  guéri en 2012 , avant de se  lancer  en campagne pour sa réélection à la Présidence du Venezuela  ,qui vient d’intervenir  Dimanche  7 Octobre 2012 .


Dimanche  7 Octobre 2912 Hugo Chavez obtient  54,42 % des voix  face à son  principal opposant Henrique Capriles qui a obtenu   44,97 %, sur  90 % des suffrages.


Après l’annonce de ces résultats par la présidente du Conseil National électoral ‘CNE), le  peuple et es partisans du président CHAVEZ,    ont immédiatement  envahi les rues de la capitale Caracas, pour manifester leurs joies en allumant des feux d’artifices et  faisant exploser pétards et feux d'artifice, en dansant, chantant,  et acclamant le  nom de leur  Président réélu « Chavez »


L’adversaire de Hugo Chavez,  Henrique Capriles, a félicité dimanche soir le président Hugo Chavez en reconnaissant sa défaite.


Hugo Chavez est   le  leader  de la gauche radicale latino-américaine et «anti-impérialiste».


Dans son pays il  a toujours  bénéficié contre son opposition,  depuis son  entrée en politique et son accession au Pouvoir  d'un fort soutien populaire parmi les  Vénézuéliens en raison notamment  des nombreux programmes sociaux qu'il a mis en place en leur faveur.

C’est aussi un orateur redoutable, nous en reparlerons  prochainement  dans un chapitre consacré à sa personnalité.


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Pour  plus d’informations sur la  personnalité et la carrière politique mouvementée  d’ Hugo  Chavez , son ascension politiques, sa politique intérieure, notamment économique et sociale, ses succès et ses échecs  face à son opposition ,   sa politique et ses relations  internationales ,    voir  sur Internet  le site WIKIPEDIA :

Hugo Chávez - Wikipédia

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Selon des résultats encore incomplets, il aurait bénéficié de 54,42% des voix face à Henrique Capriles.
Boursorama‎ - il y a 6 minutes

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·  Hugo Chavez réélu président du Venezuela jusqu'en 2019 - Le Figaro

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08 octobre 2012

Chavez réélu Président du Venezuela - 7 0ctobre 2O12 -

Éditorial de lucienne magalie pons

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07 octobre 2012

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Déclaration du Président de la République à l'issue de son entretien avec les représentants de la communauté juive de France - 7 Octobre 2012 -

Éditorial de lucienne magalie pons


Après le démantèlement d'une cellule présumée  islamiste radicale,  soupçonnée de préparer des actions violentes en France ;  le Président de la République a reçu à leur demande,  ce dimanche 7 Octobre ,  des représentants de la communauté juive, inquiète pour sa sécurité après l'interpellation d'une dizaine de personnes soupçonnées d'appartenir à la mouvance djihadiste en Région parisienne, sur la Côte d'Azur et dans l'Est.

Le chef de l’Etat a reçu à l’Elysée les représentants de la communauté juive, parmi lesquels les présidents du Consistoire central israélite de France et du Crif, Joël Mergui et Richard Prasquier.

 Il s’est aussi  entretenu par téléphone avec le président du conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui.

L'opération de police menée ce week-end était liée à l'enquête sur le jet d'une grenade dans une épicerie casher de Sarcelles (Val-d'Oise) qui avait fait un blessé léger le 19 septembre.

Au cours de  cette opération de police,  un  suspect a été tué lors d'un échange de tirs avec la police à Strasbourg.  L’auteur de cette attaque qui a ouvert le feu sur la police est selon les médias, Jérémie Louis-Sidney un Français converti progressivement  à l’Islam radical, il a été tué l'arme au poing lors de son interpellation samedi à Strasbourg..

L'auteur de cette attaque, Jérémie Louis-Sidney a été tué l'arme au poing lors de son interpellation samedi à Strasbourg. Onze autres personnes étaient entendues dimanche par les enquêteurs antiterroristes qui s'attachent à déterminer les projets de cette "cellule" constituée de personnes connues de la police pour des faits de droit commun et s'étant radicalisées.

Une synagogue d'Argenteuil,  a été la cible samedi soir de tirs de balles à blanc, a rapporté  un  rabbin de  ce lieu de culte,  Menahem Laloum, qui se trouvait sur place avec son épouse et quelques fidèles. L'incident très grave en lui-même  n'a fait  heureusement aucun blessé.

Joël Mergui,  Président du Consistoire Israélite de France, a déclaré après la rencontre de ce jour à l’Elysée, a déclaré notamment  que Monsieur Hollande  a assuré aux représentant de la  communauté juive de France que "des mesures de sécurité supplémentaires" allaient être prises. 

Dans une déclaration  à la presse  à l’issue de sa rencontre avec les représentants de la communauté juive de France, le Chef de l’Etat   a souligné notamment  la "mobilisation la plus totale de l'Etat pour lutter contre toutes les menaces terroristes".

ooOoo 

Voir ci-dessous  la vidéo provenant du Site Officiel – Présidence de la République :

 

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en texte - Source site officiel - Présidence de la République-

Déclaration à la presse de M. le Président de la République à l'issue de l'entretien avec les représentants de la communauté juive de France -


J'ai reçu ce matin les représentants des juifs de France. J'ai exprimé, au-delà d'eux-mêmes et de cette rencontre, la mobilisation la plus totale de l'Etat pour lutter contre toutes les menaces terroristes.
Je veux, d'ailleurs, saluer le travail des services de police qui a permis d'anéantir, de mettre hors d'état de nuire, une cellule islamiste dont tout laisse à penser qu'elle avait déjà frappé et qu'elle pouvait aussi le faire dans les prochaines semaines.

J'ai également rappelé qu'un projet de loi contre le terrorisme avait été délibéré en Conseil des ministres, mercredi dernier, et qu'il serait soumis au Parlement dans les plus brefs délais. Il permettra de renforcer, encore, les instruments qui nous permettent d'être plus efficaces dans la lutte contre ce fléau.
Ensuite, j'ai réaffirmé l'intransigeance qui sera celle des pouvoirs publics pour lutter contre le racisme et l'antisémitisme. Rien ne doit être toléré, rien ne doit passer. Tout acte, tout propos sera poursuivi avec la plus grande fermeté.

Les lieux de culte seront, encore, davantage surveillés et protégés puisque la laïcité dans notre pays est un principe fondamental qui conduit l'Etat à protéger tous les cultes, car c'est la liberté de conscience.

Le ministre de l'Intérieur renforcera, ces prochains jours, ces prochaines heures, les protections dont les lieux de culte ont besoin pour ne pas être soumis, comme cela a été le cas encore hier soir, à des agressions.
Troisième principe que j'ai réaffirmé : C'est le refus de tout amalgame. Les musulmans de France ne doivent pas pâtir de l'islamisme radical. Ils en sont aussi les victimes, et je ne tolérerai pas que dans notre République, des hommes ou des femmes, parce qu'ils ont des convictions religieuses, puissent être stigmatisés par des propos qui seraient déplacés.

Enfin, si nous voulons être vigilants, si nous voulons être efficaces dans la lutte contre toutes les dérives, celles qui commencent dans la délinquance, dans le trafic de drogue et qui se terminent dans le passage à l'acte terroriste, nous devons nous rassembler autour de valeurs, de principes, de dignité, d'égalité, de respect de la femme. Nous devons être capables d'être fiers de ce que nous sommes, quelles que soient nos origines, quelles que soient nos convictions.

C'est par l'Ecole de la République, par un travail acharné pour lutter contre toutes les misères, les pauvretés, les exclusions que nous pourrons rassembler les Français autour d'un projet qui nous dépasse, qui est celui de faire que la France puisse tenir son rang dans le monde et être capable d'être fière, comme nous le sommes, de nos valeurs.

Ces rappels n'empêchent pas la lutte quotidienne contre le terrorisme, contre l'insécurité et contre la délinquance. Mais il est clair que notre pays a besoin d'unité et non de division.
La mission qui est la mienne, c'est d'être ferme et capable de porter les valeurs de la République.
Merci
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