Éditorial de lucienne magalie pons
Publiée le 1 avril 2012 par BFMTV
BFTMV a accompagné le retrait du premier contingent de soldats français d'Afghanistan. Notre journaliste témoigne des mesures de sécurité qui régissent la vie de l'armée française sur place et revient sur les missions de nos soldats.
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02 avril 2012
Présidentielle 2012 : Il y aura bien un débat réunissant les candidats 2012, le 16 Avril sur France 2-
Éditorial de lucienne magalie pons
Débat Présidentiel 2012 à 10 candidats ? , ou à 10 -2 ?, ou encore à 10 + x ?, ou 10 –x ?
On ne le sait pas encore, mais il aura bien lieu le 16 Avril 2012 à J-7 du premier tour.
En effet, France 2 a annoncé que Mots croisés réunirait le 16 avril les 10 candidats… ou leur soutien.
Nicolas Dupont Aignan, candidat à la présidentielle 2012, Président de « Debout la République »qui le premier a appelé à la tenue d’un débat regroupant les dix candidats à l’élection présidentielle, peut être satisfait et se tenir droit sur ses bottes.
°Deux absents probablement, sauf revirements imprévus :
Nicolas Sarkozy n’y sera pas( sauf revirement), il s’est déjà « défilé » en se prononçant défavorablement. Pour le candidat sortant "Le débat, …. il a lieu pour les deux candidats que les Français auront choisi pour le 2e tour", a déclaré le chef de l'Etat vendredi sur BFM-TV.
François Hollande dans l'équipe de François Hollande, qui vraisemblablement ne s’y rendra pas, on explique qu' "un débat à dix, c'est compliqué à organiser". "Si cela donne lieu à une foire d'empoigne incompréhensible, ça ne rendra pas service aux Français", a indiqué lundi un proche de François Hollande.
Les autres candidats se sont déclarés favorables à un tel débat, notamment Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou, Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen, sous une certaine condition : voir (*)
Son directeur de communication de campagne Bruno Bilde a expliqué : "Nous sommes favorables à des débats avant le premier tour. ... Le système fait une campagne de second tour avant le premier, contrairement aux souhaits des Français", a-t-il fait remarquer.
(*) Toutefois, une autre source au FN, sous couvert d'anonymat, a expliqué que "Marine (Le Pen) ira si les deux autres grands candidats", François Hollande et Nicolas Sarkozy, "y vont aussi".
Mon commentaire : Comme on le voit Marine Le Pen n’entend se déplacer, en débat présidentiel collectif , qu’ à condition que les deux candidats les mieux positionnés dans les sondages soient présents, une façon de marquer le niveau de " sa " place qu’elle entend défendre au sommet de la pyramide politique.
Nicolas Sarkozy en Meeting ce soir à 17 heures au Zénith à Nancy
Éditorial de lucienne magalie pons
Monsieur Sarkozy en Meeting aujourd’hui à 17 h. au Zénith de Nancy.
En préalable il a été interviewé par différents médias.
Vosges.matin.fr reprend sur son site internet à la suite de son article intitulé « Je me bas pour une France Forte » l’interview que Nicolas Sarkozy a accordée à l’Est Républicain qui après une très longue liste de questions d’actualité et de fond se termine par une question de l’Est Républicain et la réponse surprenante de Nicolas Sarkozy :
Est Républicain : Si vous êtes réélu, quel sera votre style ?
Nicolas Sarkozy : J’ai 57 ans. C’est difficile de changer. Vous savez, je suis plutôt très classique. Je crois dans mes convictions. J’ai appris du quinquennat la part de solennité et de symbole dans la fonction, très différente de celle d’un ministre.
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En mars 2008 |
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En Mars 2012 |
ndlr : on aura tout vu, tout lu? tout entendu sur son style et sa personnalité durant cette campagne électorale Présidentielle. Nicolas Sarkozy avait promis récemment qu’il serait un « président différend », il dit maintenant « J’ai 57 ans. C’est difficile de changer » Il serait plus vrai qu’il dise " Je serais le Président qui ne pas changera pas " .... sauf en photo !
Fin de notre Éditorial
passons à la Revue de presse :
Source : site VOSGES
.matin.fr
Avant de publier cette semaine son programme dans sa totalité, avec chiffrage à la clé, et à l’occasion de sa venue en Lorraine aujourd’hui, journée qui s’achèvera par un meeting à 17 h au Zénith de Nancy, Nicolas Sarkozy, qui était vendredi dernier à Besançon, a accordé en exclusivité une interview à L’Est Républicain, au Républicain Lorrain et à Vosges Matin.
Lors de l’entretien réalisé au palais de l’Elysée, il indique que le chiffrage de son projet restera fixé à 115 milliards d’euros, dont 75 milliards consacrés à la réduction de la dépense publique et 40 sur les recettes.
De l’affaire Merah, la lutte contre le terrorisme, à l’avenir de la sidérurgie et du site de Florange où 17 millions d’euros d’investissements sont engagés, en passant par la réduction du déficit, la réindustrialisasions de la France, la crise financière, le président-candidat a accepté de procéder à un vaste tour d’horizon de l’actualité où le régalien tient une large part. Ce qui n’interdit pas, déclare Nicolas Sarkozy de parler de la crise, du pouvoir d’achat et d’emploi.
Le moral dopé par cinq instituts de sondage qui le place en tête au premier tour, le président-candidat est engagé dans une bataille dont il se garde bien cependant d’affirmer que l’issue lui sera favorable.
Tout en revenant sur son bilan, il concentre ses critiques sur son rival socialiste, François Hollande dont le principal défaut, selon lui, serait sa « difficulté à prendre des décisions ».
L’intégralité de l’interview sur www.estrepublicain.fr
Existe-t-il un lien entre l’affaire Merah et le coup de filet dans les milieux islamistes radicaux ?
Ce lien n’est pas direct. Mais bien sûr, après les événements de Toulouse, j’ai demandé que se mettent en place de nouvelles actions de sécurisation de nos quartiers. Des armes lourdes ont été trouvées, nombre de personnes qui ont été interpellées vendredi matin auront des comptes à rendre à la justice. Notre travail est de renforcer la sécurité des Français pour éviter de nouveaux drames. Nous sommes décidés à ne rien laisser au hasard. Nous serons d’une fermeté totale et d’une vigilance de chaque instant. Il y aura d’autres opérations.
On a découvert qu’en France, il semblait facile de se procurer des armes…
Malheureusement, le trafic d’armes est une préoccupation pour toutes les démocraties. Je veux juste rappeler que je suis en charge de la sécurité des Français, directement ou indirectement, depuis près de 10 ans. Chaque fois que j’ai décidé des moyens supplémentaires pour les forces de l’ordre – pour renforcer la politique scientifique, l’arsenal législatif…- jamais François Hollande n’a soutenu, ni voté mes propositions. Jamais ! C’est d’autant plus curieux qu’il vient maintenant dire qu’il ne faut pas renforcer la lutte contre le terrorisme sur Internet car il estime que l’arsenal législatif est suffisant. Que n’a-t-il voté les lois qu’il estime à présent efficaces ? Il n’a pas davantage voté la loi interdisant le port de la burqa sur le territoire de la République.
La droite a-t-elle le monopole de la sécurité ?
Il faut s’en tenir aux faits. Aucun texte que j’ai présenté n’a été voté par la gauche. Les peines plancher contre les récidivistes ? La gauche a refusé de les voter. Les centres éducatifs fermés ? De même, et François Hollande propose à présent de les doubler ! Les fichiers pour retrouver les délinquants sexuels ? Les socialistes ont voté contre. Les lois sur le terrorisme ? Contre encore. Aujourd’hui, ils sont de la même manière contre le fait de pénaliser la consultation des sites terroristes. C’est de l’incohérence.
Sur le fond de l’affaire Merah, François Bayrou a parlé de « crise morale », François Hollande de « laïcité affaiblie ». Quelle est votre lecture ?
Dire que le climat en France est responsable de la tragédie de Toulouse, c’est absurde et indigne. Mohamed Merah est un monstre. Un monstre dépourvu de la moindre humanité. Comment oser expliquer par le ton de la campagne qu’on tue trois enfants juifs et trois militaires ? J’ajoute que j’ai demandé à ce que les médias ne diffusent pas les vidéos de ses crimes. Et je trouve que les médias donnent trop la parole à son père, incarnation de l’indignité et de l’indécence.
De nouveau, les thèmes régaliens occupent l’agenda de la campagne. Mais les Français veulent que l’on parle d’emploi, de pouvoir d’achat…
Excusez-moi ! Pendant une semaine, les médias n’ont parlé que de l’affaire de Toulouse et on me reproche d’avoir instrumentalisé ces événements ? Pour François Hollande, on aurait ainsi le droit d’évoquer des thèmes, et pas d’autres… Prenez l’immigration. Quand je dis que nous allons diviser par deux le nombre de nouveaux migrants en France parce que nous avons des problèmes d’intégration, et l’équilibre de nos comptes sociaux sur lequel nous devons veiller, est-ce un débat qui n’intéresse pas les Français ? Et quand je pose la question des frontières de l’Europe ? Ou la question de la sécurité des Français après les événements de Toulouse et Montauban, vous pensez que ça ne les intéresse pas ?
La crise passe donc au second plan ?
Mais rien n’empêche de parler aussi de la crise économique. Le déficit public est passé de 7,1 % à 5,2 % de la richesse nationale. C’est la plus forte baisse depuis que la France est en déficit, c’est-à-dire depuis 1974. François Hollande avait dit au début 2011 que je ne tiendrais pas mes promesses, que je ne serais pas au rendez-vous. Il a raison, nous ne sommes pas au rendez-vous : nous faisons mieux. Nous avions prévu 5,7 % de déficit public en 2011 et nous sommes parvenus à l’abaisser à 5,2 %. Il faut parler de pouvoir d’achat et de sécurité, d’immigration et d’emploi.
A Florange, la colère monte…
Ne mélangeons pas les ouvriers, inquiets et pour qui j’ai obtenu 17 millions d’euros d’investissement, et les permanents de la CGT ou de la CFDT : deux millions d’euros de travaux sur la phase liquide réalisés immédiatement -ces travaux ont démarré-, 7 pour la cokerie, 8 millions pour l’usine de fabrication de produits pour l’automobile. C’est de l’investissement pour Florange ! Et il est décidé. Si ces travaux n’avaient pas été engagés, c’était la certitude que les hauts fourneaux ne reprenaient pas. Quant aux permanents de la CFDT, ils trahissent la confiance des salariés. Ils sont venus m’insulter et essayer de casser mon siège de campagne. Ne confondons donc pas les salariés d’ArcelorMittal, que je ne laisserai pas tomber, et des syndicalistes qui trompent leurs adhérents en faisant de la politique au lieu de défendre l’intérêt des salariés.
Malgré tout, face à un groupe privé, la marge de manœuvre de l’Etat n’était-elle pas très limitée ?
J’insiste : à Florange, il ne s’agit pas d’annonces mais bien de décisions. Ces 17 millions, si nous les avons obtenus, c’est que j’ai su convaincre le groupe ArcelorMittal que Florange ne devait pas mourir.
Peugeot produit davantage en France que Renault. Est-ce normal ?
A l’époque de Louis Schweitzer, qui a le cœur à gauche, Renault a délocalisé beaucoup de ses emplois. Nous avons inversé ce processus, en obtenant de Renault que la totalité des véhicules électriques soit désormais fabriquée en France.
Les promesses non tenues de Gandrange n’ont-elles pas avivé les déceptions ?
A Gandrange, tout a été respecté. Il n’y a pas eu de licenciements. Toutes les personnes ont été reclassées, ont reçu une proposition. Une école de formation a été créée. Souvenez-vous de la sidérurgie à la fin des années 90, des engagements non tenus. Là, ils ont été tenus. Comme pour Lejaby, Alstom, Photowatt et Pétroplus.
Comment ré-industrialiser la France ?
La ré-industrialisation est pour moi une priorité. Dans l’Est de la France, il faut combattre les délocalisations. J’ai pris une décision lourde : elle consiste à retirer jusqu’à 5,4 points de cotisations familiales sur chaque emploi, ce qui fait 1.800 euros en moins de charges par an, en échange d’une augmentation de la TVA de 1,6 point. Car si le coût du travail n’est pas allégé, les emplois seront encore détruits. J’ai aussi supprimé la taxe professionnelle et créé le crédit impôt recherche. Sans oublier les 35 milliards d’euros d’emprunts pour les investissements d’avenir.
Dans cette campagne, il est beaucoup question du modèle allemand…
…à juste titre, parce que c’est un modèle qui marche.
…mais sans rappeler qu’il y a dix ans, Gerhard Schroeder a fait beaucoup plus que nous en terme de flexibilité sur le marché du travail !
Oui, les socialistes allemands ont compris ce que les socialistes français refusent d’admettre… Voilà pourquoi nous ferons les accords compétitivité-emploi. Ils rendront la liberté aux salariés et aux chefs d’entreprise pour parler aménagement du temps de travail, salaires, et emploi… La loi ne peut pas tout régler, tout prévoir, tout interdire, ni tout normer. Il faut faire confiance aux entreprises.
Les Français y sont-ils prêts ?
Que voulons-nous : que la France ressemble à la Grèce ou à l’Allemagne ? La Grèce a refusé les réformes ; les plus pauvres et les plus fragiles en font les frais. L’Allemagne a fait des efforts sur le travail, l’innovation et l’investissement. Grâce aux efforts des Français, nous avons réduit le déficit public de 25 % en un an. La France est le seul grand pays occidental à n’avoir connu aucun trimestre de récession depuis le début de 2009, le seul pays d’Europe à avoir augmenté son pouvoir d’achat chaque année de 1,4 % en moyenne malgré la crise. Parce que les Français ont fait des efforts, parce que le gouvernement a mis en œuvre des réformes que les socialistes ont refusées. On a tourné la page de la crise financière. Nous avons résolu le problème de la Grèce.
En France, notre modèle social a amorti le choc de la crise…
Non, ce qui a amorti le choc, c’est la réforme des retraites de 2010 – elle rapporte 5 milliards dès cette année, 16 milliards en 2016 – et le choix fait de travailler plus longtemps plutôt que d’augmenter les impôts. Cela dit, je ne crois pas qu’il faille imiter l’Allemagne en tout. Nous sommes la France et la France a des atouts. Grâce à l’industrie nucléaire par exemple, nous payons l’électricité 35 % moins cher que nos voisins européens. Pourquoi François Hollande veut-il priver la France de l’énergie nucléaire ? Pour faire plaisir à Madame Joly ? Ce n’est pas raisonnable.
Les tarifs de l’électricité ne vont donc pas augmenter ?
Avec le nucléaire, non ! Avec le fossile, oui puisque nous n’avons ni pétrole, ni gaz et que les prix mondiaux augmentent.
Au fil de la campagne, vous multiplier les annonces sans jamais les chiffrer. A quand une évaluation globale de votre programme ?
Au nom de la France, j’ai pris des engagements vis-à-vis de l’Europe : 0 % de déficit en 2016. Pour y arriver, j’ai prévu 115 milliards d’euros d’efforts, 75 milliards sur les dépenses, 40 milliards sur les recettes. Et sur celles-ci, j’en ai déjà fait voter 32 milliards. Pour les 8 restants, je propose notamment l’impôt forfaitaire sur les grandes sociétés et la taxe pour les exilés fiscaux.
Et sur les dépenses ? Comme les autres candidats, vous êtes plutôt discret…
A la différence de François Hollande, je ne vais pas faire de dépenses supplémentaires sur les retraites. Lui veut remettre en cause la réforme et augmenter les cotisations payées par les salariés. Pas moi ! Je continuerai la réforme de l’Etat et la réduction des dépenses. Il n’y a pas d’autre solution pour la France. Ce que j’ai fait pendant mon premier quinquennat sera cohérent avec ce que je ferai pour le second. Nous sommes le premier Gouvernement à avoir réduit les dépenses de l’Etat. Nous avons réduit le nombre de fonctionnaires de 160.000. Il faut désormais que les collectivités territoriales s’y mettent. Les régions ont augmenté leurs effectifs de 175 % en dix ans sans avoir acquis de compétences nouvelles. Les intercommunalités ont accru leur personnel de 174 %. Martine Aubry a 32 vice-présidents à la Communauté urbaine de Lille, Laurent Fabius 45 vice-présidents pour sa communauté d’agglomération. Est-ce raisonnable ?
Vous annoncez votre programme complet cette semaine. En resterez-vous donc au chiffrage déjà annoncé de 115 milliards ?
Oui. Depuis le début de la campagne, je ne cesse d’apporter des idées. François Hollande en a proposé une seule : une taxation à 75 % dont il a dit dès le lendemain qu’elle ne rapporterait pas un centime. Puis Laurent Fabius a précisé le surlendemain qu’elle ne s’appliquerait pas puisqu’ils feraient un bouclier fiscal.
Toutes ces annonces ne doivent-elles pas être mises en cohérence ?
Cette mise en cohérence, je la ferai, mais n’est-elle pas évidente ? Je me bats pour une France forte. Si la France est forte, les Français seront protégés. Si la France est faible, ils seront exposés. Je me bats pour la compétitivité des entreprises et pour l’innovation. Je me bats pour la revalorisation du travail.
Des sondages positifs, c’est bon pour le moral ?
Je ne commente pas les sondages. La seule chose qui m’intéresse, c’est le vote des Français.
Quel est le principal défaut de votre rival socialiste ?
Sa difficulté à prendre des décisions.
Et le vôtre ?
De ne pas me faire à l’idée qu’il y a des souffrances auxquelles on ne peut répondre.
Si vous êtes réélu, quel sera votre style ?
J’ai 57 ans. C’est difficile de changer. Vous savez, je suis plutôt très classique. Je crois dans mes convictions. J’ai appris du quinquennat la part de solennité et de symbole dans la fonction, très différente de celle d’un ministre.
01 avril 2012
Rama Yade s'est déclarée pour le 1er tour " Alliée mais pas Ralliée " à Nicolas Sarkozy depuis Samedi
Éditorial de lucienne magalie pons
Alliée mais pas Ralliée .... nuance !
Si l’on s’en tient à ce que rapportent les médias, Rama Yade L'ancienne secrétaire d'État devrait apporter son soutien à Nicolas Sarkozy.
Alliée mais pas Ralliée .... nuance !
Si l’on s’en tient à ce que rapportent les médias, Rama Yade L'ancienne secrétaire d'État devrait apporter son soutien à Nicolas Sarkozy.
Comme nous n’avons sur cette personne d’autres informations que celles diffusées par la presse et les écrans, nous devons penser qu’elle est un moulin à vent doublé d’une girouette qui tournerait au gré de ses caprices politiques.
On nous avait dit, il y a deux mois, que Rama Yade désarçonnée ou déçue par la renonciation de Jean Louis Borloo, posait ses conditions en « terme d’éducation » et réfléchissait (sérieusement ?), avant de se décider à soutenir un candidat pour le quinquennat à venir.
Il y a un mois, elle saluait les «propositions justes» de Nicolas Sarkozy sur l'éducation.
Il y a deux semaines Rama Yade assurait qu'elle ne voterait pas la motion de soutien du Parti radical en faveur du président sortant Nicolas Sarkozy et qu'elle ne se rendrait pas au meeting de Villepinte «Je n'ai pas été invitée», assurait-elle.
Vendredi RTL informait que Rama Yade officialiserait son ralliement au candidat de l'UMP samedi.
Nouveau tour de girouette de l’intéressé ou rumeur médiatique de commère de presse ?
L’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy de son côté assurait vendredi que la venue de Rama Yade n'était «pas prévue» lors du meeting avec les jeunes de l'UMP, porte de Versailles, à Paris.
D’après les échos médiatiques, Rama Yade (vice présidente du Parti Radical valoisien depuis quelques mois, rappelons-le toujours inscrite à l’UMP) ne saurait se trouver à Versailles samedi 31 Mars pour le Meeting "Sarkozien" destiné à la Jeunesse, au motif qu’elle s’était inscrite au Programme d'un Forum organisé par Libération qui se déroulait toute la journée à Rennes et à l'occasion duquel elle devait discourir sur les questions d'éducation.
Ces dernières semaines Jean Louis Borloo, Président du Parti Radical Valoisien s’est déterminé officiellement à soutenir son « ami » Nicolas Sarkozy dans une reddition spectaculaire, et depuis il le suit dans tous ses Meetings.
Rama Yade n’a donc pu compter sur lui pour peaufiner une « tribune » qu’elle souhaite publier avant le premier tour de l’élection présidentielle et par laquelle elle poserait à nouveau ses conditions (sine qua none ?), pour soutenir ou non Nicolas Sarkozy, plus encore Rama Yade voulait cosigner ce texte avec Jean-Louis Borloo, auquel elle avait transmis son texte a pour approbation.
On comprend bien que Jean Louis Borloo, qui s’est rendu aux côtés de Nicolas Sarkozy par une reddition presque sans conditions ne peut approuver le texte conditionnel de Rama Yade.
Et en dernier lieu comme nous l’avons dit plus haut RTL informait vendredi que Rama Yade officialiserait son ralliement au candidat de l'UMP samedi, alors que Rama Yade s’est dite « alliée » de Nicolas Sarkozy, mais pas « ralliée » après avoir « longuement réfléchie »
Ooooo
Petit extrait de presse :
"J'ai très longuement réfléchi", explique-t-elle dans une interview à Ouest France. "Mon premier choix était Jean-Louis Borloo mais il n'est plus candidat (...) Etant engagée à droite, et souhaitant la victoire de ma famille politique, je voterai donc pour le candidat de la droite et du centre."
Rama Yade explique aussi ce choix par sa volonté de prendre position contre le candidat socialiste François Hollande.
"Je ne suis pas une ralliée mais une alliée. Je pense que la complémentarité est préférable à la fusion. Je ne me priverai pas de dire quand je ne serai pas d'accord. Je conserverai mon indépendance et ma liberté "Le rôle de caution ne m'intéresse absolument pas.", souligne-t-elle.
Enfin Rama Yade a expliqué ne pas avoir voulu voter la motion de soutien du Parti radical "parce qu'elle était sans condition".
"Depuis, nous avons eu quelques signaux : sur la rénovation urbaine, la fiscalité. Bon, ce n'est pas un virage social, juste un effort de rééquilibrage, dont on nous dit qu'elle se poursuivra. Dont acte. Mais le temps presse", a-t-elle ajoutée.
Fin de « petit extrait de presse »
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Nous voilâmes donc informés : « Alliée mais pas ralliée », c’est ce qu’il faut retenir, « alliée » ça lui laisse encore une marge d’indépendance et de liberté et de « caprices » après le 1er tour, pour la suite des réjouissances …
Ce nouveau tour de girouette, aidera-t-il - entre temps deux tours - Rama Yade à aplanir les difficultés qu’elle rencontre avec les instances locales de l'UMP dans les Hauts-de-Seine ?
Rappelons que le Parti radical l'avait investie dans la circonscription du député sortant Manuel Aeschlimann, mais qu’elle fût radiée des listes électorales de Colombes, où son adresse était celle d'un local servant de permanence électorale, d’où une procédure à l’issue de laquelle elle s’est vue notifier par le tribunal d’instance la semaine dernière son inscription dans le XVIIIe arrondissement à Paris.
Ce qui n’est pas du goût de Rama Yade qui persiste à vouloir se présenter dans les Hauts-de-Seine, son ralliement au bataillon de souteneurs de Nicolas Sarkozy pour l’élection présidentielle 2012 lui ouvrira-t- il une opportunité dans les Hauts de Seine, …
Tout dépend dans quel sens le vent fera tourner les girouettes politiques d’ici au 22 avril 2012, premier tour de l’élection présidentielle, et aussi après le 6 mai 2012 second tour, date fatidique que tout le monde redoute dans les rangs de l’UMP qui le cache intensément en jouant les moulins à vent sur le devant de la scène publique.
Revue de Presse
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Reuters - il y a 29 minutes
PARIS (Reuters) - L'ex-secrétaire d'Etat Rama Yade, aujourd'hui au Parti radical après avoir été une jeune pousse prometteuse de l'UMP, ...
Le Parisien - il y a 14 heures
France 2 - il y a 12 heures
· Rama Yade rejoint timidement Nicolas Sarkozy - Le Point
www.lepoint.fr › Politique › Présidentielle 2012
il y a 18 minutes – L'ex-secrétaire d'État annonce qu'elle votera pour le président-candidat au premier tour de la présidentielle. Mais elle dément tout "ralliement".
François Hollande à Mayotte et à la Réunion le 31 mars 2012
Éditorial de lucienne magalie pons

Hollande à la Réunion veut mobiliser dès le... par BFMTV
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La chaleur était étouffante à Mayotte et François Hollande portait une belle chemise blanche et des colliers qui lui avaient été offert par les Mahorais à son arrivée.
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François Hollande après une escale de huit heures à Mayotte ou il a tenue un Meeting à Mamoudzou s’est ensuite rendu sur l’Ile de la Réunion dans l’après midi. Pour le moment nous publions ci-dessous en vidéo un extrait de son intervention à la Réunion, et nous reviendrons plus tard dans la journée du 2 avril sur notre site , pour dresser un compte rendu avec vidéos de ses réunions et meetings à La Réunion
Au-dessous de la Vidéo, nous nous sommes consacrés à relater sa visite à Mayotte qui a été très appréciée par la population de cette île, 101me département de la France et 5me département d’Outre mer avec la Réunion, la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane.
Hollande à la Réunion veut mobiliser dès le... par BFMTV
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Visite à l’ile de Mayotte :
Monsieur François Hollande effectue depuis hier une visite de près de huit heures sur cet archipel de l'océan Indien, le plus récent des départements français.
Cette visite intervient un an jour pour jour après que Mayotte soit devenue le 101me département de France, et le 5e d'Outre-mer avec La Réunion, la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane.
La départementalisation de Mayotte avait eu lieu le 31 mars 2011, au terme d'un processus dont François Hollande a rappelé qu'il avait été engagé par le gouvernement Jospin.
François Hollande était d’attaque dès son arrivée hier à Mayotte où dès son arrivée il a été accueilli par la population qui s’empressait autour de lui, l’applaudissait et lui a marqué sa sympathie en lui offrant de très beaux colliers de perles de fabrication artisanale locale.
Le candidat socialiste s’est montré très direct dans son discours d’une vingtaine de minutes, lors d’un meeting à Mamoudzou, à l’encontre du « candidat sortant » ( ndlr : son rival agressif qui ne cesse de l’attaquer et d’ironiser vulgairement contre lui) une manière pour François de montrer qu’il peut lui aussi se montrer offensif et sortir les dents.
François Hollande a qualifié Nicolas Sarkozy et pour ainsi lire lui a « taillé le portrait » en le qualifiant de « grand prometteur avec de petits actes » ……"Il fait de la promesse, il produit de la promesse. Il ne défend pas un bilan, il défend une promesse de plus chaque jour", a déclaré le candidat socialiste, qui a décliné les promesses non tenues par le "candidat sortant" pour l'île notamment en matière d’école, de coût de la vie, d’immigration.
Sur ces thèmes, le candidat socialiste François Hollande a promis (ndlr : s’il est élu) :
- la construction de 600 classes sur l'île durant le quinquennat
- un renforcement de la lutte contre les monopoles
- la création d'un centre de rétention pour les immigrés en situation irrégulière (qui avait été promis par Le Président Sarkozy mais n'a jamais vu le jour)
- de revaloriser le RSA à auteur de 50 % de ce qu'il est en métropole, alors que les Mahorais n'en touchent pour l'heure que 25 %.
François Hollande est revenu aussi sur les paroles « musulmans d’apparence » prononcées lundi dernier par son adversaire « le candidat sortant » :
"Le candidat sortant utilise la peur, la peur de tout. Du changement - la peur du changement je le comprends, il est concerné -, la peur de la gauche, je l'admets, il est de droite. La peur de l'autre, de l'étranger, de celui qui a une apparence".
"Mais moi, je ne vous regarde pas à travers une apparence. Je vous regarde à travers votre appartenance à la République" a-t –il assuré.
Lors de cette visite, François Hollande a aussi souligné qu'il est le seul candidat à la présidentielle à venir à Mayotte, en rappelant que Nicolas Sarkozy, qui doit se rendre à La Réunion cette semaine, ne passera pas sur l'île de Mayotte de 370 km2, qui compte près de 200 000 habitants.
"Le candidat sortant se contente pour Mayotte d'une interview. Moi, je préfère faire un déplacement", a-t-il ironisé, en allusion à l'entretien de Nicolas Sarkozy ( ndlr : entretien diffusé vendredi dans le journal Mayotte Hebdo.)
Lors de cette visite, M. Hollande a également répondu aux propos ironiques de Nicolas Sarkozy, qui avait prétendu la veille que son adversaire "n'avait pas l'intention d'être chef".
Son discours s’est terminé par une "Marseillaise", chantée par plus de 2 000 personnes présentes
Johanna Quaas, 86 ans, s'est distinguée lors d'une compétition sportive à Cottbus
Éditorial de lucienne magalie pons
Ce n'est pas un poisson d'Avril !
Ce n'est pas un poisson d'Avril !
Agée de 86 ans, Johanna Quaas a fait preuve de son agilité et de sa souplesse lors d'une compétition à Cottbus.
Magnifique ! Impressionnant !
Les vidéos ont été réalisées lors d’une récente compétition qui se tenait à Cottbus, le « Tournoi des Maîtres » et le public a particulièrement apprécié et applaudi ses démonstrations.
Johanna Quaas, est une gymnaste allemande, sa prestation démontre qu’il est possible de réaliser des performances sportives et de se maintenir en forme à un âge avancé en s’entraînant avec régularité.
La plupart des médias qui relatent ses exhibitions sportives se croient originaux en la présentant comme une « mamie », une « mémé » en la renvoyant implicitement à sa condition féminine et à son âge. C’est tout bonnement idiot.
Johanna devenue veuve il y a peu avait dédié sa démonstration au sol sur un air de Brahms à son défunt mari, encore une fois cette femme est admirable.
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