* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
On se demande vraiment ce qui se passe réellement en Norvège, alors que des scènes de désolation se sont déroulées à Oslo, à la suite d'une très forte explosion meurtrière , attentat à la bombe, qui a fait des morts et des blessés, nous venons d'être informés que quatre personnes viennent d'être tuées dans un meeting ou était attendu le Premier Ministre Norvégien :
Source : Flash-Info du Parisien .fr
"Urgent.
"Norvège: fusillade dans un meeting où le 1er ministre était attendu
Publié le 22.07.2011, 18h35 | Mise à jour : 18h51
Un homme déguisé en policier a ouvert le feu vendredi dans un meeting de la jeunesse travailliste à Utoeya, une île en grande banlieue d'Oslo, rapporte la télévision publique NRK.
Selon SkyNews, quatre personnes auraient été tuées. D'autres médias font état de cinq blessés.
La police a confirmé un incident sur l'île, où le Premier ministre Jens Stoltenberg devait initialement se rendre vendredi, sans fournir plus de détails.
Une puissante explosion s'est produite ce vendredi 22 juillet, devant l'immeuble d'un grand journal norvégien, près du siège du gouvernement, à Oslo, a indiqué la police norvégienne, l'attentat n'a pas été revendiqué, la police fait état de "morts et de blessés".
La radio NRK parle de deux morts.
Au fur et à mesure que les informations parviennent, ce qui au début était annoncé comme l’explosion d’une bombe ayant fait des blessés, se précise en fait parcomme explosion très forte et très grave, d’origine pour le moment indéterminée , qui s'est produite, ce vendredi 22 juillet, devant l'immeuble d'un grand journal norvégien, près du siège du gouvernement à Oslo en Norvège.
Les fenêtres du bâtiment de VG ,- grand tabloïd norvégien-, et du siège du gouvernement ont éclaté, l’explosion a endommagéaussi les fenêtres et les façades de l'immeuble de 17 étages qui abrite les bureaux du Premier ministre Jens Stoltenberg, faisant plusieurs blessés, ainsi que les façades de plusieurs ministères situés à proximité, dont le siège du ministère du Pétrole, qui a pris feu.
Le premier ministre n'était pas présent au moment de l'explosion.
L’épave d'une voiture entièrement calcinée se trouvait devant un bâtiment.
La police et les pompiers n'ont fait aucun commentaire dans l'immédiat.
Des personnes gisent en sang dans la rue", des scènes de paniques aussi se sont déroulées dans les rues , des passants effrayés par l’explosion s’enfuyaient ont rapporté des témoins.
Revue de presse :
Un correspondant de Reuters a compté au moins huit blessés. L'origine de l'explosion est pour l'heure indéterminée.
Le premier Ministre François Fillon a tenu à souligner le "rôle essentiel" du couple franco-allemand, "clé de la stabilité de la zone euro". ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
Éditorial de lucienne magalie pons
Le compromis qualifié avec une certaine complaisance « d’ historique » dont se félicite les Chefs d’états et de gouvernements qui l’ ont conclu hier en sommet extraordinaire de la Zone euro le 21 Juillet à Bruxelles, suscite de nombreuses louanges, Christine Lagarde Directrice du FMI a déjà déclaré que "sur la base d'une mise en oeuvre solide du programme par les autorités grecques, et de la détermination des États membres à soutenir la Grèce, le FMI continuera à jouer son rôle conformément aux pratiques du Fonds et, bien entendu, sous condition de l'approbation de notre conseil d'administration", en ajoutant "nous saluons avec enthousiasme les termes de financement plus favorables offerts par les membres de la zone euro", l’UMP se joint aux louanges en saluant l’accord de Bruxelles comme « un accord exceptionnel », et Jean-François Copé , Secrétaire Général de l’UMP , salue l'accord trouvé "sous l'impulsion décisive du président Sarkozy" en assurant "qu'avec cet accord, l'Europe donne un signal important: la zone euro est forte, solidaire et unie, elle ne se désagrégera pas face aux attaques des spéculateurs".
Il n’en est pas de même pour différentes personnalités de classe politique française, notamment de l’opposition, qui soutiennent le contraire et qui n’ont pas tardé formuler des critiques et réserves plus ou moins accentuées sur les accords conclus au sommet de la zone euro.
Les premières réactions :
- Du coté de l’opposition de droite centriste, de droite « souverainiste, et d’extrême droite :
Pour François Bayrou, président du MoDem, le nouveau plan européen d'aide à la Grèce "ne suffira pas", il prédit "d'autres crises" dans la zone euro. Selon lui, le plan "souffre de deux défauts rédhibitoires" ……"On était dans l'urgence extrême ... On a pris des décisions dans la douleur qui donneront un répit au gouvernement grec et on l'espère à son peuple. Mais ce plan ne suffira pas"." On n'a pas trouvé la réponse et on connaîtra d'autres crises" a-t-il conclu.
Pour Nicolas Dupont -Aignan, Président de Debout La République : Cela va endetter un peu plus les Français, sans aider les Grecs. Dans quelques mois la même crise se reproduira pour le Portugal, l'Espagne, l'Italie ou même la France, pour la simple raison que l'économie de ces pays est asphyxiée par une monnaie unique taillée pour la compétitivité allemande"
Marine Le Pen, Présidente du Front Nationalestime que …."Le nouveau plan d'aide à la Grèce est une bonne nouvelle pour les marchés financiers, mais une très mauvaise nouvelle pour les contribuables français", et défend "une sortie concertée de l'euro". Les 109 milliards d'euros, "(jetés) dans le trou sans fond de la dette grecque", "ne sauveront pas une zone euro déjà en faillite" et "viendront en partie alourdir la dette publique de la France".
- Du côté de l’opposition de gauche, socialiste, radicale de gauche, front de gauche, et communiste :
Pour François Hollande, "C'était un accord nécessaire mais il est aussi tardif qu'insuffisant" et il explique : "tardif parce que si ces mesures avaient été prises il y a 18 mois, il n'y aurait eu jamais de crise de la zone euro". Il semble douter de "La capacité que doit avoir l'Europe d'emprunter pour elle-même pour se substituer à des États défaillants pour leur dette souveraine" etdénonce que "rien n'a été décidé" sur une "taxe sur les banques"
Pour Ségolène Royal : ce 23e sommet "n'apporte que des colmatages provisoires à une crise sans précédent", selon elle, « en effet l'accord final reporte à plus tard les deux questions fondamentales pour l'avenir de l'Europe : la lutte contre la spéculation financière et la relance économique de la zone euro »
Martine Aubryse réjouit qu'un accord ait été finalement trouvé à Bruxelles entre les chefs d'État et de Gouvernement de la zone Euro pour trouver une solution au financement de la dette grecque … « Nous le devions au peuple grec, nous le devions à l'Europe", a-t-elle déclaré, mais elle arappelé qu’elle réclame (ndlr : vainement) avec les socialistes européens, « depuis longtemps une taxe prélevée sur les transactions financières"
Pour Arnaud Montebourg: "Leur nouveau plan de sauvetage négocié avec le secteur bancaire souffre en effet de quatre défauts rédhibitoires: il ne peut enrayer le risque de contagion systémique aux pays fragiles ... , il charge les contribuables européens et épargne le secteur bancaire (...), il propose des contributions d'urgence des États et néglige les financements pérennes par les opérateurs financiers privés ..., enfin il perpétue à tort l'obsession de l'austérité et le retour en force des critères de Maastricht de 1992."
Jean - Luc Mélenchon , candidat du Front de Gauche,n'y est pas allé par quatre chemins, pour luile plan de sauvetage européen"adopté sous la férule de la BCE et des banques privées, cet « énième » plan de sauvetage européen ne réglera aucun problème, ni à long terme ni à court terme". Ilestimeque "le caractère antidémocratique de l'Union Européennes'aggrave", car "ce plan a été préparé sous le contrôle de la Banque centrale en présence de Jean-Claude Trichetavant d'être"adopté en présence de dirigeants des grandes banques invités àsiégerau Conseil Européen parmi les représentants des gouvernements". Autant de preuves, selon lui, que "l'UE s'affiche sans retenue comme une oligarchie politico-financière".
Pour le Sénateur Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG): "Si la solidarité avec la Grèce est une nécessité, les mesures prises s'arrêtent au milieu du gué en restant purement techniques. ... Surtout, le cercle vicieux de la spéculation n'est pas enrayé. Pour le Parti radical de gauche, il faut taxer les transactions financières sur les dettes souveraines à l'échelle du continent européen."
Pour le secrétaire national du PCF Pierre Laurent : "Malgré le fiasco des recettes appliquées jusqu'ici - qui n'ont fait qu'encourager le chantage des marchés financiers - les décisions du sommet européen prises sous la houlette du couple Merkel/Sarkozy persistent dans une logique unique : préserver les intérêts des grands créanciers, banques et assurances, et des spéculateurs". Il s'alarme : "Le risque d'effondrement généralisé du système est bien réel. ... Les intérêts financiers sont sauvegardés à court terme, mais les États et les peuples sont mis à genoux. Rien n'est réglé !"
En conclusion dans les réserves et critiques formulées ci-dessus par les différentes personnalités politiques citées, qu’elles soit de droite ou de gauche , on peut retenir que schématiquement dans leur ensemble ils et elles ont déclaré avec certaines nuances, que l’accord de Bruxelles est tardif, insuffisant, qu’il ne met pas l’Europe à l’abri de spéculations et d’autres crises , en plus l’opposition socialiste a évoqué que subsiste le risque d’une contagion imminente de la crise vers les autres pays membres, et qu'elle a souligné notamment que la question des taxes financières n’a pas été évoquée, pour sa part le parti communiste a insisté en dénonçant la préservation des intérêts grands créanciers et des spéculateurs.
ooOoo
Le revers de la médaille :
Là-dessus vient s’ajouter le revers de la médaille : de source officielle, 15 milliards d’Euros c'est ce que coûtera à la France le nouveau plan d'aide européen à la Grèce.
Le premier ministre, a reçu ce jour vendredi 22 juillet à Matignon les présidents du Sénat et de l'Assemblée, et à l'issue de cette rencontre, il a déclaré que si les décisions prises par les dirigeants européens jeudi à Bruxelles "n'ont pas de coût direct pour nos finances publiques, elles ont un coût indirect puisque nous allons participer, à travers des garanties apportées sur les prêts qui seront consentis par le fonds de stabilité européen à la Grèce".
Le Premier Ministres à qui revient traditionnellement le rôle de passer la pommade en expliquantdes décisions à risques , a expliqué : …….Ces garanties auront pour conséquence"une augmentation d'ici 2014 de notre niveau d'endettement, compte tenu de l'intégration des garanties, à hauteur d'environ 15 milliards d'euros",tout en assurant quel'accord conclu jeudi soir marquait "une étape absolument décisive dans l'histoire de la zone euro" a aussi soulignéle "rôle essentiel" du couple franco-allemand, "clé de la stabilité de la zone euro".
Ces quinze milliards supplémentaires d'ici à 2014 viennent compliquer un peu plus l'engagement de Paris de ramener son déficit public en dessous de 3 % du Produit intérieur brut (PIB) en 2013.
Mais pour le Premier Ministre c’est… » Un objectif"'impératif" qui "doit être atteint", il a expliqué ……. ."C'est désormais un souci que nous partageons avec l'ensemble des pays de la zone euro. Cela ne suppose pas d'effort supplémentaire,... ça suppose de respecter à la lettre les engagements qui ont été pris dans le cadre de la loi de finance pluri-annuelle, de continuer à réduire les niches fiscales, de continuer à réduire la dépense publique, de continuer à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux, de continuer à demander aux collectivités locales de participer à l'effort collectif".
Mais des experts et commentateurs estiment que la France aura du mal à tenir cet objectif .en rappelant que par ailleurs le gouvernement, par ailleurs, a déjà annoncé entre autre qu’il pourrait se résoudre à des hausses d'impôts.
Rappelons que la dette de la France atteint 85 % de son produit intérieur brut (PIB) et s'établit autour de 1 646 milliards d'euros. Son déficit courant équivaut à 7,1 % de son PIB, soit 148,8 milliards d'euros fin 2010.
On aurait voulu et espéré que la crise grecque permette à la zone euro de régler les ... des économies du sud et de la France : l'euro trop cher ». ...
Eclairage - Depuis l'an dernier, la crise de la dette souveraine fait les gros titres. ... que l'accord apporte une réponse de fond à la crise de l'euro. ...
va endetter un peu plus les Français, sans aider les Grecs. Dans quelques mois la même crise se reproduira pour le Portugal, l'Espagne, l'Italie ou même la ...
La Grèce étant au bord de la faillite, elle risque d'entrainer l'euro et l'Europe ... de racheter la dette grecque avec bien entendu unes sérieuse décote. ...
[Dimitar Dilkoff - DR] La presse allemande salue l'accord trouvé sur la dette grecque, tout en se montrant toujours hésitante sur l'issue de la crise. ...
A l’issue de longues semaines de tergiversations sur fond denégociations et de tensions, les Dirigeants de la zone euro ont donc sauvé la face de la Zone Euro et de l’Euro , en trouvantun compromis hierjeudi à Bruxellessur un nouveau plan de sauvetage de la Grèce de 109 milliards d'euros.
Ils ont aussi décidé de renforcer le fonds européen de stabilité financière (FESF) pour en faire un instrument préventif contre les crises.
Ce nouveau plan d'aide, qui seramis en œuvre par les 17 pays de la zone euro et le FMI (Fonds monétaire international), vient s'ajouter à celui de 110 milliards d'euros accordé à la Grèce en mai 2010.
Pour ce nouveau plan d’aide,les banques et les investisseurs privés sont invités sur la base du volontariat à contribuer à hauteur de 50 milliards d'euros, par le jeu de roulement, d'échange ou de revente d'obligations souveraines grecques.
Le plan prévoit de réduire jusqu'à 3,5% les taux d'intérêts sur les prêts consentis à la Grèce par le FESF, dont la durée moyenne sera portée de sept ans et demi à 15 ans.
Le secteur privés’est engagéà baisser ses taux d'intérêts sur les emprunts grecs, pour atteindre une moyenne de "4,5% sur 30 ans"..
L'Eurozone apportera des garanties quant aux obligations grecques classées en défaut de paiement "sélectif", afin que les banques du pays puissent continuer à bénéficier du soutien financier de la Banque centrale européenne (BCE).
Les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro sont convenusde renforceret d’élargirle rôle du fonds européen de stabilité financière,le FESF pourra intervenir de manière préventive, pour soutenir un Etat avant qu'il ne s’enlisedans la crise, en lui accordantune ligne de crédit à court terme,si nécessaire le fondspourra aider un Etat à recapitaliser son secteur bancaire, le FESF sera aussi autorisé à racheter des obligations souveraines sur le marché secondaire, afin d'alléger«la pression »sur les pays subissant le rejet des investisseurs.
Les dirigeants politiques apparemment très satisfaits de l’aboutissement de leurs négociationsse sont exprimés pour annoncer les résultats de leur compromis :
- Résumé de leurs déclarations :
Nicolas Sarkozy :
D’après la déclaration du Chef de l’Etat Français Nicolas Sarkozyle fond européen "fera des prêts à la Grèce entre 3,5 et 4%" ……… "Cela représente 30 milliards d'euros d'économie pour la Grèce sur les 10 prochaines années"……… "Cela permet …. de réduire la dette grecque de 12 points de PIB (Produit intérieur brut)…
En ce qui concerne l'implication du secteur privé,Nicolas Sarkozy a précisé qu’elle "va se traduire par une baisse des taux d'intérêt" à une moyenne de "4,5% sur 30 ans", pour les futurs emprunts de la Grèce.
"C'est une réduction de la dette grecque d'environ 12 points de PIB", a expliquéNicolasSarkozy en affirmant … "Le secteur privé engagera 135 milliards d'euros de financement à 30 ans".
Selon le Chef de l’Etat FrançaisNicolas Sarkozy, le Portugal et la Grèce bénéficieront aussi de la baisse des taux d'intérêts du FESF, mais l'implication du secteur privé est exclue dans ces pays.
Ce plan de sauvetage est "spécifique" à la Grèce pour éviter tout "contagion éventuelle" à d'autres pays, a-t-il insisté en conférence de presse.
Herman Van Rompuy :
"L'implication du secteur privé sera limitée à la Grèce, et seulement à la Grèce", a déclaré de son côtéle président du Conseil européen Herman Van Rompuy.
José Manuel Barroso :
"Pour la première fois depuis le début de la crise, nous pouvons dire que les politiques et les marchés sont ensemble", a constatéle président de la commission européenne José Manuel Barroso.
Christine Lagarde :
La Directrice du FMI, Christine Lagarde,a estimé : "ces mesures apportent un soutien significatif à la croissance et à la stabilité financière et dans la zone euro".
ooOoo
Les marchés financiers retrouvent confiance :
Les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euroon réussi ce jeudipar leur compromis à rassurer les marchés financiers sur leur capacité à trouver une solution au problème de la crise de la dette.
En baisse de 1,12 % à mi-séance, la Bourse de Paris a vivement rebondi après les premières indications qui ont filtrésur le projet en discussionà Bruxelles.
Le Cac 40 a touché un plus haut en séance à 3.839,96 points (+ 2,27 %) avant de ralentir et de terminer sur un gain de 1,66 %, à 3.816,75 points. A 4,58 milliards d'euros, le volume de transactions est nourri. Il s'agit de la troisième séance de hausse d'affilée pour l'indice parisien, qui s'adjuge 4,54 % sur la période.
Les autres indices européens ont suivi le mouvement :à Londres, le Footsie a pris0,79 % à 5.899 points, le Dax allemand s’est octroyé0,95 % à 7.290 points. A Athènes, l'indice de référence a gagné2,54 %. Le baromètre de Lisbonne aavancé de 1,9 %, et celui de Madrid de 2,9 %. Les cambistes se sont rués sur l'euro: la monnaie unique a flirté avec 1,44 dollar, avant de descendre à 1,4380 dollar vers 17 heures 40.
ooOoo
Ce qu’il faut retenir :
En conclusion, les dirigeants de la zone euro se sontentendussur une baissedes taux d'intérêt du fonds européenà la Grèce,l’allongement de la durée des remboursements,et misentsur le volontariat d’un engagementdu secteur privé à baisser les taux d'intérêts sur les futurs emprunts de ce pays, en outre ils ont aussi décidé de renforcer le fonds européen de stabilité financière (FESF) pour en faire un instrument préventif contre les crises. L'Euro zone apportera des garanties quant aux obligations grecques classées en défaut de paiement "sélectif", afin que les banques du pays puissent continuer à bénéficier du soutien financier de la Banque centrale européenne (BCE).
Le FMI continuera à jouer son rôle en aidant la Grèce, sous condition de l'approbation de son conseil d'administration".
A noter que la menace d'une taxe bancaire, un temps évoquée pendant les négociations préalables par la chancelière Allemande Angéla Merkel , a été abandonnée au grand soulagement des banques. Sans doute cette menace n'était-elle que théorique pour les amener à accepter le principe d'un engagement qui reste soumis cependant à un volontariat de leur part.
Que peut-on en penser s’il est encore permis de penser librement ?
Ce compromis repose sur une stratégie que les politiques présententavec insistancecomme « historique » mais qui en fait, réduite à elle-mêmen’est qu’une stratégie transitoire et palliativeà long terme, tout à fait aléatoire en ce qui concerne le volontariat du secteur privé, dont il est espéré (mais non acquis) qu’il engagerait 135 milliards d’euros de financement à 30 ans.
Cette stratégie à long terme avec les aléas financiers et économiques qu’elle comporte, passe allègrement sur la situation sociale dramatique dans laquelle se trouve la population grecque qui se trouvera maintenue au moins pendant trois décennies sois le boisseau d’un plan d’austérité qui risque encore d’êtreaggravéau besoin dans les années à venir. En passant,notons que la population Grecque n’est pas la seule à souffrir d’austérité, l’étau social se resserre aussi notammentpourles populations de l’Espagne, del’Italie,duPortugal,très pénalisées socialement,et osons dire que la population française quin’en mène pas large elle aussi redoute le pire.
En conclusion les gagnants pour le moment sont les politiques et les financiers, reste que le compromis qu’ils ont trouvé doit faire ses preuves, d’autant qu’à très court terme se profileà l’horizon dans différents pays de l’UE et de la Zone euro des élections qui peuvent tout remettre en cause, sans compter que les populations grecque, espagnole, italienne , portugaise déjà pressurisées dans des plans d’austéritéréagissentdans des manifestationsde grande ampleur qui peuvent par effet de contagion enflammer l’Europe.
Les dirigeants européens sont parvenus, hier soir, à surmonter leurs divisions. Nicolas Sarkozy annonce un « Fonds monétaire européen ». Défaut sélectif. L'accord qui a été obtenu hier soir à Bruxelles par l'Eurogroupe risque fort de conduire les ...
Nous aurons sans doute sur le net,dans les heures qui viennent,une sélection de vidéos sur le sommet Extraordinaire de Bruxelles du 21 Juillet 2011, pour le moment et pour mémoire voici une vidéo d’avant la tenue de ce sommet qui laissait présager de la suite:
Source : Site « Gaullistes-de-Bretagne-et-Pays-de-la-Loire »
VIVE LA RETRAITE !!!
Ce qui est moins drôle c'est çà : LE BILLET DE SAUVEGARDE RETRAITES
1 157 euros de retraite sans avoir cotisé ni même travaillé en France !
Toute personne qui débarque en France, sans même jamais y avoir mis les pieds, peut prétendre, > si elle a 65 ans, à 709 euros de retraite par mois OU même à 1 157 euros si elle vit en couple !!!!
C'est :
* plus que la pension moyenne de nos agriculteurs après une carrière complète,
* plus que la pension de la majorité de nos commerçants et artisans,
* plus que la pension de nombreux employés et ouvriers.
Cela signifie tout simplement que nos caisses de retraite paient bien souvent davantageà des personnes qui n'ont jamais cotisé, ni participé à l'économie de notre pays qu'à leurs propres affiliés, qui ont souvent trimé toute leur vie.
Ce dispositif aberrant est vanté noir sur blanc dans le livret d'accueil "Vivre en France" diffusé par le ministère de l'Immigration aux nouveaux arrivants.
C'est à se taper la tête contre les murs : il suffit à une personne d'au moins 65 ans qui arrive en France d'aller tranquillement frapper à la porte des services sociaux pour avoir immédiatement droit à 709 euros par mois, voire 1 157 euros si elle vit en couple.
Cette situation est très injuste vis-à-vis des retraités français, qui voient dans le même temps leurs pensions constamment rabotées au fur et à mesure que leurs caisses s'enfoncent dans le rouge.
Si l'on ajoute à cela que la Cnav verse des pensions à l'étranger sans aucun contrôle, au point que la Cour des comptes dénonce le versement de pensions à des morts !!! (oui .., à des morts ) notamment en Algérie (mais sans se poser de question donc sansenvisager le moindre remède), on ne peut que constater que notre système de retraites est ouvert à tous vents : prestations injustifiées, fraudes etc.
Il est urgent de se mobiliser pour faire cesser ces graves injustices et défendre nos caisses de retraite.
Faites connaître ces informations capitales, diffusez dès aujourd'hui ce billet à l'ensemble de votre carnet d'adresses
Bien cordialement, Marie-Laure Dufrêche Déléguée Générale de Sauvegarde Retraites
L’actualité internationale est tellement prenante, qu’il nous arrive parfois de passer sur l’essentiel qui fait toute la saveur de l’existence des peoples, nous voulons parler des sentiments qu’ils éprouvent, plus précisément de leur coup de cœur « durable ».
Nous sommes donc en retard pour vous parler d’un couple qui a fait la une de la pressepeople ces temps derniers, surtout depuis le mois de Mai dernier où les commères médias à l’affûtdu moindre potin dans les tribunes de Roland Garros , au lieu de tourner la tête mécaniquement de droite à gauche et de gauche à droite, ont focalisé leur regard sur la grandejeune femme brune qu’ accompagnait Arnaud Lagardère en se demandant qui elle était.
Depuis les commères en savent un peu plus , Arnaud Lagardèrequi passe pour un industriel très fortuné, auréolé du charme de ses 50 ans de capitaine d’industrie doublés de sa réputation deplay boy affranchi,a posé avec sa compagne pour l’hebdomadaire Belge « Le Soir Magazine » pour présenter sa compagneJade Foret, ma 20 ans , mannequin belge au physique de déesse qui d’après les photos publiées dans ce journal a une magnifique poitrine rebondie qui a fait dire à l’un de mes amis pied-noir le souffle coupé d'admiration, au bord de l’asphyxie : « Ben dites donty’a du monde au balcon », ce qui en bon Français signifie "Elle a une forte poitrine".Heureusement qu'il n'a pas vu la vidéo dont l'une des dernières poses montre en plus "du monde au balcon" un gazon intime " bien garni," il aurait fallu appeler les pompiers pour le réanimer.
Pour tout savoir sur leur rencontre et la tendressesexy-glamour de leur relation il suffit de lire l’article ci-dessous ou vous retrouverez un panorama de photos détonantes :
20 juil. 2011 – Arnaud Lagardère a reçu nos confrères belges du Soir Magazine dans sa propriété de... Retrouvez la suite du potin people du jour avec ...
ooooooooo
Regardez aussi la vidéo ci-dessous où l’on peut voir la love-story "durable" , de Mademoiselle Jade Foret top-modèle et le milliardaire Arnaud Lagardère reçevant dans leur intimité "Le Soir Magazine" pour un shooting photo (réalisé le 5/7/2011)