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Remaniement en octobre: Pour Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy soumet ses ministres à un "supplice chinois"
vendredi 2 juillet 2010
Dominique de Villepin, fondateur de République Solidaire, a qualifié jeudi de "supplice inventé par les Chinois" l'annonce par Nicolas Sarkozy d'un remaniement à la rentrée visant au premier chef certains des ministres épinglés sur leur train de vie.
"C'est une grande première, un remaniement annoncé par anticipation avec un effet différé de plusieurs mois", a ironisé l'ancien Premier ministre lors d'une rencontre avec des journalistes.
"Dans quelle situation sont aujourd'hui les ministres montrés du doigt, qui sont supposés devoir partir? Dans quelle situation sont-ils vis-à-vis des Français, vis-à-vis d'eux mêmes, mais surtout vis-à-vis de leur administration?", a poursuivi Dominique de Villepin.
"Un ministre, c'est le chef d'une administration, or un ministre en sursis, qui est désigné comme partant, c'est un ministre qui perd immédiatement tout son crédit auprès de son administration", a-t-il poursuivi.
Il a encore qualifié de "situation inacceptable sur le plan humain" le fait de "désigner des sortants et tous les jours de faire monter un peu plus la pression sur eux". "C'est un supplice qui a été inventé par les Chinois mais qui me paraît tout à fait inapproprié dans une démocratie".
M. de Villepin a en outre répété que le ministre du Travail Eric Woerth, soupçonné par l'opposition et une partie de la presse de conflit d'intérêts dans l'affaire Bettencourt, devait se séparer de sa fonction de trésorier de l'UMP, sans se prononcer sur une éventuelle démission de son poste ministériel.
Il s'est enfin déclaré favorable à la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire sur cette question, jugeant que "la demande de clarification et de transparence" était "légitime".
Le décret fusionnant l'Epad et l'Epasa publié au Journal officiel
Source : Site le Point Fr
« Le décret fusionnant l'Établissement public d'aménagement du quartier d'affaires de la Défense (Epad) et l'Établissement public d'aménagement de Seine-Arche (Epasa) a été publié samedi au Journal officiel.
« Le décret, daté du 2 juillet 2010, officialise le regroupement des deux organismes au sein d'une seule et même structure, baptisée "Etablissement public d'aménagement de la Défense Seine-Arche" (Epadesa).
« Placé sous la tutelle du ministre chargé de l'urbanisme", l'Epadesa est "chargé de procéder à toutes opérations de nature à favoriser l'aménagement, le renouvellement urbain, le développement économique et social et le développement durable" des espaces situés au sein de l'opération d'intérêt national (OIN) La Défense Seine-Arche, ajoute-t-il.
Le périmètre de l'OIN englobe le territoire actuel de La Défense (160 hectares), celui de Seine-Arche (320 hectares à Nanterre), ainsi que les secteurs de la caserne Rathelot et du Petit-Nanterre à Nanterre, Gambetta-Sud à Courbevoie, et Champs-Philippe à La Garenne-Colombes, soit un total de 564 hectares.
« L'établissement est administré par un conseil de 16 membres" dont "six membres représentant l'Etat", "neuf membres représentant les collectivités territoriales" et "une personnalité qualifiée nommée par le Premier ministre", précise le décret.
« Fin mai, la présidente de l'Epad et maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP) avait indiqué qu'elle se porterait "tout naturellement" candidate à la tête du nouvel établissement fusionné.
« Un premier pas vers cette fusion avait été franchi le 14 octobre 2008 avec la nomination d'un seul et même directeur général pour les deux entités: Philippe Chaix, secrétaire général de la préfecture des Hauts-de-Seine.
« De nombreuses voix s'étaient alors élevées au sein de l'Epasa, présidé par le maire (ex-PCF) de Nanterre Patrick Jarry, pour dénoncer une volonté de mainmise du quartier d'affaires de La Défense sur les projets d'aménagement de la commune.
Au tout début une affaire de famille, ensuite une affaire alimentée de polémiques politiques-politiciennes, aujourd'hui une affaire d'État qui ébranle le Gouvernement
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Le gouvernementlance progressivement un plan d’économie (surtout ne dite pas un plan de rigueur) qui passe presque inaperçu dans les médias qui font leur choux gras des scandales de l’Affaire Bettencourt et de ses prolongements politico-fiscaux-financiers, des dépenses privées des ministres sur le dos de l’État, et de ladéconfiture des Bleus, en laissant pratiquement en marge la présentation par Bercy d’un plan d’économie qui en fait est un plan de rigueur qui n’ose s’avouer comme tel officiellement.
Bercynous a présenté l’évolutiondes finances publiques françaises, en annonçant que la dette serait supérieure auxprévisions, passant de 83,7% du produit intérieur brut cette année (au lieu de 83,2%) à 87,5% en 2012.
Pour tenirses engagements de réduction du déficit auprès de Bruxelles, le gouvernement va se résigner àécrêterles niches fiscales et sociales - ce quiaugmenterales impôts dès 2011,mais « devrait » rapporter"au moins" 8,5 milliards »
Parallèlement un deuxième volet « la Révision générale des politiques publiques » (RGPP), lancée dès 2007, a été présentée en conseil des ministres,en 150 mesures,avec pour objectifs affichés (lire espérés): simplifier le carcan administratif et rendre l'État moins dépensier.
Les principales mesures, portantsur les fonctionnaires ou la rationalisation du patrimoine immobilier de l'État, étaient déjà connues. Mais de palier en palier, après le gel des dépenses, la réforme des retraites et le coup de rabot aux niches fiscales, le gouvernementdistille semaine après semainele plan visant à réduire son déficit de 100 milliards d'euros d'ici 2013, dont 40 milliards dès l'an prochain.
Le salairedes fonctionnaires phase de la RGPP avait permis d'économiser 7 milliards d'euros, le ministère du Budgetespère trouver dix milliards supplémentaires, grâce à la poursuite d'une mesure phare du quinquennat, très contestée par les syndicats et la gauche: le non remplacement d'un fonctionnaire partant à la retraite sur deux, soit 100.000 nouveaux postes supprimés entre 2011 et 2013, avec pour objectif de réaliser 3 milliards d’économie.
Bercy vise également, les dépenses de fonctionnement de l'État, à raboter de 10%, soit une économie de deux milliards d'euros d'ici 2013, que ce soit par la centralisation des achats de l'administration (700 millions d'économies) ou encore la modernisation de son parc informatique (300 millions).
Le Gouvernement espère obtenir uneréduction de 10% des "dépenses d'intervention", qui comprennent plusieurs aides économiques et sociales, soit une économie de 5 milliards.
Mais le Gouvernement n'annoncera qu'en fin de semaine le montant maximum que les ministères seront autorisés à dépenser en 2011, pour compléter le tableau.
Au final, le plan d’économie ne devrait apparaître danstoute sa rigueur que lors de la présentation, en septembre, du projet de budget pour l'an prochain.
D'ici là, de nouvelles annonces pourraient intervenir, si Bercy revoit à la baisse sa prévision de croissance
Économies, rééquilibrage, réduction du déficit, un programme de rigueur se met progressivement en place, presque en douce dans les coulisses, pratiquement laissé en marge ou occulté dans les médias qui font leur une dessulfureuses affaires familialesdes Bettencourt avec prolongement politique , les dénonciations des dépenses privées des ministres sur le dos de l’État, la piteuse affaire des bleus, leur défaite, leur élimination du Mondial,leurs mésententes entre eux et avec leur hiérarchie
A défendre Monsieur Woerth les ministres, ontdistraitle temps qu’ils auraient du consacrer à renégocier les retraites avec les syndicats. Le premierministre, les ministres, les députés de droite et de gauchese sont offert le luxe d’une séance houleuse à l’Assemblée Nationale, les uns pour défendre Monsieur Woerth, les autres pour réclamer une commission d’enquête.
Ensuite, se réclamant de la République, le premierministre, les ministres, les députés de droite et de gauchese sont offert le luxe d’une séance houleuse à l’Assemblée Nationale, les uns pour défendre Monsieur Woerth, les autres pour réclamer une commission d’enquête, sur ce qu’il est convenu d’appeler maintenant une affaire ou un scandale d’état.
Il est abusifde se couvrir du bonnet de Marianne pour attaquer ou esquiver, ce n’est pas la République qui est en cause, ce sont les pratiques discutables de certains Ministres qui sont et restent en suspens sur le tapis.
Il faut croire que les protestations d’innocence de Monsieur Woerthet des porte paroles de la majoritéUMP présidentielle dans le cadre de l’affaire Bettencourt n’avaient pas été entendues ou assez convaincantes ces jours précédents, pour que l’artillerie lourde de la majorité présidentielle et de l’opposition se soient exposées avec une telle violence en séance à l’Assemblée Nationale avec l’allure d’un règlement de comptes entre partis politiques sur l’affaire Bettencourt
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Il est abusifde se couvrir du bonnet de Marianne pour attaquer ou esquiver, ce n’est pas la République qui est en cause, ce sont les pratiques discutables de certains Ministres qui restent à éclaircir, le seront-elles vraiment ?
Plus sérieusement ce qui devraient faire l’objet d’interrogations et d’analyse dans les médias ce sont les économies, le rééquilibrage, la réduction du déficit,présentées dans le programme de rigueur du Gouvernement.
Mise en garde :
Nous ne savons pas si le Gouvernement atteindra ses objectifs avec son plan d’économie, nous le saurons au final au mieux en 2013 et dans cette attente il ne faudrait pas que les ministres, les députés, les porte paroles des partis, les médias continuent à nous enfumer avec leurs querelles ça risque d’aggraver dangereusement pour eux le mécontentement social qui est présent et qui va en s’amplifiant de jour en jour.
Le changement climatique testé grandeur nature sur une forêt du sud
25/06/2010
A quoi ressemblera le sud de la France selon les scénarios d’évolution du climat ? Dans l'Hérault, une forêt de chênes verts sert de cobaye à des chercheurs. Et les premiers résultats laissent penser qu'elle devrait plutôt bien s'adapter. Depuis plusieurs années, des scientifiques du CNRS étudient la résistance et l'adaptation de cet arbre – qui est avec le pin une espèce dominante dans la forêt méditerranéenne en France - à la baisse des précipitations prévues par le Giec, groupe d'experts intergouvernemental sur le climat. "Les scénarios climatiques pour la fin du siècle disent qu'il va y avoir une augmentation de la fréquence des sécheresses, et en zone méditerranéenne, il devrait pleuvoir 20 à 30% de moins", explique l'ingénieur Jean-Marc Ourcival.
C'est dans le village de Puechabon, près de Montpellier, qu'a lieu la plus grande expérience d'interception de pluie au monde. "On cherche à comprendre quelles sont les espèces les mieux adaptées aux futurs changements", résume M. Joffre. Deux expériences sont en cours. Pour la première, lancée en 2008, il s'agit de simuler une sécheresse de 6 mois avec un toit mobile installé au-dessus des arbres. Quand des capteurs lui en donnent la consigne, il se déplace pour protéger des pluies la parcelle testée. La seconde, mise en place en 2003, réduit de 30% la quantité de pluie disponible grâce à un système de gouttières. Des dispositifs similaires sont installés en Espagne, Portugal et Italie.
Les chênes sont surveillés de près, et les scientifiques prennent leur pouls grâce à une tour de flux, qui mesure la quantité de CO2 captée, puis rejetée. Lors de grandes sécheresses, un arbre "maigrit" et peut alors émettre beaucoup plus de CO2, principal gaz à effet de serre à l'origine du réchauffement climatique. En analysant les premiers résultats, les hommes du CNRS avouent avoir été surpris: les chênes verts "résistent très, très bien", relève Jean-Marc Ourcival.
"On aurait pu s'imaginer qu'avec six mois sans pluie, une partie de la forêt allait mourir. En fait, rien ne meurt. Et l'année suivante, tout revient à la normale", constate-t-il. Sur les deux expériences, la croissance des arbres n'est pas affectée. On n'observe qu'une légère diminution du nombre de feuilles. Avec ses racines imposantes, "le chêne vert est comme un bon père de famille, il dépense très peu et économise beaucoup", résume l'ingénieur.
Pour autant, les tests se poursuivent. "Ce n'est pas parce qu'en apparence il ne se passe rien, qu'il ne se passe vraiment rien", tient à préciser Richard Joffre. "Il y a des adaptations très fines, et on espère à un moment donné arriver à un point de rupture d'équilibre" pour évaluer le plus précisément possible les risques qu'encourt cet arbre, ajoute-t-il.
A quelques kilomètres de là, au sein de l'Ecotron, plate-forme de recherche du CNRS, des portions de prairies commencent à être testées sous des dômes. Là, on simule une augmentation de température de 2°C, une hausse de la concentration de CO2... Et les réactions de l'écosystème sont analysées.
(source AFP)
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L'Elysée vient d'acquérir un Airbus A330 pour les déplacements présidentiels. Un avion qui sera « aménagé » spécialement pour N. www.rmc.fr/.../a-la-decouverte-du-nouvel-air-sarko/ - Il y a 44 minutes - En cache
27 juin 2010 ...Le nouveau jouet de Sarkozy: un Airbus à 176 millions d'euros .... Mitterrand et son concorde présidentiel Par pduval le 27/06/2010 à 13h30 ... www.lepost.fr/.../2131365_le-nouveau-jouet-de-sarkozy-un-airbus-a-176-millions-d-euros-pour-faire-le-beau.html
Bientôt dans la flotteaériennede la République Française, au service du Président de la République, l'Air Force One, qu'on le veuille ou non doit susciter bien des envieset des jalousies, non seulement à l'étranger mais surtout en France.
Évidemment le coût de l'opération (voir article précédent) a été vivement critiqué,maispour une fois je m'abstiendrai de donner un avis négatif pour la bonne raison, selon moi que l'usage de cet avion donnera la preuve au monde entierqu’"Impossible n'est pas Français" même en temps de crise financière, économique et sociale, et pour l'avenir les prochains Présidents de la République Françaisequi se succèderont à l'Élysée ne se priveront pas d'en faire bon usage.
Alors un peu de fair play,s'il vous plait, Messieurs les Candidats à la Présidence 2012, il y a des critiques qui pourraient vous revenir plus tardcomme un boomeranget vous atteindre en plein vol.