* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Je vous invite à prendre connaissance d'un article pour le moins surprenant mais qui recèle un danger d'escalade :(1)
En effet, La présidence afghane a précisé qu'elle ne souhaitait pas le départ des troupes étrangères mais une meilleure coopération dans la lutte contre le terrorisme. Que faut-il entendre par "une meilleure coopération" ? ......... en attendant les négociations j'ai tout lieu de croire que la "meilleure coopération" souhaitée par la présidence afghane ne tourne à une présence et un accroissement des effectifs étrangers et une transformation des opérations de "maintien de la paix" dans leur guerre civile pour la transformer en guerre tout court dans le style Irakien
Pour lire l'article (1) cliquez sur l'adresse ci-dessous
La France bien entendu, si l'on en juge par les prises de position du Président de la République, se trouve de plus en plus dans une position délicate d'escalade dangereuse, dans un conflit qui n'est pas le nôtre mais qui résulte des ambitions de l'Oncle Sam gendarme international abusif qui veut faire jouer à la France le rôle d'un adjudant-chef taillable et corvéable à merci.
http://www.reveil-des-marmottes.net/Menu.htm Michel Mahler, vient de publier sur son blog Le réveil des Marmottes une animation son et images sur mon dernier poème .
Je vous invite à découvrir son travail artistique en copiant l'adresse ci-dessous après l'avoir sélectionnée et ensuite de la coller dans votre fenêtre de recherche, vous vous trouverez alors sur le blog de Michel et il conviendra de cliquer sur le titre "Poème de Lucienne Pons sur sarabande' et de suivre les indications pour lancer l'animation :
http://www.reveil-des-marmottes.net/Menu.htm
voici le texte du poème en lecture seule :
Vivre ses rêves ou rêver sa vie !
Poème de Lucienne Magalie Pons (6 août 2008)
La perle fine d’un collier
Qui ornait l’un de mes rêves
Soudain du fil s’est détachée
Avant que la nuit ne s’achève
D’une couronne de laurier
Qui cernait l’un de mes rêves
Une feuille s’est détachée
Avant que la nuit ne s’achève
Et puis le voile et l’anneau d’or
Qui protégeaient l’un de mes rêves
Se sont perdus dans le décor
Avant que la nuit ne s’achève
Dans les fragrances des roses et fleurs
Qui parfumaient l’un de mes rêves
J’aienfouis tous mes bonheurs
Avant que la nuit ne s’achève
Un beau Mercure passager
Qui souvent traversait mes rêves
A dérobé tous mes secrets
Avant que l’aube ne se lève
Pour oublier toutes les larmes
Que j’ai versé sur mes chagrins
De la force je cherchais les armes
Et trop souvent ce fût en vain
Sur les ailes d’un papillon blanc
Qui traversait l’un de mes rêves
J’ai déposé tous mes tourments
Avant que le jour ne se lève
Un papillon bleu butinant
A exalté tous mes désirs
Il ne me reste maintenant
Qu’à m’éveiller pour les saisir
Et du trille d’un rossignol
Qui chantaitl’entrée du jour
J’aireconnue la clé de sol...
Des secrets de mon amour
Un papillon bleu butinant
A exalté tous mes désirs
Il ne me reste maintenant
Qu’à m’éveiller pour les saisir
L’aube et le Jour sontsi près du soir
Et la nuit elle-même si brève !
Faut-il vraiment me réveiller
Vivre autrement qu’en rêves ?
Ma vie et mes rêves se confondent
Je ne sais pas, je ne sais plus
Si vraiment ils sont de ce monde...
Si j’ai rêvé ma vie ou mes rêves vécus
Mais bien entendu je vous invite à visualiser l'animation sur le blog de Michel qui représente un travail de plusieurs heures.
Ps : depuis la publication de ma posésie sur le site de Michel, j'ai changé quelques strophes et c'est cette nouvelle version qui figure ci-dessus
Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président de « Debout la République »vient d’adresser au Président de la République une lettre reprise intégralement dans l'édition du Monde du27.08.08.
Monsieur Nicolas Dupont-Aignan a le mérite, dans cette lettre, d’exposer clairement et sans ambiguïtés, ses opinions sur la politique étrangère de la France et sur la nouvelle orientation politique désastreuse de la France en Afghanistan depuis Avril 2008.
Je rejoins l’analyse de Monsieur Dupont Aignan et prend la liberté de reproduire ci-dessous intégralement l’article du Monde pour soutenir sont point de vue qui est celui de plus de 55 % des citoyens français.
Reproduction :
« Lettre au président de la République, par Nicolas Dupont-Aignan
LE MONDE | 26.08.08 | 14h28
« Le 18 août, dix de nos courageux soldats trouvaient la mort en Afghanistan. Au moment de leur rendre hommage, vous avez affirmé devant les troupes françaises : " Quand il vous arrive quelque chose, je me sens responsable." Vous avez eu raison.
Passé le temps du deuil et du recueillement, j'ai voulu vous écrire car vous seul pouvez encore changer de politique en Afghanistan.
En avril, déjà, je vous avais fait part des trois raisons qui m'avaient conduit à voter la motion de censure déposée contre la politique étrangère de votre gouvernement. Tout d'abord, la situation dans le bourbier afghan me semblait si compromise que des soldats supplémentaires ne pouvaient l'infléchir ; ensuite, l'alignement sans précédent de la France sur les Etats-Unis constituait pour moi le premier pas vers l'inacceptable réintégration complète de la France dans le commandement militaire intégré l'OTAN ; enfin, l'extinction de la voix originale de la France accélérait la logique de "choc des civilisations", pour le plus grand bénéfice des intégristes musulmans.
Hélas, ce qui devait arriver est arrivé, tragiquement : pour la première fois depuis bien longtemps, des soldats français engagés comme supplétifs dans une guerre qui n'est pas la leur et qui est de surcroît conduite en dépit du bon sens, sont morts sans que la nation ne sache vraiment pourquoi.
Suite à ce drame, lors de votre discours de Kaboul, vous avez préféré la fuite en avant, transformant la présence française en croisade contre le terrorisme et pour la liberté, au lieu de prendre votre temps et de procéder à l'examen prudent et attentif de la situation en Afghanistan.
Mais comment, quand on connaît cette situation, demander à nos soldats en nombre si limité, mal équipés pour la guérilla et mal coordonnés, de sauver le monde dit libre ? Comment ne pas ouvrir les yeux sur le fait que cette fuite en avant militaire, diplomatique et politique dont vous voulez vous faire le héros est suicidaire ? Et où est la cohérence avec vos propos, tenus à la veille du second tour de l'élection présidentielle, où vous considériez que la présence de notre armée à cet endroit du monde n'était "pas décisive" ?
OSER LE SURSAUT
Experts, états-majors et observateurs militaires savent que le conflit actuel n'a rien à voir avec celui de 2001. Preuve en est que loin de lutter contre le terrorisme, la stratégie actuelle de l'OTAN renforce chaque jour un peu plus les talibans, en faisant basculer la population de leur côté.
Il est urgent de reconsidérer votre position. Car seul un changement radical dans la conduite des opérations peut éviter la catastrophe. Seule une perspective politique négociée entre les alliés et les forces afghanes les plus modérées peut sauver ce pays des griffes des plus extrémistes. En avril, la France pouvait être le levier de ce changement en conditionnant l'envoi de ses soldats à la révision de la stratégie américaine. Vous avez manqué l'occasion, préférant plaire à Georges Bush.
Une réaction est encore possible. Notre pays peut peser, d'une part en refusant le redéploiement de ses hommes sur les zones à risques, d'autre part en menaçant de retirer ses troupes si rien ne change. Oserez-vous ce sursaut ?
En son temps, le général de Gaulle avait sagement décidé de retirer la France du commandement intégré de l'OTAN car il ne voulait pas voir notre pays entraîné dans une guerre qui ne serait pas la sienne, sous un commandement étranger. Votre triste politique de ces derniers mois lui donne raison puisque pour symboliser le retour complet de la France dans l'OTAN, vous avez placé nos armées dans un guêpier sans issue, avec les conséquences que nous connaissons...
Il savait aussi par-dessus tout que lorsque le sort de ses soldats est en jeu, le président de la République ne doit obéir qu'à l'intérêt supérieur de son pays, intérêt qui ne coïncide pas toujours avec celui de ses alliés. Aujourd'hui Monsieur le Président, il vous faut choisir : allez-vous être fidèle à la France ou à l'Amérique ? Nos compatriotes ne vous pardonneraient pas de préférer trop longtemps la seconde à la première ! »
Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président de Debout la République
Sans respecter la discrétion qui s'attache au premier jour de deuil, le Président de La République Française dès son arrivée en Afganistan a confirmé ouvertement sa politique : Je le referai .... je le referai .... a-t-il répété ........ en faisant référence ( pour se couvrir ? ) au choix de ses "prédécesseurs" .... Etait-ce une raison suffisante, était-ce la seule raison de son choix .....
En tout cas ce n'était ni le lieu, ni l'heure de faire une telle déclaration pour justifier sa politique.