22 janvier 2014

Marine Le Pen en Conférence internationale de Presse en présence d'Aymeric Chauprade, géopoliticien

Éditorial de lucienne magalie pons

Avertissement  :  le son de cette vidéo est désactivé, tant sur Youtube  que sur le site du Front National.Nous l'avons téléchargé telle quelle en espérant que le son sera activé prochainement.
En conséquence, nous avons repris sur le site du Front National le texte de l'intervention de Marine Le Pen et vous le trouverez  en dessous de la vidéo.

Mesdames et Messieurs,
L’objectif de cette conférence de presse est double :
- il est premièrement de vous donner l’analyse du Front national quant à l’évolution inquiétante de la politique étrangère de la France et au-delà de cette analyse, de vous exposer ma vision du monde qui n’a rien à voir avec le soutien à des régimes autoritaires, mais qui s’appuie à la fois sur le réalisme géopolitique et l’idéal de démocratie des nations, ce qui est très différent de l’idéologie du Droit de l’Hommisme et l’ingérence, laquelle, en réalité n’est que le masque des intérêts les plus cyniques.
- Deuxième objectif, vous présenter Aymeric Chauprade qui m’appuie depuis plusieurs années dans ma réflexion sur les relations internationales et qui m’a rejoint publiquement en septembre 2013, lors des Universités d’été du Front national à Marseille, et vous préciser le rôle qui sera désormais le sien.
Tout d’abord, permettez-moi, Mesdames et Messieurs, de revenir sur la situation internationale et d’en brosser en quelques mots les principales caractéristiques.
La plupart des crises internationales que nous avons connues ces dernières années et dans lesquelles la France a joué un rôle, qu’il s’agisse de la Libye, ou de ce que l’on a appelé étrangement les printemps arabes mais qui sont en réalité rapidement devenus des hivers islamistes, ou bien encore de la Syrie, du Mali, de la Centrafrique, sont le résultat de deux problèmes distincts qui se combinent :
- d’une part le conflit entre les Etats-Unis qui souhaitent dominer la mondialisation en créant un monde unipolaire et les grandes puissances comme la Chine, la Russie, l’Inde qui défendent une vision multipolaire du monde.
- d’autre part la faiblesse de l’Etat-nation quand il ne s’agit pas de son inexistence en Libye, en Syrie, au Mali ou en Centrafrique, laquelle explique une crise identitaire dramatique et la possibilité, pour des forces extérieures, d’instrumentaliser cette crise identitaire.
Où que vous regardiez, de l’Ukraine à la Centrafrique, en passant par les autres pays que j’ai cités, vous retrouverez ces deux ingrédients clés : les intérêts des grandes puissances et la faiblesse de l’unité intérieure des pays qui sont les théâtres de crise.
Bien sûr il est facile, et même rassurant, de croire, ou de laisser croire, que l’origine des crises que nous vivons viendrait du déficit démocratique des pays concernés.
Certes, le déficit démocratique n’est pas niable mais il est un résultat et non une cause : il est le résultat de la faiblesse de l’Etat-nation,
faiblesse qui fait qu’en Libye on appartient à une tribu avant d’appartenir à une nationalité,
qu’en Centrafrique le phénomène est renforcé par le clivage religieux (chrétiens contre musulmans),
qu’en Syrie les rebelles soutiennent un projet communautaire fondamentaliste qui ouvre la voie à un génocide des chrétiens, des Alaouites et des Kurdes,
qu’en Ukraine, on est russophone à l’Est tandis qu’à l’Ouest on regarde vers la Pologne, l’Allemagne, donc l’Union européenne.
Dans ces théâtres fragiles parce que l’Etat-nation y est faible, ceux qui portent des projets géopolitiques de puissance, les Etats-Unis, mais aussi l’Arabie Saoudite et le Qatar, ceux qui s’emploient à s’emparer des ressources pétrolières et gazières, à priver la Russie ou la Chine de leur influence géopolitique, voudraient faire croire aux Français que l’origine des crises est le déficit démocratique.
La politique étrangère français actuelle est hélas fondée sur ce mensonge et c’est ce mensonge qui nous a conduit à accompagner les Américains dans la quasi-totalité de leurs guerres depuis l’écroulement de l’URSS, avec les coûts humain et financier que nous connaissons, en Afghanistan notamment.
Le Front national défend, depuis toujours, une ligne constante en matière de politique étrangère, qui est la ligne de la sagesse, de la raison, de l’équilibre, conformément à notre tradition multiséculaire.
Nous refusons les impérialismes d’où qu’ils viennent, euro-mondialisme américain ou islamisme, comme nous refusions hier le communisme soviétique.
Nous refusons les excès des uns ou des autres au Proche-Orient, le recours au terrorisme ou le bombardement aveugle des populations, et nous défendons la paix et la justice dont la source première est la souveraineté des peuples, sur leur territoire, leur identité, leur économie.
A l’international, comme sur le plan national, la primauté de l’Etat-nation comme fondement de la liberté, est le coeur de notre projet, et en cela nous pensons comme la quasi-totalité des gouvernements du monde à l’exception d’un club restreint de gouvernements européens dont l’aveuglement idéologique et la surdité face aux souffrances des peuples croît à mesure que l’échec est de plus en plus évident.
Oui, nous nous battons pour le renforcement de l’Etat-nation, pour la construction d’identités nationales au-delà des égoïsmes tribaux, ethniques ou communautaires. Partout, nous nous battons contre ce communautarisme destructeur, qui, chez nous est en train de détruire l’oeuvre des siècles, notre identité nationale et qui, chez tant d’autres Etats, empêche précisément l’émergence d’une véritable identité nationale sans laquelle aucun germe démocratique ne peut croître.
Je voudrais insister sur la cohérence de notre projet de gouvernement, tant dans le domaine national que dans le domaine des affaires étrangères.
Si nous sommes attachés à l’Etat-nation et que nous combattons aussi fortement l’idéologie européiste, c’est d’abord parce que nous sommes attachés à la démocratie des nations tant à l’intérieur de l’Europe, que dans le monde, et que le fondement de cette démocratie des nations c’est le droit international, qui est autre chose que la volonté de Washington et de l’OTAN, ou de toute autre puissance.
Alors comment nos principes se traduisent-ils dans les crises actuelles?
C’est cet attachement à la démocratie des nations qui fait que comme l’ONU et le Vatican nous soutenons la participation de l’Iran à la conférence Genève-2 sur la Syrie.
Et comment d’ailleurs résoudre un problème si l’une des principales puissances concernées, en tant que voisin et soutien du régime syrien, n’est pas invitée, alors même que les puissances qui portent la plus grande responsabilité dans l’éclosion de la guerre en Syrie, je veux parler de l’Arabie Saoudite et du Qatar, le sont?
A partir du moment où l’implosion syrienne est due largement à la rivalité régionale Iran/Arabie Saoudite comment ne pas associer l’Iran à la résolution du problème si l’on associe l’Arabie Saoudite?
Nous condamnons fermement les choix agressifs et injustes du gouvernement français sur les dossiers syrien comme iranien.
Et je veux, devant vous aujourd’hui, déclarer notre ferme opposition à l’alliance inquiétante qui est en train de se nouer entre la France et l’Arabie Saoudite.
Ces dernières années, la France n’a que trop suivi les Etats-Unis, en Afghanistan, en Libye, dans la déstabilisation de la Syrie aussi, et le Front national est le seul parti à s’être élevé contre cette dérive atlantiste de notre politique étrangère.
Ce qui se passe maintenant est autrement plus inquiétant que l’atlantisme.
Alors même que, de manière salutaire pour la paix internationale, les Etats-Unis et la Russie ont su travailler ensemble pour trouver un accord, le 24 novembre dernier, à Genève[1], la France fait le choix de s’aligner sur la position aggressive et pro-guerre de l’Arabie Saoudite, tant sur le dossier iranien que sur le dossier syrien.
Au moment où les djihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont déclaré une guerre totale à leurs anciens alliés islamistes en Syrie et au gouvernement contrôlé par les chiites en Irak ; au moment où Fallouja, bastion sunnite en Irak qui coûta si cher en hommes aux Américains, vient de tomber entre les mains de ces fanatiques de l’EIIL, la France se rapproche du premier responsable de l’extension mondiale du fondamentalisme, l’Arabie Saoudite!
L’Arabie Saoudite soutient partout les Salafistes. Il est évident qu’elle est en réalité derrière Al Qaïda et depuis bien longtemps. Elle est sans doute responsable du regain d’activisme des islamistes du Caucase à l’approche des Jeux olympiques de Sotchi, et des attentats de Volgograd, comme le pensent les services de renseignement russes.
C’est un secret pour personne que le pays qui soutint le premier l’avènement des Talibans en Afghanistan, est bien le coeur nucléaire de l’islamisme mondial, coeur identitaire et coeur financier.
Comment, au nom de quelques intérêts financiers sectoriels, comme ceux de notre industrie de défense, à laquelle je suis évidemment très attachée, peut-on faire un choix de politique étrangère aussi dangereux pour notre avenir et celui de tout le monde musulman?
L’avenir de notre industrie de défense ne repose pas sur le marché saoudien; il doit reposer d’abord sur la volonté de l’Etat français de continuer à se doter d’un outil de défense à la hauteur d’une puissance de dimension mondiale.
Je rappelle que nous sommes la seule force politique française à vouloir consacrer 2% de notre richesse nationale à l’effort de défense, à vouloir donner à notre pays une capacité navale à la hauteur de notre espace maritime et des enjeux off-shore considérables de demain, à vouloir maintenir des régiments de l’armée de terre en nombre suffisants pour tenir un conflit inter-étatique de haute intensité, ainsi qu’un outil aérien lui aussi qualitatif mais aussi quantitatif.
Pour revenir à l’Arabie Saoudite, comment, au moment où l’on vient donner des leçons de morale à la Russie en raison du vote de la loi contre la promotion homosexuelle, peut-on s’allier aussi fortement avec un pays qui, lui, condamne à mort des homosexuels, soumet la femme au bon vouloir sans limite de l’homme, et réduit en esclavage ses immigrés ?
Par comparaison, même sous le règne de la révolution islamique chiite que nous n’affectionnons pas particulièrement, la situation de la femme est bien plus enviable en Iran, ou même au Koweït ou aux Emirats arabes unis, qu’elle ne l’est en Arabie Saoudite ou au Qatar.
Et comment, les mêmes, qui prétendaient faire la guerre en Libye au nom des Droits de l’homme et de la démocratie, peuvent-ils avoir recours, pour justifier ce rapprochement avec l’Arabie Saoudite, au principe de réalisme économique?
Il faut choisir, soit ils agissent au nom de principes moraux, soit ils agissent au nom de la realpolitik, laquelle, s’agissant de l’Arabie Saoudite, n’en est pas une puisqu’elle est de courte-vue et nous explosera au visage.
Pour ma part, je demande à ce que la France participe à la consolidation de la paix avec l’Iran initiée par les Etats-Unis et au retour de nos intérêts dans ce pays (rappel Peugeot/ Général Motors) qui est la 2e réserve prouvée de gaz du monde et la 2e réserve de pétrole, dont on peut espérer, parce que l’Iran est un Etat-Nation, que l’on assiste à une évolution politique positive.
C’est sans doute ce qu’a compris l’Italie qui a dépêché à Téhéran, le 21 décembre dernier, sa ministre des affaires étrangères afin d’y examiner les perspectives futures des deux pays.
C’est évidemment ce qu’ont compris Américains et Allemands lesquels vont jouer, dans cet immense pays, un rôle important à l’avenir. Ces mêmes Allemands qui rêvaient de faire entrer l’Ukraine dans l’Union pour y puiser de nouveaux travailleurs à bas coût leur permettant de maintenir leur avantage compétitif sur nous, et qui, en politique internationale, se révèlent, discrètement, sans trompettes ni tambours, bien plus malins que nous le sommes.
Je rappelle, s’agissant du nucléaire iranien, notre position : l’intérêt de la France et de la paix du monde est qu’il n’y ait pas de prolifération de l’arme atomique, aussi nous ne souhaitons pas que l’Iran se dote de la bombe atomique.
Pour autant, l’Iran a le droit à l’énergie nucléaire civile.
Nous voulons aussi rappeler que si l’Arabie Saoudite prône une politique d’isolement de l’Iran aussi agressive, c’est qu’elle ne souhaite évidemment pas que celui-ci puisse remettre sur le marché les 2,5 millions de barils/jour qu’il était capable d’exporter avant les sanctions.
Pour les Saoudiens, maintenir un prix du baril relativement élevé, dans un contexte où en plus les pétroles et gaz de schiste américains contribuent à dévaluer l’importance de leur pétrole, passe par le maintien de l’isolement de l’Iran.
Cette alliance de la France avec l’Arabie Saoudite est un non-sens total, une impasse future, non seulement parce qu’elle est en contradiction avec notre politique d’équilibre et de paix au Moyen-Orient mais aussi parce qu’elle est en contradiction totale avec notre action actuelle en Afrique.
Le Front national sait soutenir et saluer les actions du gouvernement quand elles méritent de l’être. Nous sommes une force constructive.
Tout le monde en conviendra, nous avons soutenu l’intervention française au Mali parce que nous pensons que la France a un rôle historique à jouer en Afrique pour tenter de protéger les Etats africains face à tout ce qui peut détruire ou freiner leur développement et l’islamisme est sans doute la menace la plus grave qui pèse sur l’Afrique sub-saharienne.
La percée islamique descendant du Sahara à travers le Sahel est une menace que la France a raison de combattre.
Après le Mali, qui est fragilisé par les fractures identitaires dont nous parlions au début, c’est à son tour la Centrafrique qui est touchée par ce fléau. Même si nous ne saurions réduire le conflit de Centrafrique à une opposition entre chrétiens et musulmans, force est de constater qu’il s’agit d’un facteur premier.
Sous Bozizé déjà le conflit soudano-tchadien avait contaminé la région nord de la Centrafrique. A plusieurs reprises, les rebelles tchadiens opposés au président Idriss Deby et soutenus par le Soudan avaient tenté de contourner les défenses tchadiennes en utilisant la RCA comme base arrière.
Puis il y a eu un scénario assez semblable à ce qui s’est passé au Mali : une descente de combattants musulmans fanatisés du Nord vers le Sud. En décembre 2012, le Séléka, mouvement constitué de plusieurs tribus nordistes et musulmanes a avancé vers Bangui. Le gros des troupes était constitué de Tchadiens et surtout de Soudanais.
Mesdames et Messieurs, regardez à quoi aboutit la politique du monde occidental, je dis occidental dans le sens Etats-Unis et ceux qui les suivent.
La Libye, c’est le chaos tribal, le pétrole détourné par les milices, des centaines de milliers de déplacés.
La Syrie c’est 130 000 morts, dont presque 10 000 enfants, 245 000 Syriens qui vivent assiégés dans leur pays, confrontés à des difficultés extrêmes, des millions de déplacés : le Liban est déstabilisé par plus de 900 000 Syriens qui y sont réfugiés, la Jordanie 575 000, la Turquie, 216 000, l’Egypte, 145 000.
Il y a officiellement plus de 700 ressortissants français qui font le djihad en Syrie et on peut penser que pour 1 qui prend les armes, 100 le soutiennent par l’esprit, soit 70 000 sympathisants de ces brigades internationales fondamentalistes sur notre territoire.
L’Egypte où l’on a fait pression pour provoquer l’effondrement du régime de Moubarak est aujourd’hui moins démocratique encore qu’elle ne l’était sous Moubarak puisque les Frères musulmans y sont purement et simplement interdits.
La Tunisie qui était, malgré la corruption des élites et leurs excès, sur la voie du développement, où les femmes bénéficiaient d’une modernisation de la société, est désormais en voie de régression.
Nos choix en Syrie sont tellement destructeurs qu’ils ont conduit certains services de renseignement occidentaux à changer leur fusil d’épaule.
La BBC affirmait récemment que les services de renseignement américain, britannique et allemand se seraient rendus à Damas pour commencer à coopérer discrètement contre le cancer islamiste en Syrie.
Mais alors, pourquoi avoir soutenu cela au début?
Et que fait la France?
Ce qui est certain, c’est qu’elle n’est pas en train de coopérer avec les services saoudiens contre le fondamentalisme.
Tout ceci au moment où l’on apprenait en décembre dernier que des parlementaires américains, démocrates et républicains demandent à déclassifier 28 pages d’un rapport du Congrès sur les attentats du 11 septembre qui contiendraient des révélations fracassantes sur la complicité entre le GID, le service secret saoudien, et les pilotes kamikazes du 11 septembre?
On peut légitimement commencer à se demander si les Américains ne se retirent pas discrètement sur la pointe des pieds d’une alliance avec l’Arabie Saoudite qui, de l’Irak à la Bosnie, en passant par le Caucase, l’Asie centrale, le Sahel, et bien sûr la Syrie, n’aura produit que du sang et des larmes.
Allons-nous donc succéder, nous Français, aux Etats-Unis, comme meilleurs alliés de ce pays dangereux, où règnent des clans extrémistes, qui, depuis l’origine du wahhabisme, n’ont qu’un projet, dominer l’islam mondial et le tourner vers un djihad contre les autres civilisations.
Je l’affirme aujourd’hui avec Aymeric Chauprade, le Front national, soucieux de ramener à la France à sa politique étrangère naturelle, condamne fermement cette alliance dangereuse.
J’appelle tous les Français qui croient dans la vocation d’équilibre de la France, dans sa sagesse internationale, à nous rejoindre pour participer à la refondation d’une véritable politique gaullienne de la France.
J’appelle nos compatriotes musulmans assimilés et donc modérés, à nous rejoindre pour combattre avec nous cette version violente de l’islam qui cherche à s’imposer partout, de l’Afrique à l’Asie du Sud-Est en passant par l’Asie centrale, l’ex-Yougoslavie, le Caucase et bien sûr notre propre territoire national.
Nous ne voulons pas de l’argent saoudien et qatari sur notre territoire, pas plus que nous n’en voulons comme alliés. Le monde compte suffisamment d’émergents solides sur lesquels nous pouvons appuyer nos partenariats, nos exportations, en Amérique Latine, au Moyen-Orient, en Asie, en Afrique aussi.
Je soutiens en revanche l’action stabilisatrice des forces françaises au Mali et en Centrafrique, malgré les difficultés évidentes dues à la fois au déclin programmé de notre outil de défense, mais aussi à l’absence de réalisme politique de nos dirigeants face aux réalités ethniques de l’Afrique.
La France a vocation à aider les Africains à consolider leur Etat-nation et elle pourra d’autant mieux le faire qu’elle ne laissera pas la « destruction européenne » affaiblir son propre Etat.
Nos bases en Afrique que le gouvernement Sarkozy eut la tentation de supprimer, montrent aujourd’hui leur utilité.
Une refondation de notre politique africaine, non seulement sur nos pactes de sécurité qui se révèlent aujourd’hui efficaces, mais sur une coopération plus marquée avec les gouvernants réellement préoccupés de développement s’impose aujourd’hui.
Notre soutien politique en Afrique devrait peut-être s’accompagner d’une conditionnalité, non pas démocratique à l’américaine, mais développementaliste, une astreinte à la politique de Bien commun en quelque sorte, à la politique de développement. Le développement est l’intérêt des Africains comme des Européens car les carences en développement causent l’immigration Sud Nord et Sud-Sud qui déstabilisent tant les Etats européens que les Etats du Sud.
Et c’est de ce développement que naitront des démocraties solides.
Pour développer cette vision, c’est donc désormais Aymeric Chauprade, que j’ai nommé Conseiller spécial auprès de la Présidente du Front national pour les questions internationales, qui m’épaulera. C’est à lui que vous pourrez désormais vous adresser s’agissant de nos positions en matière de politique étrangère et des détails que vous pourriez en attendre.
Ce n’est donc pas un hasard si c’est à lui que j’ai demandé de conduire la liste du Front national/ RBM aux élections européennes de 2014 à la fois en Ile de France et auprès des Français de l’étranger.
Dans une même logique de cohérence, c’est lui qui récupère la responsabilité de la fédération des Français de l’étranger.
L’Ile de France est sans doute la région française la plus liée à l’international non seulement parce que Paris est une grande capitale du monde, mais aussi parce que le siège de nombreux groupes français à dimension internationale s’y trouvent, certains de ces groupes qu’Aymeric Chauprade connaît bien pour les avoir conseillés sur le plan géopolitique.
Il me semble que le profil d’Aymeric Chauprade, qui a enseigné dans le monde arabe, qui voyage en Amérique Latine, en Asie, en Afrique est donc particulièrement adapté à cette circonscription.
Et puis, et c’est une autre touche originale du profil que je propose, celui d’un grand voyageur, il est aussi un Français de l’étranger et c’est la première fois qu’un parti politique envoie un signal aussi fort aux Français de l’étranger, souvent oubliés, en présentant un Français dont la famille est installée à l’étranger, en Autriche, dans l’Union européenne même si ses activités le mène une grande partie de son temps dans notre capitale.
Donc pour cette circonscription de près de 14 millions d’habitants, qui est à la fois un peu le monde dans la France et la France dans le monde, je vous propose un profil qui a un pied dans l’Union européenne et le monde, et un pied à Paris.
Je vous remercie.

[1] Accord entre l’Iran et les pays du Groupe des 5+1 (Etats-Unis/France/Royaume Uni, Russie, Chine et Allemagne) : Téhéran accepte de suspendre pour 6 mois son enrichissement d’uranium à 20% pour le limiter à moins de 5% et de ne pas installer les équipements du réacteur à eau lourde d’Arak, actuellement en construction. En contrepartie les pays occidentaux acceptent de ne pas imposer de nouvelles sanctions et de lever partiellement les sanctions imposées.
 

Intermezzo musicale avec Martha Angeriche

Éditorial de lucienne magalie pons

Notre éditorialiste  , directrice de notre service de réaction est en déplacement ""médiatique" en vue de recueillir des informations sur différents sujets d'actualités qui ne manqueront pas de vous intéresser.

Elle sera absente jusqu'à demain et reprendra ses éditoriaux vers 15 heures.

Elle nous a recommandé de publier en attendant son retour 2 ou quatres Revue de presse et des intermèdes musicaux.

Nous publierons une Revue de Presse dans la soirée, mais pour le moment nous vous offrons un  "intermezzo  musicale" en compagnie de  l'éblouissante Martha Agerich , tout d'abord en concert en compagnie de virtuoses   en concert à la Roque d'Anthéron, et ensuite dans un  entretien avec extraits musicaux

 


 référence et commentaires figurant sous la vidéo

:
Publiée le 11 mai 2013
Live from La Roque d'Anthéron International Piano Festival, 2005
With: Martha Argerich (piano), Renaud Capucon (violin), Gautier Capucon (cello), Flanders Symphony Orchestra (cond. Alexandre Rabinovitch-Barakovsky).
Program:
1. Sergei Prokofiev, Symphony No. 1 in D major, Op. 25 "Classical"(0:01:15)
2. Sergei Prokofiev, Concerto for Piano and Orchestra No. 1 in D flat major, Op. 10 (0:15:00)
3. Robert Schumann, Sonata for Violin and Piano No. 1 in A minor, Op. 105 (0:31:55)
4. Ludwig van Beethoven, Concerto for Piano, Violin, Cello and

000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000

 
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référence et commentaires  figurant sous la vidéo

Publiée le 26 nov. 2012


http://fr.euronews.com/ Une star éblouissante qui ne se laisse guère approcher. Un chef brillant à la tête de l'Orchestre de Santa Cecilia, sans doute le meilleur d'Italie. Tous les deux répètent pour un concert qui affiche complet. La pianiste virtuose a fait chavirer Rome dernièrement en interprétant le Concerto de Schumann aux côtés de musiciens qu'elle estime exceptionnels : "je les trouve sensationnels," souligne-t-elle, "à tout point de vue, musicalement, mais aussi l'esprit qu'ils ont maintenant, c'est extraordinaire !"

Farouchement attachée à son indépendance, rejetant les règles imposées par la carrière et la célébrité, Martha Argerich n'interprète pas la musique, elle l'incarne. "Il est impossible de séparer la personne de la musicienne : elle est la musique," affirme le chef Antonio Pappano avant de lancer : "tout d'abord, elle déborde tellement d'énergie ! Et malgré la vitalité et l'effervescence de son jeu, elle parvient au passage, à restituer chaque nuance. Ce que très peu de pianistes peuvent faire."

Selon lui, "on ne peut pas la mettre en cage, on ne peut pas la mettre dans une boîte, elle est un esprit libre, elle a une telle classe, une telle élégance d'autrefois, quelque chose d'un autre monde, c'est juste magnifique !" Une technique extraordinaire, une musicalité étourdissante et une hypersensibilité qui la rend proche du destin de Schumann, mort dans un asile psychiatrique. "Cela me touche beaucoup, sa souffrance aussi, énormément," confie Martha Argerich avant d'ajouter : "et aussi comme il était tellement généreux avec ses collègues, comme il était tellement plein d'amour, pour tellement de personnes, pour Chopin par exemple, ce qui n'était pas réciproque."

Pour Martha, la musique n'a de sens que si elle est partagée. Insoumise et courageuse, la virtuose a lutté toute sa vie contre la solitude. "Friedrich Gulda m'avait dit : "il faut que tu apprennes tout avant 16 ans parce qu'après on devient un peu stupide," raconte la musicienne, "je trouvais que je menais la vie d'une personne de quarante ans quand j'en avais 17 et je voulais vivre la vie des jeunes étudiants de mon âge qui étaient libres, qui s'amusaient un peu, qui n'avaient pas le trac et qui n'avaient pas ces problèmes. Je trouvais que ma vie était triste," poursuit-elle, "je faisais des voyages, seule, j'étais très timide, je suis très timide parce que je crois que cela, on ne le perd pas !" lance-t-elle avant de souligner : "à présent, il y a des amis partout, alors on prend soin de moi."

Quant à ce qui émane de son jeu, voilà ce qu'en dit Antonio Pappano : "on n'a pas besoin de connaître quelque chose à la musique pour être totalement atteint et contaminé, on est simplement renversé par l'ampleur de son énergie, mais en réalité, ce qu'elle fait est toujours extrêmement naturel," assure-t-il avant de conclure : "c'est comme si la musique ne pouvait pas être autrement."

Martha Argerich est considérée comme l'une des plus grandes pianistes de notre temps.


Notez que parmi les apparitions les plus récentes de l'Orchestre national de Santa Cecilia, cette tournée européenne commune avec Martha Argerich s'achève à Berlin le 26 novembre 2012.

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L'Assemblée Nationale a voté hier l'amendement de gauche supprimant la notion de situation "de détresse" dans la Loi Veil de 1975 sur l'IVG

Éditorial de lucienne magalie pons



Dans la société, d'après les échos que j'en ai eu en écoutant des radios inter active ou des auditeurs donnent leur avis, et j'en ai écouté plusieurs, les personnes qui réfléchissent sainement  et humainement , sans parti-pris  politique,   moral ou religieux, au sujet de  l’intervention de grossesse, en faisant appel à leur raison et à leur expérience de vie, sont en majorité  opposés   à  la suppression  de la notion de "situation de détresse", dans la loi Veil  de 1975 , en soutenant au contraire qu’il ne fallait pas toucher à cette réserve de la Loi Veil, mais plus encore  en disant qu’il fallait  aller vers un vrai progrès  en prenant des mesures  pour mieux  prévenir  et accompagner  les femmes enceintes en difficultés  afin   qu’elles  ne se trouvent  pas contraintes à recourir à l’interruption de grossesse,  si elles  souhaitaient garder leur enfant;


Il me semble que ces suggestions sont tout à fait raisonnables et humaines et iraient dans le bon sens  d'une protection sociale et sanitaire des femmes enceintes en difficultés,  mais la gauche  qui seule veut faire l'opinion et la loi, nous l'avons vu lors du mariage pour tous, ne tient pas compte de l'opinion publique, elle ne tient compte que revendications des minorités, qui développent des idéologies sulfureuses, affranchies de la réalité, et  finalement hier l’amendement présenté par la gauche socialiste a été voté en séance à l’Assemblée Nationale, ce qui ne surprendra personne puisque les députés de gauche sont majoritaires  à  l’Assemblée Nationale. et pédalent   en bloc , avec le gouvernement en tête,  comme des moutons de Panurge.

L’argumentation  de la Ministre des droits de la Femme Madame Najat Vallaud Belkacem   qui défendait lundi  devant l’Assemblée Nationale le droit au libre choix des femmes en matière d'Interruption volontaire de grossesse, en faisant référence notamment au libre choix de la femme , a été suivie – s’il en était besoin – par les députés de gauche  qui ont fait bloc  pour défendre la suppression  de la notion de « détresse »,   en parlant d'  «un toilettage d'une formulation devenue obsolète» de la loi Veil de 1975" et   en ressassant le slogan tout à fait ridicule du  « droit des femmes à disposer librement de leur corps",  en dénonçant toutes références  à un «ordre moral» », et tout retour en arrière sur l’IVG à l’image de l’Espagne

La majorité des députés de l'UMP   pour les plus nombreux d’entre eux ( à l’exception seulement de deux  femmes députées ,Nicole Ameline et Françoise Guégot),  ont plaidé contre la suppression de la notion de «détresse», estimant que cette «modification dogmatique» remettait en cause «l'équilibre» de la loi Veil et  en refusant toute «banalisation de l'avortement»., ils ont aussi souligné que la majorité divisait les  Français , deux jour après la marche pour la vie  qui a réuni des dizaines de milliers de personnes  dimanche  dernier à Paris,  et certains  députés ont  avancé qu’en fait il s’agissait pour la majorité d’une manœuvre  qui tentait  de   ressouder,   autour d’un sujet de société,   les  socialistes, les sociaux-démocrates, la gauche,  et le front de gauche,  que l’on sait divisés par ailleurs au plan économique et social..
Jean-François Copé le Président de l’UMP  a affirmé que jamais la notion de détresse n’a empêché une femme d’avoir accès  l’IVG , et  il a accusé la gauche de « casser ce qui fait le consensus par seul intérêt politicien, politicard " …… «Le gouvernement est pitoyable quand il cherche à diviser alors que tout le monde pourrait s'entendre sur un vrai progrès : mieux prévenir les grossesses non-désirées et mieux accompagner les femmes enceintes en difficultés qui souhaitent garder leur enfant», a-t-il soutenu;
Et sur cette question très grave qui met en jeu  la vie d'un enfant à naître nous sommes de son avis, mieux prévenir que guérir par une interruption de grossesse radicale, qui en fait aurait pu être prévenu par une aide préventive en amont adapté à chaque cas..

La position des députés UDI , Sophie Lagarde , Jean-Loui Borloo est apparue assez " partagée", pas assez ferme,  ils ont soutenu  l’article tout en regrettant  qu'il «crée une fracture inutile dans notre société,  une source  "de tensions et divisions"..

Par contre la députée Front National  Marion Maréchal- Le Pen  a été très nette en plaidant  a  la suppression de l'amendement socialiste  en déclarant notamment : … «Pour défendre, quoi qu'on en dise, la vie, il faut conserver ces gardes fous qui sont aussi moraux»,  et comme elle est la plus jeune  députée de l’Assemblée  nationale , et que quand elle a la parole  elle s’exprime sans se perdre  en mots inutiles  en faisant ressortir l’essentiel, , faisons-lui honneur  en reproduisant ci-dessous l’intégralité de  son intervention   :

Copié /collé extrait du compte rendu :
 


Mme Marion Maréchal-Le Pen. : Rassurez-vous, pas besoin de grande envolée lyrique puisqu’il n’est absolument pas question de remettre en cause la légalité de l’avortement ni de défendre le projet de loi actuellement défendu en Espagne, comme on l’a entendu : il s’agit simplement de conserver un certain nombre de garde-fous autour d’un acte dont tout le monde s’accorde à dire qu’il est lourd de conséquences psychologiques et parfois physiques. Je voudrais d’abord relever un paradoxe dans l’intention première qui est la vôtre et dans la définition de cet article. Vous l’avez encore répété ce soir, vous niez dans le débat public – et c’est votre droit – l’existence de formes d’IVG que certains médecins appellent de confort. Je trouve que cet article prouve l’inverse, puisque vous mettez en exergue des situations où les femmes recourent à l’IVG en l’absence totale de détresse psychologique et matérielle. Cela relève donc d’un choix de vie que l’on peut, de fait, qualifier de confort. Je tenais à relever ce paradoxe qui m’apparaît flagrant.

Je défends la suppression de cet article parce que j’estime que l’accès illimité à un acte intégralement pris en charge par la communauté nationale nécessite un certain nombre de garde-fous de responsabilité. Or, je crois que, contrairement à ce que vous dites, ce n’est pas simplement prendre acte d’un état de fait, mais que la suppression de la notion de détresse va forcément entraîner un certain nombre de conséquences dans la période précédant l’avortement, comme la suppression du recours à un psychologue

Mme Catherine Quéré. Mais qui a dit cela ?
Mme Marion Maréchal-Le Pen. …ou d’un certain nombre d’étapes de conseil et la modification du délai de réflexion, puisque seul le choix sera décisif. Pour toutes ces raisons et pour défendre, quoi qu’on en dise, la vie, puisqu’il s’agit quand même de l’existence ou non d’un être humain, qu’on le veuille ou non, je crois qu’il faut conserver ces garde-fous qui sont aussi moraux. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC, GDR et écologiste.)
M. Jacques Bompard. Très bien !
Fin du copié collé
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Après avoir lu cette intervention vous avez remarqué  que sur les bancs  des députés du  groupe SRC, GDR et écologistes , dès que les  mots  "qui sont aussi moraux"  ont été  prononcés,  des exclamations de rejet  se sont élevées  de la part  de ces députés de  comme si le mot moral et son pluriel devaient être mis à l'index et soupçonné  de réminiscences analogues prêtées à  la quenelle de Dieudonné !

 Ceci dénote l'état d'esprit agressifs  de ces députés qui  surveillent chaque mot prononcé par la  députée du FN , pour trouver l'occasion de faire du  tapage en séance jeter sur elle une suspicion, qui n'a pas lieu d'être.

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Par ailleurs en cours de séance un autre amendement présenté cette fois  par l’UMP a été rejeté, une quinzaine de députés UMP  souhaitaient  que l'IVG ne soit plus remboursée  par la Sécurité sociale.  Mais à ce sujet l’UMP était divisée,  le président du groupe UMP, Christian Jacob, s'était  prononcé contre,  le député (et médecin)  Bernard Debré s'était dit «écœuré» par cette initiative. 

Face au député UMP des Yvelines, Jean-Frédéric Poisson, qui plaidait pour cet amendement, la Ministre des droits de la femme ,  Najat Vallaud-Belkacem a lancé qu'il était «insupportable» de vouloir «exclure du droit à l'IVG les femmes les plus modestes».

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Notre ressenti :

Ce qui a marqué les insuffisance des  arguments de la gauche,  pour  justifier   la suppression de notion de détresse, c’est  surtout leurs références répétitives  « au droit des  femmes de disposer de leur corps » ,  présenté comme un dogme absolu, au  "libre choix des femmes en matière d'Interruption volontaire de grossesse » et  de répéter  et répéter  qu’il existent  dans la société une résurgence et des tentatives de régressions pour un «retour en arrière»  de    l'IVG à l'image de l'Espagne.

Or l'ensemble des argumentations de la gauche  est  volatil et irréaliste, ils n'ont jamais  vraiment ouvert la dimension humaine de l' interruption de grossesse, ses répercussions  au sein de la famille, et dans la société,  à part quelque considération sur la  décision douloureuse  de la femme qui recours à l'IVG, ils ont "survolé" le dossier   en lançant des dogmes idéologiques, très éloignés de la réalité et  du vécu, ils ont cité l'Espagne à de nombreuses reprises,  comme la preuve d'un risque de «régression» possible de ce droit des femmes en France, ce qui est une extrapolation gratuite, et sur le fond ils ont traité l'interruption de grossesse comme le droit à un acte médical radical , sans se préoccuper de la vie de l'enfant à naitre.La ministre des droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem a notamment déclaré que "l4VG est un droit à part entière 

 Cette déclaration est irresponsable, il y a des conditions à respecter ne serait-ce que  pour s'assurer qu'il s'agit bien d'un libre choix, d'une libre décision.

En fait l’argumentation de la gauche est  restée toute idéologique, politique, et forcément superficielle , elle ne va pas au fond de la question.


Les députés de droite au contraire ont argumentés au fond en n'éludant aucun aspect de l'interruption de grossesse, qu'il s'agisse du coté humain, du coté social , sans  pour autant aller chercher des repères idéologiques  et des exemples  superflus, mais en restant dans la ligne du droit, et comme leurs arguments sont nombreux vous les retrouverez en revue de presse

(Avant de passer en revue de Presse où vous retrouverez les vidéos et  les comptes rendus des séances de l’Assemblée Nationale,  dont celle d’hier qui a duré 2 heures, nous vous rappelons que nous avions publié hier un éditorial sur la question  de l’interruption de grossesse, par rapport à l’interruption médicale de grossesse, en préambule à celui-ci, et si vous le souhaitez vous pouvez le retrouvez en cliquant sur le lien  ci-dessous :IVG : Le ggouvernement et la majorité socialiste veulent supprimer la notion de détresse dans la loi sur l'IVG de 1975)

*  informations :
  • Séance publique

    Mercredi 22 janvier dans la soirée, l'Assemblée poursuit l'examen du projet de loi, adopté par le Sénat, pour l'égalité entre les femmes et les hommes.

REVUE DE PRESSE  : :

 Vidéos : 


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.- comptes-rendus 

 mardi  21  janvier 2014 - 2me séance - (138e)
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lundi 20 janvier 2014 - 1ère séance (135e)

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lundi 20 janvier 2014 - 2ème séance (136e)

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Face à Philippe de Villiers / 1er novembre 2024 (CNews) - RELAIS D'INFORMATION -

Source de la VIDEO CNews/YouTube)