Cette initiative part d’un constat simple : alors que l’Union européenne s’impose des normes écologiques de plus en plus contraignantes, les États-Unis et la Chine avancent à marche forcée, sans les mêmes entraves. Washington subventionne massivement son industrie avec l’Inflation Reduction Act, tandis que Pékin développe son économie sans restriction majeure, exploitant même davantage le charbon. Pendant ce temps, l’Europe asphyxie ses entreprises,ses agriculteurs et son industrie sous des réglementations qui freinent sa compétitivité, et dont l’efficacité environnementale reste à prouver. Comme le souligne Jordan Bardella, cette spirale risque d’accentuer la marginalisation de l’UE face aux grandes puissances. Plutôt qu’une écologie punitive qui affaiblit notre souveraineté, l’Europe doit repenser son modèle pour concilier transition environnementale et puissance économique. Suspendre temporairement le Green Deal permettrait d’évaluer ses véritables impacts et d’éviter un déclassement irréversible. De plus, il est probable que la Commission européenne a financé des ONG écologistes pour influencer les eurodéputés et les États membres en faveur du Green Deal. Une telle méthode constitue une atteinte grave au débat démocratique et peut-être même des infractions, raison pour laquelle nous avons notamment saisi le parquet européen et l'OLAF afin de déclencher des enquêtes. En faussant les prises de décision, en maintenant ce pacte vert dont nos peuples ne veulent pas, la Commission persiste dans l'erreur. Nous ferons tout pour l'en empêcher. |
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