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26 février 2024

"REBUS SIC STANTIBUS " : Message de Mr.Jacques Myard du 24 février 2024 _ ( Source : Jacques Myard, Président du Cercle Nation et République et de l'Académie du Gaullisme )

Éditorial de lucienne magalie pons


J'ai reçu le 24 février 2024,  pour information, le récent  Message de Monsieur Jacques Myard que j'ai plaisir à reproduire ci-dessous à l'attention de mes lectrices et lecteurs, nous y trouvons  son opinion  avisée sur les actualités en cours notamment sur les difficultés économiques que nous traversons,  les récessions, l'inflation, les turbulences et revendications sociales qui en découlent ...etc... et en conclusion Monsieur Jacques Myard  cite Tite Live et  Seneque comme suit :

« Il faut oser ou se résigner à tout. »  TITE LIVE

« Ce n’est pas parce que les choses  sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. »  SENEQUE



cid:TE9HTyBDTlI0LmpwZw$923849$360897@jacquesmyard


MESSAGE
de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Président de l'Académie du Gaullisme




24 Février 2024


REBUS SIC STANTIBUS 

CHANGER DE POLITIQUE ÉCONOMIQUE, UNE URGENCE ABSOLUE !

La France connaît de multiples difficultés économiques, l’Allemagne est en récession, l’Union européenne (UE) connaît des turbulences fortes avec les agriculteurs, mais aucun expert ne recherche les raisons structurelles de cette crise, caractérisée par :

- l’inflation « ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » « Les animaux malades de la Peste » La Fontaine.

-la forte baisse du pouvoir d’achat des salariés, des agents publics et des retraités.

-le coup d’arrêt à la baisse du chômage, qui remonte.

-la baisse drastique des investissements : la France subit une faiblesse dramatique des investissements privés et surtout publics.

Il y a une dizaine d’années, les collectivités territoriales, communes, agglomérations, départements et régions effectuaient plus de 70 % des investissements,

aujourd’hui elles n’en réalisent que 50% en raison de la faiblesse de leurs ressources.

Le budget de l’État auquel s’ajoute le budget social s’établit à 1132 milliards d’euros avec un déficit de 157,5 milliards d’Euros. Au total les investissements de l’État culminent à 25,7 milliards soit 3,3 %.

Pour leur part, les entreprises françaises assurent 60 % des investissements français.

La balance commerciale de la France est en déficit depuis 2002, il est estimé à plus de 95 milliards en 2024, 105 milliards en 2023.

-la hausse des taux bancaires a totalement paralysé le marché immobilier et toutes les opérations d’aménagement. Les banques refusent de financer des opérations dont la réalisation est impossible en raison du coût des crédits.  

En un mot, l’économie française est en panne. Le gouvernement avait prédit une croissance de 1,4 % en 2024 (PLF pour 2024) ; il admet que la croissance ne sera que de 1 % seulement, l’INSEE pour sa part l’estime à 0,9 %.

Quant à l’Allemagne, elle est en récession en 2023.

Face à cette situation, quelle peut être la solution ?

Elle existe mais il convient de sortir des errements en vigueur, en s’interrogeant sur les règles actuelles qui enserrent l’économie.

Il est singulier que la conduite de l’économie ait été scellée dans le Traité de Maastricht dont les stipulations ont été reprises dans le traité de Lisbonne, puis dans le Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne (TFUE).

Curieuse manière de vouloir couler dans le bronze d’un traité institutionnel la vie financière et économique qui, par nature, est une matière changeante et mouvante, bien loin des certitudes juridiques ; cela s’apparente à un carcan idéologique.

C’est ainsi qu’aux termes de l’article 123 du TFUE :

« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ,organes ou organisme de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques ,aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l’acquisition directe auprès d’eux , par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

Cette stipulation est lourde conséquence : les ÉTATS sont ramenés au rang de simples acteurs privés, ils ne doivent se financer qu’en empruntant sur les marchés comme les ménages ou les entreprises.

Or, sous la IVe République et la Vème jusqu’au traité de Maastricht signé en 1992 et entré en vigueur en 1993, la reconstruction du pays s’est faite grâce « aux avances de la Banque de France » au trésor, ce qui est expressément interdit par l’article 123 du TFUE.

Il est juste de rappeler que les économistes avaient critiqué la technique des avances comme étant un facteur inflationniste. La loi française avant Maastricht avait, au demeurant, encadré le montant des avances par une loi de 1973.

C’est grâce à ces financements que la France s’est relevée.

Peut-on en rester dans le cadre contraignant et suranné de Maastricht, qui acte une idéologie qui fut vrai à un moment de l’histoire mais apparaît aujourd’hui obsolète ? le Traité de Maastricht et le TFUE sont-ils des vérités d’évangile, des dogmes immuables ? La réponse est NON !

Tout traité du droit international régi par la règle PACTA SUNT SERVANDA doit être appliqué de bonne foi pour autant que les circonstances essentielles qui ont justifié sa conclusion demeurent.

C’est la CLAUSULA REBUS SIC STANTIBUS, les choses demeurant en l’état, inscrite à l’article 62 du traité de Vienne sur le droit des traités (1969).

Cette clause doit permettre à la France de justifier des avances de la Banque de France au Trésor pour l’INVESTISSEMENT qui fait défaut à notre économie. Ces avances viendront, justement en étant investies, relancer l’économie.

Certes, les salonards dogmatiques, incapables de sortir de leur vision préformatée, vont hurler à la forfaiture, mais ce ne sera pas la première fois que des États se délient d’obligations irréalistes et obsolètes.

Cela s’est produit un certain nombre de fois en matière monétaire ; ce fut le cas lorsque, le 15 août 1971, le président Reagan a découplé le dollar de l’or, mettant fin à un système monétaire international inadapté !


« Il faut oser ou se résigner à tout. »  TITE LIVE

« Ce n’est pas parce que sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » SENEQUE




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17 février 2024

VIDEO _Nicolas Dupont-Aignan, Député de l'Essonne, plaide pour la paix en Ukraine , il déplore l'aide démesurée que le Président français Macron sans consulter notre Parlement apporte au Président Ukrainien Zélenski

Relais d'information  de lucienne magalie pons
  

  
 Bicolas Dupont-Aignan dénonce  "la folie guerrière de Macron ... qui  devient un danger public"  et risque de déclencher une guerre nucléaire en Europe, une troisième guerre mondiale.

La vidéo que nous avons reproduite ci-dessus, de source Nicolas Dupont-Aignan  est intitulée "  Stop à la folie guerrière de Macron : j'invoque l'article 35 de la Constitution !  #NDA "




SOURCE : 



27 janvier 2024

Après les annonces du premier ministre Gabriel Attal, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs appellent à poursuivre la mobilisation,et les agriculteurs sont toujours en colère, certains blocages sont maintenus, quelques médias parlent de désescalade ,

Editorial Relais d'Information de lucienne magalie pons

 Les  annonces incomplètes  d'un premier ministre souriant et  décontraté  qui a éclaté de rire au cours de son intervention n'ont  pas convaincu les Agriculteurs   qui restent  en   colère ...
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Avant de poursuivre notre Relais d'Informations nous introduisons  ici une  note   de lucienne magalie pons,  notre directrice de rédaction 🔻


Mais oui, mais oui , les Agriculteurs sont en colère, nous le savons et ça ne datent pas d'hier , les médias nous le répètent depuis le début du mouvement en attendant que le chef  l'exécutif qui travaille sur la question  traitent le problème .
 Nous les citoyens  Français  moyens  que pouvions nous faire ?,  personne ne nous écoute et du reste encerclés par notre quotidien difficile depuis des décennies, de plus en plus  appauvris  et démunis de moyens d'action nous sommes attristés par un sort incertain et voilà  que les agriculteurs nous dévoilent  au fil des interviews et en public sur les routes en sillonnant la France pour manifester ,  les grandes difficultés qu'ils ne  peuvent plus surmonter pour continuer à produire.

Donc depuis quelques jours nous étions non seulement atterrés pour eux, mais aussi inquiets pour nous  en craignant  des ruptures d'approvisionnement et des privations .

 Les médias en rajoutent en nous parlant du défaut d'unité professionnelle  et de la mésentente des syndicats agricoles ,  chacun de ces organismes   tirant la couverture de son côté selon la diversité  et la puissance de ses adhérents , et nous avons aussi été horrifiés par le grave accident qui est arrivé après le forçage d'un barrage 

 Trop c'est trop, et l'espoir  d'apaisement que les médias laissaient planer en annonçant la  prise de parole d'un"haut" responsable du Gouvernement, cet espoir  était mis en doute par des politiques chevronnés qui comme tout le monde s'impatientaient  d'attendre une  intervention du nouveau premier ministre Gabriel Attal, qui il faut bien le dire ,  pris dans l'euphorie et les parades de  ses nouvelles fonctions,   n'avait sans doute pas prévu si rapidement de  trouver en face de lui  un mouvement social d'une telle ampleur à traiter.

Finalement le premier ministre Gabriel Attal a pris la paroole le 26 janvier 2024  depuis Montractus-de Salles en Haute-Garonne, dans une exploitation agricole  en présence d'une quarantaine d'agriculteurs, et avant de poursuivre notre Editorial  nous vous proposons de prendre connaissance en intégralité    du communiqué qui figure sur le site du Portail du Gouvernement , communiqué   intitulé "Annonces au monde agricole", publié le 26/01/2024, en vous rendant directement sur le Portail du Gouvernement 
 Vous pouvez aussi retrouvez ce communiqué
 en cliquant sur le lien suivant 🔻

  Communiqué ·Agriculture

Gabriell Attal pense-t-il apaiser la colère des agriculteurs en venant tout souriant faire une sorte de constat de la situation agricole ses annonces qui restent de surface en n'évoquant pas  les problèmes importants ?, ou en éclatant de rire en cours d'intervention ? , je n'en suis pas convaincue ... et en entendant les premières réactions je crois tout bonnement qu'il n'a convaincu  que peu de personnalité, ce que note c'est  que  la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs appellent à porsuivre la mobilisation, bref  que les agricuteurs sont  toujours en colère, et vont poursuivre leur mouvement de protestation  et les blocages en maintenant la pression, certains médias parlent de désescalade , mais aujourd'hui nous n'avons pas encore vu de désescalade. 
 Nous vous proposons de prendre connaissance en intégralité    du communiqué qui figure sur le site du Portail du Gouvernement , communiqué   intitulé "Annonces au monde agricole", publié le 26/01/2024, en vous rendant directement sur le Portail du Gouvernement 
 Vous pouvez aussi retrouvez ce communiqué
 en cliquant sur le lien suivant 🔻

  Communiqué ·Agriculture

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Suite  de notre Relais d'informations