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28 novembre 2020

Message-vidéo de Florian Philippot - " L' Etat autoritaite : les pièges autour de l’affaire Michel Zecler" - 28 novembre 2020 -source Florian Philippot -

Éditorial de lucienne magalie pons

 POUR INFORMATION  DE SOURCE FLORIAN PHILIPPOT

L’État autoritaire : les pièges autour de l’affaire 

Michel Zecler 🔻





28 novembre 2020

SOURC E :

FLORIAN PHILIPPOT



Le Podcast #01 : " La France en guerre contre l’islamisme" _ RASSEMBLEMENT NATIONAL | MEDIAS - 28 novembre 2020-, avec Gaëtan Dussausaye, Philippe Vardon et Andréa Kotarac.



            Éditorial de lucienne magalie pons


            RELAIS D'INFORMATION de source Rassemblement National 

Pour lire la vidéo cliquer sur le triangle blanc ) à  droite sur l'image :

Le Podcast #01 : La France en guerre contre l’islamisme

 | MEDIAS 28 novembre 2020

Premier numéro du podcast du Rassemblement National, en compagnie de Gaëtan Dussausaye, Philippe Vardon et Andréa Kotarac, sur le thème “La France en guerre contre l’islamisme”.



Le Podcast #01 : La France en guerre contre l’islamisme

Premier numéro du podcast du Rassemblement National, en compagnie de Gaëtan Dussausaye, Philippe Vardon et Andréa Kotarac, sur le thème "La France en guerre contre l'islamisme".

RELAIS D'INFORMATION de source "La Lettre Patriote ": Tribune de Viktor Orbán : " L'Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros"

Éditorial de lucienne magalie pons

 
RELAIS D'INFORMATION:

TRIBUNE de Viktor Orbán

L’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros
🔻

 DE SOURCE 




Viktor Orbán

Nombreux sont ceux qui pensent que le chef du gouvernement d’un pays n’a pas à débattre avec George Soros. Pour eux, Soros est un délinquant économique, qui a gagné son argent par la spéculation, par la ruine de millions de personnes, et même par le chantage exercé sur rien moins que des économies nationales. Tout comme les gouvernements ne peuvent pas discuter avec des terroristes, les chefs de gouvernement ne peuvent pas non plus débattre avec des délinquants économiques.

J’y suis tout de même contraint aujourd’hui, parce que George Soros, le milliardaire spéculateur d’origine hongroise, a publiquement imparti des ordres aux dirigeants de l’Union européenne dans un article paru le 18 novembre sur le site dénommé Project Syndicate, dans lequel il leur intime de punir sévèrement les Etats-membres qui se refusent à s’intégrer dans un empire européen global et unifié sous la bannière de la société ouverte.

Tout au long de l’histoire, ce sont toujours les nations qui ont donné sa force à l’Europe. Bien que les nations formant l’Europe soient d’origines perses, les racines communes de notre foi les ont réunies. Le modèle de la famille reposant sur la tradition judéo-chrétienne a été le fondement de nos communautés. C’est la liberté chrétienne qui a assuré la liberté de la réflexion et de la culture et a créé une concurrence bénéfique entre les nations de l’Europe. Le mélange vertueux des différences a fait de l’Europe, pendant des siècles, la force motrice du monde.

Toutes les tentatives visant à chercher à unifier l’Europe sous l’égide d’un empire ont échoué. C’est pourquoi l’expérience historique nous fait dire que l’Europe ne sera de nouveau grande que lorsque ses nations le seront également, et qu’elles sauront résister à toute tentative impériale.

Des forces puissantes sont de nouveau à l’oeuvre pour faire disparaître les nations européennes et unifier le continent sous l’égide d’un empire global. Le réseau Soros, qui imprègne de toutes parts la bureaucratie européenne et les élites politiques, travaille depuis des années à faire de l’Europe un continent d’immigration. Aujourd’hui, le plus grand danger qui menace les Etats de l’Union européenne est représenté par le réseau Soros et la société ouverte, employés à promouvoir l’élimination des cadres nationaux. Les objectifs du réseau sont clairs : au travers de l’accélération de la migration, créer une société ouverte multiculturelle et ethniquement mélangée, démanteler les processus de décision nationaux et les remettre entre les mains des élites globalisées.

L’Union européenne est à la peine. Elle est atteinte depuis 2008 par une crise économique inédite, depuis 2015 par une crise migratoire, et en 2020 par une pandémie dévastatrice. Elle n’est même pas sortie de ses crises précédentes qu’elle doit faire face aux conséquences encore plus lourdes de la pandémie du coronavirus. Les signes en sont déjà là. La dette publique, le chômage, l’état de l’économie atteignent des niveaux critiques dans nombre de pays. L’on n’a jamais eu davantage besoin de la solidarité européenne et du rassemblement des nations européennes pour se venir mutuellement en aide.

Lors d’aucune de ces crises le spéculateur qui se dit philanthrope ne s’est préoccupé des intérêts des Européens. Il a chaque fois agi en fonction de ses propres intérêts. L’on se souvient, au moment de la crise économique, de son attaque contre le forint et contre la plus grande banque de Hongrie ainsi que, au moment de la crise migratoire, de son plan visant à l’accélération de l’implantation, de la répartition et du financement des migrants. A présent, au lieu de la solidarité et de l’entraide mutuelle, le voilà qui se présente avec une proposition visant à nous punir les uns les autres.

Le réseau dirigé par George Soros ne recule même plus devant l’intervention ouverte. Il veut placer les Etats-nations sous la pression la plus forte possible. Il dresse les uns contre les autres les peuples d’Europe. Les moyens employés par le réseau sont multiples et actifs sur les scènes les plus variées de la vie publique. La liste est longue des responsables politiques, des journalistes, des juges, des bureaucrates, des propagandistes politiques maquillés en représentants de la société civile qui émargent aux fiches de paie établies par George Soros. Et bien que le milliardaire accuse tous ses adversaires de corruption, il est lui-même l’homme le plus corrompu de la terre. Il paie et achète tous ceux qu’il peut. Ceux qu’il ne peut ni payer ni acheter ont droit aux rigueurs de la redoutable arme du réseau : le dénigrement, l’humiliation, l’intimidation, l’annihilation au travers de la presse de gauche.

De nombreux bureaucrates de haut niveau de l’Union agissent de concert avec le réseau de George Soros en vue de la création d’un empire unifié. Ils souhaitent mettre en place un système institutionnel visant à imposer aux nations libres et indépendantes d’Europe un mode de pensée unique, une culture unique, un modèle social unique. En leur ôtant le droit de tout peuple à décider lui-même de son sort. C’est le but de leur proposition appelée Etat de droit, qui ne reconnaît toutefois pas la prédominance du droit, mais celle du plus fort.

Les différences sont évidentes. Soros veut une société ouverte (Open Society), nous voulons quant à nous une société protégée (Safe Society). Pour lui, la démocratie ne peut être que libérale, pour nous elle peut être aussi chrétienne. Pour lui, la liberté ne peut servir que l’affirmation inpiduelle, pour nous la liberté peut aussi consister à suivre l’enseignement du Christ, elle peut aussi être mise au service de la patrie et de la protection de notre famille. La base de la liberté chrétienne est la liberté de décider. C’est ce qui est mis en danger aujourd’hui.

Etats-membres vivant du côté oriental de l’Union, nous savons très bien ce que signifie être libres. L’histoire des nations d’Europe centrale a été un combat incessant de la liberté contre les grands empires, afin d’arracher jour après jour, face à eux, notre droit à décider de notre sort. Nous savons d’expérience que toute aspiration impériale rend esclave. Nous sommes encore un certain nombre, issus de la génération des combattants de la liberté – les pays de l’ancien Bloc de l’Est de l’Estonie à la Slovénie, de Dresde à Sofia – qui avons encore une expérience personnelle de ce que veut dire résister à l’arbitraire, au fait du prince, et à sa version communiste. Intimidation, annihilation matérielle et morale, vexations physiques et spirituelles. Nous n’en voulons plus.

Les dirigeants occidentaux, qui ont vécu toute leur vie à l’abri de la liberté et de l’Etat de droit dont ils ont hérité, devraient maintenant écouter ceux qui ont combattu pour la liberté et qui sont à même, du fait de l’expérience de leur propre vie, de faire la différence entre l’Etat de droit (Rule of Law) et la volonté d’un seul (Rule of Man). Ils doivent accepter que nous ne puissions pas sacrifier au 21ème siècle la liberté que nous nous sommes gagnée au 20ème.

L’issue du combat pour ou contre le nouvel empire bruxellois n’est pas encore tranchée. Bruxelles semble tomber, mais une bonne partie des Etats-nations résiste encore. Si nous voulons conserver notre liberté, l’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros.

La version des policiers, consignée sur Procès verbal est différente de la version édulcorée et partisane que nous servent les médias et le Producteur de musique qui se dit victime de "racisme" ( différentes sources )

Éditorial de lucienne magalie pons







Les médias porteurs de la parole unique relayent tous avec  un parti-pris qui se veut arbitraire  et  force lamentations   le  tabassage de Michel Zeclerc, Producteur de musique,  en favorisant la thèse de Michel Zecler qui s'exprime dans la vidéo ci-dessus après l'incident mais cette fois masqué, en accusant les policiers de racisme,   mais leurs informations sont incomplètes ... cependant on  trouve sur des sites internet une version plus exacte  des faits qui remonte plus haut  que l'interpellation et nous pensons que pour savoir de quoi il en retourne vraiment il faut s'informer autrement. qu'en écoutant les journaleux- gourous de la désinformation.

Nous notons au passage que Michel Zeclerc avant son interpellation  avec les policiers ne portait pas de masque , s'agissait-il d'une provocation pour créer un incident ? , naturellement personne  parmi les adeptes de la bien-pensance  codifiée et partisane  n'envisage cette éventualité et pourtant on a le droit de s'interroger !  

Pour accéder à une information plus complète que l'information édulcorée que nous servent  les praticiens de la langue de bois et   et de la bien-pensance médiatique assujettie à la désinformation en continu sur  dispensée en boucle sur BFMTV, LCI etc... nous copions/collons ci-dessous:

 1/ un article publié sur le site                  
  " qui met en évidence la version des policiers en citant comme source le PV de la déposition des policiers, et   France Bleu, 

- et plus bas vous trouverez aussi en copié/collé 

2 / la version de   France BleuFrance Bleu Paris


Nous ajoutons que jusqu'à preuve du contraire nous sommes d'abord intéressés par la version des policiers 

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1/ de source  du site 

 Copié/collé 🔻

" Interpellation du  "Producteur producteur de musique" ; la version des policiers
Marc Sergent 
  
 Nos confrères de France Bleu ont pu consulter le PV de la déposition des policiers.

Dans ce PV rédigé par un gardien de la paix, les policiers racontent avoir aperçu “un individu non porteur du masque qui se dirige d’un pas rapide vers la rue de Renaudes (…) L’individu ne cesse de jeter des coups d’œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux

Les policiers racontent qu’ils décident de le contrôler “vu la réglementation concernant la lutte contre le Covid-19 et la mise en place du confinement. “Nous nous dirigeons vers lui, revêtus de notre brassard police tout en lui déclinant notre qualité et intention à son égard. Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne. Il est porteur d’un gros sac en bandoulière de couleur marron, précise le PV.

L’homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l’aide de ses mains et se précipite par la porte d’un établissement recevant du publicqui se révèlera être un studio d’enregistrement musical. “Dans son action, alors que nous tentons de l’intercepter, il nous entraîne de force dans l’enceinte du bâtiment, racontent les policiers.

Le PV se poursuit par le récit de ce qui s’est passé dans le hall d’entrée du studio de musique. “Nous tentons d’interpeller l’individu avec peine. Celui-ci se débat et nous repousse à plusieurs reprises avec ses bras en tentant de nous porter des coups et en hurlant des prénoms comme pour solliciter de l’aide afin d’échapper à notre emprise. Nous tentons vainement de procéder à son menottage.

Ce dernier devient dangereux à notre égard, nous trouvant dans un milieu clos, qui ne nous permet que peu de mouvements, nous sommes contraints d’effectuer, via les gestes techniques et professionnels, une amenée au sol de l’individu (…) Dans la débâcle, l’homme tente à plusieurs reprises de se saisir de notre arme administrative, se trouvant dans un étui comportant une sécurité, ce qui entrave ses intentions. Il tente également de se saisir d’un objet se trouvant dans sa sacoche, sans succès et sans que nous ne puissions déterminer la nature de l’objet. L’individu hurle et nous donne des coups avec ses bras et ses jambes, indique le PV.

Les trois policiers affirment avoir alors tenté de sortir du local, en vain. “L’individu continue de nous porter des coups avec ses bras et ses jambes et se met devant la porte de sortie, nous empêchant ainsi de quitter le local (…) Nous constatons la présence d’un escalier semblant donner sur un étage en sous-sol, d’où semble provenir soudainement une dizaine d’individus. Ces derniers crient à plusieurs reprises ‘on va vous défoncer’, ‘vous êtes morts’. Le brigadier tente de bloquer la porte d’accès donnant sur cet escalier, afin que la dizaine d’individus y restent bloqués, ces derniers étant susceptibles de représenter un danger imminent à notre égard.

Le PV décrit une “situation de plus en plus critique. “Nous recevons à plusieurs reprises des coups au niveau du visage, émanant de l’individu dont nous souhaitions initialement procéder au contrôle (…) Le brigadier et le gardien reçoivent également plusieurs coups portés par l’individu bloquant la porte d’accès extérieur, au niveau du ventre, des bras et du visage.

Ne parvenant toujours pas à nous extraire de ce local, le gardien se saisit de sa matraque télescopique et en porte plusieurs coups au niveau du ventre des jambes, des bras de l’homme. Ce dernier semble totalement insensible à la douleur et parvient à se saisir de la matraque télescopique par le bout. Il tente de s’en emparer (…) Le gardien effectue une saisie arrière sur l’individu et nous parvenons à cet instant à récupérer sa matraque télescopique des mains de l’individu. Nous portons alors plusieurs coups de matraque télescopique à l’individu dont certains, dans la débâcle et l’agitation l’atteignent au visage, indique le récit des policiers. C’est alors qu’ils parviennent à ouvrir la porte et à sortir du local.

A l’extérieur, les trois policiers trouvent les renforts qu’ils avaient sollicités par radio. Ils décident de tenter à nouveau de rentrer dans l’établissement “afin de procéder à l’interpellation de l’auteur des violences à notre égard, ainsi que, vu le contexte sanitaire en vigueur, de procéder à des contrôles et vérifications sur la présence de l’ensemble des occupants de ce local, ne s’apparentant aucunement à un lieu d’activité de première nécessité. A cet instant, l’auteur des violences à notre égard se place derrière la porte et fait délibérément obstacle à son ouverture. Alors que la porte se trouve entrouverte, un effectif de police que nous ne sommes pas en mesure d’identifier (…) qui ne fait pas partie de notre unité, jette une grenade lacrymogène de type MP7 dans l’enceinte du local, poursuit le procès-verbal. 

Les policiers racontent qu’ils attendent “à l’extérieur que le gaz se dissipe. Vu la superficie des lieux, les individus à l’intérieur ont la possibilité de se dégager et de se protéger des gaz”, estiment-ils.

Nous pénétrons à nouveau dans le local et en extrayons l’ensemble des personnes s’y trouvant, notamment “l’auteur des violences à notre égard. Il est alors 18h55, selon le PV. “Lors de son menottage, l’individu ne se laisse pas faire, un gardien de la paix se blesse au pouce. Les neuf autres hommes présents dans les locaux, tous âgés d’une vingtaine d’années, sont interpellés.

__ fin du copié/collé_/


Puisque le site "la Lettre Patriote" cite France Bleu   nous  copions/collons  ci-dessous  la version de France Bleu, France Bleu Paris:   

2/  Copié/collé  de source 
France BleuFrance Bleu Paris

       🔻



Interpellation violente à Paris : ce qu'ont dit les policiers dans le procès-verbal

 - 
Par France BleuFrance Bleu Paris
D'après le procès-verbal dressé à la suite de l'interpellation violente samedi à Paris d'un producteur de musique, les policiers accablent l'homme interpellé. Les trois membres des forces de l'ordre ont été suspendus et ils sont soupçonnés d'avoir rédigé de fausses déclarations.

Le procès-verbal des policiers qui ont procédé à l'interpellation violente d'un producteur de musique dans le 17e arrondissement de Paris ce samedi accable l'homme interpellé, selon le PV daté de ce dimanche. D'après ce récit rédigé le lendemain de l'intervention, l'homme a entrainé les policiers à l'intérieur du bâtiment et il a porté de nombreux coups en direction des policiers, essayant de se saisir de leur arme et de leur matraque télescopique. 

Ces éléments ne sont pas visibles sur les images de vidéosurveillance diffusées ce jeudi par le site d'information Loopsider. Ils sont contestés par le producteur de musique qui a témoigné auprès de ce site. 

Cette version des policiers, inscrite dans le PV, devra être vérifiée par l'IGPN, inspection saisie par le préfet de police ainsi que par le parquet de Paris qui a ouvert une enquête pour "violences par personne dépositaire de l'autorité publique" et "faux en écriture publique". 

Les policiers sont en effet soupçonnés d'avoir rédigé de fausses déclarations. Les trois membres de cet équipage ont été suspendus à titre conservatoire ce jeudi. Par ailleurs, la procédure ouverte pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été classée sans suite.

Ce qu'ont dit les policiers

Dans ce PV rédigé par un gardien de la paix, les policiers racontent avoir aperçu "un individu non porteur du masque qui se dirige d'un pas rapide vers la rue de Renaudes (…) L'individu ne cesse de jeter des coups d'œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux". 

Les policiers racontent qu'ils décident de le contrôler "vu la réglementation concernant la lutte contre le Covid-19 et la mise en place du confinement". "Nous nous dirigeons vers lui, revêtus de notre brassard police tout en lui déclinant notre qualité et intention à son égard. Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne. Il est porteur d'un gros sac en bandoulière de couleur marron", précise le PV.

"L'homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l'aide de ses mains et se précipite par la porte d'un établissement recevant du public" qui se révèlera être un studio d'enregistrement musical. "Dans son action, alors que nous tentons de l'intercepter, il nous entraîne de force dans l'enceinte du bâtiment", racontent les policiers.

Le PV se poursuit par le récit de ce qui s'est passé dans le hall d'entrée du studio de musique. "Nous tentons d'interpeller l'individu avec peine. Celui-ci se débat et nous repousse à plusieurs reprises avec ses bras en tentant de nous porter des coups et en hurlant des prénoms comme pour solliciter de l'aide afin d'échapper à notre emprise. Nous tentons vainement de procéder à son menottage."

"Ce dernier devient dangereux à notre égard, nous trouvant dans un milieu clos, qui ne nous permet que peu de mouvements, nous sommes contraints d'effectuer, via les gestes techniques et professionnels, une amenée au sol de l'individu (…) Dans la débâcle, l'homme tente à plusieurs reprises de se saisir de notre arme administrative, se trouvant dans un étui comportant une sécurité, ce qui entrave ses intentions. Il tente également de se saisir d'un objet se trouvant dans sa sacoche, sans succès et sans que nous ne puissions déterminer la nature de l'objet. L'individu hurle et nous donne des coups avec ses bras et ses jambes", indique le PV.

Les trois policiers affirment avoir alors tenté de sortir du local, en vain. "L'individu continue de nous porter des coups avec ses bras et ses jambes et se met devant la porte de sortie, nous empêchant ainsi de quitter le local (…) Nous constatons la présence d'un escalier semblant donner sur un étage en sous-sol, d'où semble provenir soudainement une dizaine d'individus. Ces derniers crient à plusieurs reprises 'on va vous défoncer', 'vous êtes morts'. Le brigadier tente de bloquer la porte d'accès donnant sur cet escalier, afin que la dizaine d'individus y restent bloqués, ces derniers étant susceptibles de représenter un danger imminent à notre égard".

Le PV décrit une "situation de plus en plus critique". "Nous recevons à plusieurs reprises des coups au niveau du visage, émanant de l'individu dont nous souhaitions initialement procéder au contrôle (…) Le brigadier et le gardien reçoivent également plusieurs coups portés par l'individu bloquant la porte d'accès extérieur, au niveau du ventre, des bras et du visage."

"Ne parvenant toujours pas à nous extraire de ce local, le gardien se saisit de sa matraque télescopique et en porte plusieurs coups au niveau du ventre des jambes, des bras de l'homme. Ce dernier semble totalement insensible à la douleur et parvient à se saisir de la matraque télescopique par le bout. Il tente de s'en emparer (…) Le gardien effectue une saisie arrière sur l'individu et nous parvenons à cet instant à récupérer sa matraque télescopique des mains de l'individu. Nous portons alors plusieurs coups de matraque télescopique à l'individu dont certains, dans la débâcle et l'agitation l'atteignent au visage", indique le récit des policiers. C'est alors qu'ils parviennent à ouvrir la porte et à sortir du local.

A l'extérieur, les trois policiers trouvent les renforts qu'ils avaient sollicités par radio. Ils décident de tenter à nouveau de rentrer dans l'établissement "afin de procéder à l'interpellation de l'auteur des violences à notre égard, ainsi que, vu le contexte sanitaire en vigueur, de procéder à des contrôles et vérifications sur la présence de l'ensemble des occupants de ce local, ne s'apparentant aucunement à un lieu d'activité de première nécessité. A cet instant, l'auteur des violences à notre égard se place derrière la porte et fait délibérément obstacle à son ouverture. Alors que la porte se trouve entrouverte, une effectif de police que nous ne sommes pas en mesure d'identifier (…) qui ne fait pas partie de notre unité, jette une grande lacrymogène de type MP7 dans l'enceinte du local", poursuit le procès-verbal. 

Les policiers racontent qu'ils attendent "à l'extérieur que le gaz se dissipe. Vu la superficie des lieux, les individus à l'intérieur ont la possibilité de se dégager et de se protéger des gaz", estiment-ils.

"Nous pénétrons à nouveau dans le local et en extrayons l'ensemble des personnes s'y trouvant", notamment "l'auteur des violences à notre égard". Il est alors 18h55, selon le PV. "Lors de son menottage, l'individu ne se laisse pas faire", un gardien de la paix se blesse au pouce. Les neuf autres hommes présents dans les locaux, tous âgés d'une vingtaine d'années, sont interpellés.



27 novembre 2020

Journal de bord de Jean- Marie Le Pen n° 596 du 26 novembre 2020 ( vidéo de source JMLP )

Éditorial de lucienne magalie pons


RELAIS D'INFORMATION  : vidéo du  Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 596 
du 26 novembre 2020 
🔽


Source de la vidéo 🔻

26 novembre 2020
Jean-Marie Le Pen


Retrouvez toute l'actualité politique de Jean-Marie Le Pen sur : Twitter : http://twitter.com/lepenjm Site officiel : http://www.jeanmarielepen.com Facebook : http://facebook.com/JMLP.officiel Instagram : http://instagram.com/jeanmarielepenof...

Les produits et marchandises non essentiels ça n'existe pas ! Nécessité fait loi !

Éditorial de lucienne magalie pons


 Comme l'a annoncé le Président de la République Emmanuel Macron en direct de l'Elysée le mardi 24 novembre  la réouverture des commerces non essentiels, des services à domicile ,et  des rayons des produits non essentiels des centres commerciaux, supermarchés ou marchés, aura  lieu  samedi 28 novembre dans le cadre d'un protocole sanitaire strict … 

Comment le Président de la République et son gouvernement  définissent les produits non essentiels ? sur quels critères s’étaient-ils basés pour lister ces produits lorsqu’ils avaient décidé de nous confiner le  vendredi 30 novembre 2020 ?  , On ne le saura jamais ils ne nous jamais donné d'explication plausible à se sujet, et on s'interroge encore sur  l' objectif qu'ils poursuivaient réellement.

En tout cas ce que nous pouvons faire remarquer c’est qu’en temps normal aussi bien qu’en période de confinement les  produits  essentiels sont ceux dont les besoins se font sentir pour les uns ou pour d’autres et que ce n'est pas forcément ce qui essentiel à l’instant T à Paul  qui est essentiel au même moment à Jacques    !

Ainsi si Paul a besoin impérativement d'un pantalon à l'instant T , Jacques lui peut avoir  impérativement besoin au même instant d'une chemise !  C'est tellement simple  que nos gouvernants qui ont des gardes-robes très fournies ne  peuvent même pas imaginer que Paul et Jacques n'ont qu'un pantalon et qu'une chemise qu'ils usent jusqu'à la corde et qu'il arrive un jour    que leur vêtement craque de partout et a besoin d'être remplacé immédiatement à l'instant T même en période de confinement.

Donc en définitive Emmanuel Macron et son gouvernement ont classés autoritairement et abusivement,  à l’emporte pièce,   comme non essentiels des produits et marchandises qui sont et restent essentiels tous les jours aux uns et aux autres selon leurs besoins.     

  .     

 


26 novembre 2020

Conseil des ministres du 25 novembre 2020 _ 1/ vidéo du Compte rendu du Conseil des Ministres par Gabriel Attal : exposé et réponses aux questions des journalistes _-_ 2/ : titres des extraits des projets de loi, déclarations , ordonnance et communication, nominations et mesures individuelles

Éditorial de lucienne magalie pons


Les actualités  étant très abondantes, nous avons un peu de retard pour publier le compte rendu du Conseil des Ministres de Gabriel Attal, mais ça ne porte pas à conséquence,  dès l'instant qu'il ne fait que rapporter des informations  dont nous avions déjà les  échos médiatiques ....






Projets de loi













Ordonnances








































Communication




















Résultats






































Nominations