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03 décembre 2012

UMP : d'ici Mardi ou le moteur UMP explose ou il redémarre pour un deuxième épisode "bras de fer"

Éditorial de lucienne magalie pons



La crise de l'UMP a repris des couleurs dimanche,   Jean-François Copé et de François Fillon,  ont fait chacun de nouvelles propositions  en vue de régler le conflit qui les oppose.


Jean François Copé  persiste à se considérer   légitimement élu  Président de l’UMP pour trois ans, il  propose de remettre son mandat en jeu après les élections municipales de 2014. "Relancer une élection interne avant les élections municipales serait une folie", a-t-il jugé  lors d'une réunion publique avec des militants à Nancy, dans l'est de la France.

Sur sa lancée, Jean-François Copé a  ressorti    une nouvelle  proposition, il a lancé l’idée d’un  nouveau   référendum interne, cette fois il s’agirait pour les militants  répondre  sur deux questions,   la première porterait sur la réforme des statuts du parti pour lui permettre de "fonctionner efficacement, y compris en situation de crise", pour la deuxième Jean-François l’a expliqué ainsi : "La deuxième proposition que je veux soumettre à votre jugement par référendum est la suivante" …,  "Je vous propose de remettre à la disposition des militants mon mandat au lendemain des élections de 2014."



Rappelons que  les élections  municipales, les élections   sénatoriales et les élections européennes sont prévues en 2014 ;

Ndlr : d’une part réformer les statuts n’est pas un garantie pour  qu’ils fonctionnent efficacement tant en situation normale qu’ en situation de crise,  d’autre part  il est fort  probable dans le contexte des propositions  de Dimanche  de  Jean-François Copé  que d’ici à 2014  le  conflit perdure puisque le camp Fillon juge cette échéance trop lointaine, et   préconise que soit organisé  les modalités d’un nouveau vote dans des délais raisonnables :

 Jean-François Copé a aussi estimé que celui qui présidera l'UMP en 2016 ne devrait pas être candidat à la primaire qui désignera le champion du mouvement pour la présidentielle de 2017…. , en souhaitant aussi  qu'il soit mis fin "sans délai (...) à l'aventure mortifère d'un groupe dissident" à l'Assemblée Nationale.

Ndlr : en supposant que les conditions se trouvent réunies avant Mardi,  et ce n’est pas le cas aujourd’hui,  pour que François Fillon et son camp acceptent  de mettre fin à  leur groupe « Le Rassemblement UMP », est-ce pour autant qu’au sein de l’UMP ne persisteront  les fractures morales et politiques et  les dissensions qui les ont divisés au sein de l’UMP en deux courants de positions politiques avant et après la campagne présidentielle pour l’Election du Président du parti, et se sont affichées au grand jour depuis le 18  novembre,  jour du vote, dans un  affrontement à rebondissements multiples dont le spectacle a consterné, atterré, tous les militants de l’UMP et non le moindre d’entre eux Nicolas Sarkozy ?

Ndlr :  A notre avis pour user de métaphores,  même  un produits  super- colmatant de « chez super-colmatant » ,  des éponges surper-décapantes, super-déodorantes, et des produits déodorants n’y parviendront pas  à colmater  au sein de l’UMP les brèches  qui divisent Les Copé et les Fillon., et dans l’opinion publique il restera gravé pour longtemps le spectacle affligeant  que ce parti nous joue en plusieurs actes plus  depuis 15 jours déjà.


Dimanche en réunion  à Royaumont dans le Val d’Oise François Fillon,  a jugé devant ses proches et  ses partisans,  que   l’échéance d’un vote (en 2014) était  trop lointaine, il  conteste toujours  un vote  entaché d'irrégularités  a  déclaré que ses collaborateurs étaient prêts à rencontrer dès lundi ceux de son rival pour réfléchir aux modalités d'un nouveau scrutin.

"Dès lors que nous aurons l'assurance que ce vote pourra être organisé et piloté dans des règles d'impartialité indiscutables et dans un délai raisonnable, nous mettrons fin au groupe parlementaire que j'ai créé et aux procédures* qui ont été engagées", a-t-ll rappelé.


 *  ‘procédures ‘ : à sujet  les médias ajoutent  que François Fillon  faisait  allusion à une plainte en justice pour irrégularités, visant à faire annuler l'élection interne et   il est cependant prêt, comme l'y a invité Jean-François Copé, à rencontrer celui-ci lundi, à la veille d'une échéance décisive pour l'avenir du parti.


Mardi 3 décembre sera  le jour  d'échéance  de l’Ultimatum  fixée par  Nicolas Sarkozy pour que les deux hommes trouvent une issue définitive  à la crise, autrement dit pour qu’ils s’accordent sur une seule solution,  s’ils n’y parviennent pas,  il sortira de son silence pour les déclarés « disqualifiés »

Mardi ce sera  aussi le jour où le  groupe UMP à l'Assemblée nationale, qui se réunit mardi comme toutes les semaines, pourrait constater sa scission si  Copé et Fillon et leurs partisans deux rivaux  ne trouvent pas un terrain d'entente d'ici là.

François Fillon a en effet annoncé la semaine passée la création d'un nouveau groupe parlementaire « Le Rassemblement UMP »  si un nouveau vote des militants n'était pas organisé dans les trois mois.

Les  députés UMP et les militants UMP  partisans d’un nouveau vote sont de plus en plus nombreux, qu’ils s’agissent d’UMP fillonistes ou copéistes, de non-alignés,  ou de neutres, mais ce qui a créé la surprise Dimanche c’est le ralliement de Luc Chatel à l’idée d’un nouveau vote alors qu’il avait toujours soutenu auparavant   systématiquement les propositions de son champion.


Dans une interview au Journal du Dimanche, Luc Chatel, s'est finalement  rallié  à l'idée d'un nouveau vote pour trancher ce conflit,  il a proposé que les équipes de Jean-François Copé et de François Fillon se retrouvent dès lundi matin en groupe de travail pour réfléchir à l'organisation d’un nouveau vote et à une révision préalable des statuts de l'UMP.

Sans révision des statuts, "les mêmes causes produiront les mêmes effets", a-t-il déclaré  sur Radio J. "Ce spectacle non seulement est pathétique mais en plus, s'il va au bout, il nous garantit d'être dans l’opposition (ndlr : au sein de l’UMP) pour vingt ans !", selon lui  il faut "coûte que coûte" empêcher la scission du groupe parlementaire. Sinon, "il y aura deux partis à terme, deux candidats à la présidentielle (de 2017) et Marine Le Pen au deuxième tour."


Il faut croire que les nouvelles propositions de Jean-François Copé  affectent  même dans son camp  les espoirs d'issue rapide de la crise en proposant de nouveau un référendum interne à deux questions ,  solution tentée  la semaine passée sous une autre forme, il s’agissait alors simplement  que les militants se prononcent pour dire  s’il voulait revoter ou non.

Par ailleurs,  quand aux personnalités UMP qui se  déclarent  neutres dans le conflit, presque toutes se déclarent  pour un nouveau vote rapproché,  Mercredi  sur Europe 1, Xavier Bertrand a  explosé : "J'en ai marre de ce foutoir",   et il a demandé  un nouveau vote pour la présidence de son parti "dans les délais les plus rapides" sans passer par un référendum préalable. "Hier, Nicolas Sarkozy impose aux deux, François Fillon et Jean-François Copé, une sortie de crise, et là, de nouveau, ce matin, on est dans l'impasse", a-t-il  déploré sur Europe 1

Ce nouveau vote selon Xavier Bertrand devrait  confronter, comme le précédent, François Fillon et Jean-François Copé : "On ne rouvre pas une nouvelle campagne interminable et insupportable." Xavier Bertrand,  demande à François Fillon ministre de renoncer à "l'aventure" du groupe parlementaire séparé à l'Assemblée "dans la minute" qui suivra l'annonce d'un nouveau vote. "Je préfère un verdict populaire avec le vote des adhérents plutôt qu'un verdict judiciaire dans quelques mois", a –t-il insisté,  à propos de l’intention  filloniste de saisir la justice pour contester l'élection de Jean-François Copé.
Pour ce nouveau vote, Xavier Bertrand demande aussi, pour constituer le corps électoral, "un fichier des adhérents arrêté à une date précise, par exemple le 18 novembre, et qu'il soit transmis aux candidats" : "Plus aucune contestation !" , a-t-il martelé.

 Vendredi soir, Xavier Bertrand député-maire de Saint-Quentin (Aisne), rejoignait après de semaines de crise,  quelques 200 militants UMP du Nord  à  Neuville- en –Ferrain (Nord) dans une salle communale, pour  leur donner  la parole  « sans tabou », dès son arrivé il s’est déclaré « "Profondément déçus" mais "avec l'envie de se battre», et  il a affirmé  "Ce soir, je suis ni pro-Copé ni pro-Fillon, je suis pro-UMP",


 Les médias rapportent que les  militants UMP du Nord se sont  prêtés "en famille" à « une thérapie de groupe »  autour de l'ancien secrétaire général du parti Xavier Bertrand.

Plusieurs militants  se sont exprimés librement « sans tabou » , en résumé il en ressort que les uns et les sont   déçus par « ce vote » de la façon dont il s’est déroulé, l’un d’entre eux a évoqué le  "traficotage" de certains bulletins lors du vote pour la présidence de l'UMP,  une militante  émue  a regretté le scrutin qui les a séparé  en expliquant : Ils nous ont obligés à faire un choix qu'on n'avait pas forcément envie de faire", un autre militant  s’insurge  : "Depuis le début, on parle beaucoup de comment ça a pu se passer. Mais aujourd'hui quand on a deux personnes qui clivent le parti, comment elles peuvent se dire chefs ? Elles ne le sont plus du tout !",   pour un  autre  militant gaulliste depuis 1958 qui a "tout vu", en référence à l’ultimatum de Nicolas Sarkozy de Vendredi  il  considère que  les deux candidats à la présidence sont d'ores et déjà "disqualifiés, dès hier, dès aujourd'hui, pas mardi", un militant de Tourcoing (Nord),  demande à son tour "comment faire confiance à ces gens qui ont fait des erreurs, Copé en disant qu'il est élu, et dix minutes plus tard Fillon disant qu'il est élu" ? , les interventions se succèdent "Je suis comme beaucoup de gens déçu (...). Pour moi, c'est clair, Copé et Fillon, ils ne sont plus crédibles", juge  un militant, avant de  questionner la salle pour savoir "qui revoterait pour eux". ? en réponse seulement  une vingtaine de bras se lèvent par mi les deux cents militants.

"S'il y avait les deux mêmes personnes, on voterait blanc !", ont  clamé plusieurs militants dans la salle..

Une militante réagit : "Les gens sont sous le choc, on nous entend pessimistes, accablés, eh bien réagissons, donnons du mordant. (...) Comme en période de guerre, quand la première ligne est KO, on envoie la deuxième ligne, l'arrière-garde", un militant lui répond  en écho : "On n'a pas envie de pleurer, on a envie de se battre",


De la salle, d’autres militants ont émis  leurs avis et des   propositions au cours de la réunion  "Refaire un vote avant six mois ou un an, est-ce-que c'est juridiquement possible ?", ….,  "Pourquoi pas une présidence collégiale ?", demandent tour à tour quelques voix, un militant sûrement pince-sans rire demande  s'il serait possible, "comme dans un conclave, de les mettre  (Jean-François Copé et François Fillon), dans une pièce et qu’on  on ne les laisse pas sortir" tant qu'une solution n'a pas été trouvée ».

Xavier Bertrand a répété notamment : "Il faut redonner la parole aux militants et revoter" entre les deux mêmes candidats pour "éviter une nouvelle campagne" et "qu'on sorte de ce bordel le plus vite possible!,  On doit protéger cette période d'un an avant les municipales, première étape de la reconquête".

"Quand on n'est pas à se poser des questions existentielles sur qui sera le calife à la place du calife, on est plutôt bon dans l'opposition (...). Et on a mille choses à dire et mille choses à faire",  a--il poursuivi, chaleureusement applaudi.

Ou  en étaient-ils dimanche en début de soirée ?

Par ailleurs par voie de communiqué  François Fillon : s'est félicité du "consensus autour du principe d'un nouveau vote" mais a exigé qu'il ait lieu "dans les délais les plus brefs".

Il a demandé la réunion dès lundi du Comité des sages de l'UMP pour en étudier les modalités et lancer la réflexion sur de nouveaux statuts.

 Quant  à l’entourage de Jean-François Copé, il  estimait dimanche soir que ce Comité des sages n'était "pas fait pour ça" et qu'il était en tout état de cause impossible de le réunir aussi vite.

Signalons  que  réunion des équipes des deux hommes, proposée par Luc Chatel et acceptée par François Fillon,  ne semblait pas encore décidée dimanche en début de soir Réponse de François Fillon par voie de communiqué : il s'est félicité du "consensus autour du principe d'un nouveau vote" mais a exigé qu'il ait lieu "dans les délais les plus brefs".

Il a demandé la réunion dès lundi du Comité des sages de l'UMP pour en étudier les modalités et lancer la réflexion sur de nouveaux statuts.

L'entourage de Jean-François Copé estimait dimanche soir que ce Comité des sages n'était "pas fait pour ça" et qu'il était en tout état de cause impossible de le réunir aussi vite.

Quant à une réunion des équipes des deux hommes, proposée par Luc Chatel et acceptée par François Fillon, elle ne semblait pas encore décidée dimanche en début de soirée.

Conclusion : selon certains médias pressés eux aussi de sortir de cet imbroglio, «  les deux hommes sont du moins d'accord pour se rencontrer lundi, indice d'un possible dégel avant le date-butoir de mardi fixée par l'ancien chef de l’État.

Pour nous, il convient d' attendre que cette journée de Lundi se déroule  pour en savoir plus  et se garder  d’entrer dans des spéculations hasardeuses, les grands médias classiques s’y emploient c’est leur job il faut qu’ils tiennent leurs lecteurs et auditeurs en   d’alerte et  meublant  tous les épisodes du feuilleton avec leurs grains de sel.


Revue de Presse :



UMP - Le dialogue de sourds se poursuit entre Copé et Fillon

Le Point
 - ‎Il y a 1 heure ‎




Le président proclamé du parti et l'ex-Premier ministre sont d'accord sur l'organisation d'un nouveau vote, mais se déchirent toujours sur le calendrier. François Fillon et Jean-François Copé se livrent une bataille sans merci pour la présidence de l'UMP.
Votre source favorite :UMP : Fillon refuse d'attendre 2014 pour revoterLe Parisien
Zone géographique : États-Unis :Crise à l'UMP : revivez la journée de dimancheleJDD.fr
Zone géographique : Réunion :Ump : Copé propose un vote en 2014Linfo.re

  1. ·  
Le Nouvel Observateur ‎- il y a 1 jour
... des militants UMP du Nord se prêtent "en famille" à une thérapie de gr... ... général du parti Xavier Bertrand, après deux semaines de crise.
  1. Crise UMP : derrière la guerre des chefs, les "non-alignés" en embuscade
BFMTV.COM‎ - il y a 2 jours

·  Politique : Crise UMP : derrière la guerre des chefs, les "non-alignés ...

www.bfmtv.com/.../crise-ump-derriere-guerre-chefs-non-alignes-em...
il y a 2 jours – Crise UMP : derrière la guerre des chefs, les "non-alignés" en embuscade. Xavier Bertrand, Bruno Le Maire et Nathalie Kosciusko Morizet ...

·  UMP - Xavier Bertrand : "J'en ai marre de ce foutoir !" - Le Point

www.lepoint.fr › Politique
il y a 5 jours – Le député-maire de Saint-Quentin, Xavier Bertrand. .... Jour après jour, l'UMP s'enfonce un peu plus dans la crise et dépasse les frontières du ...
Vous avez consulté cette page 2 fois. Dernière visite : 03/12/12

·  UMP | Union pour un Mouvement Populaire

www.u-m-p.org/


De Jean-François Copé - Dans 28 823 cercles Google+
Retrouvez l'actualité politique, les grands débats et enjeux de société ainsi que les personnalités du mouvement.
Vous avez consulté cette page 2 fois. Dernière visite : 09/11/12

·  Crise à l'UMP : ras-le-bol généralisé

www.lemonde.fr/.../crise-a-l-ump-ras-le-bol-generalise_1796913_82...
il y a 4 jours – Interrogé mercredi 28 novembre sur Europe 1, l'ancien ministre du travail et secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand résume sans détour ...

·  Xavier Bertrand : «Personne ne sortira gagnant d'un échec - Le Figaro

www.lefigaro.fr/.../01002-20121128ARTFIG00718-xavier-bertrand-...
il y a 4 jours – INTERVIEW - Ancien secrétaire général de l'UMP, soutien de François Fillon, Xavier Bertrand fait des propositions pour sortir de la crise.

·  Crise UMP : le film de la journée de dimanche, La course à la ...

www.lesechos.fr/.../0202418808319-crise-ump-le-film-de-la-journee...
il y a 3 jours – C'est une crise, mais l'UMP vivra », a affirmé le président proclamé du ..... 14h39 : L'ex-secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand a assuré ...


 

02 décembre 2012

UMP : Fillon s'apprêterait à déposer un recours en justice, deux semaines de crise pas d'armistice en vue, un ultimatum mal barré ..

Éditorial de lucienne magalie pons

Je ne compte pas aujourd'hui Dimanche écrire sur les malheurs d'une UMP masochiste  qui se tue elle-même sur toutes les scènes publiques et privées, mais toutefois je publie ci-dessous une revue de presse qui ne manque pas d'intérêt et qui selon toute vraisemblance laisse présager que l'Ultimatum de Nicolas Sarkozy  ne produit et ne produira aucun effet sur François Filon et sur Jean-François Copé.


    1. UMP : François Fillon s'apprête à déposer un recours en justice
      Le Nouvel Observateur ‎- il y a 30 minutes
      "Une plainte est prête et peut être déposée à tout moment", annonce l'avocat de l'ancien Premier ministre.
  1. UMP | Union pour un Mouvement Populaire

    www.u-m-p.org/

    Jean-François Copé
    De Jean-François Copé - Dans 28 824 cercles Google+
    Retrouvez l'actualité politique, les grands débats et enjeux de société ainsi que les personnalités du mouvement.
    Vous avez consulté cette page 4 fois. Dernière visite : 30/11/12
  2. UMP (ump): ses vidéos sur Dailymotion

    www.dailymotion.com/ump
    Bienvenue sur la web tv de l'UMP Retrouvez ici toute l'actualité de l'UMP en vidéo et connectez-vous sur nos sites : - www.u-m-p.org.
    Vous avez consulté cette page le 20/11/12.
  3. UMP - Wikipédia - Wikipedia

    fr.wikipedia.org/.../Union_pour_un_mouvement_populaire
    L'Union pour un mouvement populaire (UMP) est un parti politique français du centre-droit et de la droite, nommé à sa création Union pour la majorité ...
  4. Présidence de l'UMP : comment Copé a tout manigancé - Le Nouvel ...

    tempsreel.nouvelobs.com › La bataille de l'UMP
    il y a 4 jours – "Pour comprendre ce qui s'est passé, lisez le Nouvel Obs, il y a le mode d'emploi !", a déclaré mardi Christian Estrosi en brandissant le ...

ArcellorMittal : Arnaud Montebourg a fait du bon boulot

Éditorial de lucienne magalie pons


J'ai laissé passer deux jours avant d'écrire sur ArcelorMittal, en effet je voulais prendre le temps nécessaire pour  écrire un éditorial  documenté assorti de mon opinion.

C'est chose faite et sans remonter aux calendes grecques j'ai écrit ci-dessous  un éditorial  sur les évènements de ces trois derniers jours, suivi d'une revue de presse :




Monsieur Arnaud  Montebourg, Ministre du Redressement productif,   a conduit le dossier en avant-scène,  en parlant  d’abord d’une  offre de reprise  par un Groupe  en cours de négociation, avec une éventualité si besoin  d’une  nationalisation provisoire de l’entreprise.


Matignon aussi traitait le dossier, et de son côté  le Président de la République, Monsieur François Hollande convoquait  Monsieur Mittal patron d’ArcelorMittal à L’Elysée,  pour mettre dossier litigieux  sur la table présidentielle

Cette stratégie à  trois a fini par payer, le patron de Mittal, alerté par une éventuelle nationalisation de  l’un de ses sites  en France,  a  enfin compris ce que parler veut dire en France, il a préféré renoncer à la fermeture  partielle  du site de Florange et  négocier  avec le Gouvernement.

Les  pourparlers ont aboutis  en faveur du gouvernement français, et c’est le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault  qui a choisi  l’une des solutions, certainement  la meilleure,  qui a été trouvée pour remettre en activité  le site Arcelor  Florange.

Bien sûr les syndicats et les salariés ont été un peu déçus, sous le feu des revendications qu’ils soutenaient  depuis longtemps,  ils en étaient venus tout récemment, ces jours derniers à camper  jour et nuit  sous les fenêtres du Ministre Arnaud Montebourg, pendant que les négociations se déroulaient au sommet de l’Etat et dans les Ministères concernés, et dans l’attente de  l’annonce du résultat de négociations qui leur avait été promis pour Vendredi soir à minuit au plus tard, ils en étaient venus à  envisager comme  seules solutions  soit la reprise immédiate  par un Groupe , soit une nationalisation provisoire en urgence. On comprend bien que la lutte,  l’angoisse, le stress, la fatigue, le doute, les déceptions  dans lesquels  se trouvaient ces salariés  menacés de chômage  depuis de longs mois, les conduisaient  à douter   de ce nouvel accord avec Monsieur Mittal, échaudés par des promesses non tenues,   ils craignaient  d’être trompés et menés en bateau une nouvelle fois.

Les syndicats aussi penchaient pour la nationalisation provisoire, maintenant ils souhaitent que l’accord soit  examiné  par le Gouvernement et Monsieur Mittal en présence  de leurs représentants  syndicaux avant qu’il ne soit  définitivement entériné.

Il faut bien comprendre que la nationalisation provisoire n’était que l’ultime recours envisagé par le Gouvernement en cas d’échec des négociations.

Mais les négociations ont abouties et   effectivement cet accord doit se mettre  en place, et  il faut savoir que si Monsieur Mittal ne respectaient  pas ses engagements, la nationalisation provisoire, dans l’attente d’un repreneur,  reste une arme de dissuasion  toujours suspendue sur sa tête par le Gouvernement,  comme une épée de Damoclès.
 Et puis Monsieur Mittal n’a pas intérêt non plus  à lâcher Florange au profit d’un repreneur  qui  apparaitrait alors  en France comme son concurrent, ce qui au fond le conduira à tenir ses engagements, il y va maintenant aussi de ses intérêts et il fera tout pour ne pas laisser entrer un loup dans « sa » bergerie française ArcelorMittal.


Au fond le Gouvernement a bien joué . Les médias rapportent que le  Président François Hollande, a reçu  Arnaud Montebourg  et  lui "a déclaré que la question de la nationalisation temporaire restait sur la table car c'est une arme dissuasive ».


Arnaud Montebourg  de son côté a  affirmé  sur TF1 ….. «   Si Monsieur  Mittal ne tient pas ses engagements, l'Etat prendra ses responsabilités",  selon lui, cette "idée aura une vie plus longue que cet épisode" et peut être une "arme pour la puissance publique pour se faire respecter". 


Revenant sur l'accord trouvé vendredi  il a rappelé   les avancées obtenues: "629 ouvriers ne connaîtront pas Pôle Emploi, Mittal pérennise le site de Florange" en y investissant 180 millions d'euros sur cinq ans, "et s'engage aussi à maintenir le niveau d'activité sur tous les hauts-fourneaux de France".  


Sur ce dossier Arnaud Montebourg a déclaré   "les résultats ne sont pas toujours aussi spectaculaires qu'on le voudrait",  selon   lui, les syndicalistes de Florange n'ont pas été "trahis", dans la mesure où un plan social a été évité.

L'accord trouvé entre le gouvernement et le groupe ArcelorMittal, au sujet de l'avenir du site de Florange, a été accueilli  avec une certaine inquiétude  par les syndicats, sans doute ont-ils besoin d’être rassurés et écoutés, le Premier Ministre Jean-Marc  Ayrault  doit les recevoir à Matignon  en début de semaine prochaine, selon Arnaud Montebourg  « Le Premier Ministre peut se montrer plus ferme » (avec ArcelorMittal).

Voici le communiqué qui figure à ce sujet sur le site officiel  du Premier Ministre « Portail du Gouvernement » ;

« Après l’annonce de l’accord que le gouvernement a obtenu d’ArcelorMittal, des interrogations se sont exprimées du côté des représentants des salariés compte tenu de l’expérience passée. Le Premier ministre veillera scrupuleusement à la réalisation effective des engagements pris hier par ce groupe. Ils sont inconditionnels. Et le gouvernement utilisera tous les moyens de droit nécessaires en cas de non-respect. Ces engagements portent sur l’absence de plan social, sur des investissements d’au moins 180 millions d’euros sur le site de Florange et sur le projet ULCOS.

« Le gouvernement a obtenu ces avancées grâce à la pression des salariés et à la mobilisation de l’ensemble des ministres concernés par le dossier, particulièrement du ministre du redressement productif, M. Arnaud Montebourg, qui n’a pas ménagé sa peine pour chercher toutes les solutions possibles comme il le fait sur de nombreux dossiers particulièrement difficiles, contribuant ainsi à créer un rapport de forces favorable à la conclusion de l’accord. Le Premier ministre demande au ministre du redressement productif, au ministre du travail, à la ministre chargée de la recherche et au ministre de l’économie et des finances de s’assurer dans la durée de la réalisation des engagements pris. »

(fin de communiqué)


Certains médias et  mauvais esprits politiques de droite se sont immédiatement  précipités en accusations diverses contre Arnaud Montebourg en prétendant qu’il était désavoué par le Premier Ministre,  qui lui  avait  choisi une autre solution, qu’Arnaud Montebourg   désavoué devait démissionner, et autres stupidités du genre , tout en critiquant aussi le Président François Hollande et le Gouvernement  de s’être aplati devant Monsieur Mittal  et d’avoir retenu une mauvaise solution, bien entendu ces aboyeurs de droite, qui du reste  se mordent et   s’entredéchirent  entre eux dans leur château UMP en ruine,  sont  au yeux de l’opinion publique au moins, tout à fait  disqualifiés pour parler d’ArcelorMittal  et critiquer le Gouvernement actuel, puisque dans le quinquennat Sarkozy  comme le plus souvent tout avait été dit et promis, et rien n’avait été tenu.


C’est faire un bien mauvais procès à Arnaud Montebourg, que de l’accuser d’un échec dans ce dossier qu’il a tenu à bout de bras avec l’énergie, la conviction et les coups de voix  qui  s’imposent dans son action, avec en plus  un certain panache qui lui est naturel,  ce qui bien sûr ne plait pas aux  faux mollards de la droite , et  c’est  bien justement parce  qu’Arnaud Montebourg  a bien joué son rôle dans la stratégie du Gouvernement  en parlant haut et fort de nationalisation provisoire que Monsieur Mittal a changé d’attitude et s’est vu contraint de négocier.

Il est inutile d’ajouter que le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault a démenti tout désaveu  de sa part de l’action de Arnaud Montebourg dans la conduite de ce dossier et  Samedi un communiqué de Matignon  saluait "les efforts" d'Arnaud Montebourg qui ont "créé un rapport de forces favorable à la conclusion de l'accord.

Pour conclure nous reproduisons ci-dessous, tel qu’elle figure sur le Site Officiel du Premier Ministre  sa déclaration de Vendredi soir au sujet de l’accord négocié avec le patron d’ArcelorMittal


Au début de  sa déclaration figure un rappel en préambule : 1 – Depuis son installation, le gouvernement a travaillé sans relâche pour que le site industriel de Florange continue à vivre et à se développer et pour que ses salariés soient protégés.2 – Le gouvernement avait trois objectifs : pas de plan social, des investissements importants sur le site, et le maintien des hauts fourneaux de Florange pour permettre la préparation d’un projet industriel d’avenir, ULCOS. »


Texte de la déclaration – source : Portail du Gouvernement
Copié/collé

«  1 – Depuis son installation, le gouvernement a travaillé sans relâche pour que le site industriel de Florange continue à vivre et à se développer et pour que ses salariés soient protégés.


« 2 – Le gouvernement avait trois objectifs : pas de plan social, des investissements importants sur le site, et le maintien des hauts fourneaux de Florange pour permettre la préparation d’un projet industriel d’avenir, ULCOS.


« Le groupe ArcelorMittal a accepté les conditions que j’ai formulées :

« Ce soir, je vous annonce qu’il n’y aura pas de plan social à Florange.
Le groupe Mittal s’est engagé à investir au moins 180 M€ sur les 5 prochaines années à Florange. Ainsi, les activités du site liées à la filière froide, et notamment l’emballage, seront pérennisées et renforcées par un programme d’investissements industriels. Cela permettra de sécuriser les salariés qui travaillent dans ces activités.
ArcelorMittal a réaffirmé son ancrage industriel sur notre territoire, notamment à travers ses sites de Dunkerque et Fos dans leur configuration actuelle. La consolidation de l’activité sur le site à Florange ne se fera pas au détriment d’autres activités similaires en France. Il s’y est engagé.


La faible activité actuelle en Europe ne permet pas d’envisager un redémarrage des hauts fourneaux à court terme. Mais le Gouvernement a obtenu l’engagement du groupe de les maintenir dans un état qui permette, le moment venu, la réalisation d’un projet industriel d’avenir. C’est le projet ULCOS : il s’agit de produire de l’acier de façon économe en énergie et plus respectueuse de l’environnement par la captation du CO2. L’Etat a déjà réservé 150M€ au sein du programme d’investissements d’avenir. Il est prêt à augmenter sa participation pour accompagner activement ce projet. ArcelorMittal a accepté de poursuivre les études engagées en ce sens.
 

Le Gouvernement a ainsi démontré la capacité d’intervention de l’Etat afin de faire émerger des solutions positives en termes d’emploi, d’investissement et de projet industriel d’avenir. Et ce dans une filière pourtant affectée par une situation particulièrement difficile.


 Ces engagements d’ArcelorMittal sont inconditionnels. Le gouvernement veillera à ce qu’ils soient respectés scrupuleusement. Il utilisera tous les moyens nécessaires en cas de non-respect.

« 3- Le gouvernement est donc intervenu pour assurer l’avenir industriel du site de Florange. Mais il s’agit aussi de préparer l’avenir d’une sidérurgie à la pointe de la technologie.



Le projet ULCOS est un projet d’excellence industrielle et d’excellence environnementale. C’est un projet sur lequel l’Etat s’engage avec résolution aux côtés de la Lorraine. Je veux que la Lorraine, si souvent meurtrie dans son histoire industrielle, envisage à nouveau avec confiance son avenir. Je veux que, notamment avec ce projet, elle soit un exemple pour le renouveau industriel de la France, qui est au cœur du nouveau modèle français. Je rencontrerai prochainement les élus lorrains pour poursuivre avec eux le travail sur ce renouveau. Je veux leur rendre hommage, et je salue la détermination des salariés.



« 4- Le gouvernement n’a pas retenu l’hypothèse d’une nationalisation transitoire, qui a pu être évoquée ces derniers jours. Il a écarté cette solution au vu des engagements qu’il a obtenus d’ArcelorMittal.


La nationalisation, c’est-à-dire l’expropriation par « nécessité publique », peut certes être nécessaire dans des circonstances historiques particulières ou pour sauvegarder des intérêts supérieurs de la Nation.



Mais elle n’est pas efficace face à un problème de débouchés pour une entreprise ou face à un problème de compétitivité.



Je rappelle que le gouvernement a fait le choix du Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi. Il s’agit d’une priorité nationale.



C’est par ce Pacte que nous allons reconquérir la compétitivité que nous avons perdue depuis dix ans.



C’est par la mobilisation de tous les acteurs, sur l’impulsion de l’Etat, que nous regagnerons des marchés, retrouverons le chemin de la croissance et gagnerons la bataille de l’emploi



Ma conception du rôle de l’Etat est qu’il doit animer, impulser, réguler l’activité économique, et protéger les intérêts stratégiques.




C’est pourquoi, il doit investir lui-même dans les projets d’avenir qui ne sont pas immédiatement rentables. C’est l’exemple d’ULCOS.



C’est pourquoi, il prendra autant que nécessaire des participations dans des entreprises stratégiques dont la survie serait en jeu, comme cela a été le cas avec Alstom.



C’est pourquoi, il renforce la régulation des comportements des acteurs économiques et financiers. C’est le sens de la prochaine loi de séparation des activités bancaires, indispensable pour que la confiance revienne. Et le ministre de l’économie et des finances, Pierre MOSCOVICI, me fera des propositions pour renforcer la législation qui protège nos entreprises des OPA hostiles.



Le gouvernement est au côté des salariés qui se battent pour l’emploi. Il est au côté des élus et des populations qui se battent pour le développement de leur territoire. Il est totalement mobilisé pour le renouveau industriel de la France et le redressement du pays.



Revue de Presse – Articles liés :


Source :  L’Express :
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01 décembre 2012

Rachida Dati donnent ses opinions sur l'actualité politique : Palestine, UMP, etc

Éditorial de lucienne magalie pons

Madame Rachida Dati  interviewée  par J.J. sur les plateau de BFMTV/RMC a donné ses opinions du Vendredi 30 Septembre 2012 :

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Philippe Douste-Bazy donne son avis sur la Crise UMP

Éditorial de lucienne magalie pons

Sur Radio Classique le Vendredi 30 Novembre 2012

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Philippe Douste Blazy, invité politique de... par radioclassique

Phi

UMP : La journée de Vendredi 13me Jour de la Crise UMP et le best Of de l'Ultimatum

Éditorial de lucienne magalie pons



On ne  peut pas dire que c’est un poulet doux : voici le courrier que Monsieur Eric Ciotti avait envoya hier  à  Monsieur Yannick Paternotte


Permanence François FILLON

46 rue Saint Dominique

75007 PARIS

Eric CIOTTI
Directeur de campagne de François FILLON  

                                                                 
                                                             Monsieur  Yanick  PATERNOTTE
                                                             Président de la Commission Nationale
                                                             des Recours 
                                                             UMP 
                                                             238, rue de Vaugirard
                                                               
                                                             75901 Paris Cedex 15

                                                                                
                                                                                 Le 30 novembre 2012



Monsieur le Président de la Commission Nationale des Recours,

Vous avez adressé aux adhérents un e-mail ce jeudi 29 novembre, qui contient un certain nombre de contre-vérités que je tiens à corriger.- Quant à la composition de la Commission Nationale des Recours tout d’abord: comme vous le savez, cinq des neuf membres de la CNR, dont vous-même, avaient publiquement pris parti pour Jean-François COPE; deux avaient pris position pour François FILLON, dont l’un seulement avait fait campagne pour lui de façon active, l’autre étant Secrétaire départementale et n’ayant donc fait connaître sa position qu’une fois le vote terminé.

Pour votre bonne information, puisqu’il semble qu’elle soit lacunaire, je joins à cet envoi les documents qui attestent des prises de position de chaque membre de la CNR durant la campagne

- Quant au déroulement des travaux de cette Commission ensuite : Stéphan ROSSIGNOL, seul soutien actif de François FILLON pendant la campagne, a refusé de siéger lors des délibérations sur les recours des candidats, car il souhaitait respecter les conditions qui avaient été posées par Alain JUPPE pour entreprendre une médiation neutre et impartiale.


- Quant à l’examen des recours de chaque candidat enfin : les recours exposés par François FILLON n’ont pas été examinés par la CNR, car vous avez refusé de recevoir le mémoire complémentaire qui lui avait été adressé, refus constaté par un huissier et repris par l’AFP.

 En outre, je constate que vous n’avez pas respecté la règle qui prévalait jusqu’alors au sein de votre Commission, à savoir qu’un membre de la CNR se déporte systématiquement dès lors qu il a à statuer sur un cas dans lequel il est juge et partie : ainsi le 17 juillet 2012, vous vous étiez déporté car la Commission avait à connaître du cas d’un élu du Val d’Oise, département qui est le vôtre. Vous aviez alors décidé de ne pas siéger dans ce dossier, ni dans l’examen du dossier ni dans les délibérations.

Ce changement d’attitude de votre part me paraît avoir gravement porté atteinte à l’impartialité des travaux de votre commission, ce dont j’ai pris note avec regrets.


Je vous prie de croire en l’expression de mes salutations distinguées.

Eric CIOTTI


                                                                   

                                                                          
                                                               Permanence François FILLON – 46 rue Saint Dominique – 75007 PARIS



Ce Samedi matin dans au entretien au Figaro,  Le président de la Commission des recours de l’UMP, Yanick Paternotte, proche de Jean-François Copé  a assuré que la décision de proclamer la victoire de Jean-François Copé face à François Fillon pour la présidence du parti, avait  été prise à « l’unanimité ».


« Notre décision a été prise à l’unanimité par les membres de la commission qu’ils soient pro-Copé, pro-Fillon ou neutres », affirme Yanick Paternotte …, « D’ailleurs nous n’étions pas certains d’arriver, a priori, à une décision à l’unanimité. Mais il fallait que nous essayions de parvenir à une décision unanime et, si nous n’y étions pas parvenus, d’avoir l’honnêteté de le dire. »


Le président de la Commission des recours,  a une nouvelle fois rejeté les accusations de partialité dont il fait l'objet. « C’est un procès d’intention irrecevable. Depuis le mois de septembre, je n’ai participé à aucun de ses grands rassemblements. Ce n’est pas un crime d’être militant de l’UMP ! »


 Vendredi  30 novembre 2012  « le digest de la journée » :

 Au matin du  Vendredi,  treizième jour de crise à l'UMP, qui oppose toujours les camps de Jean-François Copé et François Fillon, les discussions  étaient  officiellement terminées entre les uns et les autres.

La question du Référendum  enterrée,  la question d'un nouveau vote des militants pour la présidence de l'UMP restait toujours en suspend, aucun des camps n'ayant cédé aux exigences de l'autre.

Aucun des deux camps n’entendait  céder aux conditions de l’autre sur la question d’un nouveau vote, la question du référendum était  enterré, le divorce était confirmé, les discussions étaient  officiellement rompues  entre les uns et les autres.

Cependant des avis, des opinions,  se succédaient,   comme autant de sons de cloches dans les médias presse et audio-visuels, quand soudain, e n fin d’après-midi   tout ce qui avait déclaré au cours de la journée par les uns et les autres donnaient lieu à différents commentaires mais à 18 h  un scoop :  le Figaro confirmait que Nicolas Sarkozy posait un Ultimatum à Jean François Copé et François Fillon   «  Nicolas Sarkozy a demandé aux deux hommes de trouver une solution avant dimanche soir. «Vous devez vous mettre d’accord tous les deux dans les plus brefs délais».


Mais résumons ci-dessous pour mémoire le film qui s’était déroulé dans la journée ce  Vendredi , 13ème jour  de crise   UMP,  pour ne rien oublier de la substantifique  moelle qui est remontée au cerveau des protagonistes des deux camps  qui   espéraient encore  gagner au  Loto UMP en maintenant ses mêmes mises  alors que la roue de la fortune restait obstinément bloquée  :


Cependant des avis, des opinions,  se succédaient,   comme autant de sons de cloches dans les médias presse et audio-visuels :


 Alain Joyandet, ancien ministre, pro-Fillon, sur Radio Classique,  a proposé vendredi de garder à la tête de l'UMP Jean-François Copé, même s'il a été "mal élu", et de revoter dans un an. "Il faut être un tout petit peu réaliste", a insisté  Alain Joyandet  "Si Jean-François Copé dit : je suis là, j'y reste, qu'est-ce qu'on fait ? On ne va pas demander l'envoi des forces de l'ordre, j'imagine".  "Je n'ai pas voté pour lui", ….,  "Mais il a été proclamé élu. Il y a une commission dont on conteste - et moi aussi - la légitimité, mais qui a confirmé cette élection". ……"A lui de proposer que l'on revote par exemple dans un an, pour que cette situation ne perdure pas jusqu'au congrès de 2015" ….,  "Ce qui nous permettrait de revoir les statuts, de se réorganiser comme il faut pour réélire un président sur de bonnes bases", a-t-il expliqué.

Madame Rachida Dati proche de Jean-François Copé,  entrait  en scène sur le plateau de BFMTV/RMC,  elle  opinait  … » Je  ne dit «pas non à un nouveau vote (pour la présidence de l'UMP) . Je dis juste qu’on ne peut pas revoter, ce ne sera plus le même corps électoral, ce sera les mêmes règles,  donc on peut être amené à recontester encore l’élection»  ce vendredi matin. «Si on veut faire une nouvelle élection il faut changer les règles et les statuts dans ce cas-là je suis d’accord», ajoute-t-elle.

Concernant l'image des deux rivaux à la présidence de l'UMP Jean-François Copé et François Fillon,  Rachida Dati  disait encore «simplement que là, ils se sont beaucoup abîmés. (...) Quand même il  ( J-F Copé) s’en est un petit peu beaucoup pris. Parce que les attaques violentes, disproportionnées pour ne pas dire non civilisées… Ca va quoi !, le délit de sale gueule pour Jean-François Copé».


:Thierry Solère, député de Boulogne-Billancourt sur LCP  jugeait que la crise à l'UMP révélait  le manque de «culture démocratique» à droite. il  soutenait  l’idée d’une «direction collégiale» avec Jean-François Copé comme président élu.
«Il faut que la droite fasse son autocritique: on n'a pas la culture de la démocratie à droite. Ca a toujours été le cas. On a la culture de l'homme providentiel, on n'a jamais eu d'élection interne, on découvre ça, on apprend».


 Sur Radio Classique,  Philippe Douste-Blazy,  ancien ministre, actuel  Secrétaire Général des Nations Unis , faisait un court commentaire , (discrétion oblige en raison de ses fonctions à l’ONU), selon lui    «il y a eu des élections primaires qui ont été uniquement (départagées par) les militants, c'est totalement dépassé»,  commentait-il,  «Savoir qui est le président d'un parti politique à partir uniquement d'une boîte fermée, close, sans savoir ce qui se passe, c'est fini.»

Note : Mais non Monsieur Philippe Douste-Blazy la boîte de pandore s’est ouverte, ce n’est pas fini !


Le député Eric Ciotti, qui avait dirigé la campagne de François Fillon pour la présidence du parti, a estimé vendredi auprès de l'AFP que "l'idée d'un nouveau vote" des adhérents progressait chez "les partisans de Jean-François Copé". "Nous nous réjouissons que l'idée d'un nouveau vote soit désormais largement reprise et soutenue par des partisans de Jean-François Copé", a déclaré le président du conseil général des Alpes-Maritimes.



Le son de cloche d’un  sondages:  en mi-journée un journaliste d’i-Télé, Olivier Galzi,  postait  en exclusivité sur Twitter les résultats d’un sondage  révélant  que   51% des sympathisants UMP penseraient que la rupture est définitive à l'UMP : «  Olivier Galzi @OlivierGalzi ,  En exclu pour les twittos: sondage #CQFD de ce soir sur @itélé: 51% des sympathisants UMP pensent que la rupture est définitive. OG  30 Nov 12


Il ajoutait  en exclusivité  un résultat du sondage à paraître sur sa chaîne à propos de François Fillon «  Olivier Galzi @OlivierGalzi : En exclu pour les twittos, sondage #CQFD sur @Itélé: 55% sympathisants #UMP pensent que Fillon a eu tort de constituer son groupe #RUMP. OG

Un « canular » : La bataille à l'UMP pourra-t-elle un jour donner lieu à une fiction TV? Un site spécialisé dans les canulars annonçait  qu'Arte prévoyait d'adapter le «chaos actuel à l'UMP en mini-série» pour la rentrée 2013. Toujours selon ce site, Kad Merad et François Cluzet auraient donné leur accord pour interpréter.

La chaîne franco-allemande Arte a  aussitôt démenti.

Note :  en instantané  et en grandeur nature le chaos est encore plus saisissant :

François Bayrou,  le Président du Modem,  (Modem)  reçu à l'Elysée dans le cadre des consultations sur la commission Jospin sur l'avenir des institutions, a estimé à sa sortie que «la vie politique française est dérisoire, elle est absurde, l'affrontement droite-gauche perpétuel, les accusations réciproques d'un camp contre l'autre sur la responsabilité de la situation, on le voit bien avec ce qui se passe à l'UMP, c'est pitoyable».  Les médias ont rapporté que François Bayrou  a ainsi appelé François Hollande à changer les choses. «Il est de sa responsabilité, parce que c'est le rôle du président de la République en France, de faire naître un nouveau climat politique dans lequel les Français, différents, chacun avec son histoire, les grands courants du pays, pourraient se réunir pour soutenir les réformes nécessaires», a-t-il dit..

Le Directeur de campagne de François  Eric Ciotti , député des Alpes-Maritimes,  envoyait un courrier à  Yanick Paternotte, président de la commission des recours, qui avait écrit la veille un e-mail aux adhérents de l’UMP en louant les travaux de la commission qu’il préside et qui avait proclamé Jean-François Copé vainqueur de l’élection pour la Présidence de l’UMP .

Dans son courrier  envoyé à Yannick Paternotte  Eric Ciotti,   dénonçait  des « contre vérités » figurant dans  le mail de Yannick Paternotte en l’accusant de partialité.
 
 Eric Ciotti  écrivait   notamment  que «cinq des neuf membres de la commission, dont vous-même (Yanick Paternotte), avaient publiquement pris parti pour Jean-François Copé», et  que les «recours exposés par François Fillon n’ont pas été examinés par la commission des recours car vous avez refusé de recevoir le mémoire complémentaire qui lui avait été adressé, refus constaté par un huissier»

Enfin Eric Ciotti  constatait  dans sa lettre à Yves Paternotte : 

Le député des Alpes-Maritimes «constate que [vous] «  n’avez pas respecté la règle» de s'exclure volontairement de la commission des recours, qu'il aurait fait dans une autre affaire interne. «Ce changement d’attitude de votre part me paraît avoir gravement porté atteinte à l’impartialité des travaux de votre commission.»

Christian Jacob  le président du groupe UMP à l'Assemblée appelle les députés UMP de tous bords à "ne pas modifier la répartition des places dans l'hémicycle" mardi, lorsque la conférence des présidents débattra des conséquences de la naissance du nouveau groupe, le R-UMP.

(Rappelons qu’en  séance   les députés de chaque groupe se regroupent ensemble dans l'hémicycle, les groupes se positionnant de gauche à droite (par rapport  à la tribune du président).

Selon un sondage BVA pour i-Télé diffusé vendredi, 81% de sympathisants UMP considèrent que ce parti doit organiser une nouvelle élection pour désigner son président. Ils sont 80% des Français à penser la même chose. Quelque 68% des sondés estiment  que François Fillon et Jean-François Copé ne trouveront pas de terrain d'entente et ne resteront pas au sein du même parti.

On apprend de sources diverses médiatiques que  81% des sympathisants UMP  sont pour une nouvelle élection il rapportent  que selon un sondage BVA pour i-Télé diffusé vendredi, 81% de sympathisants UMP considèrent que ce parti doit organiser une nouvelle élection pour désigner son président. Ils sont 80% des Français à penser la même chose. Quelque 68% des sondés estiment  que François Fillon et Jean-François Copé ne trouveront pas de terrain d'entente et ne resteront pas au sein du même parti.


Le député du Nord apparenté UMP Jean-Pierre Decool, conseiller général et maire de Brouckerque, annonce dans un communiqué rejoindre le groupe parlementaire de François Fillon, le R-UMP, en tant qu'«apparenté». Il appelle par ailleurs à un nouveau vote des adhérents UMP pour la présidence du parti.

Citant  un    filloniste, les médias rapportent dans l’après-midi seulement, que  Nicolas Sarkozy a téléphoné à François Fillon vendredi matin. L'échange entre l'ex-Président et son Premier ministre a été calme. "J'ai dit à Jean-François que vous deviez vous entendre, que tout ça avait assez duré", lui a-t-il dit. Nicolas Sarkozy réclame que les deux adversaires fassent "un pas l'un vers l'autre". "Je voulais que Jean-François le fasse hier soir (jeudi), il m'a demandé d'attendre jusqu'à dimanche", a-t-il ajouté. "C'est le dernier délai. Je vous demande très fermement tous les deux de trouver une solution avant mardi. Sinon je dirai publiquement que vous êtes tous les deux disqualifiés pour diriger un grand parti".

Le Figaro toujours sur la brèche,  écrit au conditionnel  que  Nicolas Sarkozy demanderait à Copé et Fillon «de se mettre d'accord dans les plus brefs délais», il  aurait demandé à Jean-François Copé et à François Fillon de cesser les querelles,  selon le quotidien  « Nicolas Sarkozy a demandé aux deux hommes de trouver une solution avant dimanche soir. «Vous devez vous mettre d’accord tous les deux dans les plus brefs délais», aurait dit Nicolas Sarkozy à François Fillon ce vendredi.


Boum, Badaboum, le Best of de la journée surgit   vers 18 h : Le Figaro rapporte cette fois au « présent » que  Nicolas Sarkozy a demandé aux deux hommes de trouver une solution avant dimanche soir. «Vous devez vous mettre d’accord tous les deux dans les plus brefs délais».

Nicolas Sarkozy a demandé à François Fillon et Jean-François Copé de trouver une solution à la crise de l'UMP "avant mardi", faute de quoi il dira "publiquement" que les deux hommes sont "disqualifiés" pour diriger le parti


Selon diverses sources qui reprennent le « scoop » de l’Ultimatum, Nicolas Sarkozy  a eu une longue conversation téléphonique avec son ancien Premier ministre,  François Fillon, après avoir déjeuné la veille avec  Jean-François Copé..

Plusieurs sources  UMP ont informé l’AFP que lors de sa conversation  téléphonique avec François Fillon, Nicolas Sarkozy a demandé que les deux hommes s'entendent, soulignant avoir dit la même chose à Jean-François Copé. Selon ces mêmes sources, pour  Nicolas Sarkozy, la situation "a assez duré" et chacun des deux  "doit faire un pas vers l'autre"….et qu’il avait souhaité  que Jean-François Copé, fasse ce pas dès jeudi soir, mais celui-ci  a demandé à l'ex-président d'attendre jusqu'à dimanche.

Selon le journaliste de l'Express Benjamin Sportouch,  Nicolas Sarkozy voudrait toujours une nouvelle élection.

Pendant un bon moment les chaînes reprennent  rapidement l’information et commentent  en insistant bien sur le fait que Nicolas Sarkozy  demande à Fillon et Copé une "solution avant mardi »


Le Figaro en alerte depuis le matin révèle que  les données du fichier l'UMP seraient devenues inexportables, à la suite d'un "bug" intervenu chez son sous-traitant. Elles ont été "victimes d'un brutal dysfonctionnement", indique le site Internet du quotidien. Le fichier ne peut donc plus être manipulé. (sic).

 

Claude Guéant interrogé sur BFMTV revenait à 20 h 00 sur l’ultimatum posé par Nicolas Sarkozy a  déclaré    "naturel, légitime et naturel qu'il intervienne". "Il est reconnu par la droite comme un leader qu'elle regrette", a-t-il  affirmé, en  jugeant sa tentative de médiation comme "le signe de son attachement à l'UMP". "L'UMP est en danger de mort", s'est-il inquiété.


Rappel d’autres informations- ;au menu des belligérants figurent pour les 3 prochains jours :

En mi journée de dimanche, François Fillon s’exprimera lors des rencontres de Royaumont (Val-d'Oise) chez son  soutien et ami  , le député Jérôme Chartier. Les médias pensent qu’il devrait parler  de l'UMP à cette occasion.

 Mardi, la conférence des présidents de l'Assemblée nationale devrait consacrer   la constitution  du mouvement R-UMP du groupe filloniste à l'Assemblée nationale, 


Dimanche en fin de journée, Jean-François Copé a prévu de tenir une "réunion militante" à Nancy avec à ses côtés Nadine Morano.

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Mardi, la conférence des présidents de l'Assemblée nationale devrait consacrer   la constitution  du mouvement R-UMP du groupe filloniste à l'Assemblée nationale.

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Pour sûr les chicayas vont reprendre ! Le Château UMP est ébranlé de la base au sommet, et un monument en périls ne se restaure du jour au lendemain.


Inutile d’en rajouter, votre éditorialiste part en week-end ce soir, demain elle doit assister à un spectacle plus réjouissant , si elle a oublié quelques incidents notables , elle vous propose de cliquer sur les articles figurant en Revue de presse ci-dessous:

Revue de presse :


Crise à l'UMP : le "coup de pression" de Sarkozy

Le Point
 - ‎30 nov. 2012‎




L'ancien chef de l'État a mis en demeure les deux hommes de trouver une solution avant mardi. Nicolas Sarkozy menace Copé et Fillon de son désaveu public. © Eric Feferberg / AFP. Nicolas Sarkozy a demandé à François Fillon et Jean-François Copé de .

  1. ·  
LaDépêche.fr ‎- il y a 11 heures
VIDEO -- Ça continue de barder à l'UMP! Mais de manière discrète. Nicolas Sarkozy a fix&eacu.
  1. Crise à l'UMP: un groupe parlementaire coupé en deux, un ultimatum qui fait pschitt et une situation... totalement bloquée
Slate.fr‎ - il y a 3 jours

·  UMP : Sarkozy pose un ultimatum à Copé et Fillon - Le Nouvel ...

tempsreel.nouvelobs.com › La bataille de l'UMP
il y a 1 jour – L'ex-chef de l'Etat exhorte les deux rivaux de trouver un accord "avant mardi", sans quoi il les désavouera publiquement.

·  Crise à l'UMP : le "coup de pression" de Sarkozy - Le Point

www.lepoint.fr › Politique
il y a 1 jour – Nicolas Sarkozy a demandé à François Fillon et Jean-François Copé de trouver une solution à la crise de l'UMP "avant mardi", faute de quoi il ...

·  UMP : Sarkozy «sidéré» que sa médiation n'ait pas abouti

www.leparisien.fr/.../ump-cope-les-conditions-ne-sont-pas-reunies-po...
il y a 3 jours – La situation est de nouveau totalement bloquée à l'UMP ce mercredi, ... UMP : chronologie d'un psychodrame · L'ultimatum de Sarkozy à Copé ...
www.franceinfo.fr/.../crise-a-l-ump-sarkozy-se-dit-excede-818951-2...
il y a 2 jours – Nicolas Sarkozy a eu François Fillon au téléphone vendredi matin, selon des informations recueillies par France Info. L'ancien président de la ...

·  Crise à l'UMP : Sarkozy fixe un ultimatum à Copé et Fillon - RTL.fr

www.rtl.fr/.../crise-a-l-ump-sarkozy-fixe-un-ultimatum-a-cope-et-fill...
il y a 1 jour – Nicolas Sarkozy a demandé à François Fillon et Jean-François Copé de trouver une solution à la crise de l'UMP "avant mardi", faute de quoi il ...

·  Présidence UMP : Fillon dit non à l'ultimatum de Copé | melty.fr

www.melty.fr/presidence-ump-fillon-dit-non-a-l-ultimatum-de-cope-...
il y a 3 jours – Présidence UMP : Près de 10 jours après le vote pour la présidence de l'UMP, la situation au sein du parti est de plus en plus chaotique