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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Le fameux, la fameuse…on entend souvent ces expressions employées d’un ton ironique qui se veut malin par les journalistes et animateurs de l’audio visuel, radios et télévisions.
Si on peut accepter cet adjectif lorsque ces chroniqueurs relatent un évènement insolite, c’est par contre inacceptable lorsqu’ils se piquent d’informations sérieuses, telles que celles par exemple qui touchent aux actualités politiques du moment.
C’est ainsi que de plus en plus souvent nous entendonscertains des unes et des uns, et des autres .., parler « de la fameuse loi »… « de la fameuse décision ».., du fameux programme » , ceci pourrait passer s’il s’agissait de rappeler à titre historique d’anciennes lois, d’anciennes décisions, d’anciens programmes, mais non pas du tout, il s’agit de décrypter selon eux la politique actuelle
Un certain animateur a dit récemment pour se faire mousser, implicitement sans doute pour justifier ses écarts et celle de ses comparses : « Ce n’est pas parce que l’information est sérieuse qu’il faut se prendre au sérieux » , cette affirmation n’est qu’un jeu de mot à connotation fortement publicitaire, par contre nous les auditeurs nous souhaiterions que ces « fameux » certains journalistes et chroniqueurs fassent preuve de moins d’ironiedans leurs interventionsen ce qui concerne notamment et surtout l’information des actualités politiques du moment..
Le Dimanche 19 Août les vacances du Président de la République prenaient fin et dès le lendemain à son exemple le Premier Ministre et tous les membres du Gouvernement faisaient face sur tous les fronts pour les urgences de la rentrée économique et sociale, mais aussi sur les dossiers européens et internationaux.
Leurs moindres mouvements, paroles, actions, déplacements, décisions, sont depuis scrutés, par une opposition malveillante, qui s’est donnée pour mission de les critiquer sans mesure, dans l’espoir de manipuler l’opinion, et naturellement certains médias complices en rajoutent.
De plus, depuis une dizaine de jours, nous assistons aux rentrées successivesdes partis et divers mouvements politiques, des syndicats, des associations, lesquelsse réunissent de jour en jour en universités, colloques, réunions, dans la capitale ou les grandes villes des régions, ou encore à Trifouillis-les-Oies, pour donner de la voix à l’effet de présenter des revendications, des programmes, desprojets.
Mais pour la grande majorité des particuliers, la « rentrée » c’est tourner la page sur des vacances toujours trop courtes, reprendre le collier au bureau, à l’usine, dans les ateliers, sur tous les lieux de travail, au moins pour ceux qui ont la chance d’avoir un emploi.
Mais encore et surtout, pour ceux qui ont des enfants et pour le corps enseignant la grande affaire de la rentrée c’est en priorité la rentrée scolaire.
C’est aussi la priorité du Gouvernement, si l’on considère que l’école, l’éducation et les jeunesfigurent dans lesprioritésdu mandat du Président Hollandeet du Gouvernement.
Et pour bien marquer que la rentrée scolaireest au cœur de ses préoccupations, lelundi 3 septembre, François Hollande a visité le collège Youri Gagarine à Trappes (Yvelines),accompagné par le Ministre de l’éducation Vincent Peillon, par George Pau-Langevin, Ministre déléguée à la Réussite éducative et par Benoît Hamon, Ministre délégué à l’Economie sociale et solidaire
A cette occasion le Président de la République a rappelé , aucour de son intervention, devant les personnalités et les membres du corps enseignants qui l’accueillaient, les mesures déjà prises , mais a aussi exposé l’orientation et les grandes lignes du programme qu’il entend avec son Gouvernement mettre en œuvre non seulement pour réformer mais encore pour refonder l'école
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(en texte) – source -site officiel de la présidence de la République :
Publié le 03 septembre2012
Déclaration de M. le Président de la République au collège Youri Gagarine (Trappes)
Mesdames,
Messieurs,
Je tiens à remercier toute l'équipe du Collège Gagarine de m'avoir accueilli ce matin. Je salue les élus de la Ville, son Maire, Guy MALANDAIN et les parlementaires, toutes les équipes qui se sont mobilisées pour la réussite de cette pré-rentrée.
Si je suis là, aujourd'hui, dans ce collège, c'est à la fois pour saluer les efforts qui sont engagés depuis plusieurs années et en même temps, pour m'adresser à tous les personnels de l'Education nationale.
Chaque rentrée scolaire constitue pour les ministres et pour l'ensemble des effectifs concernés un véritable défi : il s'agit d'accueillir plus de 12 millions d'élèves avec près d'un million de personnels, Aujourd'hui, ça l'est davantage encore compte-tenu des suppressions de postes qui sont intervenues ces cinq dernières années (80.000 sur la période, dont 13.000 encore pour cette rentrée) et compte-tenu aussi, de la diversité des élèves qui sont accueillis dans un grand nombre d'établissements.
Ce défi sera relevé grâce à l'action des ministres que je salue, mais grâce surtout à la mobilisation des enseignants comme non-enseignants. Je veux donc leur rendre hommage et leur donner des raisons d'espérer dans l'accomplissement de leur métier.
J'ai fait de la jeunesse, et donc de l'école, la grande priorité de mon mandat.
Car, j'estime que la refondation de l'école est l'une des conditions du redressement de notre pays, de son redressement productif, de son redressement moral. C'est donc un investissement pour assurer la cohésion sociale -- c'est la mission de l'école -- la lutte contre le chômage - il y a urgence - mais c'est aussi une des conditions pour favoriser l'excellence et donc la compétitivité. Former la jeunesse aux emplois de demain, ces emplois que demandent les entreprises, former chaque jeune à être citoyen, transmettre du savoir mais aussi des comportements, voilà l'enjeu de l'école ; c'est un enjeu pour toute la République.
Je sais que la période qui vient de s'achever a été éprouvante pour les enseignants, en particulier pour les plus jeunes. L'entrée dans le métier a été rendue plus difficile, la formation a reculé quand elle n'a pas disparu, la violence s'est, hélas, dans certains lieux intensifiée et l'Education nationale a fait trop souvent l'objet d'attaques, pas simplement budgétaires, idéologiques aussi. Il a été tant demandé à l'école et il a été si peu rendu à l'Education nationale.
Face à cette situation, le Gouvernement a pris des mesures d'urgences. Dès le mois de juin, j'ai considéré qu'il était encore possible de changer les choses, ce fut donc fait. Des recrutements complémentaires ont eu lieu : (1000 dans le primaire, un peu moins de 300 dans le secondaire), création de nouveaux postes d'assistants de prévention et de sécurité, de 2000 postes d'assistants d'éducation, de 1.500 emplois d'auxiliaires de vie pour l'accueil et l'accompagnement des élèves en situation de handicap. Voilà ce que nous pouvions faire dans un temps court pour assurer cette rentrée dans des conditions honorables pour tous. Des aménagements et des décharges de service ont été également prévus pour les enseignants stagiaires de façon à ce qu'une première formation puisse leur être dispensée alors que rien n'était prévu.
Mais répondre à une urgence ne fait pas une politique.
L'avenir, c'est la refondation de l'école. Mon ambition, et c'est la vôtre, c'est de créer les conditions de la réussite éducative pour chacun. C'est d'élever le niveau de qualification des jeunes. C'est de sortir parfois de la torpeur ou de la peur des élèves pour leur donner ce qu'il y a de plus beau, l'espoir d'un destin. C'est de transmettre des savoirs et des disciplines pour former des citoyens. L'école doit donc changer, changer à travers ses rythmes, à travers les formations, à travers l'orientation, à travers les moyens, à travers les structures. Tout le monde doit y être associé.
C'est pourquoi, j'ai voulu avec le Premier ministre qu'une concertation puisse être engagée. Elle mobilise près d'un millier de personnes et 22 ministères parce que l'éducation ne se réduit pas à un seul ministère. Ce ne doit pas être une réforme de plus, vous en avez connu tellement qui aussitôt votées sont aussitôt remises en cause. Il ne s'agit pas d'une réforme mais d'une refondation, ce qui voudra dire clarification et mobilisation des moyens, des personnels et des structures.
Au terme de cette concertation qui s'achèvera au cours du mois d'octobre, nous engagerons la préparation d'une loi d'orientation sur l'éducation qui sera présentée au Parlement avant la fin de l'année. Elle fixera le cadre dans lequel seront mis en œuvre, sur la durée du quinquennat, les différents chantiers.
Mais pendant que le dialogue, encore pour quelques semaines, se poursuit, des décisions sont prises dès aujourd'hui. Plus de 22 100 postes vont être mis aux concours externes de la session 2013, permettant le remplacement de tous les départs à la retraite. Dans le contexte budgétaire actuel, c'est un choix particulièrement fort, qui repose sur une conviction simple : l'éducation est un investissement nécessaire pour la Nation et pour la génération qui vient.
Nous avons besoin de plus d'enseignants mais aussi d'enseignants mieux préparés à l'exercice de leur métier.
C'est pourquoi sera rétablie la formation initiale autour des futures écoles supérieures du professorat et de l'éducation avec deux principes : la professionnalisation et la progressivité de l'entrée dans le métier. Ainsi le budget 2013 intégrera également les moyens nécessaires pour accompagner la mise en place de cette nouvelle formation.
Je vois comme un encouragement, comme un signe déjà favorable, l'augmentation du nombre d'inscrits aux concours externes de la session 2013. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le métier d'enseignant attire à nouveau les étudiants.
Pour préparer, faciliter l'entrée dans le métier et la préparation des concours, j'ai décidé qu'une partie des emplois d'avenir serait réservée à l'Education nationale. Cela répond à un besoin de justice sociale, en permettant à des jeunes, de milieux souvent modestes, de poursuivre leurs études pour préparer des métiers de l'enseignement et cela correspond aussi à un besoin pour l'Education nationale d'avoir des jeunes présents dans les établissements et qui s'organisent pour préparer leurs concours. Dès 2013, ce sont ainsi 6.000 emplois d'avenir professeurs qui seront ouverts aux jeunes boursiers, et qui seront utiles dès à présent à l'Education nationale pour accompagner les élèves.
La refondation de l'école vaut pour le collège et si je suis venu ici aujourd'hui, c'est également pour envoyer ce message. Le collège, c'est un maillon essentiel de notre système éducatif qui doit travailler à la fois avec les écoles et avec le lycée. C'est la raison pour laquelle je veux que soient renforcés les liens entre l'école primaire et le collège avec une continuité harmonieuse dans la formation. Il est primordial d'éviter des transitions trop brusques pour les élèves, souvent synonymes d'échec scolaire. Trop d'élèves ne savent pas bien lire, bien compter en sortant du primaire et si je suis donc dans ce collège, c'est pour mettre en lumière ce que vous avez été capables de réussir, de lancer comme expérience autour justement de l'accueil des enfants de 6ème et du lien entre école et collège.
Je veux en faire un objectif national. Ce que vous avez fait ici à Trappes, nous devrons le faire partout où il est possible d'engager cette politique. L'objectif, c'est que les enfants sortant du primaire accèdent au second degré avec des connaissances suffisantes. Je sais que l'une des grandes difficultés que connaît le collège, c'est la différence de niveau entre les élèves accueillis notamment en 6ème, entre le retard que certains ont pu accumuler et qui paraît irrattrapable et l'avance que d'autres ont pris. La priorité, c'est de lutter contre l'échec scolaire dès l'école élémentaire. Le choix de faire du primaire une priorité forte en termes de moyens, c'est pour permettre aux autres niveaux ensuite d'en être soulagés. C'est donc tout le reste du cursus scolaire qui sera transformé dès lors que dans le primaire, les conditions de la réussite auront été posées.
Mais je reviens au collège. Le collège unique n'est pas le collège uniforme ; il n'interdit pas de proposer des approches pédagogiques différentes, des suivis personnels, des niveaux qui peuvent être différents, dès lors qu'aucun dispositif -- et j'y veillerai -- ne puisse détourner les élèves de l'objectif de maîtrise du socle commun, ou les enfermer dans je ne sais quelle filière dont ils ne pourraient jamais s'échapper.
La réforme, la refondation, ce n'est pas seulement des moyens, il en faut ; la refondation c'est aussi l'innovation pédagogique, c'est le travail en équipe, c'est la capacité de dépasser les structures, ce sont les outils technologiques que l'on peut mettre en mouvement comme ici, c'est l'accompagnement des élèves. Donc nous engageons une refondation qui n'est pas simplement une addition mais une démultiplication.
Cette ambition pour l'école, elle s'exprime encore avec plus d'acuité à l'égard des quartiers que l'on dit « difficiles » - et qui sont difficiles - et où il y a davantage à faire pour ceux qui sont le plus loin de l'objectif de réussite que nous avons fixé. L'Education nationale est partie prenante de la politique de la ville, elle ne s'y substitue pas, elle l'accompagne. Une bonne école ne pourra jamais régler les conditions de vie, de transport, les problèmes d'emploi ou de logement. Ne demandons pas à l'école ce qu'elle ne peut pas faire. Une bonne école, elle offre la perspective de la réussite, de la promotion, de la qualification. D'où l'effort que je veux engager pour les quartiers et pour les établissements qui en relèvent.
Une bonne école, elle enseigne des savoirs, des connaissances mais aussi de la dignité, du respect, de la considération, de la réflexion personnelle. Et c'est le sens de ma volonté, que le ministre de l'Education Vincent PEILLON a rappelé de faire que la morale laïque puisse être enseignée de l'élémentaire jusqu'à la terminale, pour transmettre aux enfants les principes et les comportements du vivre ensemble.
Cette ambition pour l'école, elle est l'affaire de tous. D'abord du Président de la République parce qu'il est responsable de la République, de son avenir, de sa cohésion ; du Président de la République parce que je me suis engagé personnellement devant les Français pour que l'école soit une grande priorité, que la jeunesse soit le grand enjeu de ce quinquennat, parce que si nous arrivons à donner à la jeunesse toute sa place, nous concourrons à l'objectif de redressement économique, financier, productif de notre pays. C'est la responsabilité du Gouvernement qui s'est pleinement engagé, y compris dans ses choix budgétaires, nous en ferons la démonstration dans les prochains jours. Du Parlement qui aura à se prononcer sur la loi d'orientation, des collectivités locales que je salue parce qu'elles font beaucoup pour les équipements, les bâtiments, l'entretien, et avec des personnels que ces collectivités locales mettent au service des élèves et de la communauté éducative. C'est l'affaire de tous. Des enseignants qui sont les premiers concernés, les premiers mobilisés pour la réussite, mais aussi de tous les autres personnels de l'école, quel que soit leur niveau, de ceux qui assurent l'entretien jusqu'à celui ou celle qui est chef d'établissement. C'est une communauté qui doit être regardée comme telle et mobilisée, en faisant en sorte que chacun puisse être à sa place et en même temps être aussi à l'initiative. Lorsqu'il s'agit de lancer des expériences, nous avons besoin de tous. C'est l'affaire commune parce que les parents doivent être impliqués, que chaque fois que l'on peut mettre des parents aussi en responsabilité, ils le demandent et d'autres qui ne le demandent pas, nous devons aller les chercher et les convaincre. C'est une chance de plus pour les élèves.
L'école, c'est ce qui permet de nous rassembler au-delà de nos différences, de nos sensibilités, de nos générations. C'est ce qui permet de nous dépasser pour une cause qui nous élève, parce que c'est celle des enfants. C'est donc ce message ce matin, ici à Trappes, que je voulais adresser, un message de confiance. Confiance dans les enseignants : la France a besoin d'eux, je sais leur dévouement, leur engagement, leur excellence, et en cette prérentrée, je voulais les saluer. Je voulais aussi adresser un message de confiance dans l'Education nationale, parce que nous avons besoin d'elle pour atteindre nos objectifs pour notre pays. Et enfin, un message de confiance dans le projet que nous portons ensemble pour la République et pour son école.
Bonne rentrée à tous, c'est d'ailleurs le message que chacun a entendu, tout le monde est rentré.
Voilà, voilà, voilà .. monsieur Guaino se lance "tout simplement" pour la Présidence de l'UMP !
Monsieur Henri Guaino, qui fût conseiller spécial de Nicolas Sarkozy lors de l’ancien quinquennat, Député des Yvelines depuis les dernières législatives, veut apparemment consolider son nouveau profil d’homme politique après avoir accompli une carrière de haut fonctionnaire.
Il fallait s’y attendre et ce n’est pas surprenant qu’ilse lance dans la course dans la course à la Présidence de l’UMP, et d’après ce que nous pouvons lire dans la presse il s’en expliqué comme suit : . "C'est une décision qui ne se prend pas à la légère. Je n'avais pas, au départ, l'intention de me lancer dans cette aventure. C'est la tournure qu'a pris[e] le débat qui m'a poussé à prendre cette décision. Il y a dans cette histoire écrite d'avance, quelque chose qui ne correspond pas à ma conception de la politique"….. etcertains médias précisent, «..après mûre réflexion, une réflexion qui a cheminé tout l’été, le député a donc "souhaité offrir aux adhérents la possibilité de mettre un terme à ce tête à tête infernal " en faisant allusion aux deux candidatures de pointe, celle de François Fillon et de Jean François Copé.
Monsieur Henri Guaino est donc le 7me prétendant déclaré à la présidence du parti UMP, mais ce qui ledémarque des autres candidats c’est qu’ilse présente en insistant sur son idée et ses convictions Gaulliste et Séguiniste, alors que les autres candidats s’en réfèrent soit au courant Sarkozyste, soit à leur propre vision d’un nouveau courant politique quidevraitsurgir dans l’UMP, avec pour certains en arrière pensée l’échéance présidentielle de 2017 ;
Monsieur Guaino lui prend donc son envolée et met les pieds dans le platsur des bases gaullistes conservatrices et finalement sa démarche peut s’analyser comme un recadrage ou encore un arbitrage. . "Oui, je suis candidat à la présidence de l'UMP", a confirmé Henri Guaino sur LCIlundi en expliquantnotamment "Après avoir écouté ce que les uns et les autres disaient, je n'y ai retrouvé ni ma conception de la politique, ni les raisons de mon engagement".
La démarche de Monsieur Guaino qui veut exprimer une autre ligne que celle des deux candidats les mieux placés en se cantonnant lui dans le Gaullisme ne manquera pas de provoquer des réactionset d’accentuer des rivalités et des coupures entre les notables politiques UMP … pour le moment avant d’en parler nous attendons que la coupe déjà pleine de dissensions au sein de l’UMP se remplisse encore et devienne pleine à ras bord d’amertume, au point de devenir imbuvable pour les récipiendaires en lice.
Reste pourMonsieur Henri Guaino, (comme pour les autres candidats) à réunir pour le 18 septembre date limite du dépôt des candidatures les 8000 parrainages nécessaires.
Rappelons que le président de l'UMP sera élu pour un mandat de trois ans par les adhérents du parti, lors d'un congrès, les 18 et 25 novembre
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La France, qui présidait le Conseil de Sécurité pour le mois d’août, espérait que celui-ci pourrait s’accorder afin de pallier le manque d’aide humanitaire, en convoquant la réunion de jeudi 30 août en ce sens, en y invitant aussi les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays voisins de la Syrie : la Turquie, le Liban, la Jordanie et l’Irak.
Il est à déplorer que moins de la moitié des pays membres du Conseil ont envoyé leurs ministres pour assister à la réunion.
Parmi les cinq membres permanents, seuls la France et le Royaume-Uni ont envoyé leur ministre.
L’absence des ministres chinois et russe des Affaires étrangères à cette réunionsouligne la situation impossible dans laquelle se trouvele Conseil de sécurité, étant rappelé quel’opposition de la Chine et de la Russie à toute interventionmilitaire rend difficile voire impossiblele vote d'une résolution, et finalement cette réunion dont on attendait au moinsuneposition sur la « crise humanitairesyrienne », s’est achevée vendredi matin sans résolution ni communiqué,
Ahmet Davutoglu, le ministre des affaires étrangères Turc, avait déjà demandé Mercrediàl’Onud’instaurer une zone refuge en Syrie pour les civils fuyant les combats qui continuententre le régime de Damas et les insurgés, depuis plus d’un an et demie.
Il a insisté devant le Conseil de Sécurité :
"Combien de temps allons-nous rester assis à regarder, alors qu’une génération entière est en train d’être décimée par des bombardements aveugles et des attaques ciblées de masse ?" ….."Je pensais que cette réunion déboucherait sur des solutions concrètes aux souffrances du peuple syrien", a-t-il ajouté.
"Nous n’avons rien de neuf à dire aux milliers de Syriens qui souffrent aux mains du régime, alors que l’Onu est piégée par l’inaction.", a-t-il déploré.
Le vice-secrétaire général des Nations unies Jan Eliasson, soutenu entre autres par Paris, anotamment répondu"De telles propositions soulèvent des questions importantes et nécessitent un examen approfondi et critique",
Le Ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabiusa déclaré devant le Conseil de Sécurité : …"Devant cette situation qui heurte la conscience humaine, la conviction de la France est qu’il faut tout faire, tout tenter pour mettre fin aux violences et soulager la population civile",en soulignant que Paris reconnaîtrait un gouvernement de transition dès qu’il serait formé par l’opposition syrienne.
Avant la réunion du Conseil de Sécurité lors d’une conférence conjointe avec Laurent Fabius William Hague, le Chef de la diplomatie britanniqueavait déclaré …."Nous n’écartons rien et avons prévu des solutions pour un large éventail de solutions",…, "Nous devons également dire clairement que tout ce qui ressemble à une zone de sécurité nécessite une intervention militaire, et c’est bien sûr quelque chose qui doit être considéré avec beaucoup de précaution", avait-il ajouté.
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Toutefois, la France et la Grande-Bretagneen annonçant jeudi une augmentation de leur aide humanitaire, (5 millions d’euros pour Paris)- ( 3 millions de livres pour Londres) -appelé les autres pays à les imiter.
lepoint.frNouveautéil y a 2 jours - 2 min Syrie : Fabius et Hague à l'ONU. Les ministres français et britannique des Affaires étrangères, Laurent Fabius ...
D’après un article de «Libération » vu sur Internet, ungroupe islamiste obscur, "la Brigade des petits-fils du Prophète", qui se présente comme proche de l'Armée syrienne libre (ALS, rébellion), a revendiqué l'attentat sur sa page Facebook, en affirmant qu'il s'agissait d'"une réponse aux massacres à Daraya et dans les autres villes".
il y a 2 heures – Un attentat à la bombe a frappé dimanche un quartier du centre de Damas abritant des bâtiments des services de sécurité et le bureau ... un quartier résidentiel chic où se trouvent de nombreuses ambassades, à proximité de ...
http://fr.euronews.com/ La guerre en Syrie est aussi psychologique. En commettant un nouvel attentat ce dimanche en plein centre de Damas, la rébellion veut montrer qu'elle peut frapper le régime syrien de plus en plus près du coeur. C'est dans le quartier résidentiel et chic d'Abou Remmaneh, qui est pourtant ultra-sécurisé, que deux bombes ont explosé. De source officielle, il y a quatre blessés.
L'attentat a eu lieu près d'un immeuble utilisé par l'état-major de l'armée syrienne.
Samedi soir, un autre attentat avait été perpétré dans une banlieue populaire de Damas, tuant une quinzaine de civils. Face à cette vague d'attaques, les forces armées encore fidèles au président Bachar al-Assad essaient par tous les moyens d'éliminer les poches de résistance dans la capitale. Dans le quartier de Mazzé ce dimanche, les militaires ont utilisé des bulldozers pour raser cinq maisons et trois commerces qui, selon l'armée, abritaient des rebelles.