Muammar Kadhafi est traqué, mais reste toujours introuvable.. .
Comme on le sait le CNT dans un accès de démocratie inspiré des fictions de la saga du Far West a lancé un appel pour capturer le colonel Kadhafi, et a promis une récompense de 1,7 millions de dollars pour sa « livraison mort ou vif » ... aucun de ses soutiens occidentaux n’a désavoué le CNT, mais l’ONU, dans sa grande conscience humanitaire , sans condamner explicitement l’appel à la chasse à l’homme à livrer » mort ou vif » a fait savoir que Kadhafi « doit être capturé vivant et arrêté selon le mandat délivré par la Cour pénale internationale (CPI), le porte-parole de l’ONU, toute exécution sommaire est interdite par le droit international.
Note : Ils vont se gêner …dans une vidéo publié sur Internet ont voit des insurgés brulant un drapeau de Kadhafi et assurant qu’ils brûleront aussi Kadhafi dès qu’il l’auront trouvé !
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Activité diplomatique, politique et médiatique intenses sont programmés, mais d’abord en préalable aux palabres et réunions diplomatiques et politiques, le financement du CNT a été débattu en priorité :
La Communauté Internationale tient pour acquise la « victoire » des insurgés et préparent activement " l’après Kadhafi" sur toutes les scènes diplomatiques, politiques et médiatiques se succèdent des réunions, des rencontres, des déclarations d’intentions politiques, le tout en sucrant au préalable généreusement le CNT toujours demandeurs d’aide et de fonds..
(À lire pour mémoire)
Libye: les rebelles demandent 5 milliards d'aide d'urgence
D’après le CNT la survie de la nouvelle administration dépend du déblocage des actifs libyens, affirment et répètent les responsables de la rébellion.
Rappelons que les responsables du Groupe de contact sur la Libye (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Allemagne et Turquie) se sont réunis mercredi soir à Doha, à la demande du CNT. A l'issue de cette réunion, les rebelles avait réclamé une aide d'urgence de 5 milliards de dollars. Le CNT avait initialement estimé ses besoins à 2,5 milliards de dollars. L'organe exécutif de la rébellion libyenne a donc demandé que cette somme soit débloquée sur les avoirs libyens gelés, comme le proposaient les États-Unis. Ces avoirs avaient gelés le 26 février dernier par une résolution de l'ONU qui imposait des sanctions sévères à Mouammar Kadhafi et son entourage.
Note : « vos désirs sont les nôtres » semble avoir répondu avec empressement et en obtempérant le Conseil de sécurité de l'ONU qui s’était tout aussitôt réuni mercredi soir pour examiner la demande libyenne.
Il suffisait de demander !
La demande du CNT a été plus que satisfaite :
- Tout d’abord le groupe de contact pour la Libye réuni jeudi à Istanbul, a rassuré le CNT en assurant que 2,5 milliards de dollars d'avoirs seront débloqués d'ici à la fin d'août.
- Dans la foulée, de New York, le Conseil de sécurité de l'ONU a accepté de débloquer 1,5 milliard de dollars d’avoirs libyens pour aider à la reconstruction du pays. Cette somme viendra financer une aide d'urgence à la reconstruction du pays, ont indiqué des diplomates. On explique aussi que les États-Unis comptent envoyer 500 millions de dollars à des groupes humanitaires internationaux, 500 millions au CNT pour payer des salaires et des services essentielles et 500 millions à un fonds international pour la Libye pour acheter du carburant et d'autres produits de première nécessité.
- L'Italie avait aussi annoncé jeudi qu'elle débloquerait 350 millions d'euros au CNT, "dès la semaine prochaine
- Rappelons que la France a déjà débloqué 182 millions d’euros (200 millions de francs) d’avoirs libyens qui ont été mis à la disposition du Conseil national de transition (CNT) pour "des achats humanitaires", comme l’a annoncé le 1er Aout annoncé le ministère français des Affaires étrangères.
Lire : Libye: Paris débloque 200 millions pour le gouvernement de transition
Le Matin Online - 1 août 2011
La France a débloqué 182 millions d'euros (200 millions de francs) d'avoirs libyens qui ont été mis à la disposition du Conseil national de transition (CNT) ...
Juppé, cible d'une sommation judiciaire après une remise d'argent ... L'Express
Autres articles (49) »
Une toute petite ombre au tableau, de pure forme, rapidement gommée par les médias :......L'Union européenne a appelé à la prudence dans le déblocage des avoirs libyens gelés par la communauté internationale pour sanctionner le régime Kadhafi, en estimant qu'il fallait s'assurer que les partisans du régime n'en bénéficient pas, ce qui laisserait supposer que certains dirigeants de l’UE plus honnêtes que d’autres se demandent qui fait quoi et qui gouverne encore ou pas encore en Libye.
Intense activités diplomatiques
Une conférence des «amis de la Libye» est prévue le 1er septembre à Paris et le chef du CNT a promis «de favoriser les pays qui nous ont aidés» lors de la reconstruction du pays.
Nicolas Sarkozy va se rendre en Libye. L'entourage du président de la République, actuellement en déplacement en Nouvelle-Calédonie laisse entendre que Nicolas Sarkozy veut se rendre en Libye,( lire l’article en cliquant sur le lien bleu ). Certains médias rapportent l'information en ajoutant que Nicolas Sarkozy et David Cameron , le Premier Ministre Britannique, ont l’intention d’aller à Tripoli et à Benghazi, «dès que possible» et par ailleurs dans les articles consacrés à leur intention il est précisé que le Président Français ne se rendrait en Libye que « dès que Kadhafi aura été capturé », l’Elysée a indiqué aussi que Kadhafi aurait été localisé à Syrte, sa ville natale.
Bernard Valero, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères lors d'un point de presse. a déclaré «Le processus de réouverture de l'ambassade de France à Tripoli est engagé. Cette réouverture devrait avoir lieu rapidement». (. Cette ambassade était fermée depuis le mois de Février 2011)
Par ailleurs la Libye mobilisent beaucoup d’énergie dans le but de réconcilier les libyens.
Par exemple Dominique de Villepin confirme avoir participé récemment à des discussions sur le conflit libyen, indiquant avoir agi «dans la transparence» et prévenu le président Nicolas Sarkozy. «Mon rôle est tout à fait particulier parce que j'ai répondu à la demande de certaines parties libyennes. Je ne souhaite pas entrer dans les détails. Mon objectif était de favoriser la réconciliation des Libyens», a-t-il déclaré sur i-Télé. Monsieur de Villepin , interrogé au sujet du du sort de Mouammar Kadhafi, a répondu : «c'est la responsabilité des Libyens...Veillons à ne pas interférer. Faut-il que la justice se prononce en Libye ? Faut-il qu'elle se prononce ailleurs ? Laissons les Libyens décider de leur avenir». ( voir les articles en cliquant sur les liens bleus)
Le Rwanda a appellé l'Union africaine, qui se réunissait ce vendredi, à apporter son soutien aux rebelles libyens du Conseil national de transition (CNT), en estimant que le colonel Mouammar Kadhafi ne pouvait plus diriger le pays.
Mais l'Union africaine réunie en mini-sommet à Addis Abeba a refusé vendredi de reconnaître sa légitimité, appelant à la place à la constitution d'un "gouvernement de transition incluant toutes les parties :
Mais le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'Union africaine (UA) a clôturé vendredi après-midi à Addis-Abeba sa réunion d'une journée sur la situation en Libye sans reconnaître le Conseil national de transition (CNT), le CSP a demandé l’arrêt immédiat des combats, la fin complète des hostilités et la formation d'un gouvernement de transition. incluant toutes les parties, qui sera le bienvenu pour occuper le siège de la Libye au sein de l'UA', indique le communiqué du CPS ;
Cette réunion, qui s’est déroulée en présence des Chefs d’Etat de Djibouti, de l’Ouganda et de l’Afrique du Sud entre autres, ainsi que des représentans de L’Onu et de la Commission de l’UA, a été l'occasion d'un débat houleux du fait des divergences entre ses membres sur la crise en Libye.
'Les pays qui ont reconnu le CNT l'ont fait sur la base de leur politique souveraine et de leurs intérêts', a déclaré à la presse le président sud-africain, Jacob Zuma.
Par ailleurs, l’Algérie n’a pas reconnu (pour le moment) le CNT et n’a jamais demandé le départ du Colonel Kadhafi :
L'Algérie a dénoncé les attaques, en début de semaine, contre son ambassade à Tripoli, mais elle ne réagi pas aux annonces de la chute du régime du dictateur libyen et reste silencieuse sur le cas Kadhafi. Rappelons que L'Algérie n'a pas reconnu le CNT et n'a jamais demandé le départ de Mouammar Kadhafi. L’Algérie, pays voisin de la Libye souhaite que la rébellion s'engage avec «vigueur» contre Al-Qaïda au Maghreb islamique. (lire en cliquant sur les liens bleus) Le ministère algérien de la Défense a confirmé samedi qu'un attentat a visé la veille au soir l'Académie militaire de Cherchell (110km à l'ouest d'Alger), faisant 11 morts et 32 blessés.
On peut comprendre que l’Algérie n’ait pas encore reconnu le CNT, dont les composants ne sont pas politiquement clairement identifiés politiquement, d’autant que l’Algérie a à se défendre d’attentats terroristes sur son propre territoire, dont le dernier en date a eu lieu hier vendredi , avec pour cible le « mess extérieur, de l’Académie inter- armes de Cherchell, tuant des officiers et des civils et faisant de nombreux blessés, selon un premier bilan donné vendredi soir de sources hospitalières il y aurait 18 morts et des dizaines de blesses dont certains en état grave. " Ce dernier mois l’Algérie a subi des attaques qui ont ciblé les forces de police et de sécurité, notamment en Kabylie, fief d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) – (d’après les médias) -,, où le commissariat de Tizi-Ouzou avait été visé le 14 août par un kamikaze qui avait fait 33 blessés.
Politique Libyenne : Le CNT organise la transition :
Quoiqu’il en soit le CNT soutient que les rebelles sous son autorité contrôlent la capitale Libyenne et a décidé de transférer son gouvernement de transition de Benghazi à Tripoli, pensant sans doute asseoir de Tripoli sa réputation internationale (prématurée) de Gouvernement de la Libye.
Jeudi, le « nouveau futur »gouvernement a quitté Benghazi pour s’installer à Tripoli :
Rappelons qu’en principe l’avenir politique du pays s'appuie sur la "déclaration constitutionnelle" du CNT présentée le 16 août. Ce document prévoit la remise du pouvoir à une assemblée élue dans un délai de huit mois maximum ainsi que l'adoption d'une nouvelle Constitution
Huit responsables du Conseil national de transition sont arrivés jeudi dans la capitale libyenne pour préparer la transition politique. Créé le 27 février dernier en pleine répression brutale de l'opposition par Kadhafi, le CNT jusqu’alors considéré comme "un comité de gestion des crises" est sorti de l'anonymat le 10 mars à Paris, lorsque Nicolas Sarkozy est devenu le premier chef d'État occidental à le reconnaître comme unique "représentant légitime" du peuple libyen.
Pourtant, le gouvernement intérimaire apparaît opaque. Sur les 31 membres qui forment son comité exécutif, seuls 13 sont connus de l'Occident, "pour des raisons de sécurité", assurait-t-on à Benghazi. Parmi eux figureraient d'anciens dignitaires du régime de Tripoli, des techniciens, des universitaires ainsi que des représentants de grandes familles. Afin d'éviter toute surreprésentation des populations rebelles de Benghazi, fief de la contestation, par rapport aux autres, chaque ville sous contrôle rebelle se verrait octroyer cinq sièges.
Les ex-kadhafistes figurent parmi les favoris , notamment :
*Mustapha Abdel Jali :
Envoyé par le colonel à Benghazi en février pour négocier avec les rebelles, Mustapha Abdel Jalil a décidé d'épouser leur cause pour devenir le chef politique de l'organisation. "Abdel Jalil est apprécié des Libyens en tant qu'ancien ministre compétent pouvant servir de lien entre le passé et le présent", note Antoine Vitkine auteur de Kadhafi, notre meilleur ennemi (France 5, 2011).
*Mahmoud Jibril, est considéré comme un atout considérable en Libye, véritable tête pensante de la rébellion. Ex-chef du Conseil national pour le développement économique du régime de Kadhafi, désigné comme numéro deux du CNT, il a été l’ artisan de la restructuration économique du pays avant sa démission en 2010. D’après les médias, technocrate libéral et pragmatique, il cumule aujourd'hui les postes officieux de ministre des Affaires étrangères et de chef des Affaires militaires du Gouvernement de transition Il est rapporté que cet ancien professeur d'économie à Pittsburgh, entretient des relations privilégiées avec les États-Unis. "Il se distingue surtout des autres en étant le moins proche de Kadhafi", selon Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen et auteur du Manifeste des Arabes (Éditions encre d'Orient).
*Abdessalem Jalloud :
Ancien ex -bras droit du Guide libyen, assigné à résidence depuis plusieurs années, Abdessalem Jalloud vient de rejoindre le CNT.
Une nouvelle personnalité émergente, présenté par les médias comme issu de la « mouvance islamiste, apparaît aussi comme l’un des favoris :
Abdel Hakim Belhadj
Vendredi , Abdel Hakim Belhadj l’une de têtes dirigeantes du CNT, issu de la « mouvance islamiste » d’après les médias, a annoncé que les combattants rebelles libyens à Tripoli vont être placés sous un commandement unifié et intégrés au sein d'une nouvelle armée nationale au terme d'une période de transition, en précisant que le commandement unifié des insurgés libyens serait confié à un Conseil militaire.
"Le Conseil militaire annonce son intention de dissoudre toutes les formations rebelles et de les intégrer au sein des institutions de l'Etat", a-t-il dit au cours d'une conférence de presse.
Il a ajouté que les insurgés mettaient au point une stratégie pour garantir la sécurité de toutes les institutions publiques et de toutes les missions diplomatiques à Tripoli.
Les insurgés s'attachent pour l'instant à "purifier" la capitale libyenne des dernières poches de résistance des partisans de Mouammar Kadhafi, lequel est introuvable, a-t-il dit.
Rappel du parcours d’Abdel Hakim Belhadj,
En rappelant qu’Abdel Hakim Belhadj dirige l'insurrection armée dans la capitale libyenne, et qu’il a joué un rôle de premier plan dans l'offensive menée par les rebelles contre Tripoli.,
les médias rappellent son parcours, selon eux, issu de la mouvance islamiste, il s'était réfugié à la fin des années 1990 en Afghanistan dirigé alors par les talibans, et certains observateurs ajoutent que s'il a bien été en contact alors avec Oussama ben Laden, il n'a pas adhéré à la stratégie d'attentats anti-occidentaux développée par Al Qaïda,
Abdel Hakim Belhadj fait partie actuellement de la direction du « Mouvement islamique pour le changement en Libye (Al Haraka al Islamiya al Libiya Lit-Tahghir) » , organisation composée pour l'essentiel d'anciens membres du Groupe islamique de combat en Libye (GICL), le GICL avait disparu après avoir tenté de renverser Mouammar Kadhafi dans les années 1990.
Après la mort inexpliquée du général Younès, ancien chef de l'armée rebelle, la prise de Tripoli a été attribuée à Abdelhakim Belhadj, islamiste repenti. "S'il n'est pas tué, il est clair que Belhadj va jouer un rôle important dans la Libye de demain", analyse Mathieu Guidère, spécialiste d'al-Qaida au Maghreb islamique et auteur du Choc des révolutions arabes (Éditions Autrement). "Le concept de laïcité n'existe pas dans le pays et la charia y est déjà appliquée. Mais s'il est déjà très rigoriste, le pays n'en deviendra pas pour autant intégriste."
Selon Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, "la place de l'islam n'est pour l'instant pas du tout évoquée au sein du CNT et des divergences risquent de surgir au moment de la rédaction de la Constitution".
Les combats se poursuivent :
De Washington, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a appelé jeudi les rebelles libyens à se montrer fermes face à la «violence extrémiste» en estimant que les prochains jours et semaines seront «critiques» en Libye.
On ne luit fait pas dire … :
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Vendredi les combats et les affrontements continuaient dans le centre de TRIPOLI, à SYRTE, autre fief de Kadhafi, située à 360 km .à l’est de Tripoli, encerclé par les rebelles, les médias rapportent que l'Otan bombarde SYRTE intensément pour permettre aux insurgés d’investir la ville bastion du Régime de Kadhafi , et dans laquelle ils espèrent capturer le colonel Kadhafi qui y aurait été localisé, selon des informations circulant dans l'entourage de Nicolas Sarkozy.
A TRIPOLI , Vendredi, en fin de soirée avancée,, la bataille de Tripoli se poursuivait dans le quartier Abou Salim, toujours tenu par les soldats du colonel Kadhafi qui lui demeure toujours insaisissable en fin de soirée avancée , la bataille faisait rage dans le quartier Abou Salim, tenu par les soldats du colonel
A SYRTE, des avions britanniques ont bombardé dans la nuit un important bunker servant de QG( aux forces loyalistes )dans la ville natale du dirigeant libyen, a annoncé vendredi le ministère britannique de la Défense dans un communiqué.
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D’après le HCR, depuis le début de l'insurrection à la mi-février, 20 000 personnes auraient été tués selon le CNT , relayé par les médias, et depuis samedi passé, date du début de l'opération rebelle pour la prise de Tripoli, - qui n’est pas terminée quoiqu’on nous assure du contraire- , plus de 10 000 Libyens ont franchi la frontière avec la Tunisie au poste de Dehiba, d'après le HCR.
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Parallèlement à la politique et aux combats les affaires restent les affaires !:
« L’après Kadhafi » annoncé avec insistance depuis une semaine comme imminent d’un jour à l’ autre, met en présence des pays de la Communauté Internationale, européens notamment , pour obtenir des contrats en vue de reconstruire le pays, (ndlr : qu’ils ont contribué à détruire) , le chef du CNT a du reste promis avec beaucoup d’à propos, lors de sa récente visite à Paris , «de favoriser les pays qui nous ont aidés» lors de la reconstruction du pays.
Dans la presse italienne, certaines rumeurs circulent depuis quelque temps sur une « concurrence effrénée » entre la France et l’Italie pour décrocher les « meilleurs contrats » dans la future Libye « pos-Kadhafi » , …….. Franco Frattini s’est-il senti visé ? L'Italie et la France ne sont pas engagées dans une bataille de type «colonial» pour s'emparer des richesses de la Libye a assuré le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini, sur radio publique Rai. «Il n'y a pas une course à qui arrivera le premier en Libye», a assure M. Frattini, en rejetant des commentaires de la presse italienne sur une concurrence effrénée entre les deux pays pour décrocher les meilleurs contrats dans la Libye post-Kadhafi.
Note : « L'Italie et la France ne sont pas engagées dans une bataille de type «colonial» pour s'emparer des richesses de la Libye a dit Franco Frattini, voulait-il dire implicitement qu’il s’agissait plus simplement d’une guéguerre « néo-colonialiste » conduite dans l’ombre par des Messieurs France-Afrique et Italie-Afrique naturellement antagonistes ? …..
