18 novembre 2016

Nicolas Sarkozy surgit par surprise dans le débriefing de Nicolas Poincaré à l'issue du 3me débat de la primaire de la Droite et du Centre, et s'impose comme le boss de la fin de l'émission !

Éditorial de lucienne magalie pons


Coup de théâtre  sur le plateau de Nicolas Poincaré :

 Alors que les  baptisés "grandes voix", à savoir les   invités de Nicolas Poincaré,  Robert Namias, Gérard Careyrrou et Alain Duhamel,  pontifiaient  ou plastronnaient d'importance,  en  débriefant  le   3me débat de la Primaire et du Centre (qui venait de se terminer), en privilégiant notamment  dans leur propos François Fillon,   qui selon eux s'était montré comme le "Boss de la Soirée" , soudain à la 9me minute et 27 secondes,  Nicolas Sarkozy surgit soudainement sur le plateau de l'émission,  à la surprise générale,   comme un diable  taquin  sort de sa boite.  

Ce n'est pas la première fois que nous constatons la faculté réversible des chroniqueurs, éditorialistes et journalistes  de tous poils,  en face  d'un imprévu qui vient déranger leur confort médiatique "d'entre-soi",  mais là ce fût frappant !

Tout le monde se lève , chacun se montre acceuillant, souriant  et  salue  révérencieusement Nicolas Sarkozy, on lui offre généreusement  "une petite place", "restez avec nous " ..... ,  et alors l'ambiance de l'émission jusqu'alors plutôt  pompeuse et plastronnante à en être "rasoir",  change radicalement d'ambiance , et finalement quand après les salamalecs d'acceuil,  Nicolas Sarkozy souriant et  très à l'aise prend place, il  renverse  la vapeur, l'émission s'anime , reprend  de la vigueur,  et  comme vous le verrez Nicolas Sarkozy devient véritablement le "boos de l'émission ",  effaçant et de loin les "grandes voix" médusées devenues complaisantes envers lui, alors que pendant 9 minutes avant son arrivée elles n'en avaient  que pour François Fillon et subsidiairement pour Alain Juppé  !

La vidéo que vous verrez en cliquant sur le lien ci-dessous a été publié  dans la page Facebook d'Europe 1 ..., on ne peut la télécharger, quand au site officiel d'Europe 1  il ne publie qu'un  très bref  extrait de ce débriefing ..de 1 m 30 s , dans lequel toute la suite de l'émission ne paraît pas  !  

Europe 1 - Suivez le debrief du débat de la primaire à... | Facebook

https://www.facebook.com/Europe1/.../10155652385405620/?video...

Suivez le debrief du débat de la primaire à droite avec Nicolas Poincaré et ses invités.

17 novembre 2016

Le chiffre de chômage repart à la hausse au 3me. Trimestre - l'analyse de Nicolas Doze - (vidéo)

Éditorial de lucienne magalie pons


* Pour accéder à la vidéo cliquez sur le lien ci-dessous :


Image pour le résultat associé aux actualités
Après une nette décrue en milieu d'année, le chômage est en légère hausse de 0,1 point au ...



* Source et références :
bfmbusiness
bfmbusiness

Nicolas Doze: Le taux de chômage augmente au troisième trimestre - 17/11


REVUE



16 novembre 2016

Lire ou relire l'Interview d'Emmanuel Macron publié le 16 novembre à 12 h 31 ( Source : "La Dépêche.fr )

Éditorial de lucienne magalie pons


1/ En cliquant sur le lien ci-dessous vous aurez accès au document oral de l'interview figurant sur le site "L'indépendant" :

[AUDIO] Ecoutez l'interview à la presse quotidienne régionale d'Emmanuel Macron, nouveau candidat à la présidentielle

2 / Pour information nous reproduisons ci-dessous en copié /collé l'intégralité de la retranscription  de l'interview exclusive  accordé par Emmanuel Macron aux journaux de la quotidienne régionale.

* copié/collé :  


Gauche, emploi, fonctionnaires, fiscalité, FN: la première interview du "candidat Macron"

Présidentielle-2017


Publié le 16/11/2016 à 12:31 ( sur le site "La Dépêche.fr" )

Gauche, emploi, fonctionnaires, fiscalité, FN: la première interview du "candidat Macron"

Dans la foulée de sa déclaration officielle de candidature à l'élection présidentielle de 2017, Emmanuel Macron a accordé une interview exclusive aux journaux de la presse quotidienne régionale.

Votre candidature n'ôte-t-elle pas définitivement toute chance à la gauche de l'emporter en 2017?

Depuis plusieurs mois on construit cette offre progressiste. Le diagnostic a été fait qu'on rassemble des progressistes de tous bords sur le territoire. Si la vie politique française est dans la situation que l'on connaît aujourd'hui, ce n'est pas ma faute. Entre une gauche qui veut changer le réel et une gauche conservatrice, la gauche est divisée et n'apporte plus les bonnes réponses aux défis contemporains. La gauche selon ses composantes n'a pas le même rapport à l'Europe, aux défis économiques et sociaux. Si la majorité explose s'est du fait de ses propres incohérences. J'ai bien conscience que ma candidature contrarie les équilibres établis d'une caste politique qui n'est plus structurée dans l'intérêt des Français. Qu'est ce qui fait la France: l'Europe, le rapport à la sécurité et l'état de droit. Les primaires prouvent par ailleurs qu'il n'y a plus de leadership au sein des partis politiques.

Incapable de rassembler son camp, François Hollande doit-il être malgré tout candidat?

Il ne m'appartient pas de commenter ce que les uns et les autres doivent faire. Je ne critiquerai jamais le Président de la république. Il prendra ses propres responsabilités.

Si François Hollande déclare finalement sa candidature, pourriez-vous retirer la votre?

Ma candidature est une candidature de rassemblement, pas de témoignage. Je veux rassembler les progressistes de tous bords.

A quel moment avez-vous décidé d'être candidat?

Mon souhait est le suivant : recomposer la vie politique. J'ai d'abord  fondé "En marche", puis les choses se sont faites étape par étape. La décision politique, solennelle exprimée ce mercredi matin, s'est cristalisée durant les derniers mois. Aujourd'hui notre mouvement compte 95000 adhérents et  plus de 2000 comités locaux.

Diriez-vous que votre démarche est apolitique?

Pour moi, l'idée de se présenter relève de la politique au sens noble du terme, mais qui ne s'inscrit pas dans le fonctionnement actuel des partis. On veut nous faire croire qu'il n'y a point de salut en dehors des partis politiques. Ce n'est ni l'esprit ni la lettre de notre constitution.

A gauche, certains considèrent que votre candidature fait le jeu du Front national?

Je garde encore le souvenir du 21 avril 2002, de l'immense surprise que ce résultat a provoquée. Aujourd'hui les leaders politiques considèrent que la présence du FN au second tour de la Présidentielle de 2017 est une fatalité. Eh bien moi, je ne peux pas me résoudre à cette idée. Ma conviction c'est que ce sont les propres incohérences du PS et des Républicains qui nourrissent le FN. Je ne suis pas sensible à ces appels disciplinaires. Quant aux sondages, aucun responsable de la gauche n'est donné en situation d'être présent au second tour. Dans ces mêmes sondages, ma présence se fait en addition, pas au détriment de la gauche. Ce n'est pas moi qui ferait perdre la gauche : dans les sondages elle a déjà perdu.

On suggère également que votre déclaration de candidature peut avoir un impact sur la primaire de droite...

Ma volonté c'est surtout d'avoir un impact sur la vie de notre pays. S'il y a de la fébrilité c'est qu'elle a une raison d'être. Ce qui m'importe c'est de porter un projet cohérent.

Vous évoquez un projet cohérent. Quels en sont les points forts?

D'abord la conviction qu'on peut réussir la révolution numérique et environnementale au travers de deux grands projets: les rapports au travail et à l'investissement. Libérer l'accès à l'emploi, donner de la flexibilité au marché du travail, système qui ferme aujourd'hui les opportunités aux moins bien formés. Je propose de changer l'organisation du code du travail en le réformant et d'obtenir plus de flexibilité par le dialogue social dans l'entreprise.

Sur l'investissement, je propose de le relancer dans le public et le privé en donnant notamment de la stabilité et de la visibilité aux entreprises. Il y a un autre défi: les inégalités qui explosent dans notre pays, sociales et géographiques. La mondialisation accroît ces inégalités. Il y aura toujours des inégalités hélas!, mais elles ne sont pas une fatalité. La réponse, c'est avoir une vraie politique de l'égalité des chances et des opportunités. Il faut pour cela réinvestir sur l'école. 20% de nos jeunes ne savent pas lire écrire compter à la fin du primaire. Il faut investir aussi dans les endroits les plus en difficultés, je pense aux inégalités en matière des territoires. Je veux réconcilier les France, périurbaine, des villes moyennes, rurale qui se sent abandonnée, la France des quartiers. Il faut des réponses différentes pour ces différentes France.  Mon projet c'est aussi défendre une société ouverte, réaffirmer l'attachement à nos valeurs, l'état de droit, la laïcité. Je veux aussi mener le combat pour l'Europe parce que la France ne peut pas réussir sans l'Europe. L'Europe est le bon territoire de réponse face aux défis de ce monde.

Quelles sont vos propositions en matière de dépense publique et de fiscalité?

Je constate que notre niveau de dépense publique est trop important, 56% du PIB, contre 50% au début des années 2000. Il faut ramener progressivement nos dépenses publiques à ce niveau et c'est d'ailleurs ainsi que l'on peut baisser la fiscalité. Certains à droite promettent une réduction du nombre de fonctionnaires. Qu'ils disent comment on les soustrait, selon quelle mécanique? En vérité, la baisse des dépenses s'inscrit dans une stratégie politique, pas seulement budgétaire.

S'agit-il d'un projet de gauche?

C'est un projet progressiste dans lequel des gens de tous bords peuvent se retrouver. Un programme qui libère l'énergie de ceux qui sont en situation de faire.

Avez-vous renoncé à rénover le logiciel de la gauche?

On n'en est plus à se poser ce genre de question. La vie politique ne peut pas rester dans ses habitudes et être obsédée par la rénovation de son camp. Ce qui compte c'est la rénovation du pays.

Envisagez-vous de réformer la fonction publique?

Dans la fonction publique, il ne faut ni de stigmatisation facile, ni de tabous. Je crois dans la fonction publique. Elle a besoin de plus de liberté d'agir, mais elle a besoin d'etre réformée, elle dont les contours ont été tracés en 1947.

Par vos précédentes fonctions, êtes-vous comptable du bilan de ce gouvernement?

Pendant deux ans, j'ai été secrétaire général adjoint à l'Elysée. J'ai prodigué sans doute de bons et mauvais projets. J'assume tout, mais je précise que je n'étais pas, alors, en situation de prendre les décisions. J'ai ensuite quitté l'Elysée pour aucun autre poste et j'ai souhaité recouvrer ma liberté. En juillet 2014 je ne devais plus rien à personne. A partir de fin aout 2014, j'ai occupé des fonctions ministrérielles en portant mes convictions, en poussant toutes les reformes que je croyais utiles à mon pays, parfois contre la majorité. Ensuite, à partir de l'automne 2015, ces réformes ont été bloquées. J'ai eu de vrais désaccords avec la majorité, sur la déchéance de nationalité par exemple. Pour autant je ne suis pas le débiteur de tout un bilan.

Comment allez-vous mener votre campagne, au plan financier notamment?

Pour mener campagne, il faut des troupes, des projets et de l'argent. Nous avons les trois. Des femmes et des hommes sur le terrain, c'est ça notre force. Des élus se joignent aussi à notre démarche, mais je ne passerai pas d'accords d'appareil. Il faudra ensuite décliner le projet, ce que je ferai semaine après semaine. Puisque ma candidature s'inscrit en dehors des partis politiques, je ne percevrai pas de financement public. J'en appelle donc à la générosité du public. Plusieurs milliers de Français ont déjà commencé à donner. Quant aux signatures nécessaires pour la validation de ma candidature, des initiatives seront prises par l'ensemble de nos soutiens pour les obtenir.

En cas de succès au scrutin présidentiel, avec quelle majorité allez-vous gouverner?

Avec la majorité progressiste que nous construisons. C'est avec cette force que nous gouvernerons. Des élus de gauche, de droite, sont engagés avec nous. C'est inédit. Et puis toute une génération nouvelle arrive.
   
                                                                                                     LIONEL LAPARADE

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