13 octobre 2012

Semaine Présidentielle du 1er au 7 octbre 2012

Éditorial de lucienne magalie pons

Information - Source  Site Officiel - Présidence de la République - :
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La nouvelle vie de Nicolas Sarkozy : chacun sa route chacun son destin !

Éditorial de lucienne magalie pons



Certains médias et personnalités politiques  veulent maintenir  à flot  au-dessus des vagues dans l’actualité  politique  l'ancien chef de l'Etat  Nicolas Sarkozy en rapportant  tous ses faits et gestes depuis qu’il a perdu  la Présidence de la République,  c’est avec beaucoup de supputations et d’imaginations   qu’ils entretiennent leurs lecteur,  dans leurs nombreux articles  en posant rituellement  la question  qui les torturent «  a-t-il quitté la scène politique définitivement é les uns l’affirment, les autres en doutent.

Pourtant  Monsieur Nicolas Sarkozy  semble s’en tenir à ce qu’il avait déclaré pendant sa campagne présidentielle, à savoir qu’il abandonnerait la scène  politique s’il n’était pas réélu,  à ce sujet il ne se livre pas dans les médias, mais quand on lit les journaux  on pourrait croire qu’il  tient un autre discours avec ses proches amis politiques, les médias qui ont l’oreille partout l’insinuent en relatant ce que ses amis  disent de lui.


Nicolas Sarkozy  a tenu au moins  deux   promesse de campagne, depuis qu’il a été battu, il ne s’immisce pas dans la politique française  et d’une,  et il a changé   au moins physiquement, notamment  il a laissé poussé sa  barbe, et de deux.

Ce  qui lui a valu d’être critiqué par une ancienne ministre de son quinquennat  Roselyne Bachelot   dans un tout  récent billet titré « Sarko la Barbe » ,  publié dans le Nouvel Observateur du Jeudi 11 Octobre,  en effet  elle  a qualifié    la barbe affichée depuis cet été   par Nicolas Sarkozy de "style bad boy homo revisité"  en en  tirant pour conclusion  qu'il ne prépare pas son retour.

 Vraiment il est tout à fait risqué pour une ancienne Ministre qui sous l’ancien quinquennat ne ratait jamais une occasion de vanter les qualités et la valeur  de Nicolas Sarkozy  d’employer aujourd’hui une telle formule, peut être aurait-il été moins  caricatural et plus respectueux  pour l’intéressé  et pour tous ses amis  de  qualifier ce nouvel aspect physique de Nicolas Sarkozy  de  « style Play-boy revisité » 

Se posant pour ainsi dire en arbitres des élégances,  Roselyne Bachelot, qui a tourné la page de la politique, a  estimé  notamment aussi  qu’ «  un détail  a échappé  à  nos  fins politologues » en expliquant que ce n’est pas avec un look pareil qu’on reconquiert le cœur  d’un électorat hanté par la respectabilité » :

« Eh bien, mesdames, messieurs, tout cela n'est même pas vrai. Un détail a échappé à nos fins politologues: il arbore la barbe! Oui, une barbe style Bad boy homo revisité. Et ce n'est pas avec un look pareil qu'on reconquiert le cœur d'un électorat hanté par la respectabilité. Donc, CQFD, Nicolas Sarkozy a décidé de se consacrer à sa femme, à ses enfants, à son boulot, à ses conférences, à ses copains, au cinéma, au sport. Et il a bien raison ! »

Oui  mais de nôtre côté si nous estimons qu’il a effectivement changé  au moins physiquement en laissant pousser sa barbe, et d’une, et que   du point de vue politique Nicolas  Sarkozy a aussi changé, il expose maintenant ses idées politique libérales non plus sur la scène publique mais en privé, et de deux.

 Ces  changements font maintenant partie  de sa vie hors présidentielle, c’est  son choix et son affaire personnelle  et il n’y a lieu de s’en offusquer et   par conséquent,  nous ne nous autorisons pas pour autant  à critiquer son apparence, encore moins  qu’il  expose maintenant ses idées  libérales  en privé, devant un auditoire trié sur le volet,  à l’abri de toute couverture médiatique.


Cette  conférence avant et après sa tenue   a été l’occasion pour les médias de relancer le thème du retour en politique de Nicolas Sarkozy,  de même   pour  « les amis de Nicolas Sarkozy  » de faire des commentaires prospectifs  dont nous laissons à leurs auteurs l’entière  responsabilité.


 Faute de pouvoir s’étendre sur cette conférence dont ils ont été écartés,  les médias rapportent que Nicolas  a tenu Jeudi  11 Octobre 2012  une conférence privée organisée par une banque brésilienne  la banque d'investissement BTG Pactual  qui se déroulait  sur trois jours, du 9 au 11 octobre, au Waldorf Astoria, un  luxueux hôtel de Manhattan sur Park Avenue.


Ndlr : (Selon le programme, cette conférence "veut offrir aux investisseurs institutionnels un contact unique avec les présidents et directeurs généraux des entreprises les plus importantes d'Amérique latine". Elle se veut "l'opportunité  de discuter de questions stratégiques à moyen et long terme".)

 Par contre,  pour étoffer leurs articles sur cette conférence, les médias se sont rattrapés en relançant la question du retour  en politique de Nicolas Sarkozy  et en rapportant ce que ses amis politique en disent :
 
C’est ainsi qu’ils écrivent qu’Alain  Juppé a déclaré récemment  « déjà la politique lui manque   …,   il regarde attentivement ce qui se passe »,  en  estimant que l'ancien président effectuerait à terme  « un retour en politique », que Brice Hortefeux, Christian Estrosi, Nadine Morano et d'autres "amis" de Nicolas ont déjeuné ensemble mardi à Paris, en  envisageant ouvertement "un jour" son retour,  que  le secrétaire des Amis de Nicolas Sarkozy , Christian  Estrosi a déclaré notamment "Un jour, il sera sans doute l'un des meilleurs facteurs de cohésion de l'opposition voire de la reconquête", et que le  sénateur Robert Karoutchi  a avancé  en parlant de Nicolas :  "Le définitif en politique ?, il faut être mort. Pour le moment, il est très vivant »

Alors Mesdames et Messieurs s’il est très vivant, ce dont nous ne doutons pas, laissez le vivre comme il l’entend, et au lieu de vous raccrocher à  sa locomotive pour exister, vivez votre vie en lui foutant la paix.

Pour terminer citons simplement  un extrait de la chanson interprétée notamment par Tonton David :

.........
 Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message a ton voisin


......


 

12 octobre 2012

Les Sénateurs ont adopté hier le projet de loi autorisant la ratification du "Traité Bugétaire Européen"

Éditorial de lucienne magalie pons




Jeudi 11 octobre 2012, les sénateurs ont adopté par 306 voix contre  32 le projet de loi autorisant la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire.


Le texte a été complété par un "pacte européen pour la croissance et pour l'emploi" prévoyant la mobilisation de 120 milliards d’euros.


Rappelons que  l'Assemblée nationale avait adopté mardi 9 Octobre,  par 477 voix contre 70,  ce projet de loi de ratification, rappelons que  celles de la gauche avaient été suffisantes à l'Assemblée Nationale  pour franchir la barre de la majorité absolue.
 

Pour l’adoption par le Sénat, il est superflu d’épiloguer sur le thème « usé »  de certains de nos médias qui en  sont  à  insister à écrire à  écrire  que c’est « grâce aux voix  des sénateurs de droite, particulièrement de l’UMP, on le sait,  et pour nous nous préférons souligner qu’une majorité de  306 sénateurs responsables et  conscients de l’intérêt de l’Europe et de la France  ont voté pour l’adoption, ,  qu’il s’agissent des sénateurs des groupes  PS, écologiste, UMP,  Radicaux de gauche et apparentés une large majorité s’est exprimé pour et seul le résultat compte.


Pour, contre, abtention :


Les sénateurs socialistes ont voté pour à l’exception à l’exception de trois  d’entre eux.


Le groupe centriste a voté pour


Les sénateurs du Groupe UMP  ont voté  pour  à l'exception d'un  sénateur qui a voté contre  et d'un autre qui s'est abstenu.

Les Radicaux de gauche et apparentés, ont   voté pour à l'exception de deux apparentés.

Pour le  groupe écologiste, deux sénateurs  ont voté pour,  cinq  ont voté contre, et cinq se sont abstenus
Les sénateurs  membres du groupe du Front de gauche ont  tous voté contre.


- Voici les résultats du scrutin :

Nombre de votants    346
Nombre de suffrages exprimés        338
Majorité absolue des suffrages exprimés   170
Pour l'adoption          306
Contre             32
"Le Sénat a adopté"  



Pour terminer, nous publions ci-dessous un lien actif  qui les conduiront directement sur le   site du Sénat,  pour permettre à nos lecteurs d s’informer plus amplement.de façon officielle :



Jeudi 11 octobre 2012, les sénateurs ont adopté par 306 voix contre  32 le projet de loi autorisant la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire.
Le dossier législatif
Le compte rendu des séances du 10 et du 11octobre.

Le texte du traité sur le site du Conseil européen

 

Afghanistan, Syrie, le point de vue et les analyses de l'écrivain, journaliste, éditorialiste Djerrad Amar.

Éditorial de lucienne magalie pons



 Afghanistan , Syrie,  des sujets brulants par la gravité de leur dramatique actualité politique et leur situation géopolitique, qui divisent non seulement les pays occidentaux , mais aussi les pays arabes, ces pays donnent lieux à des articles et analyses médiatiques occidentaux, mais il est pertinent de les compléter en lisant d'autres sources venant de sources Étrangères.

Nous publions périodiquement avec son assentiment  des articles écrits par l’écrivain, journaliste  et éditorialiste DJERRAD AMARD,  et repris sur différents sites et journaux  en Chroniques, Éditoriaux , Tribune Libre, publiés  le plus souvent de l'autre côté de la Méditerranée par des journalistes cultivés, qui par leur cursus universitaires  et leurs connaissances à la fois occidentale et arabe,  ne font pas profession de se conformer à  à 'l'écriture de bois" très à la mode dans nos médias.

Les articles  ci-dessous signés de Djerrad Amar donnent une autre dimension et un  autre point de vue que celui qui nous est servi par  nos médias occidentaux et  pour ceux de nos lecteurs qui souhaitent s’offrir un menu de réflexion plus élargi  nous les invitons à cliquer sur les titres  figurant dans la liste ci-dessous.

 Nous avons cette fois sélectionné quelques uns de ses article récents publiés par le  site « DJAIRAÏRESS »:


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11 octobre 2012

Golden Blog Awards _ informations

Éditorial de lucienne magalie pons


Les jours passent très vite, plus que 4 jours avant la clôture  des votes par les Internautes,

S'il vous  plait , si mes articles retiennent votre aimable attention, votez pour mon blog - Merci -


Le Sénat examine en séance le Traité Européen Bugétaire

Éditorial de lucienne magalie pons



Le Sénat a commencé à examiner hier après midi,  Mercredi 10 Octobre, le texte de loi  se rapportant au  Traité budgétaire européen".


 L’examen du texte a débuté en fin d’après après une   déclaration du Premier ministre Jean-Marc Ayrault  sur les nouvelles perspectives européennes, qui a été suivie d’un débat.


L’examen du projet devrait  se poursuivre jusqu’au vendredi 12 Octobre, avant qu’il ne soit soumis aux votes des Sénateurs.


Bien entendu il y a quelques sénateurs qui se sont déclarés contre l’adoption, mais ils ne sont pas les plus nombreux, et d’après les observateurs politique il est évident que les votes pour seront majoritaires, comme ce fût le cas lors du vote d’adoption à l’Assemblée Nationale, et pour des raisons qu’il est inutile de rabâcher ici , à savoir que des sénateurs de droite conscients de leur responsabilité envers l’intêret de la France voteront pour,  dans l’intérêt de la France,  comme la majorité  sénatoriale de Gauche, a part quelques exceptions qui de l’avis d’une simple citoyenne (moi-même) tient plus  à une résistance politiquement symbolique sans justifications réelle.


En effet au nombre des nombres des objections de ces quelques sénateurs figurent le prétexte qu’en n ratifiant le Traité Budgétaire Européen les pays de l’UE abandonnerait une par de leur Souveraineté.


Ces Dames et Messieurs les Sénateurs qui  opposent cet argument se sont-ils interrogés  sur la réalité de  l’étendue de cette  souveraineté qui depuis la création de l’UE s’amenuise d’année en année  et se trouve  réduite  même dans sa marge de subsidiarité  entamée progressivement  par des directives européennes ?


En réalité ils savent bien  qu’accepter  communautairement  une discipline et un contrôle budgétaire, ne représente pas vraiment une atteinte à la souveraineté, mais un accord conventionnel entre les pays pour surmonter la Crise de la dette Européenne, réduire les déficits et par la sauver la monnaie unique, bien sur,  et  par ailleurs prévenir et empêcher à temps un pays membre de jeter de l’argent par les fenêtres.


Nous savons aussi en temps que simple citoyenne  que  l'UE  pour bien fonctionner devra, avec le temps évoluer vers une gouvernance unique et constituée en une Fédération, mais nous savons bien aussi  que les pays de l'UE sont divisés sur cette perspective, les esprits n'y sont pas près, les populations encore moins,  et  il  faudra  beaucoup de temps pour  négocier et accepter  Gouvernement Européen , fédéral  par exemple, mais  d’un nouveau modèle, c’est-à-dire   adapté aux différences  des régimes  politiques,  culturelles,  et sociales, sans parler des coutumes et des traditions,  des différents pays européens,  alors pour le moment ne crachons pas sur la discipline budgétaire qui sera l'un des éléments important de l'application du Traité Budgétaire Européen. Ce Traité  sera à mon avis un palliatif efficace  et nécessaire pour traverser la crise des dettes souveraines de l'UE,   en attendant que l'horizon s'éclaircisse.


Nous savons bien aussi  qu'il y a les partisans politiques ou encore idéologiques  de plus d'Europe et d'autres qui sont partisans de moins d'Europe, tous font beaucoup de bruits et de tapages politiques en pure perte,  il faut vouloir ou ne pas vouloir l’Europe, on ne peut s’asseoir entre deux chaises et il est lamentable de voir des hommes politiques et des représentants du peuple qui célèbrent à corps et à cris l’Europe, et qui à la moindre occasion jettent des polémiques pour entraver la marche en avant d’une Union Européenne conventionnelle vers plus d’intégration pour naturellement , avec le temps qu’il faudra parvenir à  une Europe constituée, on n'arrête pas le vent de l'histoire.


Il faut avoir confiance en plus d’intégration en Europe, il faut avoir confiance aux dirigeants de l’Europe, ceux de bonne volonté, qui cherchent des solutions pour  éradiquer la crise et retrouver la croissance et l’emploi
           

L’Europe est en voie de devenir à terme  un État,  et   il faut savoir se déterminer  en attendant,  ou bien on  continue à construire  l'Europe  en acceptant  un peu plus d'intégration   et par suite   une discipline budgétaire qui s'impose selon la conjoncture actuelle  pour réduire les déficits des États de l'UE, de la Zone Euro particulièrement,   et les prévenir, les aider au besoin à sortir de leur dette,  ou bien nous sombrons dans l'aggravation de la Crise des dettes souveraines qui ne pourrait conduire qu'a des mesures d'austérité et de rigueur  aggravées  et à  l'éclatement de l'UE sous sa forme conventionnelle actuelle.



Ce n’est pas donner un bon exemple aux citoyens que de se positionner contre le Traité Budgétaire Européen et de leur faire croire que d’accepter le Traité Budgétaire Européen c’est perdre de la Souveraineté, ils y voient une atteinte à la démocratie, non c’est tout autre chose que  d’accepter  communautairement  une discipline budgétaire. 


Si ce Traité n’était imposé qu’à quelques pays membres particulièrement endettés, on pourrait effectivement dire qu’il y aurait une atteinte démocratique à la souveraineté de ces pays, mais puisque pratiquement tous les pays de l’UE, 25 sur 27 sont d’accord  pour accepter une discipline budgétaire, où est le problème ?
   

 On n'arrête pas le vent de l'histoire, les pays membres de l’UER ne peuvent plus avancer en ordre dispersé, en tirant chacun la couverture de son côté,  l'Europe est en voie de devenir à terme  un État  politique , pour se développer et faire face à  mondialisation actuelle,   et   il faut savoir se déterminer,  ou bien on  continue à construire  l'Europe  en acceptant  un peu plus d'intégration   et par suite   une discipline budgétaire qui s'impose selon la conjoncture actuelle  pour réduire les déficits des États de l'UE, de la Zone Euro particulièrement,   et les prévenir, les aider au besoin à sortir de leur dette,  ou bien nous sombrons dans l'aggravation de la Crise des dettes souveraines, dans des déficits catastrophiques, des endettements à des taux insoutenables et dans l’impossibilité de les rembourser, ce  qui ne pourrait conduire qu'a des mesures d'austérité et de rigueur  aggravées  et  à  l'éclatement de l'UE sous sa forme conventionnelle actuelle  et peut-être même à des troubles révolutionnaires et des guerres civiles.



ooOoo



Nous avions par le passé l’habitude de  télécharger sur notre site la vidéo de la séance  correspondant  au sujet traité dans  notre   éditorial,  et aussi en lien  actif le compte rendu analytique des débats , mais le  Site du Sénat  a semble-t-il changé sa page d’ accueil,   sa présentation, et les liens qui  conduisent aux vidéos  et aux comptes rendus recherchés , pour les télécharger, sont tellement dispersés  , qu’un chat n’y retrouverait pas ses petits , et l’on pourrait penser qu’un esprit malin s’est glissé dans leurs système pour tout saucissonner, aussi une personne qui pratique l’informatique  avec une certaine exigence  abandonne pour ne pas y   patauger et perdre son temps.


Toutefois je le regrette parce qu’entendre le Premier Ministre, suivre les débats,  bien écouter  tout exactement  dans l’intégralité des interventions des sénateurs, c’est tout de même plus juste et informatif que ce que nous pouvons en lire dans les articles des journaux
.

Toutefois j’ai  tenu tout de même à faire paraître le lien actif qui indique que ce Jeudi 11 octobre 2012, les sénateurs poursuivent l'examen du projet de loi autorisant la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire.


Certains médias vont plus loin et écrivent  que les Sénateurs devrait ratifier ce Traité  cet après-midi ou ce soir …nous n’avons pas encore ouvert notre radio, ni notre télévision  et nous avons décidé de sortir prendre un grand bol d’air et en attendant que  de laisser Mesdames et Messieurs les Sénateurs débattent  comme il se doit, avec le sérieux que nous leur connaissons, tant pour approuver que pour contester, il en sortira toujours quelque chose,  et en tout cas si ce n’est pas ce soir ce sera un autre jour qu’il finiront par voter en majorité pour le « Traité Budgétaire  Européen »


Nous attendons  donc ce soir pour écouter et voir  les nouvelles et savoir ce qu’il en est…

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Autres sources : articles liés – Revue de Presse :

 

Le Sénat examinera le traité budgétaire européen à partir du 10 octobre

Le Sénat examinera le traité budgétaire européen à partir du 10 octobre, après son vote en première lecture à l'Assemblée nationale, selon l'agenda du Sénat publié jeudi.

  1. · 
Le Nouvel Observateur‎ - il y a 53 minutes
PARIS (AFP) - La France devait ratifier jeudi le traité européen qui introduit "la règle d'or" d'équilibre budgétaire, par un vote ... devait pas être le cas au Sénat où la gauche n'est pas majoritaire sans les voix des communistes.
  1. Le traité budgétaire européen n'est pas celui de Sarkozy (Rebsamen, PS)
Bien Public‎ - il y a 3 heures
  1. Traité budgétaire: les débats parlementaires ont franchi une nouvelle étape
Le Point‎ - il y a 20 heures

·  Traité budgétaire : "le vote du Sénat sera aussi décisif", selon Ayrault

www.bfmtv.com/.../traite-budgetair-e-le-vote-senat-sera-decisif-selon...
il y a 1 jour – Jean-Marc Ayrault a déclaré ce mercredi que "le vote du Sénat" pour ratifier le traité budgétaire européen serait "aussi décisif" que celui des ...
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Conseil des Ministres - 10 Octobre 2012 - (vidéos point de presse et extrait )

Éditorial de lucienne magalie pons

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Extrait - Source : Site Officiel Présidence de la République :



Publié le 10 oct 2012

PROJET DE LOI - FINANCEMENT DE LA SECURITE SOCIALE POUR 2013 La ministre des affaires sociales et de la santé et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé du budget, ont présenté le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013. [...]

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