14 août 2012

Jeux Olympiques 2012 : Cérémonie de clôture - résultats de la France -

Éditorial de lucienne magalie pons

La cérémonie de clôture des Jeux Olympiques  du Dimanche  12 août    a été qualifiée de grandiose, fastueuse  etc.. par les médias et les spectateurs  enthousiastes qui s'y trouvaient, on ne les contredira pas, mais cependant la tonalité toute britannique de ce spectacle de clôture de ces jeux,  où se sont produits  pendant deux semaines les sportifs du monde entier,  aurait gagné en intérêt si une  place avait été faite à la diversité artistique et culturelle  des pays participants.

Quoiqu'il en soit c'était une mise en scène et un spectacle réussis, pour ceux qui n'ont pas vu la retransmission en direct par TF1, nous en publions,   après les résultats de la France, une vidéo  :


Après deux semaines de compétition, la France termine à la septième place du classement des JO 2012 et  peut être fière  de ses performances : au total, les sportifs français  ont remporté  34 médailles :

-11 médailles d’or
-11 médailles d’argent
- et 12 médailles de bronze.

MEDAILLES D'OR (11) :

- Camille Muffat en natation au 400m nage libre femme

- Amaury Leveaux, Fabien Gilot, Clément Lefert, Yannick Agnel, Alain Bernard et Jérémy Stravius en natation au 4x100m nage libre homme

- Yannick Agnel en natation au 200m nage libre hommes

- Tony Estanguet en canoë-kayak C1 hommes (slalom)

- Lucie Décosse en judo (-70kg) femmes

- Emilie Fer en canoë-kayak (slalom) femmes

- Teddy Riner en judo catégorie poids lourds (+100kg)

- Florent Manaudou en natation, 50 m nage libre

- Renaud Lavillenie en saut à la perche

- Equipe de france masculine en handball


MEDAILLES D'ARGENT (11) :

- Céline Goberville en tir (pistolet à 10 m air comprimé femmes)

- Camille Muffat en natation au 200m nage libre femmes

- Amaury Leveaux, Grégory Mallet, Fabien Lefert, Yannick Agnel et Jérémy Stravius en natation au relais 4x200m nage libre hommes

- France, cyclisme sur piste (vitesse par équipes)

- Aviron, Deux sans barreur (homme)

- Llodra/Tsonga au tennis

- Bryan Coquard en cyclisme sur piste omnium (homme)

- Mahiedine Mekhissi-Benabbad sur 3000m steeple (homme)

- Grégory Baugé en cyclisme sur piste vitesse (homme)

- Equipe de France féminine en basket

- Anne-Caroline Graffe en taekwondo (+67kg)



MEDAILLES DE BRONZE (12) :

- Priscilla Gneto en judo (- de 52 kg femmes)

- Automne Pavia en judo (- de 57 kg femmes)

- Ugo Legrand en judo (- de 73 kg hommes)

- Gévrise Émane en judo (- de 63 kg femmes)

- Camille Muffat, Charlotte Bonnet, Ophélie-Cyrielle Étienne, Coralie Balmy, Margaux Farrel et Mylène LazareNo en natation au 4x200m nage libre femmes

- Audrey Tcheumeo en judo (- 70 kg femmes)

- Delphine Réau, Tir

- Benneteau/Gasquet au tennis

- Jonathan Lobert en voile finn (homme)

- Hamilton Sabot en gymnastique artistique barres parallèles (homme)

- Steeve Guénot en lutte gréco-romaine (-66 kg)

- Marlène Harnois en taekwondo (-57 kg)
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Revivez la cérémonie de clôture de ces JO si vous l'avez manquée ou bien encore pour le plaisir : :

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13 août 2012

Laurent Fabius et François Hollande ont répondu fermement aux critiques de l'UMP sur le dossier Syrien

Éditorial de lucienne magalie pons


Depuis que François Hollande a balayé l’ancien Président Sarkozy, l’UMP ne cesse de le critiquer, tout est bon pour essayer  de le discréditer, les cadres de l’UMP se saisissent de tous ses faits et gestes  pour le discréditer , tout y passe,  ils ironisent sur le Président « normal », voyage-t-il en train ?,  ça les excitent, prend-t-il ses congés  au Fort de Brégançon,  , ils considèrent à tort que ce sont des vacances privées et vont même jusqu’à insinuer comme Georges Didier un proche de Brice Hortefeux  , secrétaire national de l’UMP,  qu’il devrait les payer de sa poche,   "Lorsqu'on est un président apparemment normal, on prend sans doute le train pour se rendre sur son lieu de villégiature face à un mur de caméras sur le quai de la gare. Mais lorsqu'on est un président véritablement normal, on paie aussi ses vacances privées comme chaque Français qui gagne sa vie", écrit-il le 3 Août dans un communiqué.. en poursuivant … , « Le domaine de Brégançon appartenant à l'État et François Hollande s'y rendant en famille pour des raisons privées et non professionnelles ni officielles, il n'y a strictement aucune raison que le contribuable soit sollicité ».

Rappelons que le fort de Brégançon  est l’une des Résidences officielles  du chef de l'État Français en exercice depuis 1968, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy y ont séjourné pour des vacances., bien sûr nous savons qu’après son mariage avec Carla Bruni-Sarkozy, Nicolas Sarkozy et son épouse  préféraient passer  l'essentiel de leurs vacances    dans la  propriété  privée de son épouse  au Cap Nègre, située sur la commune voisine du Lavandou, ce qui pourtant ne signifient pas qu’ils en assumaient  de leur poche  leurs frais de séjour et de sécurité.

Et Georges Didier extrapolait  en écrivant : "Je sais bien que les prédécesseurs de François Hollande ont utilisé aussi Brégançon. Mais quand on donne comme lui des leçons à tout le monde en faisant de la normalité une vertu cardinale, il faut aller jusqu'au bout, et payer les factures", se justifie Geoffroy Didier avant de conclure : "La normalité ne doit pas être uniquement un exercice de communication".

Mais il y encore pire quand ces Dames et ces  Messieurs de l’UMP s’avisent, alors qu’ils n’ont plus aucune position officielle dans l’Etat, de s’en prendre à sa politique en général avec des arguments licencieux sur sa politique en général et plus récemment sur sa politique vis-à-vis de la Syrie.

A commencer par Nicolas Sarkozy  qui a rompu la semaine dernière son prétendu silence politique  avec un communiqué par lequel il critique implicitement "l'attentisme" du chef de l'Etat, précédé par Brice Hortefeux  qui le 9 Août déclarait au Parisien  ….  "Où est la France dans cette histoire? Il y a un silence inouï devant une situation extrêmement grave. Sous le quinquennat précédent, l'action du pays a été saluée en Géorgie, en Côte d'Ivoire, à Tripoli"… et  ensuite dimanche cet 'ancien ministre de l'Intérieur, a insisté dans un entretien à Nice Matin   en  avançant  "Où est passée la France ? Jamais le président n'a interrompu ses vacances pour se rendre à Moscou, essayer de convaincre le président Poutine" 

Et bien entendu les « ténors » de l’UMP  se sont joints  en écho au concert et pour inviter  François Hollande à interrompre ses vacances et à engager sans tarder le « dialogue » avec Moscou »

Pour  Jean-François Copé, secrétaire Général de l’UMP,  dans une interview au Figaro  « le Président de la République  invitait   François Hollande à interrompre «  immédiatement (ndlr : rien que ça)  ses vacances au fort de Brégançon. "Le président de la République devrait revenir à Paris, contacter ses homologues et les rencontrer, bref, prendre directement en charge la conduite de la diplomatie française, comme le veut la tradition lorsque les droits de l'homme sont menacés", a jugé le député-maire de Meaux.

  Nathalie Kosciusko-Morizet a  reproché à François Hollande de "faire semblant" sur le dossier syrien. "Quand des massacres étaient en cours ou menaçaient, comme en Géorgie, Nicolas Sarkozy n'attendait pas la fin des congés payés pour intervenir", a  lançée la députée de l'Essonne.

Sur Europe 1 dimanche Dominique de Villepin  a estimé  que la France est "sans doute un peu trop sur le reculoir." Il exhorte le gouvernement à ne pas "laisser en paix " les diplomaties russe et chinoise, suggérant l'envoi d'un émissaire à Moscou.

Et ce Lundi  François Fillon  l’ex premier ministre de  l’ex président Sarkozy ,dans une Tribune au Figaro,  s’est autorisé de dures critiques contre François Holla    nde  a invité   le président  à "abandonner ses postures bourgeoises" et à "débloquer le véritable verrou de ce conflit : la position de Moscou!"., en concluant : "Que notre président normal comprenne qu'il n'y a rien de normal dans le monde dont il est désormais l'un des principaux responsables. 

Toutes ces positions outrées sont parfaitement irresponsables, comment peut-on imaginer que le Président François Hollande en passant sur les impératifs diplomatiques officiels se mettrait à courir à Moscou pour « dialoguer »  avec Moscou ? 

Laurent  Fabius finalement avait déjà  remis les pendules à l’heure dès le 9 Août, pour lui ,  après les critiques de Nicolas Sarkozy contre l’immobilisme supposé de François Hollande sur le dossier Syrien,  le ministre des affaires étrangères attendait autre chose 

Laurent Fabius dans un entretien accordé au Parisien., relayé par d’autres médias, a déclaré notamment .., ; "Je suis étonné que Monsieur Sarkozy souhaite susciter une polémique sur un sujet aussi grave, alors qu'on attendrait autre chose de la part d'un ancien président", affirme-t-il., et alors que l’ex président Sarkozy  a rapproché les crises syrienne et libyenne, le chef de la diplomatie française  a estimé  que "sur le fond, la situation de la Syrie est très différente de celle de la Libye". "D'abord, d'un point de vue géostratégique puisque la Syrie est entourée, comme chacun devrait le savoir, de l'Irak, du Liban (avec les conséquences sur Israël), de la Turquie et de la Jordanie",  a-t-il notamment  expliqué., en poursuivant : « D'autre part, "les situations militaires ne sont pas du tout les mêmes: la Syrie dispose de stocks d'armes importants, notamment chimiques. Les différences sont si manifestes qu'aucun pays n'a demandé ni souhaité une intervention militaire, ce qui n'était pas le cas pour la Libye. Tout ceci fait que je suis en effet surpris qu'on puisse avoir exercé d'importantes responsabilités et livrer une analyse aussi rapide..."Le ministre des Affaires étrangères  s’est aussi interrogé sur les  motivations de l'intervention de Nicolas Sarkozy dans le débat : "est-ce que c'est (...) pour ne pas se faire oublier? Est-ce que c'est parce qu'il n'a pas que des bons souvenirs avec Bachar al-Assad qu'il avait, avec un sens de l'anticipation particulier, invité en France pour présider les cérémonies du 14 juillet 2008?"  a-t-il souligné et rappelé …

 Pour Laurent Fabius, "dans des circonstances aussi graves, il vaut mieux faire bloc avec la politique de son pays". 

Le Président de la République  François Hollande a lui aussi répondu  samedi aux critiques de l’UMP en  assurant chercher "obstinément" une solution pour les Syriens. "Cette semaine encore, la France déploie un groupement médico-chirurgical dans le nord de la Jordanie, au plus près de la frontière avec la Syrie, pour venir en aide aux réfugiés et aussi aux combattants", a notamment rappelé  le président.
En conclusion nous pouvons penser que quoiqu’il fasse dans le dossier Syrien, le Président de la République inscrira son action politique sous le mandat des Nations Unis, comme il se doit dans une République  Française qui depuis sa prise de pouvoir ne s’égare pas dans des initiatives hasardeuses et dispersées
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C’est ce qui  gêne les UMP qui n’ont pas  à lui dicter sa conduite.Ils ne peuvent "être" et "avoir été" ..
  
Revue de Presse :

Laurent Fabius s'étonne de "l'analyse rapide" de Nicolas Sarkozy ...

www.lemonde.fr/.../laurent-fabius-s-etonne-de-l-analyse-rapide-de-ni...
il y a 4 jours – Le ministre des affaires étrangères "attendrait autre chose de la part d'un ancien président" qu'une polémique sur le dossier syrien.

  1. François Hollande répond à ses détracteurs sur la crise syrienne
RTL.fr‎ - il y a 2 jours
François Hollande répond à ses détracteurs sur la crise syrienne ... Il avait été relayé par le patron de l'UMP Jean-François Copé, qui avait ...
Paris dépêches‎ - il y a 1 jour

 Pour l'UMP, Hollande doit payer ses vacances à Brégançon ...

lci.tf1.fr/.../geoffroy-didier-ump-hollande-doit-payer-ses-vacances-a-...
3 août 2012 – C'est ce qui être pris au mot : le secrétaire national de l'UMP, Geoffroy Didier s'est fendu d'un communiqué pour exiger de François Hollande ...

Le Président de la République rend hommage au militaire tué en Afghanistan (reportage)

Éditorial de lucienne magalie pons

SOURCE : reprise de communiqué et de vidéo du  Site Officiel de la Présidence de la République

Publié le 11 août 2012

Discours de M. le Président de la République - Hommage national au militaire tué en Afghanistan Une fois encore, la Nation se retrouve autour du cercueil de l’un de ses soldats, l’un des plus méritants de ses soldats. Ce qui nous réunit ce matin encore, c’est la douleur. C’est la peine, c’est la solidarité. Mais ce qui nous rassemble aussi, en cet instant, c’est la fierté, c’est la gratitude, c’est l’admiration. [...]
 
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Crise de la Zone Euro : Le smilblick n'avance pas !

Éditorial de lucienne magalie pons


Une fois de plus nous redoutons que la Grèce ne devienne  la victime expiatoire de la politique  contradictoire et   des atermoiements successifs des pays membres des pays de l’UE  et des organismes financiers qui chacun respectivement défendent leur  position dans ses propres intérêts particuliers.

Certains dirigeants des pays membres de la zone euro accablent la Grèce en l’accusant de ne pas aller assez vite dans la mise en place des mesures d’austérité qui lui  sont  imposées par la Troïka des Financiers ( UE-BCE-FMI), résultat un pessimisme général semblent s’installer sur les possibilités de la Grèce de « s’en sortir »,  et pour encore mieux l’enfoncer, au lieu de l’aider, certains dirigeants évoquent l’exclusion de la Grèce de la Zone Euro !

Rappelons qu’à l'issue de sa dernière réunion de politique monétaire, au début du mois d’août , la BCE s'est dite prête à recourir si besoin à des mesures "non-conventionnelles" pour juguler la crise de la dette, en procédant notamment à des achats d'obligations souveraines sur le marché, une proposition qui continue de se heurter aux réticences de certains  responsables politiques et financiers  des pays  de la zone Euro, notamment de l’Allemagne et de la Finlande. Si l'on suit les informations se rapportant à la crise de la zone euro, depuis la prise de position de la BCE et de son Président Mario Draghi du début Août jusqu'au 7 août, on peut lire et relire dans la presse européenne les réactions des hauts dirigeants politiques et financiers de la zone et des pays en faisant partie, sans noter un changement d'attitude de leur part sinon un renforcement de leur position, ceux d'entre eux  qui étaient contre les achats de la BCE de titres de dettes des États en difficulté le sont toujours et encore plus, et ceux qui seraient favorables à cette proposition du Président Draghi le sont toujours, mais avec certaines réserves , et finalement le tableau paraissait plus ou moins flou quand à son issue en Septembre. Mais surtout entre les réactions des uns et des autres étaient mises en avant des informations qui indiquaient  un bras de fer entre le dirigeant de la BundesBank et le patron de la BCE, ce qui permettait de placer les politiques dans un position confortable d'arrière plan.

Les commentateurs s’interrogeaient notamment sur les chances de Mario Draghi de voir aboutir ses intentions en Septembre, et certains mêmes se demandaient s’il était  « ligoté pieds et poings liés »  par la Bundesbank. Voir l’article en cliquant sur le lien ci-contre : ·  Mario Draghi, pieds et poings liés par la Bundesbank ?

Mais le 8 Août d’autres informations viennent jeter sur la Zone Euro un éclairage complémentaire qui pour autant ne fait pas avancer le smilblick  :

Le Secrétaire de l’OCDE  Angel Gurria,  s’est montré favorable au maintien de la Grèce dans la Zone Euro  et  a manifesté son soutien aux achats par la BCE de titres de dette d'Etats de la zone euro en difficulté, pour combattre la crise ..(voir l’article : L'OCDE pour des achats d'obligations par la BCE pour lutter contre la crise
De son côté le  FMI  appelle  les Etats de la zone euro à renoncer à leurs exigences  vis-à-vis de la Grèce, en « menaçant »  qu’ il compte interrompre ses aides à la Grèce si la BCE et les banques centrales continuent de refuser une remise de dette. Les commentateurs soulignent que ceci  revient à reconnaître que la Grèce ne pourra pas rembourser ses dettes, alors que d’autres  condamnent ce qu'ils voient comme un déni de responsabilité de la part du FMI

La Finlande reste toujours  fermement opposée au rachat par la Banque centrale européenne (BCE) d'obligations souveraines espagnoles et italiennes,  a prévenu son Premier ministre Jyrki Katainen dans une interview au magazine allemand Der Spiegel finlandais….. »  Le nouveau rejet par Helsinki d'une intervention de la BCE sur le marché de la dette intervient à la suite des  propos du secrétaire général de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)) – voir l’article : Helsinki contre des rachats de dette par la BCE, l'OCDE pour _

(Rappelons aussi que la Finlande l’un des quatre pays les mieux coté  AAA de la Zone Euro a menacé plusieurs fois de quitter la zone si elle devait participer au payement  des dettes des pays en difficultés )

 Certains dirigeants comme notamment  le chef de l’Eurogroup Jean-Claude Junker évoquent  une exclusion d'Athènes de la zone euro tout en indiquant que cette éventualité était "maîtrisable". (voir l’article :    Pour Juncker, une sortie de la Grèce serait "gérable" mais "non souhaitable")




Encore plus expéditif, le  ministre bavarois des Finances, Markus Söder, estime qu'il est temps pour les Grecs de quitter la famille de la zone euro ; "A un moment donné chacun doit déménager de chez maman, et les Grecs en sont là",  a-t-il déclaré  ……… (voir l’article : <http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/08/05/97002-20120805FILWWW00107-grece-demenager-de-chez-maman-all.php>



Revue de Presse : 
COMPLEMENT d'INFORMATIONS - SOURCE EUROTOPICS_

La Grèce met la zone euro à l'épreuve


L'austérité imposée par l'Europe divise fortement la Grèce. Lors des nouvelles élections anticipées, après l'échec de la formation d'un gouvernement, les partisans de la rigueur sont parvenus à obtenir la majorité. Le gouvernement futur saura-t-il stabiliser le pays en crise et le maintenir dans la zone euro ?



Imerisia - Grèce | jeudi, 9. août 2012

Vers une autre gestion de crise à Berlin

Sigmar Gabriel, le chef des sociaux-démocrates allemands dans l'opposition, s'est exprimé lundi, dans un entretien accordé au journal Berliner Zeitung, en faveur de l'introduction durable d'une garantie communautaire des dettes de la zone euro. Cela indique un changement de cap à Berlin, écrit le journal économique Imerisia, estimant que cette réorientation pourrait changer le climat en Allemagne mais aussi dans toute l'Europe : » suite

À la une de mercredi, 8. août 2012

Le FMI mise sur une remise de dette pour Athènes

Le Fonds monétaire international appelle les Etats de la zone euro à renoncer à leurs exigences vis-à-vis d'Athènes. D'après le Wall Street Journal, il ... » suite

Diário Económico - Portugal | mercredi, 8. août 2012

En temps de crise, le silence est d'or

Dans un entretien accordé mardi à la station de radio allemande WDR, le chef de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker a évoqué une exclusion d'Athènes de la zone euro tout en indiquant que cette éventualité était "maîtrisable". Le journal économique libéral Diário Económico est en colère et appelle les politiques européens à plus de circonspection : » suite

Die Presse - Autriche | mercredi, 8. août 2012

Athènes ne pourra pas rembourser ses dettes

Les exigences du FMI indiquent que la Grèce ne pourra plus rembourser ses dettes et dénotent une nouvelle perte de confiance en la politique, estime le quotidien libéral-conservateur Die Presse. Celui-ci rappelle que la ministre des Finances autrichienne Maria Fekter avait soutenu les aides à la Grèce en les qualifiant de "bonne chose" : » suite

Die Welt - Allemagne | mercredi, 8. août 2012

L'Europe doit pouvoir se fier au FMI

En appelant les Etats de la zone euro à renoncer à leurs prétentions vis-à-vis de la Grèce, le FMI se soustrait à sa responsabilité, critique le quotidien conservateur Die Welt : » suite

De Volkskrant - Pays-Bas | lundi, 6. août 2012

Le combat de la zone euro est perdu d'avance

La Grèce a progressé dans ses mesures d'austérité, selon les créditeurs internationaux, mais elle doit poursuivre le cap emprunté. Le rapport de la visite de la troïka à Athènes est attendu pour fin septembre, mais le verdict est pratiquement connu d'avance car une faillite de la Grèce reste taboue, estime l'historien de la culture Thomas van der Dunk dans le quotidien de centre-gauche De Volkskrant : » suite

Ependytis - Grèce | dimanche, 5. août 2012

L'Europe prend congé de la crise

Le journal économique Ependytis s'étonne de la passivité des dirigeants de la zone euro au mois d'août alors que l'avenir de l'Union monétaire est en jeu : » suite

Epikaira - Grèce | jeudi, 2. août 2012

Papandreou a vu venir la catastrophe

L'ex-représentant de la Grèce au Fonds monétaire international (FMI), Panagiotis Roumeliotis, a déclaré lors d'une interview la semaine dernière au New York Times que le ... » suite

To Vima Online - Grèce | jeudi, 2. août 2012

Nouveau programme d'austérité en Grèce

Après d'âpres négociations, le gouvernement grec s'est entendu mercredi soir sur un nouveau programme d'austérité. Il entend ainsi épargner 11,5 milliards d'euros pour continuer à bénéficier du soutien financier des bailleurs de fonds internationaux. Le journal en ligne de centre-gauche To Vima évoque les circonstances dans lesquelles cet accord a été conclu : » suite

08 août 2012

Polémique sur les Centres éducatifs fermés : Une mise au point qui s'impose

Éditorial de lucienne magalie pons

Lybie, Syrie, Irak, Iran : une vidéo qui date de 2011 dévoile les intentions des Etats Unis sur ces pays

Éditorial de lucienne magalie pons

Il est bon de naviguer sur Internet,  certaines vidéos  passées presque  inaperçues à l'époque révèlent la planification américaine pour satisfaire ses ambitions  sur  ces pays qui depuis lors sont en crises révolutionnaires ou mises en cause sur la politiques de leurs dirigeants :

Discours complet de Marine Le Pen aujourd'hui devant plus de 8000 personnes qui se sont regroupées à Paris pour la soutenir ( Vidéo)

Éditorial de lucienne magalie pons Marine Le Pen : une femme déterminée et courageuse qui "ne lâchera rien" ! Source de la Vidéo :...