17 février 2011

Trop sure d'elle, Madame Alliot-Marie se défend mal

Éditorial de lucienne magalie pons

Hier lors de la séance des questions au Gouvernement à l’Assemblée Nationale, Madame Alliot Marie a été questionnée par un député sur ses vacances en Tunisie et affaires incidentes, et deux autres députés ont posé au premier Ministre des questions sur les évènements tunisiens et les relations diplomatiques avec la Tunisie

En premier lieu c’est Monsieur Noel Mamère qui a pris la parole pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. Avec certaine une gravité circonstancielle et en se gardant de se prononcer sur ce qui est « légal » ou « illégal », il posé sa question à Madame Alliot-Marie en développant ses arguments tout en évoquant la légitimité et la crédibilité de notre politique étrangère, pour conclure à la fin : Dans n’importe quel autre pays de l’Union européenne, on vous aurait demandé de démissionner. C’est ce que je vous demande aujourd’hui, madame ! 


En réponse, Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État, a balayé la question en accusant d’emblée Monsieur Noël Mamère de répéter des mensonges, « Vous avez beau, monsieur Mamère, répéter des mensonges, cela n’en fait pas des vérités. Pendant que vous vous complaisez dans la polémique, moi, je travaille, et je travaille avec le Gouvernement, pour aider la Tunisie autant qu’elle le souhaitera., puis la Ministre a poursuivi en expliquant que « conformément aux orientations du Président de la République, le Premier ministre a présenté ce matin, en conseil des ministres, un plan de soutien à la Tunisie, élaboré en étroite relation avec un certain nombre de ministres tunisiens avec lesquels je travaille quasi-quotidiennement. »……, la Ministre a ensuite développé les intentions du Gouvernement pour « accompagner ce pays ami de la France dans sa nouvelle vie après la « révolution de jasmin », dans sa volonté de se reconstruire, de mettre en place la démocratie et l’État de droit et de lutter contre la corruption


Ce fut ensuite plus tard dans le cours du débat que revint à Monsieur Alain Vidalies pour le groupe Socialiste, Citoyen et Divers Gauche, le tour de questionner le Premier Ministre cette fois sur le voyage en avion offert à Madame Alliot-Marie lors de ses vacances en Tunisie par Monsieur Milled, mais ce député se vit répondre non pas par le Premier Ministre, mais par la Ministre elle-même, sans doute le Premier Ministre juge-t-il qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même en laissant à la Ministre le soin de se justifier elle-même … à moins qu’il n’ose pas s’avancer sur ce terrain « épineux » …….ou encore qu’il hésite à défendre ouvertement cette ministre si fortement contestée par l’opposition.


Dans sa réponse à Monsieur Vidalies Madame Alliot-Marie s’est exprimée cette fois en protestant : « depuis quelques semaines, certains médias et hommes de gauche passent ma vie tant publique que privée au peigne fin. Faute d’y avoir trouvé quoi que ce soit d’illégal à me reprocher, c’est aujourd’hui sur la vie privée de mes parents, qui ont quatre-vingt-douze ans, que l’on enquête……..Ont-ils fait quelque chose d’illégal ? Non !
Il revenait ensuite à M. François Loncle de questionner le Premier Ministre sur les évènements de Tunisie et d’Égypte qui d’après ce Député ont jeté le discrédit sur la diplomatie Française, mais là encore le Premier Ministre a laissé à Madame Alliot Marie le soin de répondre. 


Conclusion : La défense et les explications de Madame Alliot-Marie tiennent en trois points qu’elle a développés dans ses réponses, ce qui lui est reproché c'est d’après elle des mensonges, des accusations indignes, des attaques, des injures, elle insiste très particulièrement sur son travail et les intentions du Gouvernement en accusant l’opposition de ne pas avoir de programme à proposer, elle accuse les socialistes de ne pas avoir exclu à temps Ben Ali de L’international Socialiste, 


Ces arguments de défense sont faibles, elle ne peut nier avoir passé ses vacances en Tunisie, avoir profité d’ invitation répétée dans l’avion de Monsieur Milled, elle ne peut nier que les affaires de ses parents sont liées avec ce même voyage et avec ce même ami Tunisien, lorsqu’elle insiste sur son travail de ministre en accusant l’opposition de ne pas avoir de programme c’est tout à fait gratuit, même si l’opposition a un programme il est généralement ignoré du Gouvernement qui applique le sien autoritairement, enfin quand elle accuse les socialistes de ne pas avoir exclu Ben Ali de l’Internationale Socialiste elle joue volontairement sur la confusion, en effet il n’appartient pas au Parti socialiste Français de décider seul d’exclure tel ou tel personnalité de l’Internationale Socialiste.


Enfin Madame Alliot-Marie ne peut nier qu’elle n’a plus la côte en Tunisie, puisque comme l’a évoqué François Loncle, les louanges qu’un Ministre Tunisien Monsieur Ahmed Ouïanes avait décernées à Madame Alliot-Marie lors de sa visite à Paris le 4 Février ont révolté ses compatriotes à tel point et que ce Ministre Tunisien a été démissionné !

Extraits des débats - les questions et les réponses


Voici ci-dessous l’échange entre Monsieur Noël Mamère et Madame Alliot-Marie tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats figurant sur le site de l’Assemblée Nationale, agrémenté des exclamations de certains députés

« M. Noël Mamère : Ma question s’adresse à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères.
Il y a des moments où l’on aimerait ne pas poser la question que je vais vous poser

(Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP),…

M. Richard Mallié : Alors ne la posez pas !

M. Noël Mamère : …tant il est vrai que, lorsque nous abordons ces sujets, nous ne faisons que nourrir la rhétorique du « tous pourris ! » – alors même que nous ne sommes pas « tous pourris ».

Mais, dans une République qui se veut irréprochable, il y a des choses qu’on ne fait pas. Je n’ai pas à juger ici de ce qui légal ou illégal (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), je me place au plan des principes : vous êtes au plus haut sommet de l’État, ministre d’État, ministre des affaires étrangères, et vous bénéficiez des libéralités d’un des hommes les plus proches du régime tunisien (Même mouvement) au moment même où ont lieu des émeutes, et quelques jours après qu’un jeune homme s’est immolé, ouvrant la voie aux manifestations et à la libération du peuple tunisien.

Vous avez donc été victime d’une sorte d’aveuglement qui n’est que le révélateur de relations incestueuses entretenues depuis plus de vingt-trois ans, non seulement par le gouvernement auquel vous appartenez, par tous les pouvoirs qui se sont succédé depuis vingt-trois ans. Nous sommes très loin de ces affaires de cigares, de permis de construire ou de médailles
.
(Nouvelles exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

M. Richard Mallié : Provocateur !

M. Noël Mamère. Il s’agit de deux représentants du Gouvernement enchaînant les contrevérités et les dénégations, et qui se sont faits les complices d’un régime chassé par le peuple.
(Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Ce qui est en cause aujourd’hui, c’est la légitimité et la crédibilité de notre politique étrangère. Dans n’importe quel autre pays de l’Union européenne, on vous aurait demandé de démissionner. C’est ce que je vous demande aujourd’hui, madame !

(Applaudissements sur les bancs du groupe GDR et sur de nombreux bancs du groupe SRC.)
M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.
Mme Michèle Alliot-Marie, Ministre d’État : Vous avez beau, monsieur Mamère, répéter des mensonges, cela n’en fait pas des vérités. (Exclamations sur les bancs des groupes GDR et SRC.) Pendant que vous vous complaisez dans la polémique, moi, je travaille (Même mouvement), et je travaille avec le Gouvernement, pour aider la Tunisie autant qu’elle le souhaitera.

M. Bernard Roman : Un autre ton, s’il vous plaît ! Un peu de modestie !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Conformément aux orientations du Président de la République, le Premier ministre a présenté ce matin, en conseil des ministres, un plan de soutien à la Tunisie, élaboré en étroite relation avec un certain nombre de ministres tunisiens avec lesquels je travaille quasi-quotidiennement.

Il s’agit effectivement d’accompagner ce pays ami de la France dans sa nouvelle vie après la « révolution de jasmin », dans sa volonté de se reconstruire, de mettre en place la démocratie et l’État de droit et de lutter contre la corruption. Il s’agit de contribuer à la modernisation de l’économie et au développement de l’emploi, pour résoudre les vrais problèmes des Tunisiens. Il s’agit de multiplier les contacts entre la société civile et les ONG en investissant davantage dans le domaine de la francophonie et en aidant au développement des médias. Ce plan est conçu en plein accord avec les autorités tunisiennes ; d’ailleurs, plusieurs ministres français vont se rendre la semaine prochaine en Tunisie pour discuter avec les Tunisiens de sa mise en œuvre.

Les événements qui se passent dans le monde arabe nous imposent de changer notre grille de lecture à l’égard des pays proches et des pays amis. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
M. Bruno Le Roux. Ça, c’est sûr !
Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. Leurs aspirations à la liberté, à la démocratie, au développement économique et social nous obligent. Nous avons une responsabilité envers eux. Nous, nous l’assumons ; ce ne sont pas vos propos qui permettent de répondre aux enjeux de la situation. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs du groupe NC.

ooOoo

Voici donc ci-dessous l’échange entre Monsieur Vidalies et Madame Alliot Marie tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats, tel qu’il figure sur le site de l’Assemblée Nationale :

M. Alain Vidalies : Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.

M. Miled, un des hommes les plus riches de Tunisie, a eu la gentillesse de proposer à Mme la ministre des affaires étrangères un transport amical en avion sur le tarmac de Tunis – ce même avion a d’ailleurs servi le 14 janvier à la fuite vers Paris d’une partie de la famille de M. Ben Ali.

Or nous apprenons aujourd’hui qu’en fait, ce voyage d’agrément était aussi un voyage d’affaires destiné à l’achat, par les parents de la ministre, de parts d’une société immobilière appartenant à M. Miled. Ainsi, M. Miled ne transportait pas gratuitement des amis, mais des partenaires intéressés dans une affaire !
M. Bernard Roman : Il y a conflit d’intérêts !

M. Alain Vidalies. : Je suppose que personne ne va soutenir que la réalisation de cette opération financière s’est décidée spontanément dans l’avion, mis spontanément à disposition, alors qu’elle supposait, en droit tunisien, l’accord préalable du ministre de l’intérieur.

M. Bernard Roman : Eh oui !

M. Alain Vidalies : Mme la ministre adapte ses explications au fur et à mesure des révélations sur la réalité des modalités et du contenu de ce voyage.

M. André Wojciechowski : N’importe quoi !

M. Alain Vidalies : Mme la ministre n’est pas responsable des amis de ses amis. Mme la ministre n’est pas responsable des opérations financières de ses parents. Au fond, Mme la ministre n’est responsable de rien…
Mais la France est responsable de sa diplomatie. Tous les Français comprennent que l’image de notre pays est abîmée par cette affaire. Le peuple tunisien, qui s’est libéré dans le sang du joug du dictateur, ne peut oublier que, le 12 janvier, dans cet hémicycle, la seule réponse du Gouvernement fut de proposer notre savoir-faire pour régler la question sécuritaire.

Les questions d’éthique personnelle renvoient à la responsabilité personnelle de chacun, mais la question politique renvoie à la responsabilité politique.

Aujourd’hui, c’est la vôtre, celle de la majorité, du Gouvernement et du Président de la République. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe SRC. – Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe GDR.)

M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.

Mme Michèle Alliot-Marie : Monsieur le député, depuis quelques semaines, certains médias et hommes de gauche passent ma vie tant publique que privée au peigne fin. Faute d’y avoir trouvé quoi que ce soit d’illégal à me reprocher, c’est aujourd’hui sur la vie privée de mes parents, qui ont quatre-vingt-douze ans, que l’on enquête. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Ont-ils fait quelque chose d’illégal ? Non !

Cette campagne, monsieur le député, est indigne. Je veux vous dire tout simplement et très sincèrement combien je regrette que vous ayez la petitesse, l’abjection (Exclamations sur les bancs du groupe SRC) d’utiliser mes parents pour vous en prendre à moi et m’attaquer politiquement. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. – Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Monsieur le député, à mes yeux, la politique, c’est autre chose.

Plusieurs députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche. Et les affaires ?

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Pour ma part, je ne rappellerai pas ce qui s’est passé du temps de M. Mitterrand : il y aurait sans doute beaucoup à dire.

Mme Annick Lepetit. : Mais parlez ! Allez-y !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Moi, quand je pose des questions, ce sont de vraies questions, des questions politiques, celles qui concernent vos choix, votre morale, votre responsabilité politique.

M. Bruno Le Roux. Nous, ce sont plutôt de vraies réponses que nous demandons !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Alors, monsieur le député, puisque vous avez l’indignation si sélective et la mémoire si courte, je vous repose la question : si M. Ben Ali était aussi infréquentable, pourquoi avez-vous attendu son départ pour l’exclure de l’Internationale socialiste, et même, trois jours après ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. - Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Si M. Ben Ali et ses amis étaient infréquentables, pourquoi avez-vous invité deux membres du parti au mois de novembre à votre conseil à Paris ? Si vous tenez tant aux principes et au respect des peuples, pourquoi M. Gbagbo et son parti sont-ils toujours à l’Internationale socialiste, alors qu’ils dénient la volonté des Ivoiriens ? Voilà de véritables questions ! (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. –

Plusieurs députés du groupe UMP se lèvent et applaudissent. 

Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

Voici ci-dessous l’échange entre Monsieur François Loncle et Madame Alliot-Marie, tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats sur le site de l’Assemblée Nationale : 

M. François Loncle : Monsieur le Premier ministre, à défaut de nous répondre sur la forme, peut-être accepterez-vous de nous répondre sur le fond.

Les événements de Tunisie (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) et d’Égypte ont jeté le discrédit sur la diplomatie française. Ils en ont révélé ses silences honteux, ses hésitations embarrassées, ses propositions saugrenues, ses revirements à contretemps.

Au-delà des extravagances excellemment évoquées par Alain Vidalies, il y a des raisons profondes à l’abaissement de la diplomatie française. Il résulte tout d’abord de l’absence patente de ligne politique claire, de dessein adapté au moment de notre histoire.

M. Yves Nicolin : Assez de leçons !

M. François Loncle : Il est ensuite le fruit des dysfonctionnements constants au sein de l’appareil d’État entre la cellule diplomatique de l’Élysée, omnipotente, et un Quai d’Orsay à la dérive. Il est enfin la conséquence du déséquilibre flagrant entre les valeurs humanistes portées historiquement par la France et les excès de la realpolitik.

L’image de la France dans le monde, en particulier dans les pays arabes et africains, est profondément dégradée. Notre capacité d’action semble avoir sombré avec les régimes de M. Ben Ali et de M. Moubarak.
Le discrédit de la France est si grand qu’il a contraint un ministre tunisien à démissionner. « Un rêve devenu réalité », voilà comment le ministre des affaires étrangères de Tunisie, M. Ahmed Ounaïes, avait qualifié le 4 février sa rencontre à Paris avec son homologue français. Ce rêve a vite tourné au cauchemar : les louanges qu’il avait adressées à notre ministre des affaires étrangères ont révolté ses compatriotes, qui n’avaient pas oublié que la France avait proposé à Ben Ali son « savoir-faire » en matière de maintien de l’ordre. Alors qu’il occupait ce poste depuis seulement deux semaines, le ministre tunisien n’a pas tardé à tirer les conséquences logiques de sa bévue…

M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Monsieur le député, vous me prêtez un bien grand pouvoir, celui de défaire les gouvernements étrangers. Je ne me connaissais pas un tel pouvoir ! En tout cas, ni vos attaques ni vos injures ne me détourneront de la tâche qui m’incombe.

M. Jacques Desallangre. Cela ne s’améliore pas !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Pendant que vous vous égosillez, nous travaillons, nous, sur des sujets sur lesquels on ne vous entend pas. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.) Il y a, en effet, de grands sujets sur lesquels vous êtes totalement muets, mesdames, messieurs les députés de l’opposition.
M. Christian Hutin. Démission !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Vous êtes muets, par exemple, sur la Côte-d’Ivoire. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Je comprends que vous ne soyez pas très à l’aise puisque vous n’avez toujours pas exclu M. Gbagbo de l’Internationale socialiste (Mêmes mouvements) alors qu’il dénie totalement la démocratie et les élections.

M. Christian Hutin : Vous êtes discréditée !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Quand le Gouvernement prépare l’aide et le soutien que la France entend apporter à la Tunisie comme à l’Égypte dans leur démarche démocratique, on ne vous entend pas non plus, vous n’avez aucune proposition à faire.

Sur le processus de paix au Moyen-Orient, quand je suis en contact deux ou trois fois par semaine aussi bien avec Mme Clinton qu’avec le Président palestinien ou son Premier ministre, le Président ou le Premier ministre israélien, on ne vous entend pas, vous n’avez aucune proposition. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)

M. Jean-Paul Leco : Vous non plus !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Quand nous travaillons sur l’aide au développement pour l’Afrique (Exclamations sur les bancs du groupe SRC), comme l’a fait le Président de la République hier, et comme je l’ai fait moi-même en recevant à dîner l’Africa Progress Panel, vous restez muets. (« Démission ! Démission ! » sur les bancs du groupe SRC.)

Sur ces sujets, comme sur les sujets français, vous faites plein de déclarations lénifiantes mais vous n’avez aucun projet à proposer. 

(Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – 

Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

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TF1
· Nessus
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16 février 2011

L'affaire Cassez : Un article du site Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire

SOURCE : site "Gaulliste de Bretagne et Pays de la Loire"

Sarkozy "l'éléphant dans un magasin de porcelaine" pour défendre Cassez

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 16/02/2011 à 07:32, mis à jour à 08:30
 

Les éditorialistes dénoncent ce mercredi les "cafouillages" et "bredouillements" de la diplomatie. Revue de presse.

 
Ils ne mâchent pas leurs mots. Les éditorialistes critiquent mercredi avec un bel ensemble les "cafouillages" et "bredouillements" contre-productifs de la diplomatie française dans l'affaire Cassez. Et vont jusqu'à accuser Nicolas Sarkozy de s'être comporté "comme un éléphant dans un magasin de porcelaine". 
 
"En dédiant cette manifestation à Mme Cassez, M. Sarkozy ne pouvait ignorer qu'il allait provoquer le retrait du Mexique", selon l'éditorialiste du Monde qui se demande si M. Sarkozy, "plus justicier que diplomate", a eu "raison de transformer, lui aussi, une affaire particulière en affaire d'Etat '" 
Pour Jean-Marcel Bouguereau, l'éditorialiste de La République des Pyrénées, "Sarkozy a agi comme un éléphant dans un magasin de porcelaine". "En 24 heures, il s'est mis à dos tout un pays!" 
La diplomatie à la hussarde avec menaces de représailles n'aboutit jamais aux résultats escomptés 
Daniel Ruiz, dans le journal La Montagne, déplore lui aussi que "décidément les tenants de notre politique extérieure n'en finissent plus de se prendre les pieds dans le tapis." "Cette affaire du Mexique dans laquelle, une fois encore, la France a réagi à l'émotion, ne fait qu'enchaîner avec nos bredouillements dans les révolutions arabes, notre brouille avec les Chinois, ou la vente ratée du Rafale à notre ami Lula", estime l'éditorialiste. 
"La finesse et l'humilité ne nuisent pas, parfois"
"Une politique de l'émotion est-elle viable?'" s'interroge Gérard Noël dans Vosges Matin. "La diplomatie à la hussarde avec menaces de représailles n'aboutit jamais aux résultats escomptés", juge l'éditorialiste lorrain. 
"S'adresser au président mexicain comme s'il s'agissait d'un vulgaire préfet français ne pouvait être que contre-productif, surtout dans un pays qui garde encore le souvenir de l'expédition lancée par Napoléon III pour installer un prince autrichien sur le trône du Mexique", estime pour sa part Bruno Dive dansSud-ouesttandis que Gilles Debernardi (Dauphiné Libéré) ironise: "On dirait l'histoire du "pavé de l'ours", à la sauce chili con carne." "Au lieu d'une attaque frontale, l'Elysée aurait quand même pu réagir par les voies diplomatiques. La finesse et l'humilité ne nuisent pas, parfois", assène l'éditorialiste. 
Michel Vagner (L'Est Républicain) critique lui aussi "une infructueuse stratégie du bulldozer" du président Sarkozy contre son homologue Felipe Calderon tandis que Philippe Waucampt, dans Le Républicain Lorrain, stigmatise "la diplomatie d'opérette de ces dernières années". "Il est évident qu'on ne traite pas un pays comme le Mexique avec une désinvolture de garçons de bain", juge-t-il. 
Seul Laurent Joffrin, dans Libération, trouve quelques excuses à la diplomatie française, vu les "graves irrégularités" de la procédure: "On peut difficilement reprocher au président Sarkozy de s'intéresser de près au sort d'une de ses compatriotes condamnée dans des conditions contestables dans un pays étranger" juge-t-il même si "on peut ensuite discuter à perte de vue sur la meilleure manière de le faire." 
Par Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire - Publié dans : Politiqu

Florence Cassez : pour en sortir dignement il faudrait saisir la Cour Internationale de Justice et ne plus en jeter à tort et à travers !

Éditorial de lucienne magalie pons



Officiellement, la  Française purge au Mexique une peine de soixante ans de prison pour une affaire de complicité d'enlèvements,  le pourvoi en cassation de la jeune femme, son dernier recours devant la justice mexicaine a été rejeté, pour en finir avec le carnaval médiatique qui entoure cette affaire en France, il convient de la  replacer  dans son contexte, et si la France est persuadé que Florence Cassez a été mal jugée et bien il faut se décider à saisir la Cour Internationale de Justice


Hier, l’affaire Florence Cassez a donné lieu à divers prolongements diplomatiques et d’autres prolongements plus ou moins  culturels, politiques ou compassionnels  et que l’on ne saurait classer vraiment dans une rubrique diplomatique.

Il est certain que les nombreuses interventions de Florence Cassez qui depuis son emprisonnement armée de son téléphone ne cesse d’alerter les autorités Françaises chaque fois qu’elle juge que la France en la personne du Chef de l’État Français doit intervenir pour défendre sa cause  sont singulièrement hardies, elle dicte pour ainsi dire sa volonté au Chef de l’État qui la suit dans ses demandes. De même la famille de Florence Cassez est très active et le Chef de l’État Français ne manque pas de les recevoir avec la plus grande sympathie

C’est ainsi que Lundi soir, le président Nicolas Sarkozy  après avoir précédemment dialogué avec Florence Cassez au téléphone et  après avoir reçu longuement les parents de Florence Cassez avait annoncé  sa décision de maintenir l'Année du Mexique en France mais en la dédiant à Florence Cassez, tout en renouvelant sa demande d'un transfèrement de la jeune femme en France dans le cadre de la convention de Strasbourg.

Dès lors, le gouvernement mexicain avait indiqué, dès lundi soir, qu'il se retirait de l'organisation de l'événement et déclaré que les autorités mexicaines  n'avaient aucune intention de transférer la Française. "Le procès de Florence Cassez a démontré sa culpabilité", a souligné le ministère mexicain  dans un communiqué, évoquant les victimes et les témoins appelés à la barre.

Dans son communiqué officiel, le Ministère mexicain des Affaires étrangères estime en outre "surprenant qu'un chef d'État prenne une décision de politique extérieure affectant les liens entre deux peuples et gouvernements en consultant une personne condamnée par la justice mexicaine pour des délits de nature particulièrement grave". La presse mexicaine dénonce quant à elle "l'arrogance" et le "mépris" de Nicolas Sarkozy pour la justice, la démocratie et le peuple mexicain.

Le lendemain Mardi 15 Février,  l’ambassadeur du Mexique en France, Monsieur Carlos de Icaza  précisait   la position de son pays face aux déclarations du Président Français, en résumé le Mexique est "prêt" à participer à l'Année du Mexique en France, à la seule condition que les autorités françaises renoncent à la lier à l'affaire Florence Cassez. Selon l’ambassadeur, le lien établi entre l’affaire Florence Cassez et l’Année du Mexique dénature cet accord bilatéral.

"Nous sommes là, nous sommes prêts, nous avons déjà commencé  quelques événements, si on respecte les conditions par lesquelles nous avons été invités", a déclaré à la presse l'ambassadeur. Selon lui, le lien désormais établi entre l'affaire Florence Cassez et l'Année du Mexique dénature cet accord bilatéral.


Pris entre deux feux, Frédéric Mitterrand a refusé ce mardi de se prononcer sur une éventuelle suppression de l’Année du Mexique en France mais a convenu que «l’affaire Cassez devient une affaire d’État» et que «c’est la culture qui est prise en otage».

 A lors que Nicolas Sarkozy et Michèle Alliot-Marie réclament le transfèrement de la jeune femme et affirment ne pas comprendre pourquoi cette requête n’est pas acceptée par le Mexique, l’ambassadeur mexicain a considéré qu’il fallait respecter la justice de son pays.

En ce qui concerne un éventuel transfert de Florence Cassez vers la France, demandé à plusieurs reprises par Nicolas Sarkozy, l'ambassadeur a  déclaré que «le Mexique a sérieusement envisagé d'appliquer la convention de Strasbourg. (...) Mais n'ayant pas reçu l'assurance formelle de la France que la peine sera effectuée en totalité, à notre avis, la convention n'est pas applicable».

L’appréciation de l’ambassadeur du Mexique est  correcte, en effet comment imaginer que chaque manifestation culturelle mexicaine en France soit empreinte de déclarations pour soutenir Florence Cassez, comme un leitmotiv compassionnel demandant son transfert en France … ou encore assorti d’ultimatum ?

Le mélange des genres qui depuis le début de l’affaire Florence Cassez n’a pas été efficace risque bien s’il est encore entretenu  en France de nuire encore plus au déroulement de cette affaire, qui n’est pas encore terminée et qui à notre avis doit rester dans son contexte judiciaire qui n’est pas épuisé, puisque   l’avocat de cette jeune femme a l’intention de recourir à la Cour inter-américaine et qu’il insiste pour que la France saisisse  la Cour Internationale de Justice.

On se demande du reste pourquoi la France n’a pas encore saisi la Cour Internationale de Justice ?  

On peut aussi s’interroger pourquoi la France  en plaçant ce dossier dans le politique  compassionnel,  a préféré dialoguer et se concerter  avec la condamnée et  recevoir ses parents, se  répandre en   critique sur  l’appareil Judiciaire Mexicain, pour finalement se saisir de l’Année du Mexique en France en vue de plaider la cause de Florence Cassez.

Il est évident que si la Cour Internationale de Justice était saisie par la France, pendant toute la durée de la procédure et de l’instance un devoir de discrétion s’imposerait aux parties et aux dirigeants français.



 Mardi 15 Janvier de son côté en visite à Montmirail dans la Marne  le Président Français a une nouvelle fois affirmé : "La France est déterminée à résoudre le problème humanitaire grave de Florence Cassez", tout en assurant le Mexique de "l'amitié du peuple français".

Ainsi une nouvelle dimension apparaît « le problème humanitaire grave de Florence Cassez »

"Pour le reste, il faut garder son sang-froid et obtenir des résultats, c'est ce à quoi je vais m'employer maintenant", a ajouté  Nicolas Sarkozy, qui devrait, d’après les médias,   téléphoner à son homologue mexicain, Felipe Calderon, pour évoquer le cas de Florence Cassez

 Frédéric Mitterrand , Ministre de la culture et de la communication est resté en retrait  d'une décision qui pourtant lui revient de droit, et il  a refusé  mardi de se prononcer sur une éventuelle suppression de l’Année du Mexique en France , mais  en revanche il a convenu que «l’affaire Cassez devient une affaire d’État» et que «c’est la culture qui est prise en otage».

Frédéric Mitterrand a considéré sur France Info, tout en dénonçant   le gouvernement mexicain de son retrait de l'Année du Mexique en France,  qu’à partir du moment  où ce n'est plus une affaire de culture uniquement mais une affaire d'État, c'est à l'État de décider ce qu'il doit faire et donc au président de la République de dire ce qu'il en est",……. D’après Frédéric Mitterrand : "Manifestement, ce sont les autorités mexicaines qui ont décidé de supprimer l'Année du Mexique …, A partir du moment où elles décident de se substituer aux décisions à caractère culturel, c'est une affaire d'État ", a-t-il expliqué.  . "La France n'abandonne jamais ses ressortissants", a souligné le ministre, ajoutant : "C'est le cas de Florence Cassez, dont on sait que le procès s'était déroulé dans des conditions suspectes.

Évidemment Frédéric Miterrand ne pouvait dire mieux en moins disant et en se rabattant sous l’autorité du Chef de l’État pour qu’il décide ce qu’il doit faire et de dire ce qu’il en est,  après tout ce n’est pas lui qui avait allumé le feu, quoique en affirmant que le procès s’était  déroulé dans des conditions suspectes, il s’avance là sur un terrain de critique  personnel de l’appareil judiciaire Mexicain qui encore une fois peut froisser le Mexique.

Les parents de Florence Cassez ont assisté mardi après-midi à la séance de questions au gouvernement (dans les tribunes du public)  "Notre solidarité à l'égard de notre compatriote est particulièrement forte", a indiqué à la presse le président de la chambre, Bernard Accoyer (UMP), évoquant le comité de soutien qui "compte plus de 200 parlementaires.


." Pour Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée nationale, c'est un "incident diplomatique" plus qu'une affaire d'État.(1)


 Mardi  le député socialiste Claude Bartolone a  estimé que «ce n’est jamais bon de faire la leçon à un État démocratique, surtout quand on connaît le nationalisme du Mexique».

 Roland Muzeau,  le porte-parole des députés communistes, a accusé, dans un communiqué,  Nicolas Sarkozy d’avoir porté un «tort terrible» à Florence Cassez. «Les oukases présidentiels, tant en politique nationale qu’en politique internationale, prennent lieu et place de ce qui relève de la diplomatie».

Les critiques viennent aussi de la droite,  le député UMP Christian Vanneste, membre du comité de soutien à Florence Cassez, a appelé à respecter le Mexique et sa justice et à cesser «les humiliations complètement inutiles». L’idée de dédier à la jeune femme l’Année du Mexique en France était intolérable pour Mexico  «et ne pouvait que produire l’effet inverse» à celui recherché, a-t-il affirmé sur BFM TV.

(1) Ndlr : l’important n’est pas de s’interroger sur le caractère  des différends  franco-mexicains sur le dossier Cassez, « incident diplomatique » ou « affaire d’État » , l’observation des faits  indique que c’est  une intrusion et une ingérence dans la politique intérieure et judiciaire  commise par des déclarations et des comportements de la France à l’encontre de l’État Mexicain.

Il y a aussi les organisations de soutien de Florence Cassez qui en rajoutent  dans le roman à feuilleton à l’eau de rose : «Je pense à Florence, …… je pense que ça va être une douche froide quand elle va apprendre ça. On oublie qu'elle est à 10 000 km de nous, qu'elle a très peur depuis quelques jours, qu'elle a peur de rétorsions", a déclaré sur RTL Jean-Luc Romero, président du comité de soutien à Florence Cassez, également conseiller régional d'Île-de-France. "Le président [Nicolas Sarkozy] avait décidé de maintenir l'Année du Mexique en France, [les Mexicains] n'avaient pas particulièrement de raison de s'exciter comme ça, si ce n'est que ce gouvernement est déconnecté des réalités. Je plains le peuple mexicain qui, lui, n'y peut vraiment rien, et qui ne mérite vraiment pas ce gouvernement. Trop, c'est trop", a-t-il ajouté.

Jean Luc Romero ne lit pas la presse mexicaine qui relate qu’une grande majorité de mexicains au contraire soutiennent le Gouvernement dans l’Affaire Cassez et estiment que le procès a été légal,  quand aux rétorsions que Jean Luc Romero évoquent, comment peut-on craindre vraiment des rétorsions à l’encontre de Florence Cassez dans l’état actuel du dossier ? Elle est certes emprisonnée mais elle peut communiquer librement, elle peut même organiser avec son téléphone portable des déclarations télévisées, il faudrait que Jean Luc Roméro nous informe si en France un prisonnier étranger ou même français peut user d’une telle liberté ?


Officiellement, la  Française purge au Mexique une peine de soixante ans de prison pour une affaire de complicité d'enlèvements,  le pourvoi en cassation de la jeune femme, son dernier recours devant la justice mexicaine a été rejeté, pour en finir avec le carnaval médiatique qui entoure cette affaire en France, il convient de replacer cette affaire dans son contexte, et si la France est persuadé que Florence Cassez a été mal jugée et bien il faut se décider à saisir la Cour Internationale de Justice.

Les tergiversations des politiques et des associatifs ne servent à rien qu’à enfumer la question en débordant de partout, seule une ligne judiciaire parait de nature à clore cette affaire dans la légalité internationale.

 Outre l'hypothèse d'une saisine de la Cour Internationale de Justice,  Florence Cassez  dispose encore de de deux possibilités de recours,  la Commission interaméricaine des droits de l'Homme (CIDH) à Washington et la Cour interaméricaine des droits de l'Homme au Costa-Rica.

Il n'est que grand temps de saisir ces instances judiciaires dont la compétence est au-dessus de toutes les interprétations politiques, associatives, compassionnelles ou autres qui n'ont qu'un effet médiatique du reste négatif et dont l' inefficacité crève les yeux.
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Voici un résumé des articles de la presse mexicaine


A la Une > Amériques
Affaire Cassez : la presse mexicaine dénonce le mépris de Paris pour la justice

Sans surprise, la brouille diplomatique franco-mexicaine autour de l'affaire Cassez fait les choux gras de la presse mexicaine, mardi 15 février. En jugeant sévèrement la position française qui fait de Florence Cassez, Française de 37 ans condamnée à soixante années de prison pour enlèvements, une "victime" de la justice mexicaine.

Le président français, qui a provoqué l'ire de Mexico, lundi, en demandant le transfèrement de la Française et en souhaitant que l'Année du Mexique en France lui soit dédiée, se voit ainsi décerner, mardi, l'attribut de la personnalité "en baisse" par La Crónica de hoy : "L'élu français est ridicule dans sa défense acharnée de Florence Cassez, une femme qui n'a jamais pu prouver son innocence devant les tribunaux mexicains", écrit le journal, proche du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), resté 70 ans au pouvoir, jusqu'en 2000.


"TENSION CRIMINELLE" AU MEXIQUE

El Financiero rapporte les craintes exprimées par les autorités, qui redoutent qu'une fois renvoyée en France, Florence Cassez ne purge pas l'intégralité de sa peine. Pour le quotidien économique, si Mexico a décidé de ne pas accorder à cette "ravisseuse" les bénéfices des traités internationaux sur les transfèrements, c'est à cause de "la situation de tension criminelle" au Mexique. "Le président Calderon enverrait un très mauvais message s'il autorisait le transfèrement de Cassez en France et que sa peine était révisée", souligne El Financiero, pour qui la décision d'un tribunal collégial de rejeter le pourvoi en cassation de la Française, jeudi 10 février, "laisse entendre très clairement que son procès a été légal".

Sur le forum d'El Universal dédié à l'affaire Cassez, une écrasante majorité des internautes soutient la position de fermeté des autorités mexicaines, dénonçant l'"arrogance" du président français, qui méprise la justice mexicaine et son peuple. Dans la même lancée, Milenio ne se laisse pas impressionner par la tentative de "victimisation" de Florence Cassez. Dans une chronique intitulée "Sarkozy et Lady Gaga-Cassez", le quotidien de Monterrey, réputé pour son ton caustique, décrit une femme orgueilleuse, qui a souhaité, dans un entretien à l'AFP, que l'Année du Mexique en France "serve à parler de sa cause, qu'on affiche ses photos, qu'on discute de son cas à chaque événement". Pour le chroniqueur Jairo Calixto Albarran, Florence Cassez incarne le "spectacle de la victimisation télénovélesque".

"DÉMESURE"

Sur un ton beaucoup plus modéré, El Universal estime que les torts dans l'escalade verbale entre la France et le Mexique, sont partagés. En titrant son éditorial sur la "démesure française", le quotidien juge que Nicolas Sarkozy "a poussé trop loin son engagement personnel dans cette affaire". En faisant du cas Cassez une affaire d'État, Nicolas Sarkozy a mis le feu aux poudres, juge ce titre historique de la presse mexicaine. "Le gouvernement français a utilisé cette affaire pour déployer un populisme national, qui associe la détention d'une ressortissante à un affront diplomatique, sans se préoccuper des torts subis par les victimes."

Mais le journal estime également que la réaction mexicaine, en jouant la surenchère, s'est montrée excessive : "Mexico n'a fait qu'accompagner la démesure française avec des réactions diplomatiques du même niveau. L'appel à boycotter les activités de l'Année du Mexique en France est exagéré [l'ambassadeur du Mexique à Paris a précisé, mardi, que la participation de l'Etat mexicain sera en fait conditionnée]. Il faut espérer que si la France modère ses exigences, notre pays fera de même quant à l'ampleur des représailles prévues."

CARLOS FUENTES : UN "INCIDENT JURIDIQUE"

Quant aux artistes mexicains conviés à cette année culturelle, qu'en pensent-ils ? Le célèbre écrivain Carlos Fuentes, dans un entretien à l'agence Notimex réalisé quelques heures avant que Mexico annonce son boycot, estime qu'il ne faut pas opposer les deux pays pour un "incident juridique". Ses propos sont rapportés par le journal Excelsior : l'affaire Cassez doit "être résolue par la voie judiciaire et diplomatique, sans mettre en confrontation les cultures française et mexicaine", indique l'auteur de La Mort d'Artemio Cruz.

Soulignant que les participants à cet événement sont avant tout "des universitaires, des écrivains, des éditeurs, des peintres, des musiciens ou des cinéastes", la figure de proue des lettres mexicaines considère que les artistes invités passeront outre la querelle politique. "Je serai présent aux événements auxquels j'ai été convié et je suppose que les autres artistes et personnalités mexicaines feront de même."
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http://sedcontra.fr


                  

15 février 2011

Le clientélisme a la vie dure

Dans son article l'auteur Duboubou1er met l'accent sur le réveil des quelques péchés véniels qui
dynamisent une trop grand nombres d'électeurs à l'approche des élection, clientélisme, petits arrangements, avantages sollicités et obtenus ...passes-droits,  toutes ces pratiques héritées des Romains et qui perdurent depuis des siècles en France en traversant tous les régimes ont la vie dure et fausse le jeu de la démocratie.

Il n'est pas inutile de les dénoncer , ça peut donner à réfléchir dans une période où des électeurs écoeurés risquent de s'abstenir, bien au contraire nous leur demandons de revenir aux urnes pour éliminer les "charlots" et leurs clients.

Voici l'article de l'auteur Duboubou1er :


L’éphémère remonté de la valeur du bulletin de vote de l’électeur de base ?

La période pré-électorale sort de l’oubli l’électeur qui sommeillait ou pour faire simple disons que vous existez à nouveau soudainement avec l’arrivée des élections cantonales. Alors si vous êtes débrouillards vous pourrez même aller glaner quelques menus avantages dans les officines qui préparent ces prochaines échéances électorales. Le créneau parait assez facilement exploitable mais le résultat dépend, bien sur, de votre notoriété, de votre pugnacité.

Toutefois le succès devrait finalement couronner vos efforts car le clientélisme marche très fort durant cette courte période. Après cela devient plus difficile et même parfois impossible ! Il ne s’agit pas franchement de corruption active mais simplement de petits arrangements, un usage inventé en même temps que la notion de démocratie, une sorte de challenge assez excitant auquel participent tous les élus de l’échiquier politique de notre déliquescent hexagone!

Pendant que de l’autre coté de la méditerranée les safaris aux dictateurs se multiplient avec plus ou moins de bonheur chez nous tous nos politiciens de gouvernement affichent une santé et une prospérité décontractées et aussi une belle assurance pouvant accréditer que -le faire n’importe quoi- les a rendu au fil des législatures véritablement insubmersibles ? Il parait donc logique que -le tous pourris- devient le refrain à la mode en ancienne Gaule ou l’avenir ne semble radieux que pour les adoubés récents, les champions de l’intégration réussie ce qui laisse augurer quelques débats internes sanglants ?

Notre Grand Berger, au plus bas dans les sondages, devenu sourd mais surtout candidat à sa propre réélection paré de deux casquettes, celle du G8 et du G20, qui lui permettent des incursions aux quatre coins de la planète avec des alibis en béton pour rentabiliser son cher « AIR SARKO ONE » lorsqu’il ne repart pas à la reconquête de son électorat perdu en France profonde à grands frais pour le contribuable mais bien protégé par ces pratiques déjà bien rodées par ses prédécesseurs !

La France qui pâtit de ces pratiques acceptées par une majorité de mollassons qui se prélassant dans un confort lénifiant en filant un mauvais coton. Difficile de ne pas s’inquiéter lorsque l’on constate que les abstentionnistes risquent de devenir majoritaires lors des prochains scrutins ce qui par contre ne dérange pas le moins du monde nos chers dirigeants qui ne poursuivent qu’un unique but : rester à la direction des affaires au plus près de l’assiette au beurre !

Même lorsque l’on a l’optimisme chevillé au corps il est tout de même difficile d’envisager un avenir serein pour nos chers descendants ?

Pour vous débarrasser de tous ces charlots sachez que votre bulletin de vote peut en réalité se révéler très efficace.

Alors votez !

Le Mexique se retire de l'Année du Mexique en France

Éditorial de lucienne magalie pons

Rappelons que Florence Cassez, jeune femme française a été condamnée à 60 ans de prison au Mexique, pour complicité d’enlèvement et de séquestration, et que la France depuis n’a pas eu de cesse de réclamer son rapatriement en France afin qu’elle y purge sa peine alors que le Mexique a toujours refusé de la rapatrier en estimant qu’elle devait accomplir sa peine au Mexique.


La justice mexicaine a rejeté jeudi le pourvoi en cassation de la Française Florence Cassez, emprisonnée au Mexique depuis plus de cinq ans. Condamnée à 60 ans de prison en mars 2009 pour complicité d'enlèvements et de séquestrations , la jeune femme s'était pourvue en cassation en août dernier.

Selon le communiqué de la Cour Fédérale Mexicaine, "La justice ne revient pas sur la peine définitive prononcée contre Florence Cassez".

La défense de Florence Cassezz avait indiqué qu'elle saisirait la Cour interaméricaine des droits de l'homme, au Costa Rica, en cas de jugement défavorable. La ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, a dénoncé un "déni de justice" qui "va peser sur les relations bilatérales".

De plus cette affaire est remontée à la une ces temps récents en raison de l’organisation de l’année du Mexique en France qui a été plus ou moins instrumentalisée, dans un premier temps il avait été question d’annuler l’année du Mexique en France si le Mexique persistait dans son refus , mais finalement, d’après les média, Florence Cassez, craignait des représailles si la France annulait l’année du Mexique en France, notamment son transfert dans une prison de haute sécurité.

Le Chef de l’État Français, Nicolas Sarkozy avait entendu ses craintes et décidé de maintenir cet évènement : “Le peuple de France est ami avec le peuple du Mexique”, avait argumenté Nicolas Sarkozy. “Nous faisons la différence entre le peuple mexicain et certains de ses dirigeants ….., supprimer l’année du Mexique en France serait faire offense au peuple mexicain”.

Nicolas Sarkozy hier soir, après avoir reçu les parents de Florence Cassez et après avoir discuté avec elle, par téléphone, depuis sa prison, a donc décidé de maintenir l’année du Mexique en France et qui plus est de la dédier à Florence Cassez.

C’était sans présager de la réaction du Mexique qui ne s’est pas fait attendre, en effet le gouvernement mexicain a déclaré officiellement par voie diplomatique qu’il se retirait de l’organisation de l’année du Mexique en France : ……. "À la lumière des déclarations du président Sarkozy, le gouvernement du Mexique considère que n’existent pas les conditions pour que l’année du Mexique en France soit menée à bien de manière appropriée et que soit mis en œuvre l’objectif pour lequel elle avait été conçue", a expliqué le ministère mexicain des Affaires étrangères dans un communiqué

Le Président Français Nicolas Sarkozy avait de nouveau réclamé le rapatriement de cette française condamnée au Mexique, afin qu’elle purge sa peine en France, mais les autorités mexicaines estiment qu’il en est hors de question : …."Au cours du procès de Florence Cassez, sa culpabilité a été prouvée", a réagi le ministère mexicain des Affaires étrangères dans un communiqué, évoquant les victimes et les témoins appelés à la barre.


 Revue de Presse :

Affaire Florence Cassez : Mexico annule l'Année du Mexique


Le Parisien - Il y a 16 minutes
Les déclarations de Nicolas Sarkozy samedi soir sur l'affaire Florence Cassez ont provoqué la colère du gouvernement mexicain qui a annoncé cette nuit son ...
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10 févr. 2011 ... La Française s'était pourvue en cassation en août 2010. Après cinq mois d'examen, les trois juges saisis ont rejeté sa requête.
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Florence Marie Louise Cassez, née à Lille le 17 novembre 1974, est une Française condamnée à soixante ans de prison par la justice mexicaine pour enlèvement ...
fr.wikipedia.org/wiki/Florence_Cassez



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14 février 2011

Basta Berlusconi

Le charme est rompu

Neue Zürcher Zeitung - Suisse
Les femmes sanctionnent Berlusconi
Plus de 100.000 femmes sont descendues dans les rues dimanche dernier dans quelque 230 villes italiennes pour manifester contre le Premier ministre Silvio Berlusconi. Sa bonne étoile l'abandonne, écrit le quotidien libéral-conservateur Neue Zürcher Zeitung : "Les manifestantes, et aussi de nombreux hommes, revendiquaient le départ immédiat du Premier ministre Berlusconi. … Des représentantes du gouvernement, comme la ministre de l'Education Gelmini, ont tenté de qualifier la manifestation de 'bobo'. La chef de fraction du Parti démocrate, Anna Finocchiaro, a répliqué que les manifestations de dimanches étaient authentiquement populaires et citoyennes. D'après les derniers sondages, l'image de Berlusconi semble effectivement avoir beaucoup souffert, et les manifestations du gouvernement contre les juges n'ont eu qu'un faible écho." (14.02.2011)

» informations complémentaires (lien externe, allemand)
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·  'Berlusconi, dégage !' - Yahoo! Actualités

14 févr. 2011 ... Ils étaient plus de 10 000 dimanche dans plusieurs villes d'Italie à manifester pour réclamer la démission de Silvio Berlusconi, trop macho.
fr.news.yahoo.com/54/20110214/.../vwl-berlusconi-dgage-df14a31.html

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·  Ces Italiennes qui disent "Basta" à Silvio Berlusconi - L'EXPRESS

13 févr. 2011 ... Les italiens doivent effectivement s'inspirer des Tunisiens et des Egyptiens, en disant Berlusconi Dégage ! Cet énergumène détruit l'image ...
www.lexpress.fr/.../ces-italiennes-qui-disent-basta-a-berlusconi_962006.html

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·  Berlusconi basta! - Le Parti de Gauche : écologie, socialisme ...

Berlusconi basta! Lundi, 14 Février 2011 12:58 Céline Meneses. E-mail · Imprimer · PDF ... Le mot d'ordre a passé la Méditerranée: "Berlusconi, dégage! ...
www.lepartidegauche.fr/editos/actualites.../3471-berlusconi-basta

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·  Les Toulousaines solidaires des Italiennes

14 févr. 2011 ... Au-delà du fait de dire Berlusconi dégage, on souhaite que les hommes s'unissent au mouvement pour dire Basta avec nous ». ...
www.ladepeche.fr/.../1013082-Les-Toulousaines-solidaires-des-Italiennes.html

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Les Italiennes disent "Basta" à Silvio Berlusconi
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Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...