26 janvier 2011

REVUE DE PRESSE EUROPEENNE: TUNISIE - EGYPTE - LIBAN -

SOURCE /  EURO/TOPICS :

Revue de presse européenne du 26/01/2011

À LA UNE
Linie

Les Egyptiens veulent être libres
Plusieurs dizaines de milliers d'Egyptiens ont manifesté mardi dans tout le pays contre le président Hosni Moubarak. D'après certains rapports, trois personnes auraient été tuées. Après la Tunisie, c'est au tour de l'Egypte de se libérer prédit la presse européenne, qui demande aux politiques occidentaux de cesser enfin de soutenir les dictatures arabes.


Die Presse - Autriche
On n'a plus peur de Moubarak
Le régime égyptien est sous pression car les citoyens prennent courage, analyse le quotidien libéral-conservateur Die Presse : "Le régime égyptien ne peut qu'espérer. Il ne peut se consoler qu'en se disant que les circonstances qui ont mené à une révolution le 14 janvier en Tunisie étaient tout à fait différentes. … Il y a toutefois des parallèles qui devraient inquiéter l'inamovible souverain égyptien Hosni Moubarak : le chômage élevé des jeunes, la corruption, le fossé social croissant, l'absence de perspective. Plus dangereux encore pour Moubarak, un phénomène de psychologie de masse qui s'est manifesté pour la première fois mardi dernier, lorsqu'au moins 15.000 personnes ont manifesté dans les rues du Caire : les citoyens commencent à ne plus avoir peur." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Égypte
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ABC - Espagne
La chute d'un autocrate sympathique
Les parallèles avec la Tunisie sont évidents, mais il y a bien une différence entre le président tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak en Egypte, estime le quotidien conservateur ABC : "Nous sommes maintenant témoins de la manière dont Moubarak, en raison de son incapacité à gouverner, pourrait être renversé après 30 ans au pouvoir. … On a assisté hier à un tournant déterminant. La foule a osé s'opposer à la police dans le centre de la capitale, où se trouve un nombre bien plus important de médias qu'à Tunis. Même s'il est facile de dresser des parallèles avec Ben Ali, il faut comprendre que Moubarak ressemble davantage à [l'ancien dictateur roumain Nicolae] Ceaușescu : un autocrate qui a réussi à devenir notre allié dans la région." (26.01.2011)

Trouw - Pays-Bas
L'Occident doit revoir ses positions
La révolution tunisienne et les mouvements de protestation en Egypte ont des conséquences sur la politiques occidentale, estime la journaliste et historienne Tineke Bennema dans le quotidien Trouw : "L''intifada numérique' arabe ne cesse de rappeler très décemment que l'Occident est au courant des infractions systématiques aux droits de l'homme telles que les arrestations, la torture et l'absence de liberté d'opinion. … Mais l'Occident a sciemment détourné le regard car ces éléments ne cadraient pas avec ses propres intérêts. La marge de manœuvre de l'Occident au Proche-Orient sera désormais plus restreinte. La question de la violation des droits de l'homme sera davantage évoquée qu'auparavant. L'Europe et les Etats-Unis seraient bien avisés de privilégier les droits de l'homme et de trouver des partis désireux de s'investir pour cela dans les pays concernés. Il faut mettre fin au soutien militaire apporté à ce régime. … Tout comme le monde arabe, l'Occident doit également apprendre à écouter la rue." (26.01.2011)

POLITIQUE
Linie
Le Temps - Suisse
Le Hezbollah gagne en influence au Liban
Le président libanais Michel Sleimane a nommé mardi au poste de Premier ministre le candidat du parti islamo-radical chiite du Hezbollah. Si Najib Mikati est sunnite et jugé modéré, sa nomination accroît néanmoins l'influence du Hezbollah, estime le quotidien Le Temps : "Cette avancée du parti d'Hassan Nasrallah ne devrait pourtant surprendre que ceux, comme les Etats-Unis, qui ont cru qu'il était possible de proscrire le Hezbollah. Au plan de la démographie, les adeptes du parti chiite n'ont cessé de croître en nombre. Politiquement, le mouvement que Washington considère toujours comme une organisation terroriste a étendu sa toile au point que, ces derniers mois, rien ne se faisait au Liban sans l'aval du Hezbollah. Militairement, ce dernier est un Etat dans l'Etat tant ses capacités dépassent largement celles de l'armée libanaise." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, français)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Liban
Tous les textes disponibles de » Stéphane Bussard

Côte d'Ivoire : L'Union Africaine divisée

Informations de source :


Côte d’Ivoire : l’Union africaine divisée
Le président de l’organisation panafricaine à Abidjan






Visite surprise du président de l’Union africaine Bingu wa Mutharika. Le chef d’Etat malawite est arrivé mardi à Abidjan afin de rencontrer les deux présidents proclamés de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Le dossier ivoirien fait de moins en moins l’unanimité au sein de l’UA, qui réclame officiellement le départ de Laurent Gbagbo au profit de son rival. Après les présidents angolais, ghanéen et sud-africain, c’est au tour ce mardi de l’Ougandais Yoweri Museveni de se démarquer. « Il faut enquêter et ne pas se contenter de dire "untel a gagné" », a-t-il notamment déclaré, contestant les choix de l’ONU et de l’UA.
Bingu wa Mutharika prend les choses en main. Après l’échec du Premier ministre kényan Raila Odinga, le médiateur qu’il avait désigné, le président de l’Union africaine (UA) a débarqué mardi midi à Abidjan pour une « visite d’information », sans avoir annoncé au préalable sa venue à la presse. Il a été accueilli à l’aéroport par le Premier ministre du gouvernement Gbagbo, Aké N’Gbo, et son ministre des Affaires étrangères Alcide Djédjé. Il a rencontré les deux présidents ivoiriens proclamés, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, ainsi que le chef de l’opération de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci), Choi Young-Jin. Selon une source diplomatique africaine à Abidjan qui s’est livrée à l’AFP, Bingu wa Mutharika ne devait pas effectuer de médiation entre les principaux protagonistes de la crise ivoirienne, mais recueillir les informations qui lui permettront d’établir un rapport présenté lors du prochain sommet de l’organisation panafricaine prévu du 29 au 31 janvier à Addis Abeba, en Ethiopie.

Aussi, mardi soir, à l’issu de ses entretiens, M. Mutharika a déclaré qu’il transmettrait les « propositions » et « vues » de Laurent Gbagbo « à ses frères chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, afin qu’ensemble, par la concertation, nous puissions trouver un moyen d’avancer ». « Mon frère et ami (Laurent Gbagbo) m’a expliqué en détail ce qui s’est passé et il m’a aussi expliqué en détail ses idées », a-t-il ajouté. A son côté, sur les marches du palais présidentiel, M. Gbagbo acquiesçait, selon le correspondant de l’AFP. Aucune précision n’a été donnée quant aux « propositions » de sortie de crise formulées par Laurent Gbagbo.
La semaine dernière, Raila Odinga a publiquement confessé l’échec de sa médiation. « Malgré des discussions approfondies avec M. Laurent Gbagbo et avec le président élu Alassane Ouattara, qui se sont prolongées très tard dans la nuit, j’ai le regret d’annoncer que les progrès requis ne se sont pas matérialisés », a-t-il déclaré mercredi, lors de sa dernière tentative. N’ayant pas réussi, comme le réclame officiellement l’Union africaine depuis le 8 décembre, à faire Laurent Gbagbo céder le pouvoir à son rival, le Premier ministre kényan a déclaré vendredi, à Nairobi, qu’à défaut d’accord négocié les membres de l’Union africaine devraient se « résoudre à d’autres mesures telles que l’isolement diplomatique et des sanctions économiques et commerciales ». Une position en deçà de celle de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui menace depuis le 24 décembre de déloger Laurent Gbagbo par la force. Lundi, le ministre des Affaires étrangères, Odein Ajumogobia, au nom de la CEDEAO, annonçait via la presse de son pays que le Nigeria avait demandé à l’ONU le pouvoir d’user de la force militaire pour chasser l’hôte du palais présidentiel ivoirien.


Nouvelle discordance au sein de l’UA
Cependant, jour après jour, l’unité affichée des chefs d’Etats africains contre Laurent Gbagbo laisse apparaître des failles. En plus du président angolais José Eduardo dos Santos qui, d’emblée, avait refusé de condamner Laurent Gbago et de réclamer sa démission, d’autres chefs d’Etats se sont démarqués de la position officielle de l’UA. John Atta Mills, le président Ghanéen, avait le 30 décembre déclaré qu’il n’enverrait pas ses troupes en Côte d’Ivoire, et une semaine plus tard, le 7 janvier, lors d’une conférence de presse, il avait précisé qu’il soutiendrait le gouvernement ivoirien « quel qu’il soit ». Ce mardi, c’est le président ougandais Yoweri Museveni, par la voix de son porte-parole Tamale Mirundi, dont les propos ont été diffusés dans le journal national Daily Monitor, qui s’est opposé à la reconnaissance par l’ONU d’Alassane Ouattara comme président élu de la Côte d’Ivoire. « L’Ouganda n’est pas d’accord avec l’Onu et la communauté internationale au sujet de la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Mirundi, citant le président ougandais. « Il faut une approche sérieuse qui comprenne une enquête sur le processus (électoral), notamment sur l’élaboration des listes électorales et sur l’identité des électeurs », a poursuivi Yoweri Museveni, cité par son porte-parole. « Chaque pays dispose d’une Constitution et d’un cadre permettant de régler les problèmes internes », a souligné M. Museveni qui, le 18 février, tentera d’obtenir un quatrième mandat à la tête de l’Ouganda qu’il dirige d’une main de fer depuis 1986.


Vendredi dernier, le 21 janvier, c’est le président sud-africain Jacob Zuma qui, après un entretien avec Yoweri Museveni en visite dans son pays, avait estimé que l’annonce des résultats en Côte d’Ivoire faisait apparaître des « contradictions ». « Nous devons faire autre chose que de demander à l’un des deux leaders de partir », avait-il déclaré avant de proposer qu’un moyen de vérifier les « graves accusations » d’irrégularités électorales soit trouvé et de donner rendez-vous à ses pairs le 30 janvier, à Addis Abeba, pour en débattre. L’ancien président sud-africain, Thabo Mbeki, médiateur infructueux de l’UA en Côte d’Ivoire début décembre, avait déjà prévenu qu’il ne fallait pas diaboliser Laurent Gbagbo. « La crise actuelle ne vient pas d’un conflit entre anges et démons », écrivait Thabo Mbeki le 7 décembre dans une lettre transmise au président de la commission de l’UA, Jean Ping, au retour d’une mission de médiation en Côte d’Ivoire. « Le seul moyen de résoudre la crise ivoirienne est de convaincre Gbagbo et Ouattara de négocier », poursuivait l’ex-chef d’Etat, en mettant en garde contre le risque de « guerre très destructrice » en l’absence de dialogue, dans le document révélé lundi par le quotidien sud-africain The Times. Thabo Mbeki, qui a supervisé en 2008 la signature d’un accord de partage du pouvoir au Zimbabwe, prône en Côte d’Ivoire une « solution qui englobe toutes les parties ».


Le week-end prochain, en Ethiopie, les membres de l’Union africaine  devraient à nouveau plancher sur le meilleur moyen de conduire la crise ivoirienne vers une issue pacifique.

Article actualisé le 26/01/2011 à 01h55

Marianne2 s'élève contre un "dérapage" de Monsieur Sarkozy

Revue de Presse:

Source : Site de Marianne2


Sarkofrance, chez Marianne2.



Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

Mardi, Sarkozy a dérapé. Salement, une vraie bévue dans sa séquence préélectorale si bien préparée. Il n'a fallut qu'un fait divers, dramatique, pour que Sarkozy redevienne Sarkozy. Oublié l'exercice zen d'un président protecteur qui prend le temps de la réflexion ! Avant de partir à Saint-Nazaire pour un grand show industriel à la faveur d'un double évènement, le lancement d'un appel d'offre pour l'éolien offshore et la commande de deux navires de guerre par la Russie, le candidat avait reçu quelques parlementaires UMP à l'Elysée, pour leur confier son indignation après le drame de Pornic et son souhait d'une nouvelle loi... A Saint-Nazaire, son discours commença par un message sur le même fait divers. Chassez le naturel, il revient au galop ! Cette capacité toute sarkozyenne à déraper sur l'émotion s'est illustrée, grandeur nature, et en public, ce mardi 25 janvier.
Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

lire l’intégralité de l’article  en cliquant sur le lien ci-dessous :

Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à ...
Marianne2.fr
Mardi, Sarkozy a dérapé. Salement, une vraie bévue dans sa séquence préélectorale si bien préparée. Il n'a fallut qu'un fait divers, dramatique, ...
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Tunisie : Remaniement Ministériel attendu ce jour

Éditorial de lucienne magalie pons


26 janvier 2011

Complément d’information   

 Source : AFP/ACTUALITES ORANGE


Tunisie: remaniement attendu, tirs de lacrymogènes contre des manifestants à un barrage
La police anti-émeute tunisienne a tiré mercredi des grenades de gaz lacrymogène sur des manifestants qui tentaient de forcer un barrage bloquant un accès à l'esplanade où se situent les bureaux du Premier ministre…../….

- Lire la suite de l’article :

o        11:03 - Tunisie : remaniement attendu, ...

- à lire aussi



La révolte tunisienne ne cède pas

Éditorial de lucienne magalie pons

RAPPEL (très résumé)  des évènements depuis Dimanche 23 Janvier, jusqu'à ce jour  Mercredi 26  où le Gouvernement Tunisien devrait remanier le Gouvernement :


La Caravane de la libération était  arrivée  à Tunis dimanche,  composée des milliers de  manifestants venus du Centre, du Sud, de tous le pays, par tous moyens,  à pied, en moto ou en voiture Des milliers de manifestants de tout le pays  étaient ainsi venus  se regrouper à Tunis,  dimanche  ils  ont défilé au centre-ville en débattant et en  haranguant la foule,  transformant  l’avenue Bourguiba en une véritable  forum  d’information et de concertation politique , avec pour fil conducteur  de  leur détermination,  un seul mot d’ordre : « plus aucun membre de l’équipe  Ben Ali dans le Gouvernement « »

Ils ont  ensuite campé  devant la  Primature tunisienne,  devant le siège du Palais de la Kasbah qui abrite les bureaux du Premier Ministre,   rejoint par des  centaines de manifestants, et  dans la soirée, et en dépit du couvre feu nocturne, ils  ont manifesté  en se relayant toute la nuit,  avec un  avec toujours un seul mot d'ordre : plus aucun membre de l'équipe Ben Ali dans le gouvernement.

D’après les médias, … «  des tentes de fortune ont été montées et l’armée qui tolère, distribue même quelques couvertures. De jour comme de nuit, la rue est là désormais pour répéter son message : faire tomber le gouvernement ou du moins les caciques de l’ancien régime. »


Les mises à l’écart par le Gouvernement de transition de  différentes personnalités du régime Ben Ali, dont tout récemment  celles de  deux » caciques de l’ancien régime » (pour reprendre l’expression) ,  Abdallah Kallel, ex-ministre de l'Intérieur de Ben Ali, mis en résidence surveillée ,  et l’interpellation du patron de la chaîne de télévision privée Hannibale, accusé de vouloir favoriser le retour du président déchu, n’ont pas suffit à calmer les manifestants, pas plus que  les démissions des ministres « Benaliens » ou encore les mesures sociales annoncées et les nouvelles libertés accordées, .... ce que veut  la révolte tunisienne c’est  une rupture complète avec le Régime Benali et tous ceux qui y ont participé, avant les élections.


Dès lors, les manifestations se sont poursuivies depuis Dimanche, Lundi, et Mardi, et  dès Lundi, jour théorique de reprise des cours,  les enseignants du primaire  avaient aussi  appelé à la tenue d’une « grève générale illimitée ».

Sous  pression ,  le gouvernement toujours très contesté devait annoncer Mardi  un nouveau remaniement ministériel, mais  il a repoussé cette annonce à ce jour Mercredi

ooOoo

En France après les propos  tenus au début de la révolte tunisienne par  la Ministre des affaires étrangères qui n’ont pas été acceptés par l’opposition notamment ,  la France a prudemment adopté de  « nouvelles »  normes de communication  et  les personnalités politiques françaises,  de la majorité principalement,  qui sont appelés à se prononcer sur la révolution tunisienne  et sur le rejet du régime et   du clan Ben Ali par la population,   se placent  sur le terrain de  la surprise .

 C’est ainsi que Monsieur Axel Poniatowski, Président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale, récemment  invité de l'émission internationale diffusée dimanche soir sur RFI , France 24 et TV5 monde, a déclaré le plus innocemment du monde,   : « Nous savions que des problèmes de droits de l'homme se posaient, que quelques journalistes étaient en prison. Nous avons été surpris par l'ampleur du dégoût pour le pouvoir et les familles Ben Ali et Trabelsi ».

Le Président de la République Française  s’est exprimé en substance   lui-même le lundi 24 Janvier en Conférence de presse,  pour la première fois depuis le début de la révolte tunisienne, en  revendiquant certaines réserves relatives aux pays  proches de la France , mais il reconnu qu’il y avait des désespérances …etc…, desquelles   « nous n’avions pas pris une juste mesure » (voir  dans le corps de la Revue de Presse,  après la première vidéo,  un lien actif qui vous conduira  vers une vidéo reprenant  exactement ses déclarations  à ce sujet)


Par Saadeddine Zmerli
Le 14 janvier 2011, la manifestation de tout un peuple toutes générations  et toutes classes confondues, manifestation pacifique ...
 Comment endiguer la vague de dégradation des notes de contreparties Tunisiennes ?
L’annonce de la dégradation des notes souveraines de la Tunisie par les trois agences américaines leaders et l’agence ...

Face à la crise
Par Habib Touhami
Pendant un quart de siècle, Ben Ali, son clan et ses auxiliaires ont pillé le pays, domestiqué l’Etat, asservi  les ..

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L’avarie du sel
Par Adel Kammoun
Pourquoi la rue continue-t-elle à presser le gouvernement et pourquoi celui-ci continue-t-il à concéder en donnant ...




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Revue de Presse :

  1. Tunisie: remaniement ministériel mercredi sous la pression de la rue


    AFP - Il y a 29 minutes
    TUNIS — Le gouvernement tunisien de transition, contesté par des milliers de manifestants de plus en plus nerveux, sera remanié mercredi selon son ...
    Tunisie: le remaniement du gouvernement annoncé aujourd'hui- TF1
    Tunisie. un remaniement pour calmer la rue- LaDépêche.fr
    Les Échos - Le Figaro
    Autres articles (943) »
  2. Tunisie : Clan Ben Ali, le trésor secret


    France Soir - Publié il y a 1 heure
    L'ensemble des biens mal acquis détenus en France par l'ex-président tunisien, son épouse, Leïla Trabelsi, et les membres de cette vaste famille est ...
    Tunisie : Les Ben Ali étaient bien attendus à Paris- melty.fr
    Tunisie. Leila Trabelsi et «son» hôtel particulier parisien- Kapitalis
    Tunisie : le Parquet de Paris s'intéresse aux biens de Ben Ali en ...- Ouest-France
    peopleinside.fr - 24heuresactu.com
    Autres articles (121) »

    France Soir
  3. Un ancien ambassadeur de France en Tunisie contredit Sarkozy


    Libération - Il y a 12 heures
    Les informations du Quai d'Orsay sur le régime de Ben Ali ont été ignorées, regrette Yves Aubin de la Messuzière, ambassadeur de France en Tunisie de 2002 à ...

     000000000
    Monsieur Sarkozy a évoqué un droit de réserve mais il a reconnu qu'il y avait une désespérance ... dont "nous" n'avions pas pris la juste mesure ;
    Tunisie: réponse de Sarkozy "trop embarrassée, trop tardive" selon ...- AFP
    EN TIRANT LES LEçONS DES ÉVÈNEMENTS DE TUNISIE- Liberté-Algérie
    MediaPart - Le Monde
    Autres articles (36) »
  4. Kaddafi sous le charme de la révolution tunisienne


    Jeune Afrique - Il y a 7 heures
    Dans une interview diffusée sur Nesma TV, Mouammar Kaddafi ne jette plus la pierre aux Tunisiens, dont il déclare désormais comprendre la révolution. ...
    Khadafi "avec le peuple tunisien"- Le Figaro
    Mouammar Kadhafi a peur pour la révolution tunisienne- GlobalNet Tunisie
    Khadafi (Libye) : volte-face pétrolier vis à vis de la Tunisie ?- Le Blog Finance (Blog)
    Le Post (Blog) - Egalité et Réconciliation
    Autres articles (12) »

    Jeune Afrique
  5. Tunisie : la rue ne se calme pas


    Le Figaro - Il y a 58 minutes
    Boulanger au chômage, il a fait le voyage en bus de Kasserine, où sont tombées plus de la moitié des victimes de la révolution tunisienne. ...
    Un nouveau gouvernement tunisien sera annoncé mercredi- Radio-Canada
    Autres articles (15) »



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Gaz de shiste : réticences locales

Des projets de grande envergure donnent lieu à protestation dans les régions du Sud-Aveyron;

Communiqué

Réunion Millau et Cruiser

Jean-Marie Juanaberia, José Bové, Patrick Herman et Fabrice Nicolino vous invitent à participer à la création du collectif « Stop au de Gaz de schiste en Sud-Averyon » vendredi 4 février 2011, à 18H,…
Pour lire la suite cliquez ici

25 janvier 2011

Abeilles : communiqué de presse

Éditorial de lucienne magalie pons


COMMUNIQUE DE PRESSE – Paris le 24 Janvier 2011

• Victoire de l’Union Nationale de l’Apiculture Française contre l’autorisation du pesticide CRUISER® en Conseil d’Etat.

Le Conseil d’Etat a examiné aujourd’hui, lundi 24 janvier 2011, les trois requêtes de l’Union Nationale de l’Apiculture contre les décisions d’autorisation de mise sur le marché du CRUISER 350 dont les apiculteurs français et européens dénoncent depuis des années les effets dévastateurs sur les abeilles et sur l’ensemble des insectes pollinisateurs. A l’audience du Conseil d’Etat, le Rapporteur Public, monsieur Edouard GEFFRAY vient de demander l’annulation des décisions par lesquelles le ministre de l’Agriculture a autorisé le CRUISER en 2008, 2009 et 2010. Le magistrat a demandé également la condamnation de l’Etat à verser 9.000 € d’indemnités à l’UNAF pour ses frais de procédure.(english Version)

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...