* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Monsieur Henri Proglio n'a pas de souci à se faire sur son pouvoir d'achat Le Gouvernement semble avoir cédé sur ses exigences salariales. D'autre part il semblerait que le torchon brûle entre ce Pdg aux dents longues en matière nucléaire et Anne Lauvergeon du Groupe Areva La polémique sur l'identité nationale occulte des questions de stratégies importantes auxquelles nous devrions attacher de l'importance aussi.
La rémunération d'Henri Proglio fait débat. Le nouveau patron d'EDF et ...Henri Proglio préside ainsi aux destinées de deux groupes comptant au total près ...
Animés d’un antiaméricanisme primaire qu’ils reportent sur le Président OBAMA, certains médias ne cessent d’égratigner et de critiquer avec une perfidie sournoise les Etats-Unis et son Président.
Les électeurs du Massachusetts ont élus ce mardi hier un sénateur républicain Scott Brown qui obtient 51,8 % des voix contre 47,2 % à son adversaire démocrate, Scoot Brown remplacera Ted Kennedy dont le siège était vacant depuis son décès le 25 Août 2009, immédiatement ces médias anti Obama avant même les résultats avaient lamentablement croassé en chœur en prédisant que l’enjeu était immense pour les démocrates , excusez moi du peu, et qu’en cas de défaite en cas de défaite, ils perdraient leur majorité qualifiée au Sénat et que l'avenir des réformes et notamment de la réforme du système de santé américain se trouvait fortement compromises et que le Président Obama pourrait se trouver en baisse après ce très cinglant revers, d’après eux un scénario catastrophique pour lui.
J’ai presque envie de rire de leur « sotteries », mais le sujet est sérieux, les démocrates gardent 59 voix sur 100 au Sénat, bien sur ils perdent une voix décisive, mais peut-on prêter à Scoot Brown et aux républicains de prime abord l’intention de casser la baraque notamment en matière sociale. Quand on sait que 39 000 000 millions d’américains bénéficieront d’une protection sociale pour leur santé avec la réforme du système de santé, quels irresponsables sénateurs républicains prendraient t-ils le risque de perdre pour les prochaines élections 39 000 000 millions de voix en faisant chuter cette réforme ?
Ou bien alors ils sont suicidaires alors que jusqu’à présent nous avons pu constater qu’ils préfèrent jouer sur des compromis, ménageant la chèvre et le chou.
La réforme du système de santé doit prochainement passée dans une commission de conciliation, je dis bien de conciliation et non d’affrontement, dont la volonté et d’harmoniser les deux versions du texte celle de la Chambre des Représentants et celle du Sénat, pour revenir ensuite devant les Sénateurs, les prédictions de nos corbeaux anti Obama comme quoi les Républicains pourraient alors être en mesure de la faire chuter peut effectivement se réaliser, faut-il sournoisement à l’avance s’en réjouir comme ils le font ?
Ensuite et là les médias ne sont pas les seuls, mais encore un de nos secrétaires d’Etat, s’alarment et critiquent l’action de sauvetage conduite majoritairement par les Américains à Haïti dont ils prétendent qu’ils se sont imposés en priorité en écartant les autres pays, ils n’oublient qu’une chose, c’est que c’est l’ONU qui est responsable de l’organisation officielle des opérations de sauvetage et que c’est l’ONU qui a établi la hiérarchie des interventions et des moyens à mettre en place et que c’est encore l’ONU qui a jugé que les Etats-Unis devaient intervenir en priorité avant les autres pays qui ne sont pas écartés, mais simplement appelés à intervenir à leur tour, en fonction de leurs moyens et non pas en fonction de leur désir.
Le Président OBAMA s’est conformé aux décisions de l’ONU pour intervenir, il est très discipliné et mesuré en matière d’interventions internationales que ce soit à l’occasion d’interventions diplomatiques dans le monde, que dans le cas présent en matière de catastrophe dramatique d’une ampleur exceptionnelle.
On ne peut pas en dire autant des petits « zorros » qui veulent toujours se placer en avant sur la scène internationale, et qui se précipitent et s’agitent médiatiquement avec frénésie sur tous les évènements internationaux en promettant de régler la question dans l’urgence, sans en avoir les moyens suffisants, en se mettant en travers de l’ordre des hiérarchies et décisions officielles qui ne leur appartiennent pas de dicter, mais qu’il leur appartient de respecter.
Résultat les faits internationaux les rappellent à l’ordre des réalités et pour se venger de la déconfiture de leurs trop ambitieuses prétentions, les petits Zorros et leurs complices politiques et médiatiques tapent sur le dos des américains pour les accuser de mille maux et de mauvaises intentions!
Certes il est salutaire d’analyser la politique conduite par le Président des Etats-Unis, qu’on le veuille ou non l’influence de la politique américaine s’étend bien au-delà de leur frontière, mais quand à le faire il faut le faire avec des arguments sérieux et non en croassant en chœur d’une façon tout à fait primaire.
Les médias s’intéressent naturellement à la grande tournée de présentation des vœux du Président la République en Outre mer, certains mettent l’accent sur ses intentions politiques, d’autres sur sa promotion de la campagne des régionales en faveur des candidats UMP.
D'une pierre deux coups aux frais de l'Etat ? , ah ! feu Monsieur Séguin au secours vous ètes parti trop vite en tournée cosmique, revenez nous à la Cour des comptes au moins en esprit , je vous prie !
A vous de juger en retrouvant l’information à la source telle que sortie de l’encrier des médias :
Edition France Soir du mercredi 20 janvier 2010 page 5 : Un président en campagne Dans une île où il a réalisé son plus mauvais score à la présidentielle de 2007 (36,3 %), Nicolas Sarkozy a profité de son séjour à La Réunion pour préparer les régionales, au menu d’un petit-déjeuner avec le secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, et les responsables locaux du parti. Le chef de l’Etat aura d’ailleurs consacré l’essentiel de sa visite à deux communes dirigées par des maires UMP, Saint-Pierre et Le Tampon. Un petit coup de pouce pour les élections ? « C’est surtout un coup de main pour La Réunion », assure la tête de liste UMP Didier Robert, qui rêve de battre le président communiste du conseil régional, Paul Verges, 84 ans. Nicolas Sarkozy « est en campagne », tranche l’homme fort de l’île, pas impressionné. Edition France Soir du mercredi 20 janvier 2010 page 5
AP | 19.01.2010 | 12:24 Nicolas Sarkozy a annoncé mardi que La Réunion serait "la première utilisatrice de masse (des) véhicules électriques" produits par ...
La généralisation du port du chapeau en chine est un signe de son évolution démocratique
Source : l’une de mes correspondantes chinoises, ancienne étudiante à Paris dans les années 95/ 98 , m’a fait connaître l’essentiel de l’histoire du chapeau chinois , entre femme nous nous intéressons au chapeau,à ses origines et à sa mode. Futilité ?... que nenni, échanges culturels tout simplement.
L'histoire du chapeau en Chine estancienne, datant de la période des Printemps et des Automnes (-722 à -453), période à laquelle on avait déjà commencé à porter des chapeaux. En cuir. A cette époque,le système féodal fonctionnait de façon hiérarchique, etles chinois portaientdifférents types de chapeau comme les "Bian", "Guan", "Mian"de formes différentes pour les faire correspondre à leur statut social.
Plus tard dans la dynastie Jin (265 à 420), les loiss’assouplissent et chaque personne pouvait porter des chapeaux, à partir de la période Trois Royaumes (220 à 265),ceux qui ne travaillaient pas pour le gouvernement pouvaient aussi porter un chapeau. Les officiels les plus importantsétait toujours coiffés etportait aussiun chapeau noir à la maison et dans les occasions formelles.
Toutefoisles chinois de la majorité Hanontà une certaine période interdit le port du chapeau aux minorités ethniques. Durant cette période, certains ont même perdu leur emploi ou leur poste à la cour pour avoir porté un chapeau. Ainsi, sous les Wei du Nord, l'empereur Xiaowen,avait remarqué une jeune fille qui portait un chapeau et réprimanda sévèrement le gouverneur de cette villeen considérant qu'il n'en prenait pas soin et le limogea, ainsi que tous ses officiels. Cet limogeage est relaté , dans "L'histoire des Wei du Nord"dans cette période de la majorité Han,le port d'un chapeau avait une implication politique importante sous la domination des Wei du Nord.
Dans le sud de la Chine, il était alors tout à fait normal pour les paysans et les citadins de porter des chapeaux et aussi la plupart des fonctionnaires portaient un chapeau comme une partie de leur tenue. Cette banalisation du port du chapeau dans le sud du pays était en fait une provocation contre la politique des Wei du nord.
Le port du chapeaus’est développé, après la dynastie des Wei du Nord (à partir de 581), et pour l’élite les chapeauxsontdevenus à la mode. Et ensuiteSous les Sui et Tang (581 à 690), le chapeau s’est généralisé pour devenirle point commun de la tenue vestimentaire de toutes les ethnies confondues.
Les anciens chinois qui portaient des chapeaux étaient tout comme aujourd'hui, des gens qui se plaisaient à suivre la mode. Au cours de la dynastie ultérieure des Zhou (690 à 907), l’impératrice Xin dugu, portait avec une pointe de coquetterie son chapeau légèrement incliné quand elle partait en chasse. De nombreux chinois ont alors copié son style et à porter le chapeau incliné, ce qui devint une mode. Par la suite l’EmpereurYang Jian, utilisa un chapeau pour masquer une plaie sur un renflement de son cou et le portdu chapeau dans le cou devint également une mode.
Par la suite, les chapeaux ont évolués et la création de nombreux types de chapeaux s’est distingue parla qualité et les matériaux utilisés ainsi que la forme et ils ont été été classés selonleurs utilisations, telles que la protection contre le vent, contre le soleil, contre le froid, pour décorer, pour séduire etc…
Les esthètes chinois s’accordent à reconnaître que le de chapeau le plus célèbre est resté le chapeau "Wu Sha".
Au cours des dynasties Sui-Tang, le "Wu Sha" est devenu le chapeau commun porté devant les tribunaux. Au cours de la période Song, le chapeau "Wu Sha" se voit descendre jusqu'aux oreilles afin d'empêcher les fonctionnaires de se livrer à des entretiens secrets. Sous la dynastie Ming, le "Wu Sha" devient le chapeau officiel des fonctionnaires. C'est sous la dynastie Qing (dès 1644), que le "Wu Sha" fut supprimé.
Le chapeau chinois le plus connu à l'étranger est le fameux chapeau pointu en paille porté par les paysans encore de nos jours pour se protéger du soleil et de la pluie
Ma conclusion : Chine, chine, chine, vivela chine et son chapeau chinois !
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Pour moi quand j’étais enfant en Algérie pour me protéger du soleil, comme » tous les garçons et filles de mon âge », sans distinction ethnique, je portait souvent un chapeau « kabyle »à large bords en paille tressé, la protection de ce chapeau était tout à fait efficace et m’a évité des coups de soleil ou de lumière que « ma peau rose et blanche de porcelaine et mes yeux bleus » n’auraient pas supporté sans dommage, si Monsieur Eric Besson par hasard tombe sur mon article il est prié de ne pas m’accuser de racisme à cause de » ma peau blanche de porcelaine teintée de rose et de mes yeux bleus », je suis française c’est vrai mais la grande majorité des Kabyles de la « Haute Kabylie », (montagne du Djurdjura, 26O6 mètres d’altitude, et sa région) était de peau blanche et rose etblonds ou châtains clairau yeux bleus.
J’essaierai un autre jour, selon mon humeur culturelle, de vous parler du chapeau Kabyle, j’attends des nouvelles d’une de mes correspondantes Kabyles, ancienne étudiante à Paris, pour en savoir davantage.
Dominique de Villepin a effectué mardi un déplacement à Bondy, en banlieue parisienne, dans une perspective "non pas politicienne mais républicaine": il y a développé une ébauche de programme et de politique "alternative", tout en critiquant le débat sur l'identité nationale et se projetant bien au-delà du jugement Clearstream attendu le 28 janvier.
"C'est un plaisir d'être là parce que la République est partout. Je ne suis pas ici dans une perspective politicienne mais républicaine", a-t-il déclaré aux nombreux journalistes qui l'attendaient à son arrivée. "La politique, c'est la politique et rien n'interfère avec cela", a-t-il répondu à un journaliste qui l'interrogeait sur son état d'esprit avant le 28 janvier.
A ses côtés, le député UMP Georges Tron a souligné que M. de Villepin était "parfaitement déterminé à s'organiser politiquement et à le faire dans le cadre des prochaines échéances, 2012 bien évidemment". "Je pense que sa motivation et sa détermination ne sont sorties que renforcées des mois difficiles qu'il a vécus dernièrement", a ajouté M. Tron.
Dérapages, lapsus linguae, lapsus calami, polémiques …ce débat est devenu une lamentable mascarade politiqueconduite par un etdes incompétents délégués à cet effet par l'exécutif qui se mêle de parler de religions et de stigmatiserles origines en public, un abus de pouvoir caractérisé qu'il n'est plus tolérable de voir conduire de cette façon, pour qui se respecte et respecte les valeurs de la France.
Il y a des polémiques qui naissent presque tous les jours pour protester contreleslapsus linguae etles lapsus calami, qui révèlent à l’insu de leurs auteurs l’émergence de pensées inconscientes mais bien réelles dans l’esprit de l’individu et qui les conduisent « à déraper ».
Malheureusement ça ne s’arrange pas ! Depuis que Monsieur Bessona lancé son débat sur l’Identité Nationale Française et s’obstine à vouloir le conduire en multipliant ses apparitions et ses interventions, çadérape « grave »et la question s’aggravede jour en jour et de plus en plus.
Lors d'une réunionqui rassemblaitdes militantset sympathisantsUMP, vendredi au stade Vélodrome, le maire de Marseille avait expliqué "que 15.000 à 20.000 musulmans avaient déferlé sur le Vieux-Port pour fêter la victoire de l'Algérie."
La polémique a rebondi peu après, lors du débat organisé par la préfecture des Bouches-du-Rhône,en présence de Monsieur Gaudin,de Monsieur Eric Besson et de quelques 200 personnes invitées (carton d’invitation), à l’effet de gloser sur l’obsession gouvernementale deMonsieur Eric Besson « L’identité Nationale Française » sur laquelle il se focalise avec une obstination pathologique.
Immédiatement, quelques sympathisants UMP se sontlevés pour quitter les lieux.
Les propos du maire UMP de Marseille, prononcés au cours de ce débat et visant les musulmans, ont provoqué une vive émotion et suscité samedi une vive réaction du Parti socialiste.
De nombreuses réactions très critiques se sont tout de suite manifestées dans l’opposition,notamment celle d'Harlem Désir pour le Parti socialiste.
A Marseille, MadameSamia Ghali, sénateur maire de secteur (15e et 16e arrondissements) a soulignéun "amalgame détestable" : elle écrit dans un communiquétrès tranché : "Ces jeunes sont nés pour la plupart à Marseille et il faut arrêter de laisser croire qu’ils ne se sentent pas français"
Ndlr : en ce sens Mania Samia Ghali n’est pas nuancée, c’est vrai qu’ils sont Français personne ne le conteste , maiselle doit savoir aussi qu’une minorité « agissante »à chaque occasiond’un évènement sportif ou autres se plait à siffler la Marseillaise età brandir des drapeaux étrangers Algériens,et l’on peut dire aussi à contrarioqu’il faut arrêter de laisser croire que ces jeunes dont elle parlese sentent à 100 % français, ce qu’on ne peut pasleur reprocher dans l’absolu de leur conscience , mais cet attachement à leurs originesqui est tout naturel et humain,ne les autorisentà se comporteravec une forme d’activisme qui se traduit par uneagressivité intolérable sur notre territoire.
Patrick Mennucci, maire PS de secteur (1er et 7e arrondissements) Monsieur Patrick Mennucci aestiméque "ce dérapage verbal est la conséquence même du débat nauséabond que nous a imposé Eric Besson".
Ndlr : débat « nauséabond » imposé : c’est bien le motil fallait oserle dire et il a osé, et on peut penser qu’un tel débat conduit en dehors de l’exécutif, dans un cadre essentiellement culturelaurait pu se dérouler sans dérapages.
Monsieur Gaudin Sénateur-Maire UMP de Marseille, dont on connaît la truculence verbale, a tenté de s’en expliquer :
"J'ai eu un mot malheureux, j'ai fait un lapsus, j'ai dit "musulman" parce que j'allais vite dans un débat» et lors de ses vœux à la presse, Jean-Claude Gaudin a reconnu avoir été "maladroit" : "Ca peut m'arriver, d'ordinaire, ça ne m'arrive pas" ………… "Pour ceux qui voudraient me ramener au racisme, a-t-il ajouté, il existe plusieurs communautés à Marseille, je ne crois pas qu'elles aient à se plaindre de Gaudin".
Bien entendu la polémique a été reprises par les médias presse et radiosnotamment.
Eh bien,Monsieur Gaudin, puisquec’est de lui qu’il s’agit, n’est pas le seul à commettre des lapsus lingua, je ne citerai que pour exemple quecelui qui a été commis par un animateur de l’Emission les Grandes Gueules de RMC, qu’il m’arrive quelquefois d’écouter, émission qui vaut son pesant d’or en débit d’incongruité pour ne pas dire plustant de la part de certains auditeurs qui interviennent que de certainsanimateurs de l’émission.
Au cours de leurémission consacré à l’identité nationale et aux propos de Monsieur Gaudin , émission pratiquementinaudible puisque les animateurs en principe parlent tous en même temps en poussant chacun leur gueulante pour couvrir celle de l’autre, jen’ai pas pu relever le nom de l’un des « grandes gueules » qui posait la question au sujet des drapeaux algériens exhibés à Marseille avec une fausse naïveté drapé d’indignation:
«Alors faut-il interdire les drapeaux des régions»?
Il s’agit d’une confusion regrettable, l’Algérie n’est pas tant sans faut une région Française.
Dans un premier temps j’ai envoyé un message à cet animateur pour lui apprendre s’il en était besoin,que l’Algérie n’est pas une région Française, l’Algérie est un Etat Etranger depuis le 5 juillet 1962.
Dans mon message je suggérai aussi aux animateurs de l’émission« grandes gueules » qu’ils aillentexpérimenter sur des terrains extérieurs les thèses qu’ils défendent et par exemple,si un jour une équipe de France battait une équipe d’Algérie sur le territoire algérien àAlgerpar exemple , d’aller se manifester en tête de cortège avec tous les supporters de l’équipe de France à leur suite en portant tous un drapeau Français et en chantantla Marseillaise et pourquoi pas en conspuant l’hymne national Algérien , vous n’auriez pas fait cent mètres que vous seriez au mieux arrêtés par les forces de l’ordre et agressés violemmentsur place par la population.
Dans mon message je leur faisais remarquer aussi qu’ils parlaient bien souventde questions de société qu’ils ne maîtrisent pas (volontairement ou non)pas au sens historique du terme,et qu’ils disentn’importe quoi, comme Monsieur Gaudin à Marseille qui a eu le tort , au cours de la Réunionqu’il a tenu avec Eric Besson sur l’Identité Nationale Française,de parler de«Musulmans » au lieu de parler de « Français d’origine algérienne »,.
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Pour en revenir à ma réflexion ces dérapagesnotent bien qu’en matière d’Identité Nationale Français , il y a bien une confusion pour les initiateurspolitiques et conducteurs du débat,stigmatiserpar l’identification religieuse et dire« musulman » au lieu de « «français d’origine algérienne »c’est tout à fait significatif du dérapage de ce débat dans lequel Monsieur Besson patauge et fait patauger ses intervenantscomplices lamentablement. !
……….
Mais pour en revenir à Monsieur Eric Besson quialors qu’il est Ministre en exercice, adans uneintervention récente déniénotre peuple etnotre territoire en disant : « ……….La France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire mais un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble", que faut-il en penser ?
Ainsi pour lui la France n’est qu’un « conglomérat »et je lui renvoie le compliment :soit Eric Besson est le Ministre d'un conglomératissu de ses fantasmes personnel,à ce moment là il n'est rien et se trouve dans le déni de ses fonctions,soit reconnait il la France comme un Etat et alors il est vraiment Ministre et tenu au devoir de réserve et garde ses fantasmespour ses jouissances intellectuelles privées. A lui de choisir.
De la part d’un Ministre cette affirmation est affligeante et reflète l’inculture historique de son auteur,c’est aussi un déni de la Souveraineté de l’Etat Français, de son peuple et de son territoire, et pourtant c’est ce Ministre en exercice qui prétend conduire le débat surl'Identité Nationale Française !
Je n’épiloguerait pas plus longuement sur la constitutionet la souveraineté de l’Etat Français que vous devez connaître tout autant que moi , mais que ce Ministre parait ignorerdans ses proposà l’emporte pièce et ses propositions obsessionnelles et pathologiques (un serment d’allégeance à la République … une charte des droits et des devoirs …) et puis quoi encore ?que va-t-il encore inventer pour s’empêtrer davantage et nous conduire à la division ? ça pourrait même aller jusqu'à des épisodes dramatiques.
Par lucienne magalie pons Avant même sa naissance M'amzelle "CLIO4" donnent du fil à retordre à ses parents. Son lieu de naissance sera délocalisé entre Flins et la Turquie, mais on ne sait pas pour quel volume d'unités sera produit d'un côté et de l'autre, c'est un peu la méthode des mères porteuses, un exercice périlleux qui risque de nuire à son unité de marque de fabrique originelle, les unes seront nées en Turquie, les autres à Flins en France, seront-elles made in france ou made in Turquie , les unes seront-elles considéréees comme des Renault- Françaises, les autres comme des Renault-Turques nationalisées Françaises ? Trève de plaisanteries, il faudrait demander à Monsieur Besson de se pencher sur la question pour qu'il définissent leur origine, mais respectons ses attributions, il n'est pas responsable des produits de délocalisations mais seulement de l'immigration et des expulsions "productrices" et sur ce point il est impayable.
Bon revenons au sérieux de la question :
Mam'zelle Clio IV Renault, sera produite en partie à Flins et pour une autre partie en Turquie, mais aucune indication ne nous a été donnée sur le volume d'unités qui sera produit à Flins ou délocalisé en Turquie.
Il faut dire que l'affaire est compliqué, puisqu'elle est soumises aux décisions de management de Renault, aux voeux sociaux de l'Etat Francais et surtout aux prescriptions de la Commission Européenne de la Concurrence.
3 féees importantes se penchent donc sur le berceau de M'amzelle Clio IV et chacune à son mot à dire, mais il est évident que leur intérêt n'est pas le même parfois, surtout à l'approche des Elections Régionale en France où le pouvoir s'efforce à ne pas laisser s'élever des revendications et des polémiques contre des projets de délocalisations qui risquent d'enflammer la baraque électorale.
Décidé à trancher la question, le Président Nicolas Sarkozy a reçu, samedi 16 janvier, le PDG de Renault, le célèbre manager Carlos Ghosn, pour tenter de le dissuader de délocaliser en Turquie toute la production de la prochaine génération de la Clio, pré baptisée Clio IV ( si l'on m'avait demandé mon avis j'aurai proposé M'amzelle Clio IV, mais mon avis n'est jamais sollicité, et au fond ça vaut peut-être mieux je risquerai de troubler le futur Nouvel Ordre Mondial par des remakes du passé et je n'ai rien d'un dinosaure)
Revenons donc une deuxième fois, bis répétita, aux choses sérieuses, je ne suis pas sur le blog pour plaisanter.
Sitôt faite l’annonce dans la presse du projet de Renault de délocaliser en Turquie la production de la Clio IV, le Président de la République avait manifesté son très vif mécontentement suivi par les ministres, les politiques et les syndicats qui s’étaient emparés du sujet comme un seul homme, comme quoi on peut remarquer au passage, que quand des questions sociales viennent se greffer sur les questions industrielles , le triumvirat gouvernement-politiques-syndicats dans un sursaut national peut foncer au quart de tour dans la même direction, avec ou sans Clio.
L’Etat français est le premier actionnaire de Renault avec 15,01% du capital.
Comme prévu, le chef de l’Etat Nicolas Sarkozy a reçu le 16 janvier, le P-DG de Renault Carlos Ghosn pour tenter de le dissuader de délocaliser en Turquie toute la production de la prochaine génération de la Clio.
Monsieur Nicolas Sarkozy, notre Président de la République s’était élevé contre l’annonce faite par Renault, en début Janvier 2010, de délocaliser en Turquie la production de la Clio 4, et nous avions compris qu’il entendait maintenir cette production en France
Monsieur Estrosi Ministre de l’Industrie l’avait soutenu très fermement dans cette position, de même que quelques cadres UMP, et les syndicats.
Monsieur Sarkozy avait pris presque simultanément à l’annonce de Renault, la décision de convoquer le Président de Renault Carlos Ghosn, PDG de Renault, pour qu’il s’explique et revienne sur ce projet de délocalisation de production en Turquie, et ils se sont donc rencontré à l’Elysée le Samedi 16 Janvier pour trouver un terrain d’entente.
Finalement suite à leur entretien on ne peut pas dire que le Président de la République ait emporté la décision à 100%, ou même réussi à convaincre le redoutable Carlos Ghosn, puisque selon l'information annoncée par l'Elysée, « la Clio sera produite à Flins, dans les Yvelines, et à Bursa, en Turquie. »
Aucune indication n’est donnée sur le nombre d’unités qui seront produites à Flins et sur celles qui seront produites à Bursa en Turquie.
Du côté de Renault aussi l’information confirmée est incomplète, et ne nous donne pas d’indication sur le taux de production qui sera maintenu à Flins. La déclaration de Carlos Ghosn est un peu plus explicite que l’information de l’Elysée, mais elle ne donne pas de précision non plus quand au taux de production qui sera délocalisé en Turquie :
"J'ai confirmé au Président de la République que nous produirons la Clio 4 à Flins, dans un cadre général de 'double sourcing' (deuxième localisation) avec Bursa, en Turquie", a-t-il déclaré. "Le site de Flins est pérenne et l'emploi y sera maintenu à terme", a-t-il ajouté.
Carlos Ghosn n'a pas précisé la répartition de la production. De la Clio IV entre Flins et la Turquie.
Espérons que pour la production de ‘’Mam’zelle’’ Clio IV, faute d’avoir obtenu un succès à 100 % pour la France, la poire sera équitablement au moins coupée en deux entre Flins et la Turquie.
L'actuelle Clio 3, troisième voiture la plus vendue en France l'an dernier, est produite sur trois sites: Flins (38% des 330.350 voitures produites en 2009), Bursa en Turquie (54%), et Valladolid, en Espagne (8%).
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Pour plus d’informations retour sur le dossier :
C’est tout à fait légitimement dans le cadre de son mécontentement et dans celui de ses fonctions Présidentielles que notre Président de la République avait demandé, pour ne pas dire convoqué impérativement, Monsieur Carlos Ghosn de venir s’expliquer à l’Elysée le Samedi après midi du 16 janvier à l’Elysée.
Mercredi déjà, le président de la République avait déclaré, lors des vœux aux parlementaires, que l'Etat n'avait pas soutenu le secteur automobile "pour que la totalité des usines s'en aillent à l'extérieur".
Un peu plus tôt le Directeur Général de Renault Monsieur Patrick Pélata, reçu par le Ministre de l’Industrie Monsieur Christian Estrosi à « Bercy » ,avait promis qu'il y aurait toujours des Clio produites à Flins, "quel que soit le scénario", et avançant qu'il prévoyait d'arrêter la production de la Clio II en Espagne et en Slovénie **
(Par ailleurs nous savions que le site de Flins doit être dédié à la fabrication de la berline électrique Zoe, qui commencera en septembre 2011. Carlos Ghosn, lui-même, avait déclaré début novembre, lors du lancement du projet de véhicule électrique, que l'assemblage des Clio y serait maintenu "jusqu'au moment où la voiture électrique et les batteries prendraient complètement le relais)
** Jeudi ‘’ Revos’’ la filiale slovène de Renault, qui a déjà produit 30 000 CLIO II l’année précédente, a fait savoir qu’elle s’opposait à tout arrêt de la production de la Clio II avant 2013 sur son site de Novo Mesto. Revos assure aussi la production de la petite urbaine de Renault la « Twingo »
Vendredi, le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, a confirmé lors de ses vœux à la presse que les choix industriels de Renault concernant la production de la Clio IV seraient faits samedi à l'Elysée, et ne dépendaient pas du poids de l'Etat dans le capital du groupe."La réalité, c'est que ce n'est ni l'augmentation du capital, ni le nombre d'administrateurs qui détermine les choix stratégiques et industriels que le gouvernement et le président de la République veulent obtenir de la part de Renault" …………. "Que nous ayons 15% du capital, que nous en ayons 20%, qu'on ait un administrateur autour de la table ou qu'on en ait six, vous pensez que c'est là que ça se décide, ou vous pensez que c'est dans la maison [Bercy, ] et à l'Elysée?"avait-il expliqué.
Pour en revenir aux mises en garde de l’Europe, dans la matinée, Christian Estrosi sur Europe 1, avait donné réponse aux critiques de la commissaire européenne à la Concurrence Neelie Kroes sur l'implication de Paris dans le dossier -en février 2009, au moment de la conclusion du pacte automobile, Paris s'était en effet engagé à n'imposer "aucune condition sur la localisation des usines".
Pour Christian Estrosi, l "L'Etat français est actionnaire à 15% de l'entreprise Renault et l'Etat français est fondé à demander à Renault de partager une stratégie industrielle avec l'Etat", a-t-il argumenté.
La question générale des délocalisations à l’étranger est un sujet épineux, puisque les conditions de délocalisation de production et d’usines sont conditionnées par les engagements que les Etats membres de l’UE prennent à Bruxelles, qui ensuite dans la pratique ne s’avèrent pas toujours favorables à leurs intérêts nationaux.
A la suite, le porte-parole de la Commission pour les questions de concurrence, Jonathan Todd, a confirmé l'envoi vendredi d'un courrier aux autorités françaises.
A la veille du rendez-vous du 16 janvier entre Monsieur Nicolas Sarkozy et le Président de Renault, notre gouvernement et la Commission européenne de la Concurrence campaient sur leur attitude et maintenaient leur position respective sur le dossier de la production de la Clio IV.
Jean-Claude Mailly, secrétaire Général de FO, vendredi sur LCI a soutenu Christian Estrosi et a appuyé les déclarations" du ministre de l'Industrie, en déclarant que l' "on ne peut pas accepter qu'une entreprise, qui plus est avec des capitaux d'Etat, délocalise ses productions".
Cliquez à volonté les articles ci-dessous vont au-delà de mon article que j'ai concentré à l'extrême :
Renault a lâché du lest face au gouvernement. Mais il estime que, pour être compétitives, ses petites voitures doivent être produites dans des pays à bas coûts de main-d’œuvre. La future Clio (la IV) construite en Turquie ? ...