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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Une motion peut être déposée soit pour censurer la politique d'un gouvernement (art 49-2), soit en réaction à l'engagement de la responsabilité du gouvernement sur un texte (art 49-3).
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Laurent Fabius défendra Mercredi 8 Juillet la motion de censure déposée officiellement Lundi par les députés PS contre la politique du gouvernement. Ils ont pris cette décision faute d’avoir obtenu que le Premier Ministre François Fillon engage sa responsabilité devant l’Assemblée Nationale après le discours du Président de la République devant le Parlementréuni le 22 juin en Congrès à Versailles.
Par cette motion de censure, les socialistes entendent dénoncer "la dérive institutionnelle" qui permet la concentration des pouvoirs dans les mains d’un seul, la politique sociale, la situation économique et le refus d'envisager une autre politique.
.Les députés PS dénoncent "l'abîme qui sépare le discours présidentiel sur la chance du modèle social français et la réalité d'une politique qui le défait".
Les socialistes estiment que du paquet fiscal aux franchises médicales, de la paupérisation des services publics aux plans sociaux à répétition dans l'éducation nationale, de l'assimilation de la solidarité nationale à de l'assistanat, toutes les fondations du modèle économique et social français ont été minées".
Tout en notant que la crise n’y a rien changé, les socialistes insistent en affirmant que le programme présidentiel des trois années à venir continue de dépouiller l'Etat et les protections sociales ; ils dénoncent aussi "la destruction du droit séculaire au repos dominical" et la possibilité de travailler jusqu'à 70 ans.
Pour l’opposition, "jamais depuis plus de 60 ans, la situation économique de la France n'avait été aussi détériorée. Tous les indices sont dans le rouge : la croissance, les déficits, le chômage, l'endettement, le commerce extérieur "
Soulignant l'emprunt Sarkozy qu’ils qualifient d’une "aumône" demandée aux Français, les socialistes estiment "qu'une autre politique est possible" mais qu'elle "a été ignorée par le gouvernement".
L’UMP étant largement majoritaire à l’Assemblée Nationale cette motion de censure n’a aucune chance d’êtreadoptée et de renverser le gouvernement, mais elle permettra aux députés de l’opposition de faire entendre leur voix et leur désapprobation.
C’est Monsieur Laurent Fabius, ancien premier ministre de François Mitterrand et ancien président de l’Assemblée Nationale qui défendra devant l’Assemblée cette motion de censure déposée en vertu de l’article 49-2 de la constitution et sa voix ne manquera pas de susciter une écoute attentive, Monsieur Laurent Fabius est en effet un rigoureux et précis orateur qui sait par la qualité de ses interventions imposer l’écoute et le respect.
AP | 30.06.2009 | 13:38 La majorité des députés socialistes se sont prononcés en faveur du dépôt d'une motion de censure contre le gouvernement de François ...
L'ouverture se poursuit et ce nouvel emprunt à la gauche est annoncé à la veille d'une motion de censure socialiste contre les choix économiques de la ...
(Libération.fr) MOTION DE CENSURE. Déposée officiellement lundi par les députés PS, la motion de censure sera défendue mercredi par Laurent Fabius. ...
... s'engage» que de déposer une motion de censure, a déclaré ce mercredi, le député socialiste de Seine-Maritime, Laurent Fabius. La motion de censure, ...
Laurent Fabius a laissé entendre, sur Radio J, que le PS pourrait déposer une motion ce censure «si la majorité n'organise pas elle-même un débat» pour ...
Pour souligner cette «parodie» de débat à Versailles, l'idée de le reporter le même jour à l'Assemblée, en déposant une motion de censure, a été évoquée ...
Il y a quelques mois il avait "la banane" et s'agitait en tous azimuts, notre Chouchou national vient de nous faire savoir qu"avec l'âge il a changé. Tiens donc ! La fausse bonne nouvelle !
Nicolas Sarkozy il y a quelques jours,reconnaissait dans un « entretien privé » accordé sous forme d’interview au Nouvel Observateur avoir « commis des erreurs » de comportement durant les premières années de son mandat et qu'il fallait « un temps », « pour se hisser à la hauteur » d'une charge « proprement inhumaine ».
Ainsi pour lui il juge cette charge inhumaine sans se rendre compte un seul instant que c’est lui et lui seul qui la juge ainsi.
Monsieur Nicolas Sarkozy qui se lève tous les jours certainement avec l’idée de faire entrer la France et le Monde entierdansLe Nouvel Ordre Mondial du 21me siècle, a le tort de s’agiter en tout sens de vouloir tout contrôler et régenter en France, en Europe, partout dans le Monde,à s’exprimer en gesticulantsur toutes les scènes nationales et mondiales, ce qui donne l’impression sur le moment qu’il se prend pour le messie salvateur d’une économie ultra libérale en déroute.
Pour sonaffichage « bling-bling », la soirée au Fouquet’s, ses amitiés avec le grand patronat, Nicolas Sarkozy l’explique en affirmant qu’il s’agissait d’ « une époque de sa vie personnelle qui n'était pas facile » et où il avait à « se battre sur plusieurs fronts »
On eut s’interroger s’il n’y avait pas une attitude plus digneà prendre pour régler ses affaires personnelles sans heurter l’opinion publique, quant à se battre sur plusieurs fronts au lieu de courcicuiter son premier ministre et les ministres il aurait mieux fait de se tenir à sa place.
Pour le reste après avoir ainsi lui-même gommé ses excès d’images personnelles et leurs surexpositions médiatiques, dont il a conscience qu’ils n’ont pas plu à l’opinion publique il reste pour la politique qu’il conduit dans la même ligne de réformes dont il dit qu’elles continueront.
On peut penser qu’il a toujours le même état d’esprit « travailler plus pour gagner plus » puisqu’il confirme vouloir prendre ses responsabilités sur les retraites en expliquant : « Les gens ne sont pas sots. Ils ont compris que vivre plus vieux imposera de travailler plus longtemps ». « La question de la durée de cotisations est clairement posée partout dans le monde ; elle ne peut pas ne pas l'être en France », ajoute-t-il
Oui, Monsieur le Président, les gens ne sont pas sots et contrairement à ce que vousaffirmezils comprennent tout au contraire qu’au lieu de rechercher des solutions financières nouvelles pour alimenter les Caisses de retraites vous vous repliez sous des solutions de facilité pour faire passer votre casse sociale.
Si l’image du Président se veut conforme à une apparence plus classique et adapté à ses fonctions, ses intentions politiques restent les mêmes, il ne suffit pas de déclarer: « Je suis de droite. Mais je ne suis pas réductible à un camp. Je ne suis pas réductible à la droite » il faut le prouver ! Ce n’est pas la composition d’ungouvernement avec une ouverture factice vers des personnages qui se sont prétendus de gauche ou de droite centriste et qui par un retour de veste soutiennent maintenant votre politique avec une servilité condamnable qui nous aveuglera longtemps sur vos véritables intentions d’un ultra libéralisme renforcé.
En conclusion tout patine, il ne suffit pas de montrer une apparence physique nouvelle dans ce qui reste une nouvelle opération de communication dénoncée comme telle par l’opposition pour nous persuader que vous avez changé : l’habit ne fait pas le moine.
Nicolas Sarkozy (c) Reuters D eux ans après son élection, Nicolas Sarkozy affronte dans un environnement...
tempsreel.nouvelobs.com/...OBS2703/nicolas_sarkozy__jai_commis_des_erreurs.html - Pages similaires
L'interview de Nicolas Sarkozy passe mal dans la rédaction du "Nouvel Observateur". LEMONDE.FR | 02.07.09 | 19h14 • Mis à jour le 02.07.09 | 20h11 ... www.lemonde.fr/.../l-interview-de-nicolas-sarkozy-passe-mal-dans-la-redaction-du-nouvel-observateur_1214584_3236.html - Pages similaires Autres résultats, domaine www.lemonde.fr »
17 mai 2007 ... Deux mariages, quatre témoins. L\'évolution du rapport de Nicolas Sarkozy à l\'argent est inscrite dans son histoire conjugale.
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3 juil 2009 ... Interview de Sarkozy: Bartolone «a mal à son nouvel Obs» ... Remous au «Nouvel Obs» après l'interview de Sarkozy... www.liberation.fr/.../0101577743-sarkozy-dans-l-obs-la-societe-des-redacteurs-marque-son-desaccord - En cache - Pages similaires
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Avec une exaltation morbide tous les médias se sont saisis depuis plusieurs jours de la mort de Mikael Jackson pour en faire une évènement international.
Que des milliers de fans désespérés et dans la douleur de sa disparition s'emparent de son image et sa mémoire et organisent des cérémonies et des galas pour déplorer sa mort je le comprends. Pour ceux qui apprécient la pop musique et le style de danse initié par le chanteur et qui avaient fait de Mikael Jackson leur modèle et leur idole, c'est tout à fait justifié de le pleurer comme un dieu. Que des artistes s'emparent de sa mémoire, se contorsionnent de douleurs et se lamentent en public de la mort de Mikael , comme pour en faire rejaillir une lueur de sa gloire sur leur propre personne, je le comprends aussi tout en ne les approuvant pas, quand on perd un ami on se doit de le pleurer dans l'intimité et non sous le feu des sunlights, mais bon tout le monde sait que les artistes sont des exhibitionnistes et nous pouvons leur pardonner ce péché.
Mais de la part de médias sérieux dont on attend qu'ils nous commentent sérieusement les actualités , évènements politiques, économiques, sociaux et financiers de la France de l'Europe et du Monde, ,faire plusieurs jours de suite leur Une en publiant des photos de Mikael en passant par toutes ses métamorphoses physiques, le qualifier de géant, de génie du siècle de la musique selon eux, et écrire des colonnes et des colonnes pour nommer Mikael Jackson empereur ou prince de la musique, le créditer d'un immense , d'un colossal talent, le faire accéder au rang de mythe international pour ne pas dire de Dieu du siècle de la musique, , tout en commentant de long et en large indiscrètement les excentricités de sa vie et les circonstances navrantes de sa mort est proprement scandaleux à double titre : premièrement parce qu' une personne décédée, quelle que soit sa notoriété, mérite que l'on s'incline devant sa mort avec discrétion et respect et secondement parce que rappeler ses travers physiques et psychologiques à l'occasion de sa disparition n'ajoute rien à la personnalité du défunt.
Nous savons tous la fragilité de Mikael Jackson soumis depuis son enfance à la pression du marketing impitoyable de ses producteurs, nous savons tous qu'ils l'ont incité tout au long de son parcours à se transformer pour devenir une sorte de chimère humaine hybride à des fins de rentabilité commerciales , qui l'ont poussé à éclaircir chimiquement sa peau, qui l'ont encouragé à faire modifier son physique au moyen de dizaines d'opérations esthétiques dangereuses , en le confondant avec un produit malléable à merci et commercialisable, le tout pour le produire sur tous les marchés de consommateurs de musique pop à conquérir , blancs, noirs, métis, afin que chacun revendiquent la gloire de ce chanteur dans son camp et achètent ses disques.
Mikael Jackson a été leur victime consentante, il l'a payé très cher par une désentification qui lui a procuré des troubles psychologiques importants et une instabilité affective durant toute sa vie, et sa mort, qui pour lui a été comme toutes les morts certainement une longue lutte douloureuse faites de souffrances physiques et morales, est venue achever prématurément cette vie qui somme toute n'a pas été heureuse.
Les médias quotidiens incorrigibles, plusieurs jours après sa mort continuent à nous parler des dissensions familiales des Jackson, du sort des enfants, de leur garde, des milliards de dollars en jeu dans son héritage , de surdose médicamenteuse, ont parle de morphine, d'autopsie etc.... et les journaux et télévisions sont en passe d'en faire un feuilleton quotidien à prolongement scandaleux faussement assaisonné de compassion.
Des hommes de pouvoirs se sont prononcés pour saluer sa mémoire, les uns trop longuement un autre Barak Obama sobrement.
Notre nouveau Ministre de la culture et de la communication a prétendu qu'il y a en chacun de nous un Mikael Jackson, c'est son sentiment ce n'est pas celui d'une grande majorité de français, mais il semblerait qu'il soit de bon ton de nos jours de célébrer et souffrir "la mauvaise vie" comme un emblème valorisant, cette "mauvaise vie" qui procure de fausses sensations de bonheur et plus encore des désillusions dramatiques qui blessent l'individu dans son âme et dans son corps avant de l'achever cruellement.
Alors s'il y a une prière humaine à faire en dehors de toutes religions, pour honorer la mémoire de Mikael et saluer sa mort, c'est de demander aux médias de se taire et de ne plus s'étendre sur les prolongements médicaux et judiciaires de sa disparition qui ne regardent que sa famille.
Mikael Jackson a le droit de reposer enfin en paix.
. Les députés socialistes ont demandé jeudià Bernard Accoyer, Président de l’Assemblée Nationale, la création d'une mission d'information sur l'attentat de Karachi. «Il est temps pour la représentation nationale de se pencher sur ces faits graves», écrit le chef des députés PS Jean-Marc Ayrault.
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L’attentat de Karachi qui avait été imputé à Al Qaïda remonte en surface, des documents que les médias qualifient de « nouveaux » attesteraient du versement par la France de commissions en marge de la vente de sous-marins au Pakistan. L’ arrêt du versement de ces commissions, pourrait avoir constitué un mobile de l'attentat de Karachi en 2002, qui avait fait 14 morts, dont 11 Français.
Interrogée jeudiau Sénat après une série de révélations sur le déroulement et les mobiles supposés de l'attentat de Karachi en mai 2002, la nouvelle ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a promis de prendre le dossier «avec détermination, ….». «C'est quelque chose que nous devons aux familles des victimes et aux victimes qui ont été blessées», a-t-elle annoncé.
Le mobile viendrait des commissions promises par la France au Pakistan, à l'occasion de la vente de sous-marins pour 950 millions de dollars. L’un des dirigeants de DCN avait transmis au magistrat instructeur «un exemplaire du contrat du 21 septembre 1994» qui concluait la vente des trois sous marins Sur le sommaire figurait une clause consacrée aux paiements de commissions figurait
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Monsieur Charles Million, ancien Ministre de la Défense au moment de l’attentat, vient de confirmer Jeudi l'existence de cette clause et reconnaît dans un entretien accordé à Paris-Match avoir bloqué ces versements, suite à une demande de Jacques Chirac peu après son élection. L'ancien ministre justifie cette décision de blocage en estimant «tout à fait anormal» que des «officines diverses» réclament des rétro-commissions aux intermédiaires rémunérés en marge des contrats d'armement.
La semaine dernière, Nicolas Sarkozy qui était directement concerné comme Ministre du Budget à l’époque de la conclusion du contrat, avait qualifié cette hypothèse de «fable», «ridicule et grotesque ».
De plus, le lien entre ces commissions et le financement de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur de 1995, via des rétros commissions, est soulevée dans les médias. Une agence de presse mentionne l'existence d'une société basée au Luxembourg, Heine, qui aurait été dédiée au versement des commissions. Le procureur Jean-Claude Marin, explique qu'une pièce saisie à la DCN «laisse supposer des relations ambiguës» entre Heine et les autorités politiques, «en faisant référence au financement de la campagne électorale de M. Balladur pour la présidentielle de 1995» «l'aval du directeur de cabinet du premier ministre (Edouard Balladur, ndlr) et celui du ministre du Budget (Nicolas Sarkozy)».
Il faut rappeler que contrairement à ce qui se passe de nos jours, les Ministres de l'époque jouissaient d'une indépendance décisionnelle dans l'exercice de leurs fonctions ministérielle
La semaine dernière interrogé sur France 3,Monsieur Balladur ancien premier ministre a nié toute irrégularité.
Lundi, le parquet de Paris aestimé que l'enquête n'a pas apporté à ce jour «d'élément objectif» pour relier l'attentat à un contentieux franco-pakistanais en marge d'un contrat de fourniture de sous-marins.
Les députés socialistes ont demandé jeudi au président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer la création d'une mission d'information sur l'attentat de Karachi. «Il est temps pour la représentation nationale de se pencher sur ces faits graves», écrit le chef des députés PS Jean-Marc Ayrault.
Aucune personnalité à ma connaissance n'a eu l'idée de lancer un appel par la voix des ondes ,ou tout autre procédé de communication à distance, aux dirigeants d'Al Quaïda pour leur demander de nous dire clairement s'ils sont oui ou non les commanditaires ou les auteurs de l'attentat de Karachi.
C'est au tour de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin de s'expliquer au sujet de l'attentat de Karachi qui fait polémique depuis une semaine. ...
Il y en a une adorable ce matin, en page S3 de Next (art. "Son goût des hommes") où vous faites dire à Véronique Nichanian "Un homme qui dessert sa cravate, ...
Cette hypothèse émane d'une note interne de la DCN, intitulée "nautilus", qui considère que l'attentat de Karachi ne serait pas l'oeuvre d'un groupe ...
Découvrez les réactions des abonnés du Monde.fr à la lecture de cette information. Ca fera "pschttt..." comme d'hab...et les juges d'instruction seront ...
Quel que soit le mobile de l'attentat de Karachi, les enquêteurs se doivent de reconstituer la chaîne de commandement entre les artificiers, les exécutants ...
Une course mortelle à l'argent pour devenir Président à Paris et qui aurait éventuellement pu causer la mort de onze ingénieurs français, à Karachi, ...
Président de la République au moment des attentats de Karachi, il est aussi mentionné à ce titre. En revanche, compte tenu de la période d'indexation des
Monsieur de Villepin, que ses détracteurs s'ingéniaient à faire croire qu'il se trouvait relégué dans un" désert" , n'a jamais manqué , depuis qu'il a quitté la fonction de Premier Ministre d'occuper une place honorable dans le monde médiatique en faisant connaître son opinion politique, économique, financière et sociale , dans des conférences, des émissions de télévisons et aussi par des interviews publiées dans de nombreux magazines et quotidiens . Bien entendu ses connaissances personnelles et ses analyses rigoureuses des évènements politiques ont toujours séduit et interressé un public qui s'attache d'abord à la qualité de ses interventions, mais qui apprécie tout autant sa distinction naturelle qui s'impose et donne une image plus conforme à ce que nous attendons d'un homme politique en vue pour représenter la France.
Nous venons d'apprendre qu'il s'avance encore dans son action politique et se décide enfin, ce que ses "compagnons fidèles" attendaient depuis longtemps, à créer son propre club politique "Villepin.fr, les Amis de Dominique de Villepin".
A votre intention j'ai repris ci-dessous dans le blog de soutien "2Villepin" l'article qui annonce le lancement du club politique "Villepin.fr" :
Copie de l’article :
"Dominique de Villepin lance son club politique villepin.fr
jeudi 25 juin 2009 :: Démocratie
Dominique de Villepin a annoncé mercredi la création dans les prochaines semaines d'un club pour réunir ses amis politiques.
Sourcess: Associated Press, Agence France Presse, Journal du Dimanche, Nouvel Observateur et Les Echos
Cette association loi 1901, dont les statuts doivent être déposés dans les prochains jours en préfecture, prendra le nom de Villepin.fr, selon le député villepiniste Jacques Le Guen. Elle sera présidée par l'ancienne ministre de l'Outre-mer Brigitte Girardin.
L'assemblée constitutive de l'association a eu lieu le 18 juin. L'association s'installera le 1er juillet dans ses locaux du Marais, à Paris.
Ses statuts prévoient de soutenir l'action de M. de Villepin "dans une politique de réforme, dans la défense des valeurs républicaines, avec une exigence de justice sociale et en veillant à un meilleur équilibre institutionnel et à l'indépendance et au rayonnement de la France".
Dominique de Villepin a franchi une nouvelle étape mercredi dans sa volonté d'incarner, le cas échéant, une alternative à Nicolas Sarkozy, en créant son propre club politique "Villepin.fr, les Amis de Dominique de Villepin".
"Nous sommes en train de créer quelque chose dans les prochaines semaines", a annoncé l'ancien Premier ministre à quelques journalistes en marge d'une rencontre avec l'Association des journalistes parlementaires (AJP).
A ses côtés, les députés UMP Jacques Le Guen et Jean-Pierre Grand, fervents villepinistes, ont précisé que les statuts de cette association loi 1901 seraient déposés "d'ici la fin de la semaine" en préfecture.
Elle sera présidée par l'ex-ministre chiraquienne (2002-2007) de l'Outremer puis de la Coopération, Brigitte Girardin.
Celle-ci a précisé à l'AFP qu'il s'agissait d'une "amicale", dont l'assemblée constitutive a eu lieu ...le 18 juin, qui s'installera le 1er juillet dans ses locaux du Marais, à Paris (IVe arrondissement).
Ses statuts prévoient de soutenir l'action de M. de Villepin "dans une politique de réforme, dans la défense des valeurs républicaines, avec une exigence de justice sociale et en veillant à un meilleur équilibre institutionnel et à l'indépendance et au rayonnement de la France".
Devant l'AJP, M. de Villepin a souligné qu'il entendait "résolument rester fidèle à (son) engagement gaulliste et sa famille politique" et qu'il était "à jour de sa cotisation" à l'UMP.
"Peut-être qu'un certain nombre de personnes n'avaient pas tout à fait bien compris que je n'étais plus à l'hôtel Matignon" pour l'envoi de la facture, a-t-il lancé. M. Grand a précisé que le chèque avait été remis ce mercredi à Xavier Bertrand.
"Une force alternative, c'est une nécessité au quotidien", a ajouté M. de Villepin. "Oui, aller à la rencontre des Français, c'est nécessaire. Oui j'y aspire et le moment venu, je répondrai présent".
"Quand on a les épaules larges et qu'on a été à bonne école, on acquiert de la résistance. Quand il y aura des choses difficiles à dire, je serai là", a-t-il encore prévenu.
Très en verve, M. de Villepin n'a pas ménagé M. Sarkozy et a fustigé les limites de l'ouverture, déplorant que le remaniement se soit limité à un simple "réajustement" et que le chef de l'Etat ne soit pas passé "à l'acte II du quinquennat".
"On voit bien que la majorité se recentre sur elle-même. Il y a aujourd'hui plus de difficultés peut-être à recruter parmi les autres familles politiques (...) J'aurais souhaité que des priorités claires du deuxième temps du quinquennat soit fixées. C'est dommage de ne pas anticiper sur la nécessité de l'action. On n'a pas de temps à perdre. La situation des finances publiques, sociale, économique, l'inquiétude des Français sont là pour en témoigner", a déclaré l'ancien Premier ministre.
L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a jugé que le renouvellement de l'équipe Fillon annoncé mardi soir était un "exercice classique à mi-parcours" pour "donner une chance aux jeunes".
Sans citer le chef de l'Etat, l'ancien Premier ministre a raillé ceux qui "transgressent les frontières politiques en faisant prendre des vessies pour des lanternes ou en ne reprenant que le cadavre de certains hommes politiques pour les faire parler", dans une claire allusion à la nomination de Frédéric Mitterrand au Ministère de la Culture.
Sur le fond, Dominique de Villepin a expliqué qu'il aurait préféré que Nicolas Sarkozy lance la deuxième étape de son quinquennat dans son dicours devant le Parlement réuni lundi à Versailles, avec "une impulsion plus radicale, plus forte" face à une crise "sans précédent dans notre histoire récente". "Il faudra attendre encore quelques mois pour que cet acte II puisse s'engager au lendemain des régionales (...) Personnellement, j'aurais préféré que l'acte II s'ouvre plus tôt", a-t-il souligné.
Lui-même a plaidé pour "trois priorités": "une grande politique d'innovation et de compétitivité" face à la destruction d'emplois et à la désindustrialisation, "une grande politique de l'emploi" et une "mobilisation générale" contre la dette.
Il a également étrillé le discours de Versailles, qui l'a "laissé sur (sa) faim" car Nicolas Sarkozy "n'a pas pris toute la mesure de la situation".
Très en forme, l'ancien Premier ministre a multiplié pendant une heure les piques à Nicolas Sarkozy. Il a ainsi émis des réserves sur la proposition d'un grand emprunt. Une telle idée peut "avoir une force pédagogique, symbolique" face à la dette, mais "n'est pas suffisant(e) pour marquer la mobilisation de la nation", "coûte cher" et "peut servir, dans l'esprit de certains, de vocation plébiscitaire", a-t-il attaqué.
Face à "l'urgence" de la dette, il a proposé la réunion d'une commission réunissant la majorité, l'opposition et la société civile pour suivre la situation financière et des rapports trimestriels de la Cour des comptes sur la question. Si rien n'est fait d'ici 2012, "nous repartirions beaucoup plus lentement que les autres".
Alors que Nicolas Sarkozy a exclu d'augmenter les impôts, Dominique de Villepin a jugé qu'il sera "difficile d'échapper" à un alourdissement de la fiscalité et qu'il fallait étudier cette possibilité.
Plus largement, il a regretté que M. Sarkozy n'ait pas dressé le bilan de ses deux premières années à l'Elysée dans son discours de Versailles: "on ne peut pas rebondir sans à un moment donné poser le pied à terre", a-t-il lâché.
L'ancien ministre des Affaires étrangères a aussi déploré que le président n'ait pas parlé ni de l'Europe, ni du monde: "on ne peut pas considérer que la France soit une île".
Sur un ton plus ironique, il s'est amusé du "ralliement" de Nicolas Sarkozy à ses thèses sur la préservation du modèle social français, le refus de la discrimination positive et la défense de la laïcité.
"Au moins mes piques auront servi à quelque chose", a-t-il asséné, se félicitant de l'abandon de la notion de "laïcité positive" pour le retour à "notre bonne et vieille laïcité, dans un bon et vieux pays de notre vieux continent".
Interrogé sur le nombre de ses amis à l'Assemblée, Dominique de Villepin a affirmé qu'il était suffisant pour former un groupe, soit 15 députés: "si demain il fallait faire un groupe, nous ferions un groupe. Mais c'est parce que nous n'avons pas envie de diviser que nous ne le faisons pas".
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