* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Une jeune adolescente fugueuse et imprudente se fait piéger par Internet et va à la rencontre d'un internaute pédophile. Séquestrée pendant plusieurs jours au domicile de ce sinistre individu récidiviste, elle a été enfin libérée par les forces de l'ordre, saine et sauve d'après elle. Espérons qu'elle n'en gardera aucune séquelle psychologique et que sa triste aventure servira de leçons aux adolescents, et mêmes aux adultes , en quête de rencontres avec des inconnus, dont le moins que l'on puisse dire peuvent encore se terminer plus mal que celle relatée par Orange actualités.
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Selon un nouvel article publié par Orange Actualités l'adolescente avait rejoint volontairement d'elle même cet individu et elle était consentante pour des relations sexuelles avec cette adulte .
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Note de Lucienne magalie pons : Nous devons remarquer que nous vivons dans une époque ou l 'appel et l'encouragement à la sexualité libérée tous azimuts s'étale dans tous les magazines comme un exemple qu'il est impératif de suivre et que l'image de la femme en publicité est à la limite de l'érotique dans des poses suggestives, et ce même quand l'objet de la publicité porte sur des objets ou des produits éloignés de la sexualité. Certaines publications magazines et émissions radios, incitent quotidiennement et plébiscitent les rencontres sexuelles l'échangisme, donnent tous les détails sur les différentes positions et pratiques sexuelles avec une complaisance qui n'est pas du ressort de la simple information, y compris sur l'utilisation de sexe-toys pour l'utilisation desquels, une certaine animatrice de radio en fait la publicité pratiquement tous les jours , en faisant parler à l'antenne les utilisateurs et les utilisatrices en leur demandant non seulement de donner leur impression sur les caractères techniques du produit mais encore sur les sensations et jouissances éprouvées, avec force détails et notation de 1 à 10 . Des sites ou des associations de rencontres étalent leur publicité sur internet et dans tous les médias audiovisuels et aussi magazines en incitant à communiquer par mails ou téléphones et mobiles pour des rencontres et "plus si affinités". Comment s'étonner dans cet environnement publicitaire et médiatique incitatif à outrance, que des ados soumis aux interrogations et pulsions sexuelles de leur âge franchissent le pas , par désir ou curiosité , pour se jeter par inexpérience dans le piège de la perversité de certains adultes ? Comment s'étonner que des ados dans la société permissive et incitative où nous vivons ne soient pas tentés par des expériences sexuelles trop précoces et faciles, alors qu'ils n'ont pas encore la maturité intellectuelle de les assumer ?
Comment s'étonner de cette licence des mœurs, des pratiques entre adultes et ados, alors que la société comme par une sorte d'encouragement coupable va même jusqu'à procurer aux toutes jeunes filles les pilules abortives en cas "d'accident" et ce même sans consulter les parents ni recueillir leur approbation ?
Que peuvent faire les parents pour préserver leurs enfants et leurs ados contre ce raz de marée d'incitations sexuelles en tous genres qui encombrent les pages des magazines et alimentent bon nombre d'émissions radios à des heures d'écoute diurnes accessibles à tous ?
Nous avons tout lieu de croire qu'un lobby puissant de perversions sexuelles règne dans la publicité, la presse, et les médias radios et audiovisuels, puissant à tel point que même le Pouvoir se tait et ne le combat pas, à moins qu'il n'y ait quelques liens et connivence entre certains d'entre eux, ce qui expliquerait tout.
cet article signé Michel Malher provient du site "Le réveil des Marmottes,
Noutnoute et le Réveil des Marmottes, sans avoir les dons de double-vue du Mage Elland, le seul prophétiseur naval pouvant lire le passé antérieur dans les pièces jaunes de Bernadette, le prédisent depuis avant son élection en mai 2007, le quinquennat de Nicolas Sarkozy va laisser la France dans un état de désolation comparable à un champ de maïs transgénique après le passage de José Bové. Ne parlons même pas des couacs internationaux semés partout où il passe, cela, nous le payerons en 2009 lorsque notre maxi-Sarko sera redevenu le mini-président de la Sakobrunie. Voyons d'abord l'iceberg Rachida Dati, il pourrait déclencher un séisme sous-marin d'une magnitude incontrôlée... 534 magistrats ont envoyé une pétition à la Chancellerie pour exiger des excuses de la part de Rachida Dati. Les magistrats dénoncent l'incohérence des politiques pénales, les pressions personnalisées exercées par la garde des Sceaux qu'ils jugent inadmissibles et ses "injonctions paradoxales"...
Ils demandent des excuses publiques à la ministresse de la Justice pour l'affaire de Metz (Moselle) et à Rachida Dati d'exprimer des "regrets et des excuses publiques à l'égard de la substitut de Sarreguemines (Moselle)". Figurent parmi les 534 magistrats des hautes personnalités de la hiérarchie judiciaire, des présidents et vice-présidents de tribunaux de grande instance, des procureurs adjoints ou des présidents de chambres de cours d'appel. Rachida Dati ( .........) se défend: «Si je comprends les difficultés des magistrats, je ne peux accepter les mises en cause... En tant que garde des Sceaux, je mets en œuvre une politique pénale ferme, souhaitée par les Français, votée par le parlement, qui a essentiellement pour objet la protection des citoyens...» ...... En novembre 2007, lors de la nomination et le renouvellement de près d’un tiers des procureurs généraux, par "crainte d’une hiérarchie aux ordres", le Syndicat de la Magistrature avait dénoncé le caractère illégal de certaines nominations. Rachida Dati avait passé outre des avis défavorables du CSM et avait nommé plusieurs magistrats évincés à la Cour de cassation. L’article 12 du statut de la fonction publique interdit cette pratique. Pour mémoire, Noutnoute et le Réveil des Marmottes vous rappellent un extrait de l'article 5: «Les magistrats du siège et les procureurs de la République sont nommés par décret du président de la République. Les procureurs généraux sont nommés par décret en conseil des ministres...» Autrement dit, Nicolas Sarkozy peut retarder la nomination d'un juge pour planter l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin.
Et Noutnoute fouille pour le Réveil des Marmottes... Elle a remonté cette torpille datant de décembre 2007: Jean-Pierre Grand, le député de l’Hérault soutenant Dominique de Villepin, a été menacé d'exclusion immédiate de l'UMP par le secrétaire général de l’UMP, Patrick Devedjian. Jean-Pierre Grand payait ses audaces, on ne critique pas Nicolas Sarkozy. Jean-Pierre Grand avait alors réagi: «On est dans le harcèlement et dans l’intimidation !...» En fait, Jean-Pierre Grand avait déjà été menacé d'exclusion en octobre 2007. Dominique de Villepin a volé au secours de son ami, peut-on lui reprocher ? L'affaire Clearstream... Passons, le RdM est déjà assez attaqué...
Remontons en 2003. Les avocats d'Yvan Colonna poursuivent Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, pour "atteinte à la présomption d'innocence". Nicolas Sarkozy avait claironné avant le jugement: «l'assassin du préfet Erignac (février 1998) a été arrêté !» Colonna a été débouté. En 2007, les avocats relancent la procédure mais Nicolas Sarkozy jouit de l'immunité de président de la République. Colonna devra attendre la fin du mandat de Sarko. Un fait rarissime (voire unique) va pourtant se produire, les avocats d'Yvan Colonna ont décidé d'attaquer l'immunité du président de la République. Leur recours sera plaidé le 28 janvier 2009, soit quelques jours avant le procès en appel d'Yvan Colonna condamné le 13 décembre 2007 à perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac. Cette procédure n'a aucune chance d'aboutir en France (aux USA par exemple, il n'y a pas d'immunité pour le président) mais à force de chatouiller les icebergs, le Petit Annick en prend un coup... Il suffirait que Dominique de Villepin lâche le morceau et plouf, les dessous de Carla Bruni pourraient remonter à la surface et même de docteur Gynéco ne pourrait plus rien.
Note de lucienne magalie Pons :"Noutnoute" est l'égérie de Michel. C'est une petite chatte qu'il a recueillie pour la sauver de la faim, du froid et de la misère affective et depuis son adoption Noutnoute entre deux sommes,deux patés et plusieurs ronrons calins s'interesse à la politique.
L’annulation du mariage infirmé par la cour d’Appel de Douai
Revue de presse etd’opinion :
La cour d'appel de Douairéunie à huit closvoilà un mois, a rendu son arrêt le Lundi 17 novembre,en infirmant le jugement d’'annulation du mariage des époux Lillois, tous deux français d’origine étrangère tunisienne pour l’époux et marocaine pour la femme. La Cour d’appel de Douai a donc refusé de suivre la décision du TGI de Lille du 1er Avril dernier,qui n’était pas passée inaperçue
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(Les juges s'étaient appuyés alors sur l'article 180 du Code civil qui rend possible l'annulation d'un mariage quand il y a erreur « sur les qualités essentielles de la personne »).
Pour la cour d’appel de Douai l'erreur sur la virginité reconnue comme une qualité essentielle aurait été considéréecomme discriminatoire car elle aurait porté atteinte à l'égalité entre l'homme et la femme. Elle aurait nui également au principe de libre disposition de son corps et à la dignité. De plus, la cour a estimé que le procès tel qu'engagé par le mari et le jugement du TGI étaient de nature à « mettre en jeu les principes d'ordre public
Ndlr : Il faut noter aussi et ceci est d’importance que la Cour a estimé que le procès tel qu’engagé par le mari et le jugement de TGI de Lille (du 1er avril) était de nature à « mettre en jeu les principes d’ordres public » Ceciesttrès important, je dirai presque un avertissementsolennel, dont devront tenir compte ceux ou cellesqui pensent pouvoir réduireàleurvisées personnelles notre justice. Bien au contraire ils devront prendre garde à ne pas mettre en jeu les principes (français) d’ordre public, ils pourraient encourir des poursuites et descondamnations.
L'avocat de l'époux, Me Xavier Labbée, débouté, a jugé l'arrêt rendu par la Cour d’appel de Douai « très inquiétant » au motif que « nos libertés individuelles étaient gravement menacées ».L'avocat du marié, considère avec une parfaite mauvaise foi, que la cour d'appel de Douai, par cette décision, "impose le maintien d'un lien matrimonial et organise un mariage forcé". Pour lui, elle autorise, dans un litige de pur droit privé relatif à l'intimité du couple, "le parquet à contrôler les âmes et les consciences". Et de dénoncer "la venue d'un ordre moral laïc et l'intrusion de la notion de laïcité dans la vie de famille en ce qu'elle a de plus intime".
Ndlr : Les élucubrations de M° Xavier Labbée "la venue d'un ordre moral laïc et l'intrusion de la notion de laïcité dans la vie de famille en ce qu'elle a de plus intime » sont des allégations tout à fait fausses,je ne vois pas en quoi nos libertés individuelles sont gravement menacées comme le prétend cet avocat, bien au contraire l’arrêt rendu par la Cour d’appel défend nos libertés d’individu libre de disposer de notre corps et un mari x, y ou z, de quelques confessions religieuses qu’il soit, marié en droit français,ne pourra pasprétendre arguer du motif de non virginité pour chasser sa femme du domicile nuptial le soir même des noces et ensuite demander une annulation de mariage , il devra chercher d’autres motifs plus conformes à l’esprit de notre droit pour demander l’annulation du mariage, à défaut demander le divorce. Dura lex sed lex, mais c’est ainsi, la loi est dure mais c’est la loi,c’est notre droitnous y tenons, nous voulons que nos lois s’appliquent dans toute leur rigueur, un mariage chez nous ne se fait passous la dictature de la famille, etune annulationchez nous ne se décide pas arbitrairement par la seule décision du mariaprès le passage entre deux draps nuptiaux.
Enfin le mariagecélébré selon le droit français, n’est pas « de pur droit privé relatif à l’intimité du couple » comme ose le prétendre M° Xavier Labbe,bien au contraireil est d’ordre publicet célébré en Mairieselon notre code civil. Cetavocat doitle savoir, laconfusion qu’il tente de créerpar ses propos n’est pas acceptable,il est vrai que le clientélisme parfois peut faire commettre des erreurs volontaires d’appréciation
Toute autreest l’appréciationde Madame Martine Aubry quien faitreflètetoutes les approbations de l’arrêt rendu par la Cour d’Appelde Douai. Dans un communiquénet, clair, précis, loin des élucubrations de M° XavierLabbée, la maire de Lille Martine Aubry s'est "réjouie" de la décision de la cour d'appel de Douai, se disant "scandalisée" par la première décision du tribunal de Lille. "Nous savions que les droits des femmes ne sont jamais acquis, mais nous ne pensions pas arriver à une telle régression dans notre pays", explique-t-elle dans un communiqué. "Cette première décision de justice faisait craindre d'autres remises en cause des droits des femmes et du droit au respect de la vie privée".
Pour elle, "la décision de la cour d'appel de Douai est à la fois conforme à la Convention européenne des Droits de l'Homme et respectueuse des valeurs de la République". "Elle est rassurante pour celles et ceux qui travaillent à une société pacifiée, où hommes et femmes, à droits égaux, sont en mesure d'avancer ensemble et de construire un avenir commun", conclut-elle.
J’en resterai là, parmi toutes les approbations des femmes et hommes politiques que vous retrouverez sur vos journaux ou sur Internet, j’ai retenu celle deMartine AUBRY,simple et percutante.
Rappel des faits :
Les épouxfrançais d'origine musulmane, lui informaticien de 30 ans, elle étudiante infirmièred'une vingtaine d'années, avaient décidéde mettre fin à leur union,le mari ayant constaté le soir du mariage que la jeune fille n’était plus vierge l’avait immédiatement renvoyé du domicile nuptial. Puis les époux pour mettre fin à leur union, s’étaient imaginé avec leurs avocats que l’annulation pouvait se fonder sur leur consentement mutuel ; or l’annulationd’un mariage est laissée à l’appréciation des juges, selon la légitimité légale des motifs invoqués, et le consentement mutuel ne peut être invoqué qu’en cas de divorce.
Les juges du TGIs'étaient appuyés alors sur l'article 180 du Code civil qui rend possible l'annulation d'un mariage quand il y a erreur « sur les qualités essentielles de la personne ».
À l'époque, l'affaire avait suscitéde très nombreuses réactions, tant dans les milieux politiques qu'associatifs, contre ce jugement d’annulation, en faisant ressortir qu’unjugement d’annulation de mariage fondé surl’erreur et« le mensonge à la virginité » en reconnaissant la virginité comme une qualité essentiellede la personne,étaitdiscriminatoire en portaitatteinte à l’égalité constitutionnelle entre l’homme et la femme et introduisait dans notre jurisprudence une porte ouverte à tous les abus. Cette décision du TGIde plusaurait nuiau principe de libre disposition de son corps et à la dignité.
La garde des Sceaux Rachida Dati qui avait une première fois prétendu avec compassionque l’annulation pouvait aussi « protéger des personnes » sans appuyer son avis sur un texte de droit,et qui ensuite s’était emporté devant l’Assemblée Nationale avec virulence pour expliquer sa première interprétation, s’étaitdu reste aussitôtravisée etavait finalement demandé au parquet d'interjeter appel, ce qu'il avait faitle 3 juin.
. Le 22 septembre dernier, le parquet général de la cour d'appel de Douai avait estimé que la nullité d'un mariage fondé sur un défaut de virginité est contraire à l'ordre public, mais avait suggéré d'annuler l'union pour un "motif légitime" comme l'erreur sur la personne ou le défaut de cohabitation.
Il faut noter aussi et ceci est d’importance que la Cour a estimé que le procès tel qu’engagé par le mari et le jugement de TGI de Lille (du 1er avril) était de nature à « mettre en jeu les principes d’ordres public » Ceciesttrès important, je dirai presque un avertissementsolennel, dont devront tenir compte ceux ou celles qui pensent pouvoir réduireàleurvisées personnelles notre justice. Bien au contraire ils devront prendre garde à ne pas mettre en jeu les principes (français) d’ordre public, ils pourraient encourir des poursuites et descondamnations.
Les avocats auraient du mieux conseiller leur clients, il est vrai que le clientélisme parfois peut faire commettre des erreurs d’appréciation.
Pour le moment les époux restent donc mariés aux yeux de la justice et des lois françaises qui s’appliquent à leur mariage
.Choisiront-ils d’aller en Cassation pour faire durer le suspens ?