* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Je vous offre la lecture d’un texte que je viens de recevoir par e-mail de l’un de mes correspondants :
Subject: tr: Fwd: Trans. :Fw: l'enfant retrouvé à Marseille !
Rappelez vous c'était l'été dernier 2 008, un enfant était retrouvé abandonné dans les rue de Marseille. Celle qui l’avait abandonné n’est pas identifiée, il s’agirait d’une « nounou » sans papier en irrégularité de séjour en France à qui la « mère » l’aurait confié pour quelques jours pour se rendre en Algérie. Après plusieurs jours d’absence, la mère rentre d’Algérie à Marseille et réclame l’enfant que les autorités avaient recueilli et après enquête il s’avère que cet enfant ne peut être son fils(test Adn), elle explique quec’est son fils adoptif sans pouvoir en fournir les preuves qui seraient restées en Algérie, elle dit que c’est elle qui l’a élevéet le réclame, mais l’enfant est confié à des services sociaux en attendant qu’elle produise des preuves de l’adoption et que l’enquêtedétermine qui a vraiment abandonné l’enfant dans les rues de Marseille.
Mais celle qui se ditsa 'mère adoptive'après avoir prétendu être sa mère, etqui a en charge quelques enfants de différentes unions dont elle s’occupe seule, le réclame avec insistance! Et pour cause. ……… On vit une époque formidable!
Si nous faisons les comptes de ce que touche cette pauvre mère qui essaie de faire pleurer la France :
(Et heureusement elle ne touche rien pour celui-là)
Allocations familiales398,00 euros
Complément familial156,00 euros
Allocation de soutien familial338,00 euros
Allocation de parents isolés1.131,00 euros
Forfait logement133,00 euros
RMI avec 4 enfants1.164,00 euros
Primes de rentrée scolaire1.133,00 euros
TOTAL:4.453,00 euros pour le mois d'août!!
De quoi payer son avocate que l'on voit sur TF1, allez-vous dire !!
Eh bien non !Compte tenu de ses faibles ressources elle a droit àl’aide juridique, bien évidemment !!
Elle n’est pas belle la vie ……. Ce n’est pas beau la France ?
En espérant en avoir énervé quelques uns et quelques unes ...Tout est vérifiable sur le site de la CAF si cela vous paraîtincroyable ...
Allez maintenant, au boulot ! Braves gens !
Il faut payer tout ça !... pour votre info ma retraite a augmenté en septembre de 0.8% : un miracle !
note de lucienne magalie pons : après avoir reçu ce mail, j'ai pour réflexion que nous ne devons pas regretter d'aider socialement les familles qu'elles soient mono parentale ou duo parentale ou encore "multi parentale" , mais en contrepartie il faut bien reconnaître que le système peut-être détourné et "institutionnalisé" comme moyen existentiel par des personnes peu scrupuleuses et même si ces personnes représentent du moins faut-il l'espérer une minorité, des moyens de contrôle seraient à mettre en place pour garantir la juste utilisation des moyens et fonds sociaux.
Je rappelle à mes lecteurs que les annonces publicitaires qui figurent au bas de mes articles, résultent de la sélection de mon hébergeur de site et ne saurait en aucun cas engager mon choix personnel. lucienne magalie pons "webmaster"
De nouveau le torchon brule entre la garde des sceaux et les Syndicats de la magistrature ! Bis repetita, un nouveau défaut de concertation préalable à leur encontre, ranime leur indignation et leur colère.
Madame Rachida Dati,ministre de la Justice, vient deprovoquer une fois de plus lacolère des syndicats de magistrats qui lui reprochent de n’avoir pas été consultésavant la présentation, hier mercredi en Conseil des Ministres , d'un projet de loi précisant le système de "surveillance de sûreté" qui pourra être imposé, sans limite de temps, aux anciens détenus jugés dangereux.
Ce projet de loi "tendant à amoindrir le risque de récidive criminelle" vise à "renforcer" les dispositions de la précédente loi du 25 février. Il ne permet toutefois pas une application rétroactive -interdite par le Conseil constitutionnel qui avait partiellement censuré le texte- de la "rétention de sûreté" permettant de maintenir enfermés les condamnés jugés potentiellement dangereux à la fin d'une peine d'au moins 15 ans de réclusion.
Cenouveau projet de loi dont l’examen au Parlement ne devrait pas commencer avant le début de 2009,répond au souhait du président de la République d'obtenir un nouveau texte, après qu'il ait un temps souhaité contourner la décision des Sages.
La surveillance de sûreté pourrait concerner "une dizaine" de personnes l'an prochain, selon le ministère. Si ces personnesne respectent pas les obligations qui leur seront imposées, elles seraient susceptibles d'être placées en "rétention de sûreté". Mais le système ne devrait prendre sa pleine mesure que dans une quinzaine d'année, à l'issue des peines de prison infligées après la publication de la loi du 25 février.
Le projet de loi n'a été transmis aux syndicats que mercredi matin, alors qu'ils l'avaient demandé depuis deux semaines, a reconnu Guillaume Didier porte parole du Ministère de la Justice, interrogé par l'Associated Press. Mais "on va travailler avec eux pendant le travail parlementaire", a-t-il néanmoins promis, jugeant hâtivementle malentenducomme "dissipé".
Toujours, selonGuillaume Didier,le projet de loi présenté mercredi parMadame Rachida Dati constitue pour l'essentiel un "renforcement" du système de "surveillance de sûreté", lui aussi créé par la loi du 25 février et qui impose des obligations comme le port d'un bracelet électronique ou un suivi médical pour les criminels libérés, qu'ils aient ou non commis leurs actes après l'adoption de la loi.
Mais selon MonsieurChristophe Regnard, président de l'Union syndicale des magistrats, la nouvelle loi porte sur "des points de détail »
La présentation de ce nouveau texte a provoqué une nouvelle colère des syndicats de magistrats qui "ont pris connaissance avec stupéfaction" de son examen, selon un communiqué de l'Union Syndicale des Magistrats (USM) et le Syndicat de la Magistrature (SM).
Stupéfaits et indignés par ce défaut de concertation préalable, les deux principaux syndicats de la profession « en colère »rappellentque la Garde des Sceaux leur avait promis le 24 octobre une "concertation" sur ce texte et qu'ils n'ont jamais été informés de l'imminence de sa présentation en Conseil des ministres, y compris mardi soir, quand le cabinet de la ministre a appelé les deux organisations "pour 'rétablir la confiance et la concertation avec la ministre'". L'USM, a confirmé, qu’elle n’a pas étéinformée de la publication au "Journal officiel" de mercredi de trois textes d'application.
Le SM et l'USMontinterprétéce nouvel'incident’ comme un "véritable refus de tout dialogue constructif avec les professionnels de justice" et ils ont estimé quel'attitude de Rachida Dati pose "la question de la poursuite de relations institutionnelles avec une ministre qui ne cesse pourtant d'affirmer qu'elle concerte les organisations professionnelles"
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Rappelons que les magistrats s'étaient largement mobilisés le 23 octobre contre la politique de Mme Dati et que Monsieur Nicolas Sarkozy avaitreçu la semaine dernière l'USM pour tenter de calmer « la fronde ».
Rappelonspar ailleurs que l'invitation par l'Elysée de l'Union syndicale des magistrats (USM), le syndicat majoritaire de la profession, avaitprovoqué la colère du Syndicat de la magistrature (SM, gauche), qui n'avaitpas été convié alors que cette journée d'actions avait été organisée conjointement. « Sarkozy divise pour régner",avait affirmédans un communiqué le SM. "Par ce choix arbitraire, le président de la République fait la preuve qu'il n'est pas le garant de l'indépendance de tous les magistrats".
En réponse MonsieurChristophe Régnard, président de l'USM avait fait savoir qu’
"On ne refuse pas une invitation du président de la République, même si les autres syndicats ne sont pas invités"
Quoiqu’il en soit,à l’issue de cette réception,Monsieur Laurent Bedouet, secrétaire général de l'USM,qui avait été reçu pendant une heureà l'Elysée avec le président du syndicat Christophe Régnard, avait déclaré que l'entretien s'étaitdéroulé dans "un climat serein", etqueMme Dati s'étaitjointe à eux dans un second temps. Monsieur Bedouet avait aussirapporté à cette occasion,que le Chef de l’Etat avait rappelé sa confiance et son respect pour l’autorité judiciaire.
A l’époque Madame Elisabeth Guigou avait interprétél’intervention de MonsieurNicolas Sarkozy comme un "désaveu important " pour la ministre de la Justice
"A la place de Rachida Dati, je prendrais ça pour un désaveu important", avaitestimé sur France-info l'ancienne Garde des Sceaux Elisabeth Guigou. "Le président doit se sentir obligé de prendre l'affaire en main, parce qu'il y a une rupture totale de confiance entre Rachida Dati et l'ensemble des métiers de la justice", avait-t-elle déclaré, dénonçant un "dialogue de sourd depuis très, très longtemps", tout ensoulignant que "Rachida Dati avaitdonné l'impression de mépriser les magistrats… »
Tout au contraire pour Madame Rachida Dati, qui s’était exprimée après la réunion,Il n'y avait pas de remise en cause de son action, etfaisant valoir que le chef de l'Etat recevait "systématiquement les syndicats, les partenaires sociaux quand il y a des réformes"., elle avait déclaré quela rencontre entre le syndicat majoritaire et Nicolas Sarkozy n'était pas le signe d'une remise en cause de ses réformes ni de sa parole. Aux journalistes qui lui demandaient si elle était fragilisée, la ministre a répondu : "Je connais vos questions. Ce que vous attendez vous ne l'avez pas. Donc dommage !".
Le PSde son côté avaitpar ailleurs estimé que la garde des Sceaux avait "échoué à conduire une politique permettant à la Justice de fonctionner"et jugé que la responsabilité incombait d'abord au président Nicolas Sarkozy. Pour MonsieurStéphane Le Foll, bras droit de François Hollande, il avait déclaré"on voit aujourd'hui une fracture très nette entre l'institution judiciaire et l'exécutif». Pour le député européen, le fait que Nicolas Sarkozy avaitreçu le syndicat de magistrats était"une dérive" et "une anomalie démocratique". Ilavait soulignéque "tout devient de la responsabilité du président de la République". "Il n'y a pratiquement plus de gouvernement, …. C’est une hyperprésidence qui prend toutes les décisions à la place du gouvernement et des ministres", avait-t-il dit.
En réponse à Elisabeth Guigou, l'une des porte-paroles de l'UMP, Chantal Brunel, avaitaffirmé que le président de la République "ne se cache pas derrière ses ministres mais assume pleinement" leurs réformes et le fait qu'il reçoive l'USM à l'Elysée, "c'est plutôt un appui vis-à-vis de Rachida Dati qu'un désaveu".
Le président "est garant de l'indépendance de l'autorité judiciaire dans ce pays", et quand il reçoit un syndicat "il est dans son rôle", avaitestimé un autre porte-parole, Monsieur Dominique Paillé.qui avait aussirécusé le terme de "désaveu" employé par Elizabeth Guigou, ajoutant que Rachida Dati "a à son actif" des réformes "avec des résultats extrêmement positifs", comme celle de la carte judiciaire.
"Il est extrêmement difficile de travailler dans ce domaine de la magistrature", avaitajouté Dominique Paillé, "parce qu'il y a quand même quelques pesanteurs conservatistes qui se font jour, notamment chez un certain nombre de magistrats, parfois même parmi leurs représentants" en concluant : "Par conséquent, ce coup de pouce du président de la République est le bienvenu sans doute pour Rachida Dati".
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Ndlr : Il semblerait qu’un nouveau coup de pouce présidentiel serait le bienvenu !
Je prends l’initiative de le reproduire sur mon blog. Sa lecture reflète ce que bon nombre de nos concitoyens perçoivent, mais la formulation de Dominique Dhombres vaut son pesant d’or !
« L'emmuré vivant de Matignon, par Dominique Dhombres
« LE MONDE | 04.11.08 | 13h09
« L'homme en noir quitte volontiers l'Elysée, sauvant chaque jour la planète d'un nouveau « danger, feignant en tout cas de le croire et s'employant à le faire savoir. Pendant ce temps un « pauvre être accomplit chaque jour à Matignon sa longue et lourde tâche. C'est déjà dur d'être « premier ministre sous la Ve République. C'est abominable de jouer ce rôle auprès de « l'homme en noir. Le pauvre être était justement l'invité de Benoît Duquesne, dans « "Complément d'enquête", lundi 3 novembre, sur France 2. Il avait été autorisé à parler un « peu.
« Sans sortir de son bureau, bien sûr.
« Pour évoquer la crise et rien d'autre, évidemment. Un sujet qui lui va comme un gant. Cela « ne marche pas très fort et cela va être pire encore, disait-il. Dans ce domaine, on peut lui « faire confiance. Le pauvre être n'a pas son pareil pour asséner les vérités les plus amères, « révéler les abîmes les plus cachés, établir les constats les plus désespérés. Il avait déjà « fameusement déclaré naguère qu'il était à la tête d'un Etat en faillite. Cela avait déplu à « l'homme en noir, qui n'avait pas aimé le mot "faillite" et moins encore que le pauvre être « s'imagine à la tête de l'Etat. C'est oublié aujourd'hui, d'autant que les banques présentent « davantage de signes de faillite que l'Etat qui vole à leur secours à coups de milliards sortis « on ne sait trop comment de son chapeau. Ces milliards, précisément, fallait-il vraiment les « accorder à ces délinquantes ? "Si on n'avait pas, au niveau européen, pris cette initiative de « soutien aux banques, le système bancaire se serait effondré et tous les déposants auraient « perdu leurs dépôts", disait le pauvre être. "On imagine le drame dans lequel seraient les « Français, les Européens, si leur banque avait déposé leur bilan", disait-il encore.
« Rassurant, non ? Mais ce n'est pas tout. Cette crise va-t-elle durer ? "Aujourd'hui, je pense « que personne n'est capable de dire si elle se terminera à la moitié de 2009, à la fin de 2009", « observait le pauvre être d'un ton lugubre. On ne fait pas plus pimpant ! L'émission tout « entière était à l'avenant. La dette de la France est énorme, le déficit de l'Etat, déjà « faramineux, va encore augmenter l'an prochain.
« Les critères de Maastricht sont oubliés, en particulier l'obligation de maintenir le déficit en « dessous de la barre des 3 % du PIB. François Bayrou fermait le ban. "C'est une crise « gravissime qui touche aux fondamentaux du capitalisme mondial", affirmait le Béarnais, « invité lui aussi à donner son avis. Il était sombre à souhait, estimant que la France était déjà « en récession et que cette situation allait se prolonger. Il avait beau dire, il n'arrivait pas à « jouer aussi bien Alceste que l'emmuré vivant de Matignon. Question de tempérament, sans « doute.
« Dominique Dhombres
(vous pouvez , si vous le souhaitez, retrouver la vidéo de "Complément d'enquête "sur le site de France 2, émission du Lundi 3 novembre)
Ce sont principalement des élus, représentant tout le nuancier politique, venant de tous les horizons mais ou la grosse pointure fait figure de merle blanc ! En fait ils ne représentent ni les meilleurs, ni les pires ! Il peut être aussi vrai qu'un élu « falot » puisse se découvrir des talents d'entrepreneur. Cela peut en effet sembler excitant, sans risque et pourquoi pas gratifiant ! Dans beaucoup de cas l'opération peut se réveiller bénéfique, surtout si l'on parvient à s'installer dans l'un des Palais parisien de la république. C'est en quelque sorte s'assurer un ticket d'accès à une « super » vie de professionnel de la politique, consacrée, généralement à promouvoir un parti !
Les heureux gagnants sont répartis en deux paquets soit dans la majorité soit dans l'opposition ? Simple question de chance ! Mais finalement, coté confort peu de différences si l'on n'est pas ministrable. De toute façon les deux formules présentent surtout beaucoup d'avantages et quelques minimes inconvénients ! Mais en aucun cas l'appartenance à l'un ou l'autre des blocs risque d'altérer la bonne humeur et la joie de vivre des représentants zélés du peuple de France ! Rien de bien nouveau sous le soleil de notre hexagone depuis l'avènement de la cinquième république si ce n'est que la reproduction, à un rythme accéléré du godillot politique, a finalement permis au pilote de notre système de devenir totalement dominant. Il est en effet assuré de pouvoir compter sur une majorité à sa dévotion, même si quelques trublions font semblant de ruer dans les brancards, simplement pour être remarqués ! Alors, si généralement on admet que le mouton de France, toutes races confondues, n'est pas en voie de disparition il n'empêche que l'on veut nous faire croire qu'il se reproduit plus rapidement dans la France d'en bas ! Mais, en fait, rien n'est moins certain ! En effet si l'on observe attentivement le comportement des élus du peuple, dont l'origine est soi-disant toujours plus noble, on constate un comportement similaire ! Le grand mouton godillot n'est certainement pas un mythe « original » il existe vraiment et l'on peut le rencontrer facilement, à l'état naturel dans toutes les assemblées de notre république ! Il est aussi vrai qu'en peu de temps nos godillots de luxe se sont abondamment signalés à l'attention de leurs électeurs comme étant de très efficaces pourfendeurs de la classe laborieuse. Ils ont vaillamment participé à la curée devant mettre à sac nos acquis sociaux ! Attachants personnages au destin incertain mais trop bien intégrés, trop rapidement peut-être dans le corps des élites de la nation. Alors pourquoi auraient-ils hésité longuement avant de voter à l'unanimité, en catimini l'amélioration de leur confort personnel ! Alors que le capitaliste triomphant vient d'enregistrer un grave revers nos godillots participent joyeusement à sa remise en selle et il semble bien que leur objectif n'ait pas beaucoup changé : le but qu'ils semblent toujours poursuivre parait assez clair à savoir favoriser la libre entreprise afin de pouvoir plumer à l'aise le petit contribuable. Que voila la belle idée politique révolutionnaire ? Et ce sont ces personnages si attachants qui ne connaissent ni les fins de mois difficiles ni la crainte du chômage qui n'hésitent pas à supprimer la minuscule prime de transport octroyé aux actifs défavorisés par leur berger très magnanime ! Ce sont ces mêmes élus qui se transportent à longueur de mandats tout à fait douillettement aux frais de la princesse qui viennent, sans rire, nous proposer de travailler jusqu'à 70ans ! Peut-être envisagent-ils même de rénover le bagne de Cayenne afin d'offrir une saine détente aux jeunes laissés au bord de la route qui se montreraient quelque peu hargneux ! Et se sont encore les mêmes qui viennent de se faire épingler par la Cour des comptes qui a relevé une augmentation de 47% en dix ans des dépenses de l'Assemblée Nationale ! Pauvres moutons de France, avec un tel berger et d'aussi fantastiques assistants, tous « accro » de la tonte sauvage, c'est certainement un avenir exaltant qui nous attend demain ! Gentils moutons de France continuez à dormir en Paix ces gens là travaillent pour vous et bientôt ils vous proposeront la retraite livrée avec cercueil intégré ! Alors à chaque occasion qui vous sera offerte n'hésitez surtout pas à faire part de votre satisfaction aux élus nationaux de votre circonscription, tout particulièrement aux acteurs de l'actuelle grande braderie !