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03 octobre 2008
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L'UMP à Antibes s'applaudit et affiche en vitrine " l'unité de la majorité derrière l'exécutif"
article de lucienne magalie pons
L'exposition en vitrine et les applaudissements ne résistent pas aux critiques en coulisses !
En vitrine à Antibes, l’UMP a affiché et claironné l'« unité de la majorité derrière l’exécutif » …. en soulignant son engagement à 1000% derrière le Chef de l’Etat.
Selon l’Ump- villepiniste Hervé Mariton, il y a un pilote dans l’avion : "Le président est là, le Premier ministre est là (*), il y a un pilote dans l'avion. On doit avoir tous les débats nécessaires au sein de l'UMP mais pour la solution de la crise, il faut être unis......a proclamé Monsieur Hervé Mariton , renchéri ensuite par le villepiniste Jean-Pierre Grand qui a déclaré : "ce n'est pas le temps de la politique politicienne mais de répondre à l'attente de nos concitoyens".
Ndlr : je suppose que Monsieur Fillon est le co-pilote ? À moins qu’il ne soit le passager impuissant livré aux fantaisies acrobatiques du pilote devenu maître en la matière.
Toutefois un nuage de fumée planait désagréablement en arrière-plan dans l’Olympe UMP ; En effet le Conseiller Élyséen, Monsieur Henri Guaino, avait mis le feu aux poudres le matin même en affirmant : « les critères de Maastricht "ne sont pas la priorité des priorités», ….. il s’agit de "règles de temps ordinaires, pas de règles de crises "
Sachant à quel point la droite libérale est attachée aux critères et aux règles de Maastricht, il appartenait au ministre du Budget, Monsieur Eric Woerth, d’éclaircir le ciel, ce fut chose faite dans la soirée où -(après une journée de réflexion, d’observations ou de réserves pour ne pas jeter de l’huile sur le feu sur l’unité affichée) le ministre a répliqué : "On ne peut pas faire fi des critères de Maastricht. C'est une règle, une règle commune. Cette règle, évidemment, doit être respectée".
Pour faire régner la bonne entente et la discipline dans les coulisses et couloirs, Monsieur Copé patron des députés UMP, avait édicté une consigne impérative : "pas de petites phrases"-
Il aurait du prendre la précaution de prévenir …. « Pas de petites phrases … motus et bouche cousue » pour éviter que quelques voix discordantes ne s’autorisent à se faire entendre.
Tout d’abord, Monsieur Copé lui-même, enfreignant sa propre consigne après avoir entendu l’opinion de Monsieur Woerth, Ministre du Budget, qui avait déclaré :
-"Le laisser faire, le laisser aller dans le domaine des déficits ne peut exister, c'est une certitude et c'est le ministre du Budget qui vous le dit" en nuançant … "à situation aussi exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Nul ne peut fermer la porte à des mesures exceptionnelles" –
- Monsieur Copé donc, ne s’est pas privé de faire savoir qu’il ne partageait pas cette analyse : «Je ne partage pas cette analyse. Je pense qu'on doit être capables de prendre les bonnes mesures, tout en évitant la dérive des déficits", a commenté M. Copé.
Par ailleurs Monsieur Copé n’avait pas caché, en privé, son vif mécontentement après la sortie du conseiller élyséen.
En catimini quelques députés, se sont permis de se « moquer » de certains ministres dans la gestion de la crise, en désignant notamment entre eux Christine Lagarde par le sigle "TVB" ("Tout va bien").
Parmi les petites phrases exprimées en dépit de la « consigne Copé », la députée filloniste Valérie Rosso-Debord a estimé qu'il ne fallait pas "s'interdire de se poser des questions, même sur Maastricht" car "il n'y a pas de critères tabous".
Une consolation pour Monsieur Henri Guaino :
Enfin Monsieur Jérôme Chartier s’est déclaré "Pas choqué" par les déclarations de M. Guaino, et n'a pas manqué de rappeler que "dans son discours de Toulon, Nicolas Sarkozy n'a fixé aucune limite au soutien total qu'il apporterait aux Français face à la crise".
Le conseiller Elyséen du haut de l'empyrée avait allumé le feu dans la maison UMP, mais .....
Journées UMP: l'unité affichée face à la crise troublée par Guaino
Cliquez sur le titre violet souligné ci-dessus pour lire l'article.
la récession "s'invite" en France et risque de s'installer pour longtemps dans les ménages !
La récession s'installe en France et ronge le pouvoir d'achat des ménages
Le radiozapping sur fond d'Unité Nationale
Face à la crise, François Fillon et Nicolas Sarkozy en tête, quémandent tout en se montrant critiques envers l'opposition, une union nationale. François Hollande, Le PS, et même certains députés de la majorité, se montrent critiques.
Sur France Info Henri Emmanuelli a estimé que le premier ministre a "un serieux problème". Pour écouter le Radiozapping il suffit de cliquer sur le titre violet encadré ci-dessous :
02 octobre 2008
Sortir les entreprises du trou c'est renforcer le capitalisme ultra libéral au détriment du capitalisme social !
jeudi 2 octobre 2008
Article de lucienne magalie pons
Permissivité et laxisme et surtout encouragement, ont permis au capitaliste ultra libéral ces dernières décennies, avec une avidité sans précédents de profits, d’investir des capitaux dans des opérations financières non productives d’emploi et de croissance en spéculant sur des produits financiers purement spéculatifs.
Pour les sauver du désastre financier, les gouvernants politiques de différents Etats, notamment Européens, dans la ligne des USA, interviennent en puisant dans leurs caisses alimentées par les contribuables qui une fois encore sont appelés à cracher dans le bassinet.
« Laisser faire, laisser passer » en puisant dans la poche des contribuables, la politique capitaliste ultra libérale perdure et se renforce ! Car c’est bien renforcer le libéralisme « sauvage » que de le sauver de la faillite.
Pour sauver DEXIA, dont certains avec la larme à l’œil ont dit « il faut sauver le soldat Dexia qui se trouve au bord de la faillite », les gouvernements français, belge et néerlandais se sont généreusement cotisés : 6,4 milliards d’euros qui permettront son redressement et une augmentation de capital.
Oui pour ces gouvernements il fallait « sauver le soldat Dexia... établissement franco-belge, spécialiste du financement des collectivités locales, qui a perdu des sommes colossales sur les marchés américains, au détriment du financement des collectivités locales, et dont le cours en Bourse avait chuté de plus de 30 %.
(En bourse, après avoir perdu 7,53% à 10,07€ le 26 septembre, le titre Dexia s'effondre, le 29 septembre, de 34,26% à 6,62 euros pour remonter progressivement à 7,88 euros)
Sur les 6,4 milliards d’euros les autorités fédérales et régionales et les actionnaires belges (communes belges et investisseurs institutionnels) investissent 3 milliards d’euros le gouvernement français et
A l’issue de l’opération, la partie belge détiendra toujours la part la plus importante de Dexia , l’Etat français et le groupe CDC, eux, acquièrent une minorité de blocage, une part d’environ 25% pour garantir, selon le communiqué de l’Elysée, « la continuité du financement des collectivités locales françaises, dont Dexia Crédit Local est le principal prêteur, ainsi que pour contribuer à la sécurité et à la stabilité des systèmes financiers français et européen, conformément aux engagements du président de
Bien sur les deux dirigeants de Dexia ont démissionné de leurs fonctions. Pierre Richard, président du conseil d’administration, et Axel Miller, administrateur délégué et président du comité de direction ont tiré “les conclusions de la crise financière actuelle et de son impact sur le groupe Dexia”, selon le communiqué officiel.
Dans la foulée de sa démission Axel Miller toucherait une indemnité de 3,7 millions d'euros, soit l'équivalent de deux ans de salaire, dans le cadre de son départ et dans le monde politique ressurgie la polémique contre les «parachutes dorés», c'est-à-dire ces indemnités de départ accordées aux anciens responsables d'entreprises en grande difficulté, comme c'est le cas aujourd'hui avec Fortis et Dexia. . Les conditions financières du départ de Pierre Richard, président du conseil d'administration de la banque, ne sont pas précisées.
Axel Miller a estimé n'avoir commis aucune faute à la tête de Dexia et « une faute » serait difficile à mettre en évidence, quand on sait que DEXIA était une filiale de
critiqués, et alors que le patron de Dexia pourrait toucher le sien malgré la quasi-faillite de sa banque, pour prouver son engagement moral, le gouvernement a demandé à
.
Encore faudra-t-il prouver la « faute » et Axel Miller, avocat de formation, dont on dit qu’il est redoutable en défense, n’a pas l’intention de se laisser intimider : il connait la chanson et certains de
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Ces indemnités de départ sont censées compenser un manque à gagner potentiel du dirigeant qui s'engage à respecter une clause de non-concurrence et à le remercier des services rendus pendant sa présence dans la société. En moyenne, elles s'élèvent à trois années de salaire pour les PDG et entre une et deux années pour la direction générale.
Le parachute en or peut éventuellement être additionné à une « retraite-chapeau », complément de la retraite légale dont le versement est étalé pendant toute la durée de la retraite du bénéficiaire.
En Europe,
En droit français, un mandataire social peut être remercié sans qu'il soit besoin de motiver ni d'indemniser son renvoi. Pourtant nombreux sont les chefs d'entreprise qui quittent leur entreprise en plein échec, mais les poches pleines. Le plus souvent, les patrons français sont à la fois mandataires sociaux... et salariés, disposant d'un contrat de travail "suspendu" durant le mandat, mais bien souvent ressorti en fin de parcours pour justifier une indemnisation. Ce double état de mandataire-salarié est contre nature, car on ne saurait être dans un "lien de subordination" (c'est ainsi qu'on définit l'état de salarié) vis-à-vis d'une entreprise que l'on dirige soi-même. Mais il est surtout à la racine des indemnisations les plus choquantes : au moment du départ, on multipliera la rémunération très élevée du mandataire... par la protection très forte que le code du travail assure au salarié. L'étude de l'Institut Montaigne se penche sur ces incohérences du droit qui créent les scandales que l'on a connu ces dernières années.
Quelques parachutes en or :
Année Personne Pays- Société Montant global
2002 Jean-Marie Messier France Vivendi Universal 20,5 millions euros
2003 Philippe Jaffré France Elf 30 millions euros
2003 Pierre Bilger France Alstom 4,1 millions euros
2005 Carly Fiorina États-Unis Hewlett-Packard 42 millions US dollars
2005 Daniel Bernard
2006 Noël Forgeard France EADS 8, 5 millions euros
2007 Serge Tchuruk France Alcatel 5,7 millions euros
2007 Antoine Zacharias France Vinci 13 millions euros
2008 Patricia Russo
Nicolas Sarkozy fait même en 2007 la promesse électorale de légiférer, on parle alors d'une loi de moralisation de la vie économique.
Denis Gautier-Sauvagnac, ancien président de l'Union de l'industrie et des métiers de la métallurgie (UIMM), avait négocié une indemnité de départ de 1,5 million d'euros après des retraits suspects dans les caisses (19 millions d'euros) entre 2000 et 2007. En 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre des Finances, aurait été alerté par Tracfin (la cellule anti-blanchiment de Bercy) des retraits effectués depuis 2000 par DGS, mais aurait refusé que le dossier soit transmis à la justice
Voir :
1. ↑
2. ↑ "Comment bien payer les dirigeants d'entreprise", Institut Montaigne, Juin 2007
3. ↑ Discours aux parlementaires de la majorité Palais de l'Elysée 20 Juin 2007
4. ↑ Article de L'Humanité - "UIMM, silence au sommet de l'État", paru le 4 mars 2008
01 octobre 2008
La future maternité de Mme. Dati adoucit les moeurs des membres du Gouvernement
La Déesse MèreCe sera tout de même magnifique pour une petite fille d'avoir pour maman l'actuelle "Déesse de la Maternité" du Gouvernement François Fillon.
Le Gouvernement a son panthéon , ses Dieux et ses Déesses, certain(e)s ont bonne presse d'autres moins, selon la direction du vent Élyséen qui les fait tourner comme des girouettes aux caprices du Maître des lieux, le Dieu souffleur "Eole" qui souvent souffle tiède, froid ou chaud selon son humeur du moment ou du jour sans que le Dieu de l'environnement ne puisse intervenir pour régler son débit : chassez le naturel, il revient au galop !
Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers
Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025. ...
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