26 septembre 2008

Songes d'hiver , au coeur de la Provence

Réalisation : Chris
Songes d’hiver au cœur de la terre…
Sur la pointe des pieds se finit l’été…
Rêves parfumés, senteurs colorées…
Doux Souvenirs ensoleillés à cueillir…
Bouquet d’oiseaux dansant le menuet…
Chant lyrique, une candide rythmique…
Libellule diaphane au clair de canicule...
Légèreté volubile d’un regard extasié…
Ritournelle des cigales de plus belle…
Provence dans ma tête en affluence…

Nous avons chanté tout l'été ! Eh bien dansons maintenant

Pour fuire la morosité ambiante un petit voyage au Pérou


Peru
envoyé par VentureCo

en prime ! la surprise du Chef !

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Un nouvel article de l'auteur Duboubou1er

Ci-dessous j’ai plaisir à vous communiquer un article de l’auteur : Duboubou1 - St Martin Labouval que j’ai reçu daté du Jeudi 25 Septembre 2008

« Échangerais nanti de droite contre nanti de gauche ou vice-versa?

La cuisine politique que l'on nous mitonne depuis un bout de temps déjà n'est pas franchement enthousiasmante. Quant à toutes ces réformes que l'on nous annonce à grand coup de trompe elles ne sont pas, non plus, de nature à conforter la confiance en la démocratie de l'électorat dont les racines se trouve en France populaire !

Comment, en effet, peut-on croire que les discours que l'on nous sert, sans aucune modération et qui n'ont pas d'autre but que de nous faire accepter l'inacceptable, sous le prétexte fallacieux que le train de vie mené par le petit peuple de France met en péril la compétitivité de nos entreprises. Ces discours bien léchés débouchant immanquablement sur l'unique solution prétendue raisonnable qui consiste à abandonner sans la moindre compensation les quelques avantages engrangés, si péniblement, par nos anciens simplement pour permettre à quelques financiers entreprenants et à des entrepreneurs géniaux de mieux se positionner dans la hiérarchie du gratin international!

Certes, nous gens de la base, nous ne sommes peut-être pas tous « certifiés malins » mais nous ne sommes pas pour autant automatiquement aveugles et totalement sourds. Même si cela était le cas, le spectacle auquel nous venons d'assister: ce grand carambolage des géants américain de la finance qui servaient de modèle et de référence à nos dirigeants éclairés nous obligerait de toute façon à nous réveiller. Difficile en effet de ne point constater la formidable faillite de ce libéralisme que vénèrent toujours nos propres dirigeants, de droite comme de gauche. Et, bien sur, notre pilote du moment ne manque pas de briller par défaut en jouant au bon prophète moralisateur! Ce qui n'arrange rien !

Pendant ce temps les fossoyeurs de la finance qui ont conduit au désespoir tant de familles modestes outre atlantique n'hésitent pas à croquer sans plus attendre l'argent du peuple afin de pouvoir sauver un système qui garanti l'impunité à tous les malfrats de la planète ! Nul ne peut nier aujourd'hui que ce type de libéralisme ne nourrit royalement que des prédateurs et pourtant c'est devant ces caricatures de gestionnaires représentant la finance mondiale fort peu recommandables, que hier encore nos maitres nous conseillaient de nous prosterner !

Et que penser de la situation de notre beau pays face à une telle débâcle ? Sommes-nous réellement à l'abri de déconvenues graves et doit-on croire tout ce que l'on nous raconte, ou comme notre humoriste nationale déclarer ouvertement « Que l'on ne nous dis pas tout ! » Mais comment ne pas douter lorsque l'on sait que l'on a essayé de nous faire gober que le nuage de Tchernobyl n'a jamais franchi les frontières de notre hexagone ! Tout est donc possible à condition d'être suffisamment persuasif une qualité qui ne manque certainement pas aux saltimbanques qui nous informent en ce moment !

Mais que penser de la classe politique dans son ensemble ? Si l'on est frileux on n'en pense que du bien, mais si ce n'est pas le cas on doute beaucoup ! On peut alors se dire que les différents clivages ne change pas grand-chose au comportement des représentants du peuple après leur intégration dans l'un ou l'autre des palais de la république. Etre un godillot de droite ou un godillot de gauche ne change pas finalement grand-chose puisque l'on a droit au même confort. Pour le petit peuple de France un nanti c'est quoi ? Il est clair que les élus qui siègent au Sénat, à l'Assemblée nationale et dans des tas d'autres organismes aussi indispensables appartiennent à cette catégorie. Tous sont plus ou moins titillés par le goût du pouvoir mais à les regarder vivre sur les grasses prairies de notre belle république on arrive difficilement a plaindre ces malheureux qui font simplement de la figuration en combattant le pouvoir en place tout en jouissant d'un confort largement mérité .

C'est beau comme notre république qui affiche sur les frontons des édifices publics des mensonges éculés comme Liberté Egalité Fraternité…

Publié par Duboubou 1er

Information judiciaire

copie d'une dépêche d'AFP pour information

Presse people: rejet des demandes formulées au nom du fils de Carla Bruni-Sarkozy

NANTERRE (AFP) 25/09/2008 12:56


« Le tribunal de Nanterre a rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer. » rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer.Le tribunal de Nanterre a rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer.


Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...