30 août 2008

Russie: Sarkozy contredit Kouchner

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Russie: Sarkozy contredit Kouchner

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Au secours ! ..un article de Duboubou1

samedi 30 août 2008

Au secours !

De par la volonté de Nicolas 1er, nous sommes tous promus au rang de « tondu-bienfaiteur » des pauvres de France!

Les petits moutons retraités et les nantis de France
main dans la main sont heureux de vous annoncer qu'ils viennent d'être placés par surprise en première ligne d'une très belle action humanitaire appelée "RSA" imaginée par la gauche et mise en place subrepticement par Sarko 1er le bienfaiteur suprême !

Voici quelques réactions à chaud :

« Si à chaque nouvelle idée, on invente une nouvelle taxe, on va être totalement asphyxiés, très vite », a déploré la présidente du Medef, Laurence Parisot.

« Quant à Franck Riboud, le PDG de Danone, il laisse Sarko dans le yaourt. et prédit que les entreprises vont faire payer cette nouvelle taxe aux consommateurs. »

Quant au mouton retraité de base qui voit son pouvoir d'achat diminuer au fil des ans il se dit qu'une fois de plus il est cocu et pas content car le candidat Sarkosy avait promis la main sur le cœur qu'il n'augmenterait pas le niveau des prélèvements. Mais ce nouveau prélèvement de 1,1 % », qui s'ajoutera, dès 2009, aux 11 % de taxes déjà existantes sur ces types de revenus (CSG, CRDS, contribution pour la journée de solidarité, taxe de 2 %)va encore aggraver la situation financière des modestes retraités même s'ils sont fiers d'être considérés somme des bienfaiteurs ,ces pauvres électeurs dupés!

Désormais en France il vaut mieux être riche car cela peut permettre d'acquérir un maximum de biens qui rapportent suffisamment pour que le prélèvement de cette nouvelle taxe se révèle indolore ou alors très pauvre, divorcé(e) au chômage, avec 3 enfants et avoir au moins 25 ans pour pouvoir simplement vivre pour travailler!

A ne pas en douter nos lendemains seront radieux !

La politique à la française .. par Duboubou1

29 août 2008


Je vous invite à lire un article de Duboubou1:

La politique à la française : un vieux barnum assez décevant !

Nous traversons une formidable période car sans fournir le moindre effort nous pouvons constater que notre système démocratique se révèle assez pervers ! Comme elle est loin notre révolution française et oubliés ses excès ! On ne parle plus beaucoup de la noblesse à l’ancienne mais doit-on pour autant être fiers de la nouvelle aristocratie générée par l’argent et qui depuis ce grand bouleversement n’a jamais plus quitté le haut du pavé ! En effet si nos hobereaux de l’ancien régime ont disparus il est facile de constater que ceux qui les ont remplacés - une multitude de notables générés par notre suffrage universel- les nouveaux ne sont guère plus attachants !

Pourtant les lamentations qui nous parviennent de la classe politique veulent nous faire croire qu’il faut être un saint ou un laïque totalement désintéressé pour s’engager dans cette voie qui nécessite de tout sacrifier sur l’autel de notre démocratie qui pourtant fait tout ce qu’elle peut pour indemniser ses fidèles serviteurs ! Ce choix semble si peu intéressant que certains choisissent cette option directement avant la fin de leurs études. Il semble qu’aujourd’hui on entre en politique comme autrefois on entrait en religion ! Mais pourtant le résultat n’est pas automatiquement assuré et le label du premier échelon basique cette capacité qui permet d’aborder sérieusement la politique alimentaire, doit être validé par le suffrage universel et ce n’est jamais gagné d’avance, surtout si l’on est un besogneux ! Alors dans ce cas particulier il faudra avant toute chose, durement batailler dans un appareil politique où généralement l’accueil n’est chaleureux que le temps du paiement de la cotisation. Si l’on a du charisme et beaucoup de chance on peut espérer devenir un élu mais pas pour autant très rapidement un notable : c’est pourtant le prix à payer !

Il y a, toutefois, des précédents connus de tous, que des personnages insignifiants, voire falots, mais particulièrement pugnaces, soient parvenus a faire carrière en politique au point de ne jamais en sortir. Allant jusqu’à préférer, par exemple, le Sénat à la plus luxueuse des maisons de retraite ! C’est hélas tristement vrai ! Cela est d’autant plus incompréhensible alors que l’on sait que ces serviteurs du peuple tirent généralement le diable par la queue et que pour beaucoup d’entre eux c’est le chômage qui les guette et dans des conditions peu enviables !

C’est sans doute à ce risque de grande précarité bien ressenti par la majorité que l’on doit le comportement courageux et téméraire de ces représentants du peuple qui préfèrent généralement rester dans l’alignement du chef que de prendre des risques qui peuvent subitement hypothéquer une carrière prometteuse. Finalement les moins doués arrivent généralement facilement à défendre la veuve et l’orphelin dans leur circonscription et à se comporter en séance en authentiques godillots relayant des propos révolutionnaires du type : « Travailler plus pour gagner plus » simplement pour faire plaisir au chef !

Qui pourrait trouver ce type de comportement étonnant ? Certainement pas la majorité de leurs électeurs qui les réélisent sans problème vu que ces derniers confondent leurs permanences avec des bureaux de placement ou encore des centres sociaux distributeurs de friandises et l’on doit bien reconnaître que leur turbin marche très fort !

C’est à cela aussi que l’on reconnaît que nous vivons dans une république étonnamment prospère qui sait particulièrement bien gérer son troupeau !

Donc en fait, rien de bien nouveau dans le ciel de notre hexagone et surtout cela ne me semble pas une bonne raison pour baisser les bras. Tout cela finira, peut-être, un jour si notre bon peuple se fâche tout rouge ! Mais en l’état actuel de notre si brillante situation nous devons bien vivre cette sorte de cauchemar ?

Qui vivra verra même si pour moi l’espoir est un luxe qui me semble inaccessible : sans doute une conséquence de l’âge !

Qui vivra verra !

La rupture diplomatique Géorgie- Russie


Le président Géorgien vient de jouer sa dernière carte.

De Tbilissi le vice-ministre géorgien des Affaires étrangères a annoncé Vendredi 29 Aout la décision de son gouvernement de rompre les liens diplomatiques avec la Russie à la suite de la reconnaissance par Moscou de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie.

"Les intérêts de la Géorgie seront représentés par l'ambassade d'un pays tiers" qui n'a pas encore été déterminé, a précisé Grigol Vachadze.

La Russie a déploré aussitôt cette décision et annoncé la fermeture de son ambassade à Tbilissi.

Ainsi, la crise entre la Russie et la Géorgie a franchi un nouveau cap ce vendredi 30 Aout, et contre toute attente, la France qui pendant toute une semaine depuis Lundi ne cessait de jouer les gros bras en menaçant la Russie de sanctions … dont l’UE aurait les moyens selon Bernard Kouchner , la France donc cette fois par la voix de l’Elysée vient d’assurer « que l'Union européenne ne prévoyait pas de sanctions contre Moscou dans « l'immédiat », prudence oblige. Un retour à un langage diplomatique moins incisif !

En effet, les Vingt-Sept, qui se réuniront lundi en sommet extraordinaire à Bruxelles pour débattre de la situation dans le Caucase, semblent d'abord préoccupés par la volonté d’accorder leurs violons pour s’entendre sur un message d'unité sur un dossier qui les divise.

Certes, l'UE qui avait condamné "fermement" la reconnaissance, mardi par Moscou, de l'indépendance des régions sécessionnistes géorgiennes d'Ossétie du Sud et d'Abkhazie plaide encore pour que soit "pleinement" appliqué le plan de cessez-le-feu en six points conclu le 12 août sous l'égide de la France, qui assume depuis le 1er juillet la présidence de l'Union.

Mais l'Elysée, maintenant fait savoir, par un revirement inattendu pour les va-t-en-guerre de tous poils qui appuyaient sur le champignon pour gloser à tue tête, en réclamant des mesures punitive (sans rire on se demande lesquelles …) que l'idée de sanctionner un pays qui fournit le quart des besoins énergétiques de l'UE n'est pas d'actualité.

Tiens donc, il est bon de revenir à la réalité et de calmer le jeu, une douche froide pour les va-t-en-guerre

"Au stade actuel, nous ne prévoyons pas de sanctions décidées par le Conseil européen. Nous sommes dans une phase de mise en œuvre, qui pour le moment est partielle et doit être complétée, de l'accord en six points", a souligné l'Elysée.

Ce message est aux antipodes des propos tenus la veille par le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, qui avait indiqué que l'idée de "sanctions" était débattue.

Par qui, ou, quand, comment ? Trêve de gloseries, le chant du coq s’est subitement enroué !

"Ce qu'il a dit, c'est que certains pays membres de l'Union européenne souhaitaient des sanctions", a précisé l'entourage de Nicolas Sarkozy pour détourner les propos imprudents de Bernard Kouchner et les reporter vers « certains pays membres de l’UE ». Lesquels ?

L'allusion viserait en fait les anciens pays du bloc soviétique actuellement membres de l'UE, favorables à un durcissement vis-à-vis de Moscou.

En effet, un porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a affirmé que certains pays de l'UE, qu'il n'a pas nommés, cherchaient à mener les Vingt-Sept sur "la voie de la confrontation", et Andreï Nesterenko lors d'une conférence de presse à Moscou a déclaré : "Nous espérons que la raison prévaudra sur l'émotion, que les dirigeants de l'UE trouveront le courage de s'abstenir d'avoir une vision partiale du conflit".

Quelles sanctions contre la Russie s’interrogent les médias internationaux ? Certains vont à croire qu’une sanction douloureuse pour la Russie serait que l'Europe cesse de lui acheter du gaz. Une théorie de plus qui ne tient pas debout, l'Europe ne peut pas le faire quand on sait que les pays de l’UE ne peuvent renoncer à cet approvisionnement et qu’une politique commune de l’UE sur cette question n’est pas prête de voir le jour. Il n'a jamais été possible à l'UE de se mettre d'accord sur une politique énergétique commune. …

Un arrêt des importations sur le caviar ou les poupées russes ? N'importe quoi ! Restons sérieux ! …

Il ne reste plus à l’UE, France en tête, qu'à se calmer et sauver la face en reprenant un dialogue diplomatique digne à la mesure de ses moyens, purgé de toutes excentricités verbales, ce qui n’exclut pas la fermeté, et enfin de négocier ce qui peut encore l'être.

Attendons Lundi 1er Septembre pour savoir si l’UE se cabre ou se dirige vers l’assouplissement amorcé depuis ce vendredi.

des Perles TV






Question pour un con - planet
Question pour un con - planet


trop fort !


28 août 2008

Un nouveau comique et le RSA


Travail le dimanche : Sarkozy refait son sketch
envoyé par ZappeurLePost


Si je n'avais pas reconnu d'emblée les tics de notre Président j'aurais juré qu'il s'agissait d'un imitateur et d'un sketch comique d'un nouveau genre.



Tant que le RSA n'était qu'en projet vague et que la droite patronale se frottait les mains en pensant que les caisses sociales financeraient le RSA, personne ne bronchait, après tout pourquoi ne pas payer un salarié avec les fonds sociaux et bénéficier en plus de cadeaux fiscaux, mais depuis que Nicolas Sarkozy a décidé de financer le RSA en créant
une surtaxe d'1,1 point à la contribution de sociale de 2% sur les revenus du patrimoine et de placements , la grogne s'élève de partout, d'abord chez les bailleurs propriétaires d'immeubles, dans les ménages qui ont fait de petits placements fiananciers pour garantir leur retraites, et ensuite la tant charmante Parisot, Présidente du Medef, qui pense qu'on ne règle pas un problème en créant systématiquement une taxe, tous commencent à avoir des aigreurs d'estomacs et à ruer dans les brancards, y compris certains dans les rangs de l'Ump.

Grosses déceptions pour les entreprises néolibérales bénéficiaires du paquet fiscal et autres calineries fiscales et sociales, alors qu'ils s'imaginaient à grands pas de géants obtenir que les salaires de leurs employés finiraient par être presque intégralement payés par les fonds des caisses sociales.

Finalement avec cette nouvelle donne qui fait désordre dans le monde ultra capitaliste , le projet RSA va prendre de l'eau à défaut d'oseille et sombrer dans les abîmes des promesses non tenues. Monsieur Hirch n'osera pas bien entendu demander à Emmaüs de venir à son secours.

Je ne terminerai pas sans vous dire que je suis contre cette mesure qui consisterait en offrant, si tant est qu'ils existent, des emplois en mi-temps à environ 3.000.000 de personnes actuellement au RMI, aboutirait en définitive à les maintenir dans un inacceptable "assistanat" dans un pays qui se veut libéral pour tous les différents acteurs du monde du travail. De plus une épée de damoclès est d'ores et déjà tendues sur la tête des RMISTES, en cas de refus de deux propositions d'emplois en RSA, ils seraient définitivement rayés des listes du RMI et tomberaient alors sans aucune aide dans une misère totale qui ne semble pas inquiéter Monsieur HIRCH. Pour des raisons d'éloignement, de capacité ou d'insuffisance professionnelle, ou tout autre motif touchant à l'organisation de la famille, au logement, etc.... certains RMISTES seront amenés en dépit de leur bonne volonté à refuser ces offres sans aucun recours possibles. Est-ce vraiment là une politique crédible de retour à l'emploi des bénéficiares du RMI ou plus exactement une politique destinée à faire baisser artificiellement le taux du chomage en les rayant des listes ?

Il est vrai que les associations caritatives alors les prendraient sous leurs ailes pour les consoler et secourir surtout en paroles et quelques menues petites aides en nature du genre sandwiches et vêtements usagés, avant qu'ils ne tombent sur le trottoirs comme SDF.

Je noterai au passage que beaucoup d'associations caritatives font leur beurre d' un nombre important de personnes, en difficulté sociale ou en détresse, inscrites comme "secourues" dans leur livres et que leur nombre de visites à l'association sont soigneusement notées , ce sont en effet ces statistiques " d'activité" qui permettent à ces associations d'obtenir des subventions dont l' importance est proportionnelle à leurs interventions, de la part de l'Etat, des organismes sociaux et publics, et des collectivités locales, sans compter les dons des particuliers qui se laissent émouvoir par des appels aux dons lancés à toute occasion par ces associations, , sans pour autant que l'Etat ne juge nécessaire de contrôler sérieusement la réalité, l'efficacité ou l'importance des aides que ces associations accordent aux personnes "secourues", c'est ce que l'on appelle le "carity business" et que j'appelle moi l'exploitation de la misère sous prétexte de solidarité ou disons le mot "charité". Or, comme le dit le proverbe "charité bien ordonnée commence par soi-même" et ce ne sont pas les cadres et employés permanents salariés de ces associations qui oseront le démentir. Certes, tout travail mérite salaire, oui mais voilà, dans ces associations ce sont des bénévoles qui travaillent gratuitement et sont, tout comme les secourus, exploités.

Cette méthode qui consiste à maintenir en laisse des personnes socialement faibles sous assistanat caritatif en leur procurant une aide minimum permet aux associations de s'enrichir, mais elle ne peut en aucun cas être transposée dans le domaine des entreprises , il y aurait là une atteinte grave aux droit des salariés contraints de se contenter d'un travail à mi-temps pour un salaire dérisoire.



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Relais d'information  de lucienne magalie pons 1/ ppppppppppppppppppppp gggggggggggggggggggggg52:31 oo0oo 2/