11 mars 2008

Mon collègue, Mike, Journaliste citoyen reporter


Mike, Journaliste citoyen reporter sur le site Com4news a produit l’article ci-dessous et m’a donné autorisation de le publier sur mon blog.

Le spectre de Carla sur les Municipales

Première analyse du premier tour. En ce qui concerne les grandes villes, donc plus politisées que les hameaux, c'est une défaite pour l'UMP de l'imprésario Nicolas Sarkozy, protecteur de chanteuse hard discount. L'UMP rasait les murs dimanche soir. «Les résultats sont plutôt médiocres... Ce n'est pas l'Apocalypse mais c'est vrai que ce ne sont pas de très bons résultats...»

L'UMP espère un miracle, un sursaut au second tour, en appelant à la mobilisation des UMPistes sur des thèmes locaux puisque sur le plan national, c'est la débâcle. Le QG de La Boétie à Paris était désert. Les militants et la plupart des cadres du parti s'étaient barrés. Au QG du parti de Nicolas Sarkozy, l'ambiance était digne d'un enterrement. Diantre, cela contrastait bigrement avec l'euphorie et l'ambiance survoltée au soir des victoires de la présidentielle en mai et des législatives en juin 2007 !

Les ténors appellent donc à la mobilisation générale. En principe, c'est un mauvais signe. Alain Marleix, le général UMPistes et le porte-drapeau Yves Jego, ont appelé «à la mobilisation générale et totale» dimanche prochain et ont invité les centristes à la vigilance... François Fillon en bégayait. Là, ça annonce franchement le déluge. Patrick Devedjian, le secrétaire général de l'UMP, a admis la défaite en tentant de la minimiser. La Sarkozie est-elle déjà en train d'exploser ?

Dans nos villages ou hameaux bien sympathiques comme Le Donjon en Auvergne, où on attache une grande importance à une certaine morale, les photos de Carla Gilberta Bruni-Tedeschi s'exhibant à poil partout, le troisième mariage avec une chanteuse nul (le mariage, pas la chanteuse !), un traité européen imposé contre la volonté des citoyens, un pouvoir d'achat en dégringolade, un Euro filant vers Andromède, des prix qui décollent (certains prix, si on compare avec l'ex-Franc, ont augmenté de... 200 % !), un président qui s'augmente son salaire de 200 % alors que les salaires ont reculé par rapport à ceux de l'époque de l'ex-Franc, les gosses présidentiels venant d'un peu partout qui s'accumulent et les crises de colère de Nicolas insultant les Français en Bretagne ou au Salon de l'Agriculture ont été très mal digérés. Le Donjon de la droite vacille, la Bastille pourrait tomber.

La participation se situera entre 68% et 70%, elle était d'un peu plus de 65% aux municipales en 2001. Selon Michèle Alliot-Marie, «le deuxième tour clarifiera le jeu des alliances...» C'est un aveu ou Noutnoute se fait moinesse. Pierre Lellouche admet un «vote sanction» surtout dans les grandes villes. Le Réveil des Marmottes suggère de nouvelles directives ou rustines à la Constitution histoire de faire comme le chef Nicolas Sarkozy

a) Toutes les femmes de ministres et toutes les ministresses devront se balader à poil...

b) Vous devez insulter vos voisins au moins une fois par jour...

c) Mariez-vous avec des chanteuses n'ayant pas la nationalité française et sans publier les bans...

d) Faites-vous élire sous des pseudonymes...

e) Augmentez vous vous-mêmes votre salaire de 200 % au moins une fois par semestre.

f) Le mensonge étant la plus belle vertu, évitez de dire la vérité aux gens.

g) Piquez au moins une crise de nerfs par jour, ça les dénoue.

h) Si votre 3e presque-femme est une ex-Top Model et chanteuse à la guitare ultra-sèche, faites financer son retour médiatique par les contribuables et payez-lui un ampli... Ces directives vont sans doute vous inciter à voter UMP dimanche prochain, sinon, faites comme les femmes du président: n'allez pas voter.

A Marseille le Modem et le PS fusionnent pour le second tour !

Au lendemain du premier tour du scrutin municipal qui le crédite d'une avance de deux points sur son challenger socialiste Jean-Noël Guérini, le maire UMP de Marseille Jean-Claude Gaudin a suivi dans la foulée l’exemple des Messieurs Raffarin et Devedjian en proposant lundi des négociations au MoDem

"D'ores et déjà, nos listes sont ouvertes au MoDem. Les discussions* ont été engagées dans la matinée. On saura ce soir si elles sont acceptées", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. "Si Monsieur Benahmias et ses amis veulent se joindre à nous, c'est possible. Les gens du MoDem sont plus près de ce que je symbolise que du conglomérat de l'autre liste où il y a tout à la fois", a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, en s’imaginant créer l’évènement politique du jour

En fait cet évènement a été ressenti comme une farce marseillaise !

Ndlr * « les discussions » : locales ….. je le suppose

Par ailleurs, Monsieur Gaudin a reçu une aide importante de Nicolas Sarkozy, en effet tout en redéveloppant son programme, le maire sortant de Marseille a rendu publique une lettre de Nicolas Sarkozy qui annonce une série de mesures d'aide au développement économique et à la sécurité dans la cité phocéenne. Dans cette lettre en date du 6 mars (- J 3 avant le premier tour) le Président de la République s'engage à un renforcement des effectifs de la police nationale à Marseille, à apporter une aide financière pour le développement du port et pour celui des transports en commun en site propre.

"Je n'ai pas voulu la rendre publique avant le premier tour, cela aurait pu faire manœuvre", a-t-il dit.

Ndlr : ah Bon ! Et entre les deux tours ça fait quoi ? …. Un grand coup de pouce ou quoi d’autre ?

Jean-Claude Gaudin est arrivé dimanche en tête dans cinq des huit secteurs de Marseille, mais il ne possède que deux points d'avance sur son adversaire socialiste sur l'ensemble de la ville.

Le Modem est pour sa part crédité d'environ six pour cent des suffrages, notamment dans deux des secteurs clefs de Marseille qui pourraient décider du sort final de l'élection.

Le maire sortant a aussi énuméré un certain nombre de mesures de son projet, selon lui compatibles avec le programme du candidat du Modem, comme le développement des transports en commun en site propre, le développement des énergies renouvelables ou celui du tri sélectif.

"Il y a des points où l'accord ne sera pas facile", a-t-il cependant reconnu ….

Ce serait le cas du moratoire réclamé par le MoDem sur l'incinérateur actuellement en construction à Fos-sur-Mer, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Marseille, pour traiter les 1.200 tonnes de déchets produits quotidiennement par la Ville de Marseille

"M. Delanoë construit le plus grand incinérateur de France à Paris, cela n'empêche pas le MoDem de vouloir trouver un accord avec lui", a exposé Jean-Claude Gaudin, qui a aussi proposé de "renforcer la sécurité des habitants" à travers un comité d'experts scientifiques.

Le maire UMP sortant, Jean-Claude Gaudin, avait reçu dans la journée Jean-Luc Bennahmias, chef de file du MoDem à Marseille, pour tenter de trouver un accord.

Cet accord a échoué ! Les discussions ont notamment achoppé sur la question d'un moratoire sur un incinérateur en cours de construction à Fos-sur-Mer, à une vingtaine de kilomètres de Marseille.

Le chef de file du MoDem à Marseille, Jean-Luc Bennahmias, avait posé comme condition à son soutien l'adoption d'un moratoire sur l'incinérateur que construit Marseille dans la commune voisine de Fos-sur-Mer, sans tenir compte de l’opposition des organisations de défense de l’environnement fortement opposées à ce projet,.

Jean-Claude Gaudin a rejeté cette condition dans l'après-midi, affirmant ne pas vouloir remettre en cause ce projet.

Comme on a pu le constater Le MoDem a été très courtisé toute la journée de lundi, par les « ténors » de l’UMP à Paris, et à Marseille par le candidat UMP Jean-Claude Gaudin aussi bien que par le PS, et comme Monsieur Jean-Noël Guérini candidat socialiste proposait et propose toujours depuis plusieurs mois un tel moratoire il ne restait plus au Modem qu’à se retourner vers lui pour fusionner !

En conséquence un accord de fusion PS-MoDem a été annoncé Lundi soir : "L'essentiel de nos propositions ayant été reprises dans le programme commun que nous formons avec les listes de Jean-Noël Guérini, l'ensemble des têtes de listes du Mouvement Démocrate de Marseille appelle leurs électeurs à voter pour les listes » Faire gagner Marseille", ont déclaré Lundi Jean Noël Guérini et le MoDem.

La formation de François Bayrou, qui a obtenu 5,54 % des voix au premier de l'élection municipale à Marseille, était au centre des tractations de l'entre deux tours et c’est le PS qui l’emporte.

Rappel des résultats du premier tour :

Jean-Claude Gaudin est arrivé dimanche en tête dans cinq des huit secteurs de Marseille, avec deux petits points d'avance sur son adversaire socialiste sur l'ensemble de la ville.

Le Modem est pour sa part crédité d'environ 5,54 % des suffrages, notamment dans deux des secteurs clefs de Marseille qui pourraient décider du sort final de l'élection.

Les listes Gaudin ont recueilli dimanche 41,03% des voix contre 39,14% pour les listes de gauche de Jean-Noël Guérini le Modem 5,54% des voix.

Monsieur Gaudin on le voit bien se trouve en difficulté pour le second tour ! Voilà ce que c’est que de vouloir finasser avec un Modem qu’il a toujours auparavant combattu et tenu pour une quantité négligeable dans le contexte local !

A Marseille le Modem et le PS semblent avoir habilement joué à « qui perd gagne » !

Il nous reste à attendre les résultats !

Le Modem repousse les suppliques des Ténors « UMP »














En fin d’après midi Lundi Monsieur François Bayrou a rejetée les offres de rapprochement UMP de Messieurs Fillon, Devedjian et Raffarin.

"J'ai suivi avec attention et amusement tout au long de la journée la multiplication des propositions de « négociations globales »" dans un "donnant donnant sur Pau" a déclaré Monsieur Bayrou. "Ces annonces comportent une part de bluff et une part de manœuvre", a-t-il ajouté, précisant n'avoir reçu "aucun appel direct de qui que ce soit", jugeant que "le but" recherché "est de nous faire renoncer à la ligne d'indépendance et de clarté qui est la nôtre".

ooOoo

Après un cours intermède à Matignon, dimanche soir ou il a repris ses fonctions de Premier Ministre pour nous servir un discours ou le message était assez enrobé d’un pseudo neutralisme entaché de quelques flèches et critiques envers l’opposition accusant les responsables de l’opposition de vouloir exacerber les clivages politiques et en stigmatisant leur démarche comme partisane et ne correspond pas aux réalités et aux nécessités locales tout en invitant les électeurs « à ne pas mélanger les enjeux, Monsieur Fillon sortant de son rôle de Premier Ministre, s’est tout aussitôt employé à reprendre son soutien politique aux candidats UMP et apparenté convaincu sans doute que sa propre démarche n’est pas partisane comme il s’y est employé ces dernières semaines.

Ainsi nous pouvons constater que le Gouvernement nous impose sa politique partisane et qu’il y a une interchangeabilité des rôles entre les Dirigeant UMP et les membres du Gouvernement et pour conclure que la France est gouvernée par une dictature de parti étroitement liée au Gouvernement .

C’est ainsi que dès le Lundi 10 mars dès lendemain des élections L’'équipe dirigeante de l'UMP s’est rendue Lundi matin à l'Elysée, devenue depuis Mai 2007 une annexe luxueuse permanente du siège social de l’UMP, pour décider avec Nicolas Sarkozy et François Fillon de la marche à suivre dans l'entre-deux-tours des municipales pour tenter de limiter les dégâts alors que les instituts de sondages prédisent une victoire de la gauche.

Le rôle de militant actif et de soutien des candidats UMP en ballotage se confirme , Monsieur Fillon devrait notamment poursuivre sa mission politique partisane en privilégiant des villes où la bataille fait rage, en appelant les électeurs à « ne pas mélanger les enjeux » et en n’hésitant pas à mettre son titre premier Ministre en évidence pour faire gagner son camp et se poser comme le porte parole d’un parti politique, ce qu’aucun Premier Ministre n’a jamais fait jusqu’alors.

Si l’UMP perd au second tour il devrait logiquement rendre son costume de Premier Ministre, mais la logique n’est pas à l’ordre du jour du Gouvernement et du Chef de l’Etat depuis Mai 2007 et Nicolas Sarkozy a déclaré déjà la semaine dernière qu'il ne changera ni de « cap » ni d'équipe gouvernementale.

« Le président préside », rappelle-t-on à l'Elysée pour expliquer l’apparent « effacement » public du Chef de l’Etat dans la campagne municipale et cantonale, nous le savons, pour preuve nous avons pu le voir se rabattre sur sa fonction présidentielle, notamment à Vesoul, où il a pu admirer en visite dans un Centre de Formation et d’apprentissage la découpe de viande en tranches puis les montages des mises en plis et l’exécutions des soins esthétiques, dans différents ateliers, mais il n’en demeure pas moins qu’il reste à la conduite des manœuvres de l’UMP dans les coulisses.

Il est vrai que fin février, Jean-Pierre Raffarin avait sommé François Fillon « d'investir sa popularité dans le projet présidentiel » ce qui avait valu à l’ancien Premier Ministre de recevoir les félicitations du Chef de l’Etat pour avoir utilisé un ton « musclé ».

Je ne sais si c’est sous l’injonction de ce « ton musclé » que Monsieur Fillon dès hier Lundi a joint sa supplique à celles de Messieurs Raffarin et Devedjian pour appeler Lundi le Modem à des alliances avec l'UMP pour le second tour des élections municipales, dans le cadre d'un échange de bons précédés.

"Je dis que si les responsables du MoDem acceptent de soutenir les listes qui sont celles de la majorité présidentielle, naturellement nous soutiendrons les candidats du MoDem qui sont en position de se maintenir et d'être soutenus par notre majorité", a déclaré François Fillon, dans le XVe arrondissement de Paris ou il s’était rendu pour soutenir l’UMP Philippe Gougon en grande difficulté, dans cet arrondissement tenu par la droite depuis des décennies.

"Nous partageons beaucoup de choses ensemble mais en même temps, il doit y avoir un échange entre eux et nous sur cette question", a-t-il ajouté.

Puis délaissant Matignon tous les jours en mi-temps Monsieur François Fillon se rendra mardi à Longjumeau (Essonne) pour soutenir la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet en ballottage, ensuite mercredi à Tarbes (Hautes-Pyrénées) pour soutenir le candidat UMP en ballottage face au socialiste Jean Glavany.

Je ne sais pas si c’est l’Etat ou l’UMP qui fait face aux frais de déplacements de campagne et de soutien engagés par de Monsieur Fillon : il devrait nous le faire savoir c’est la moindre des choses.

En fin d’après midi Lundi Monsieur Bayrou a rejetée les offres de rapprochement UMP de Messieurs Fillon, Devedjian et Raffarin.

"J'ai suivi avec attention et amusement tout au long de la journée la multiplication des propositions de « négociations globales »" dans un "donnant donnant sur Pau" a déclaré Monsieur Bayrou. "Ces annonces comportent une part de bluff et une part de manœuvre", a-t-il ajouté, précisant n'avoir reçu "aucun appel direct de qui que ce soit", jugeant que "le but" recherché "est de nous faire renoncer à la ligne d'indépendance et de clarté qui est la nôtre".

A noter une exception : de Bordeaux Monsieur Alain Juppé qui en partie doit sa victoire dès le premier tour au soutien de François Bayrou qui n'a pas présenté de liste MoDem contre lui s’est proposé à titre personnel pour soutenir Monsieur Bayrou à Pau et c’est tout naturellement et en dehors des « ténors parisiens de L’UMP » , que François Bayrou et Alain Juppé s’entendront.

10 mars 2008

SOS ! l'UMP affaibli appelle le MoDem au secours !








Les Seigneurs de l’UMP tentent leurs dernières chances en en appelant au Modem !

L'UMP et le PS sont tentés par des accords locaux avec le MoDem, qui se trouve après les résultats du premier tour, en position-charnière dans de nombreuses grandes villes.

Passe pour le PS, je ne m’y attarderai pas. Le MoDem et le PS, je viens de l’apprendre dans la presse, feront ce qui leur semble nécessaire, en négociant au coup le coup localement pour étouffer « la bête » dans les urnes.

Ce qui m’intéresse pour le ridicule de la situation, c’est de souligner que les Responsables de l’UMP et apparentés, veulent faire de Monsieur Bayrou leur Deus ex machina pour remonter à la surface au deuxième tour des municipales et des cantonales.

Incroyable mais vrai !

C’est presque dramatiquement théâtral, mais comme les Responsables de l’UMP se la joue et essaient de nous la jouer depuis un certain temps, on peut dire que c’est tragi- comiquement théâtral ! Et justement en bon gaulois nous avions besoin de rigoler !

Alors que les municipales leur ont montré la défiance pour ne pas dire plus, des électeurs envers la politique d’un gouvernement étroitement lié dans ses décisions ,ses « intuitions » et ses « illuminations » avec les responsables de l’UMP, ces messieurs se mettent à ronronner en lançant un appel aux électeurs du Modem, en les confondant avec des roues de secours.

Il faudrait que les électeurs du Modem aient des prédispositions à se faire cocufier ou couillonner pour répondre à leur appel.

Ainsi après avoir à maintes occasions traîné dans la boue Monsieur Bayrou, ne cessant de le mépriser, le critiquer et de lui lancer leurs flèches verbales empoisonnées, les seigneurs de l’UMP et apparentés, dans leur déconvenue municipale et cantonales, avec une « fiertitude » parfaitement usurpée, osent appeler les électeurs du Modem à voter à droite au second tour en prenant des têtes d’ânes battus pour avoir du son et ensuite le bouffer tous seuls !

"Mon souhait, c'est qu'il y ait une négociation avec le MoDem parce qu'effectivement, dans un certain nombre de villes, la position du MoDem est très importante et peut décider du résultat", a déclaré ce Lundi 10 mars sur RTL le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian.

Quant au vice-président de l'UMP, Jean-Pierre Raffarin, il vient de remarquer ce Lundi 10 Mars, après une nuit de réflexion avec ses petits copains sans doute, que « le choix des électeurs du MoDem serait déterminant dimanche prochain » et en appelle les électeurs (du Modem) à voter à droite (UMP et apparentés) au second tour des élections municipales et cantonales pour que les « territoires ne bloquent pas le nécessaire changement du pays »

en déclarant ce Lundi 10 Mars sur France 2 : "J'appelle surtout les électeurs à choisir le pluralisme territorial" "Dans les régions rouges, le pluralisme c'est les départements bleus" …. , "Les électeurs du centre, de droite, les indépendants doivent se rassembler pour ne pas donner toutes les collectivités territoriales au même parti, le Parti socialiste". …. "Nicolas Sarkozy, pour la politique de changement *, pour la politique de réformes *, a besoin que les collectivités territoriales représentent ce pluralisme et ne constituent pas une sorte de mur hostile à la réforme*, de mur de l'immobilisme, de mur de la fiscalité locale qui freinerait la mutation* nécessaire de la France."

Ndlr : vous remarquerez au passage que depuis hier ces messieurs ont châtié leurs rodomontades en excluant le mot rupture de leur discours, pour le remplacer par les mots « changement », « réforme », « mutation » …..

Pour conclure son morceau de bravoure, le numéro deux de l'UMP, a souligné que "l'allié naturel du centre, c'est l'UMP et sa stratégie d'ouverture". "C'est notre stratégie d'ouverture qui nous permet de dire aux électeurs du centre qu'avec nous ils peuvent participer au pluralisme territorial." "Il est clair que le MoDem doit s'engager à fond pour offrir ce pluralisme territorial", a-t-il enfin déclaré.

Comment un parti aussi dictatorial que l’UMP peut-il plaider pour le pluralisme ! C’est à mourir de rire, au sens figuré, bien entendu. L’ouverture à gauche du Gouvernement qui tient en otage quelques ministre de gauche n’est pas du pluralisme, c’est une orientation tout au plus politicienne, mais oser plaider pour le pluralisme en reprenant ce mot qui est l’un des objectifs de l’ancienne UDF et maintenant du MODEM, vous m’excuserez mais c’est tout de même osé pour ne pas dire gonflé.

Au plan local les candidats UMP en ballotage ont reçu pour consigne de faire eux aussi des appels de pieds et des clins d’œil aux Modem, et à ses électeurs.

Il est temps de rappeler ici que dès Dimanche soir, François Bayrou à qui il ne manquait que 400 voix à Pau derrière la candidate de la gauche, avait bien déclaré que son mouvement ne donnerait pas de consigne générale pour le deuxième tour des municipales, mais examinerait la situation "ville par ville, candidat par candidat", et ce lundi il vient de le préciser en déclarant que le Modem n’accepterait que des alliances au cas par cas, et à condition que le parti centriste accepte les programmes de la gauche.*

Cette déclaration contient une orientation politique explicite, on ne peut plus claire, vers la gauche, je ne comprends pas pourquoi ces Messieurs de l’UMP insistent !

Ils continuent à être sourds et aveugles, que ne deviennent-ils muets.

TF1 : Par ici la "Pub" dixit livre blanc 2007 de TF1, Groupe Martin Bouygues.

Dès décembre 2007, TF1 chaîne privée du Groupe Martin Bouygues, n’a pas manqué de réclamer toute la part du gâteau « PUB » en présentant à Nicolas Sarkozy son livre blanc déclinant en huit propositions ses souhaits, tout en s’immisçant arbitrairement dans les décisions à venir du pouvoir, en demandant la suppression de la publicité sur les chaines publiques.

Cette intrusion par le canal d’un livre Blanc dans les affaires publiques est intolérable de la part d’un Groupe privé !

Le groupe de Martin Bouygues faisait valoir que cette mesure "aurait le mérite d'assainir le marché publicitaire, soumis enfin aux seules lois de l'offre et de la demande" en argumentant ( ou regrettant) que les chaînes publiques opèrent "une ponction très significative sur le marché publicitaire" et "mènent une véritable politique de dumping, entraînant une pression artificielle à la baisse du coût des écrans", tirant l'ensemble du marché publicitaire vers le bas.

Les souhaits de Martin Bouygues on été lus, entendus et retenus par Nicolas Sarkozy et le 8 Janvier en prononçant ses vœux le Président de la République sous influence « Martin Bouygues » et déterminé à le satisfaire sans le nommer, a annoncé en souriant d’un air dilettante le cadeau-surprise à venir, camouflé sous son annonce d’une prochaine réorganisation des chaînes publiques et suppression de la publicité et le même jour l’action TF1 , qui devait être le bénéficiaire principal de cet aimable « cadeau-surprise » en raison de sa part de marché prépondérante, faisait un bond de 9,47 %.

Soucieuse de na pas figurer comme l’une des bénéficiaires privilégiés des largesses du Nouvel an de Nicolas Sarkozy , la chaîne TF1 a cherché à corriger l'image d'un 'cadeau' qui lui serait ainsi fait par le président de la République", par la voix de son principal actionnaire Martin Bouygues, qui avait immédiatement assuré avoir "découvert" l'annonce présidentielle lors de sa conférence de presse.

L’initiateur informé en quelque sorte !

De qui se moque-ton ?

Qui paiera le manque à gagner des chaînes publiques ?

Affaire à suivre !


09 mars 2008


Drôle de surprise pour le couple représentant la France, alors qu’ils doivent se rendre prochainement en mars en Angleterre pour une visite à la Reine Elisabeth II, QC publie chez le « pudique Albion » des photos de Carla Bruni nue. Il ne s’agit bien sûr pas de photos volées. Les clichés ont été pris l’année dernière et sont signés par Inez Van Lamsweerde et Vinoodh Matadin, deux photographes réputés d’origine hollandaise.

GQ, « Gentelman Quaterly » publie trois photos au total, l’édition est datée d’avril 2008. Toutefois il est possible de l’acheter en kiosque dès à présent.

Municipales et cantonales : JOUR "J"..........










Ce n'est pas en pointant le ciel des deux index que les urnes se garniront de bulletins UMp et apparentés !





Les Maires et candidats UMP de province avait prié poliment Nicolas Sarkozy de les laisser mener leur campagne municipale à leur volonté et en toute sérénité locale, sans intervenir de quelques manières que ce soit dans leur décision d’ouverture.

La campagne municipale s’est déroulée sur un fond d’escarmouches et de polémiques ambiantes initiées par lui-même et ses amis, qui ont accentué le mauvais effet du bras de fer engagé avec le Conseil Constitutionnel, l’annonce d’un programme scolaire « compassionnel » …. et autres serpents de mer, j’allais écrire serpents de « merde » politicienne qui n’ont pas manqué d’empoisonner le climat politique et de discréditer dans l’opinion publique L’UMP et ses adeptes apparentés, à tel point que les Maires et candidats UMP de province ont du prier poliment, mais fermement, Nicolas Sarkozy de les laisser mener leur campagne municipale à leur volonté et en toute sérénité locale, sans intervenir de quelques manières que ce soit dans leur décision d’ouverture à droite, au centre ou à gauche.

Monsieur Sarkozy ainsi remouché et désavoué s’est donc consacré ces deux dernières semaines à ses devoirs Africains, visite éclair au Tchad pour satisfaire en promesses son ami Deby, visite en Afrique en Afrique du sud pour exposer en promesse sa nouvelle politique France et Afrique et faire signer quelque protocole au profit d’Areva notamment tout en exhibant sa nouvelle épouse Carla et la complimentant en public avec une fierté qui n’était prévue par l’étiquette, notamment en la câlinant et l’embrassant goulument à plusieurs reprises dans des enlacements énamourés, en présence du Président d’Afrique du Sud et de l’Archevêque Desmond Tutu qui par un sourire ébahi ou contrit ont fait contre mauvaise fortune bon cœur.

Ensuite après appel un appel aux Farcs pour demander la libération de Madame Ingrid Betancourt, ensuite notre Président s’est accordé une échappée belle pour tenter de recoller en Allemagne une amitié mise à mal par ses initiatives non concertée pour finalement s’aligner, du moins en apparence, sur la volonté de Madame Angela Merkel, une femme solide et à qui ont ne la fait pas, de resituer au cœur de l’Europe et de rebaptiser son projet d’« Union pour la Méditerranée »

Enfin après avoir lancé un appel aux Farcs pour leur demander la libération de Mme Ingrid Betancourt, après la mort de Reyes 2me du haut commandement des Farcs ( dont on vient d’apprendre qu’il était en négociation avec Bernard Kouchner)

Puis, toujours privé de propagande municipale, le président Nicolas Sarkozy a voulu voir Vesoul (Haute-Saône) avec pour objectif de visiter un Centre de formation et d’apprentissage de quelques 850 élèves et une cinquantaine de formations (métiers de bouche, coiffure, esthétique, mécanique...).

Après avoir pu admirer dans ce Centre et en différents ateliers d’apprentissage , en compagnie de Madame Christine Lagarde claudicante, équipée de béquilles suite à une « entorse souvenir » de son voyage en Afrique du Sud, le délicat découpage de viande et charcuteries diverses, les mises en plis et soins esthétique , en discutant au passage avec les formateurs et leurs apprentis, le Chef de l’état a développée dans un discours ses projets de revalorisation de l’apprentissage en faisant part notamment de sa promesse de hisser le niveau de cette «filière d'excellence» vers l'emploi.

Et pour rassurer, toujours en promesses, l’un des formateurs lui avait précédemment expliqué que l'ensemble des CFA forment 30% des quelque 420.000 apprentis de France, mais ne perçoivent que 3% de la taxe d'apprentissage, Monsieur Sarkozy a déclaré : «On va tout faire dès cette année pour réformer la formation professionnelle, pour revoir les conditions de collecte et de distribution de la taxe d'apprentissage afin de donner à des centres comme les vôtres davantage de moyens», ….. Tout en regrettant la «pagaille» qui règne, selon lui, dans le système de financement de la formation professionnelle.

Après avoir qualifié de «très bonne nouvelle pour l'économie française» la baisse du taux de chômage (passé à 7,5% au 4ème trimestre 2007), M. Sarkozy s'est réjoui du fait que l'apprentissage donne «une garantie à 100% d'avoir un emploi».

Pour conclure enfin par des promesses et des considérations générales « pommadantes » et moralisatrices :

«Les CFA et l'apprentissage doivent être mieux considérés dans notre pays», ……. «C’est d'abord une question d'image: les familles doivent comprendre que choisir la voie de l'apprentissage, c'est choisir la voie de l'excellence». ……. «Il vaut mieux être un apprenti qui réussit, qui trouve un emploi, qu'être un étudiant dans une filière entre guillemets « intellectuelle », où, à l'arrivée, il y a du chômage», a-t-il dit.

«Vous représentez cette France qui travaille, qui veut vivre de son travail. Vous aurez de beaux métiers, vous pourrez faire vivre vos familles, vous n'aurez pas besoin de tendre la main pour demander à quelqu'un de vous aider parce que vous vous serez aidés vous-mêmes», a-t-il lancé aux jeunes apprentis.

Ndlr :Des promesses, des compliments lénifiants, des encouragements, ca ne fait pas le poids, mais enfin ca permet de paraître aux JT de 13 et 20 heures chez l’ami Bouygues, sur les autres chaines et dans la presse en costume de Président classique Bcbg ; c’est toujours ça de tenté pour faire ressurgir son image d’une chute mortelle dans les sondages.

Mais dans notre pays où l’on peut se demander qui gouverne la France du Gouvernement ou de l’UMP , face au silence et à l’effacement du président dans la politisation de la campagne municipales et face aux critiques et à la montée de la gauche, Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, a sommé mercredi , plutôt que pressé, Nicolas Sarkozy de s'exprimer, "soit par un discours, soit peut-être par une interview" en affirmant "C'est le moment de cadrer les choses et un peu d'évacuer les fantasmes, parce qu'il (M. Sarkozy) fait l'objet de beaucoup de faux procès, c'est le moment de les dissiper »

"Notre électorat attend ça", a-t-il insisté, notant qu'il y a "en ce moment une vraie réaction contre la campagne vraiment très personnalisée qui a été faite contre" Nicolas Sarkozy, "une campagne ad hominem, visant sa personne et pas sa politique".

Ndlr : en affirmant qu’il y avait « en ce moment une vraie réaction contre la campagne vraiment très personnalisée « on peut comprendre que c’est Monsieur Devedjian qui est victime d’un fantasme ! Passons …..

Monsieur Nicolas Sarkozy s’exécutant aux vœux de Patrick Devedjian a accordé un entretien au Figaro, organe de presse de soutien inconditionnel à l’UMP et apparentés, par lequel nous apprenons, qu’il n’y aura pas de remaniement ministériel, pas de plan de rigueur, pas d’augmentation de la CSG, pas de taxe sociale, etc …. Bref un entretien destiné à calmer les électeurs à J – 3 avant le vote,

Dans cet entretien jeudi au Figaro, son organe de soutien inconditionnel, M. Sarkozy a minimisé l'échec attendu de son camp aux municipales au regard de son mandat présidentiel qui court jusqu'en 2012.

Ndlr : l’espoir le fait vivre dans cette fuite en avant, mais tiendra-t-il le coup jusqu’en 2012 ?

Dans ce même entretien M. Sarkozy a minimisé l'échec attendu de son camp aux municipales au regard de son mandat présidentiel qui court jusqu'en 2012. "Mon rendez-vous est clair: c'est la fin du quinquennat", a-t-il assuré.

Il a écarté la perspective d'un "plan de rigueur", dont le spectre est brandi par les socialistes, et promis de maintenir le rythme des réformes. Il a aussi réaffirmé sa confiance au Premier ministre François Fillon, dont la cote monte dans l'opinion contrairement à la sienne, malgré les rumeurs de dissensions entre les deux hommes.

Ndlr : cet entretien rassurant, ne suffira pas à convaincre les électeurs qui depuis le mois de Mai ont eu le temps de voir ses promesses non tenues, ses avancés, ses reculades, son gout de la provocation à la limite de la constitutionnalité, ses allées et retours, ses étalages de star de showbise, ses vacances de milliardaire aux frais de son ami Vincent Bolloré, ses amitiés affichées avec le Colonel Kadhafi, ses déboires sentimentaux, son remariage, ses idées, ses intuitions diverses, justement contestées par la droite modéré , le centre, et la gauche. Il devra en tirer les conséquences !

A la suite, le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian a estimé que « le long entretien de Nicolas Sarkozy dans "Le Figaro" a "le mérite de mettre les choses au point" pour l'avenir et "dément les allégations des socialistes" sur un plan de rigueur. Et s’est fait l’écho (bis répétita) de Monsieur Sarkozy en alléguant sur France Inter « qu’ il n'y aura pas de plan de rigueur", allant jusqu’à prétendre "Avec le PS, c'est à chaque fois la même méthode, mensonges et compagnies".

Ndlr : personne n’a le monopole de la vérité ! pas plus que le monopole du cœur !

Monsieur Devedjian a considéré dans son optique partisane que l 'interview du président dans "Le Figaro" a "le mérite de mettre les choses au point, de dire que le gouvernement continuera sa politique de réforme, que la question du pouvoir d'achat est centrale dans la politique du gouvernement et qu'il n'y aura pas de plan de rigueur, contrairement aux faussetés annoncées par le Parti socialiste", tout en assurant « qu'il n'y aura pas d'augmentation de la CSG, et de la TVA sociale: "il n'y en a pas eu après les législatives, malgré l'annonce de la gauche, et il n'y en aura pas après les municipales". Et "il n'y aura pas de nouvelles cotisations".

Concernant les élections municipales, "le carrousel des sondages est assez scandaleux, on nous explique que l'élection est déjà faite", a également affirmé Patrick Devedjian, mais il a estimé que "cela va conduire les Français à réagir".

"Je ne m'attends pas à la Bérézina, je suis combatif et prêt à affronter toutes les situations", a conclu le secrétaire général de l'UMP.

Ndlr : laissons Monsieur Patrick à ses certitudes et à ses espoirs fantasmatiques !

Quand à Monsieur Fillon qui a délaissé ces temps derniers Matignon, pour se consacrer au soutien politique des candidats UMP et apparentés, à trois jours du premier tour des élections municipales alors que les tensions sont plus que jamais aiguisées entre la majorité et l'opposition et que les sondages indiquent que l'UMP pourrait perdre plusieurs villes majeures comme Toulouse, Marseille ou encore Strasbourg , il a manifesté son dépit et sa fureur mercredi, à l'occasion d'une visite mercredi à Rennes où il était venu soutenir le candidat de la majorité présidentielle Karim Boudjema, en sortant son artillerie de propos excessifs en accusant la gauche d'entretenir rien moins qu'"un climat de quasi guerre civile".

Ndlr : Rien que ça ? ca me rappelle qu’il avait dit il y a quelque mois pour affoler les Français «que la France était en faillite » ! Personne ne croit à ces propos alarmant !

"Il y a un décalage entre le climat de quasi guerre civile que fait régner la gauche dans cette campagne, avec des attaques répétées, ad hominem et ces partenaires sociaux qui s'entendent", a prétendu Monsieur Fillon, qui la veille, s'en était pris à Laurent Fabius qu'il accusait de mentir de façon éhontée.

Ainsi, lors que l'image de Nicolas Sarkozy se casse de jour en jour, François Fillon a plaidé sur le sens de l'action politique menée par le gouvernement, évoquant la réussite du "traité simplifié" européen ou encore un chômage en baisse qui sera pour 2007 "inférieur à 7,9%" et a rappelé "qu'on ne gouverne pas la France à coups de sondage … » Nous avons cinq ans devant nous".

Ndlr : « Vous avez cinq ans devant vous …... l’avenir le dira , nul n'est prophète en son pays !

Ensuite à Nantes, au lieu de se tenir à Matignon déserté, le Premier ministre a dénoncé le "socialisme vindicatif et peu imaginatif" de Jean-Marc Ayrault, Président du Groupe socialiste à l’Assemblé Nationale, qui avait déclaré sur RTL : « en maintenant le cap des réformes économiques et sociales, Nicolas Sarkozy montre qu'il est sourd aux appels des Français,

Jean-Marc Ayrault en effet s'était déclaré choqué par les propos du Premier ministre, qui avait accusé la gauche de créer un "climat de quasi guerre civile" à l'approche des élections.

"Je trouve ça profondément choquant qu'il dise des choses aussi brutales et caricaturales", a-t-il estimé.

"Quand on tient de tels propos de la part du Premier ministre, ça ressemble à des gens qui perdent un peu la tête, qui perdent la mesure et qui transmettent au pays leur inquiétude, leur angoisse, alors que le pays a besoin de respect, de confiance".

Ndlr : En effet ils perdent la tête et ne savent pas tenir leur langue.

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...