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03 juin 2020

2 juin 2020 - Sputnik France : Pour Didier Raoult, l'étude de The Lancet a été faite par des Pieds nickelés ( source Sputnik France )

Éditorial de lucienne magalie pons

Pour nous qui soutenons le Professeur Raoult nous nous faisons un devoir de publier ci-dessous en intégralité un article publié le 2 juin par l'organe de presse Russe SPUTNIK FRANCE  relatant les récentes déclarations du Professeur Raoult qui revenant sur l'étude de la Revue médicale The Lancet   dans le cours d'une analyse défensive  très sérieuse  lance   pour  détendre ses propos quelques traits frappants   notamment : «Je n’y crois pas parce que je ne crois plus aux contes de fées depuis très longtemps», ou encore "«Le LancetGate, c’est un symptôme qui est tellement comique que, finalement, on dirait que les Pieds nickelés font de la science» ...! 

Copié/collé intégral  de source Sputnik-France 🔻

Didier Raoult

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Pour Didier Raoult, l'étude de The Lancet a été faite par des Pieds nickelés

Le professeur Didier Raoult est revenu une nouvelle fois sur l’étude de la revue médicale The Lancet pour affirmer que «cinq personnes dans un office» ne pouvaient pas faire plus qu’il en a fait avec ses équipes de plus de 250 personnes: «Je n’y crois pas parce que je ne crois plus aux contes de fées depuis très longtemps», a-t-il lancé.
Nullement décontenancé par les critiques à son endroit ni par la décision du ministère français de la Santé d’interdire l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, le professeur Didier Raoult continue de défendre ses idées.
Dans une nouvelle vidéo, le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée infection à Marseille a de nouveau critiqué l’étude publiée par The Lancet qui contredit ses conclusions sur l’usage de l’hydroxychloroquine pour soigner le coronavirus.
«Le LancetGate, c’est un symptôme qui est tellement comique que, finalement, on dirait que les Pieds nickelés font de la science», a-t-il affirmé.
Revenant sur l’article publié dans la revue scientifique médicale, il a déclaré qu’en le lisant il était évident «immédiatement que c’est un faux». Selon lui, «les gens ne font plus la différence entre les données réelles et les données digitales».
Or, «c’est qu’il y a une différence entre la réalité et un article qu’on est capable de faire avec un ordinateur sans avoir vu un seul malade», a souligné Didier Raoult.
Il estime qu’il existe actuellement «une espèce d’emballement dans lequel l’opinion devient plus importante que la réalité scientifique».
«Mais il y a de vrais docteurs qui voient des malades et qui les analysent. Ici pour faire ce travail sur 3.700 personnes il y a eu entre 250 et 300 médecins, pharmaciens, internes et étudiants en médecine. Il y a eu 100 médecins bénévoles […]. On a fait 150.000 tests pour 54.000 personnes», a-t-il précisé.
Il a ajouté que son équipe disposait également de 100 étudiants «qui étaient là pour rentrer tout dans les bases de données».
Et quand on veut «me faire croire qu’il y a cinq personnes dans un office qui arrivent à faire 20 fois plus que ce que nous on a fait avec plus de 250 personnes, je n’y crois pas parce que je ne crois plus aux contes de fées depuis très longtemps».
«Donc c’est juste pas vrai», a-t-il noté.

L’étude

Après la publication dans la revue The Lancet sur l’impact néfaste de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, le professeur Raoult a dénoncé cette étude, la qualifiant de «foireuse», et a affirmé qu’elle était basée sur un «big data mal maîtrisé».
Lui emboîtant le pas, d’autres scientifiques renommés mondialement ont exprimé leurs inquiétudes sur ces recherches et ont appelé, dans une lettre ouverte, à réaliser une analyse indépendante de l’impact de ces médicaments.
L’étude en question, parue le 22 mai, affirme que ni la chloroquine, ni son dérivé l'hydroxychloroquine ne se montrent efficaces contre le Covid-19 chez les malades hospitalisés et déclare que ces molécules augmentent même le risque de décès et d'arythmie cardiaque.

TVLibertés - 1 juin 2020 - exclusif : les standards d'éducation sexuelle voulus par l'OMS pour nos enfants : effrayant_ conférence de Me Jerzy Kwaśniewski - (vidéo TVL)

Éditorial de lucienne magalie pons

POUR INFORMATION - de source TVL -🔻



Document exclusif : les standards d'éducation sexuelle voulus par l'OMS pour nos enfants ... 

1 juin 2020
Chaîne officielle TVLibertés 



ABONNÉ
Conférence de Me Jerzy Kwaśniewski le 10 février 2020 à Cracovie dans le cadre d'une conférence intitulée "Quand les sex-éducateurs frappent à la porte de l'école ». Découverte des standards d'éducation sexuelle voulus par l'OMS pour nos enfants. Tout simplement effrayant.
Traduction pour TV Libertés par Olivier Bault, correspondant de presse (Présent, TVL, Visegrád Post) en Pologne.

2 juin 2020 - Nicolas Dupont-Aignan - Pensez-vous qu'on pourra résoudre les problèmes avec ceux qui les ont créés ? ( source NDA )

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION  - source Nicolas Dupont-Aignan  - 🔻




Pensez-vous qu'on pourra résoudre les problèmes avec ceux qui les ont créés ?


2 Juin 2020 
SOURCE :
Nicolas Dupont-Aignan

ABONNÉ
"Pensez-vous qu'on pourra résoudre les problèmes avec ceux qui les ont créés ? Tous les partis politiques parlent par opportunisme du Made in France et de l'Etat stratège, mais leurs plans de relance sont incohérents : ils refusent de rompre avec l'Union européenne et la mondialisation sauvage !"

2 juin 2020 - Florian Philippot - Révolte en Italie contre l'UE et l'euro ( Pas vu à la télé ...) ( message vidéo de source FLorian Philippot )

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION - source Florian Philippot - 



#Italie #Europe #euro

Révolte en ITALIE contre l’UE et l’euro ! (Pas vu à la télé...)


SOURCE : 
2 juin 2020
Florian  Philippot : Pas vu à la télé ! Mais ça bouge énormément en Italie, pour l’Italexit ! Il nous faut une stratégie à l’italienne, j’en parle ici en détails.
Rejoignez Les Patriotes : http://les-patriotes.fr/jadhere 🇫🇷 Ne restez pas seuls. Soyons concrets et dans l’action !
FLORIAN PHILIPPOT

ABONNÉ
ADHÉREZ AUX PATRIOTES : http://les-patriotes.fr/jadhere 🇫🇷

01 juin 2020

1er Juin 2020 - Florian Philippot : Coronavirus : a-t-on dit adieu à nos LIBERTES ? - DRESSAGE DU PEUPLE - ( vidéo de source Florian Philippot )

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION - source Florian Philippot - 🔻



#Avia #coronavirus #libertés

Coronavirus : a-t-on dit adieu à nos LIBERTÉS ?

1er Juin 2020
SOURCE :
FLORIAN PHILIPPOT

ADHÉREZ AUX PATRIOTES : http://les-patriotes.fr/jadhere 🇫🇷

Catégorie Actualités et politique

29 mai 2020- Message de Jacques Myard " Plus d'Europe : le mantra d'Emmanuel Macron a-t-il du sens ? ( source Jacques Myard )

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION DE SOURCE 🔻

cid:TE9HTyBDTlI0LmpwZw$676222$755101@jacquesmyard



MESSAGE
de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
President de l'Académie du Gaullisme


Le 29 MAI 2020



Plus d'Europe : le mantra d'Emmanuel Macron a-t-il du sens ?




" En ce temps de crise de pandémie, le débat européen a repris de plus belle. Les tenants du « plus d'Europe » prônent à chaque crise d'intégrer encore davantage l'Union Européenne, mettant son échec sur le compte d'une insuffisance d'Europe fédérale.

La figure de proue de cette thèse est aujourd'hui le Président Macron qui ne manque jamais d'appeler à une « souveraineté européenne » qui supplanterait les souverainetés nationales des Etats membres.




« Toujours plus d'Europe », fuite en avant idéologique

Lors des dernières élections européennes, il a ainsi envoyé à tous les médias une lettre, véritable épître à la manière de Saint Paul, appelant à une Europe fédérale. Cette missive a fait un flop et suscité de la colère parmi de nombreux Européens qui n'ont pas apprécié d'être chapitrés par le président français.

Ce « toujours plus d’Europe » est en réalité une fuite en avant idéologique bien éloignée des réalités.

Le monde politique allemand, quant à lui, n'a eu de cesse de prendre le contrepied des positions exprimées par Emmanuel Macron, et cela au plus haut niveau : demande du partage de notre siège au Conseil de Sécurité des Nations unies, abandon de Strasbourg comme siège du Parlement européen, lettre ouverte d’Annegret Kramp-Karrenbauer (AKK) en réponse à Emmanuel Macron prônant le retour à plus de coopération intergouvernementale en Europe.

Le 5 mai dernier, la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu un arrêt qui, en cette période de crise pandémique, a provoqué une certaine panique dans le monde technocratique de la zone monétaire haletante de l'euro.

La cour constitutionnelle fédérale allemande s'en mêle

La Cour critique fermement la politique d'achat des OAT (bons du Trésor) par la BCE, estimant que l'action de la BCE ne répond pas au principe de proportionnalité (article 5-1 et 5-4 ) du TUE : « En vertu du principe de proportionnalité, le contenu et la forme de l'action de l'Union n'excèdent pas ce qui nécessaire pour atteindre les objectifs des traités. »

La Cour relève que la politique d'achat de la BCE est de nature à mettre en échec la responsabilité de la Diète fédérale en matière budgétaire - le Bundestag - telle qu'elle est établie par la Loi fondamentale.

En conséquence, la BCE est tenue d'expliquer sa politique d'achat des bons du trésor, si cette politique répond au critère de proportionnalité — pas plus de 33% d'OAT pour un seul Etat et en proportion de la part du capital de la BCE. A défaut de réponse de la BCE dans les 3 mois, la Cour de Karlsruhe ordonnera à la Bundesbank de cesser de participer à ces achats de dette publique.

Le 18 mai dernier, un pré-accord a été conclu entre la chancelière Merkel et le Président Macron pour permettre un emprunt de 500 milliards d'euros par la Commission de Bruxelles. Est-ce là une nouvelle donne européenne ?

Le bras de fer ne fait que commencer

Les fameux 500 milliards d'euros « lâchés » par Merkel ne sont, en réalité, que l'acceptation d'avoir un budget doublé dans les trois ans à venir, financé par l'emprunt, mais il reste à déterminer : - Qui bénéficiera de cette manne ? Quelles politiques de l'UE seront bénéficiaires ? - L'attribution se fera-t-elle dans le cadre des politiques actuelles ? - Quelles conditions d'attribution des fonds : subventions ou prêts ?

 Les pays qui recevront ces fonds devront-ils respecter des conditions de réforme et être de fait placés sous la tutelle de la Commission ?
 Tous les États de l'UE seront-ils d'accord ?

La partie de bras de fer ne fait que commencer.

Au demeurant, le débat se portera d'abord en Allemagne car les traités n'autorisent pas les emprunts par la Commission. Les braves juges de Karlsruhe vont sans doute rappeler que l'article 125 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE) interdit à l'Union « de répondre des engagements des administrations centrales ». De plus, nombre de députés allemands sont hostiles à ce processus d'emprunts.

Mais une chose est certaine, cet emprunt s'inscrit dans le cadre financier pluriannuel (CFP) 2021-2027 du budget, il ne s'agit pas de créer un budget de la zone euro dont la fragilité s'accroît. Les prétendus « engagements allemands » pour un budget de la zone euro que le Président Macron croit déceler dans des propos de la chancelière relèvent de l'autosuggestion.

Sur ce point majeur, l'Allemagne refuse de payer, on ne peut nourrir aucun doute à ce titre.

L'Union européenne dans l'impasse

L'Union européenne est donc dans une impasse. L'alternative est simple : poursuivre une Europe chimérique ou construire une Europe des coopérations, à la carte, tout en conservant un marché intérieur plus adapté avec l’abandon du « tout concurrence » et la mise en place d'une politique industrielle pour protéger nos entreprises.

Quant à la zone euro, elle est née avec le handicap congénital, celui de ne pas reposer sur une zone économique optimale ; nombre d'Etats du Nord refusent d'assurer sa transformation en union de transferts pour maintenir hors d'eau les fameux PIGS ,  Portugal, Italie, Grèce et Espagne   auxquels il convient d'ajouter la France, qui subissent une monnaie trop forte, alors qu'elle est trop faible pour l'Allemagne. C'est la quadrature du cercle.

La réalité éclate désormais : le Traité de Maastricht (1992) a créé une UE artificielle et non viable ; les règles qu'il a instituées sont autant de carcans économiques inadaptés au temps de crise. Les Etats devraient décider de se libérer de ces règles obsolètes, en rétablissant, par exemple, les avances gratuites et perpétuelles des banques centrales aux Etats pour financer les investissements et relancer l'économie sans emprunter, comme cela existait avant 1992, n'en déplaise à l'Allemagne !

A défaut, l'UE est dans une impasse mortifère dont l'éventualité de survie s'éloigne comme l'horizon."

VALEURS ACTUELLES A PUBLIE MON ARTICLE DANS SON SITE INTERNET LE 28 MAI 2020





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