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30 juin 2016

Maitre Elie Hatem débattait sur France 24 Arabic de la sortie du Royaume Uni de l'Union Européenne (vidéo publiée le 29 juin 2016 )

Éditorial de lucienne magalie pons

Excellent débat "Sommet de Bruxelles ......Comment éviter la paralysie ?  sur "France 24 Arabic", avec notamment  la participation éminente de  Maitre Elie Hatem.

France 24 Arabic et ses invités   débattaient  du Sommet de Bruxelles en relation avec  la sortie du  Royaume-Uni de l'Union européenne,  qui soulève" l'inquiétude des dirigeants européens".  ...



Plusieurs interrogations émaillaient ce débat, et ci-dessous nous relevons quelques   interrogations qui illustraient ce débat :

 " .. ce qu'il faut faire pour éviter la Paralysie ? ...

" Comment va sortir le premier "Baldrahh" de la Grande-Bretagne?

  " qui est censé présider l'UE au second semestre de l'année prochaine? Quelles sont les solutions actuellement disponibles pour les Européens?

En passant notons que nous regrettons toujours que les débat de France Arabic 24 ne soit pas sous-titrée en Français ou en Anglais , d'autant que en reproduisons leurs  vidéos  sur mon site, je ne dispose pas souvent  du temps suffisant pour  traduire et reproduire ensuite en texte leurs émission.


27 juin 2016 : Le vice-amiral français Michel Debray a donné une interview à RT France dans laquelle a il soulevé les problèmes de la Défense française et du rôle de l’OTAN en Europe. ( informations et vidéos )

Éditorial de lucienne magalie pons


Le vice-amiral français Michel Debray a donné une interview à RT France dans laquelle a il soulevé les problèmes de la Défense française et du rôle de l’OTAN en Europe.

Nous avons rarement entendu  une interview de cette qualité qui prend de la hauteur sur le sujet et surclasse    tous les interviews  et discours de la classe politique actuelle qui se confine actuellement  dans des déclarations vengeresses et menaçantes  contre le Brexit anglais avec des arguments venant de dirigeants et responsables UE et  autres personnages vassalisés par les Etats Unis.

L'Amiral   Michel Debray   militaire de très haut grade,  a effectué sa carrière sous les présidences de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand et le début de Jacques Chirac, il est connu  comme expert militaire  par des prises de position sévères contre la politique militaire décidée au plus haut niveau de l’Etat  quand cette politique est contraire aux intérêts  de la France et de ses armées,  aliène son indépendance nationale et la liberté de son peuple..

Rappelons que  Michel Debray  a commandé les porte avions Foch et Clémenceau.

Il a présidé la Fondation Charles-de-Gaulle de 1998 à 1999. En 1997, il a participé à la fondation de l'Alliance pour la souveraineté de la France. Il a ensuite été membre du haut conseil du Forum pour la France de Pierre Marie Gallois. 




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REVUE DE PRESSE : 

Sur son site internet  RT France   accompagne  cette vidéo d'un article rapportant les points les  importants  de cet entretien, nous invitons nos lecteurs à en prendre connaissance :
  
* copié collé de source RT 


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" Pour l’amiral Debray, si des accords stratégiques sont possibles, l’OTAN est une force d’occupation

Le Brexit, s’il est respecté, pourrait aussi bouleverser l’UE en termes militaires, explique l’amiral Debray à RT France, confiant sa vision de la sécurité en Europe, l’hégémonie américaine et l’impératif, pour un pays, d’être maître de sa défense.


Pour l'amiral Debray, le Brexit aura bien évidemment des conséquences militaires, même si le Royaume-uni est dans l'OTAN et que tous les tenants de l'UE font semblant de ne pas savoir que leur défense dépend de cette dernière.
Face au Brexit, selon lui, «il faudra revoir la façon dont les membres de l'Union européenne considèrent leur Défense». Si l'on en croit sa vision, une telle remise en question est plus que nécessaire. 

Le choix britannique sera-t-il respecté ?

Néanmoins, établissant un parallèle entre le référendum sur le Brexit et celui sur la constitution européenne de 2005 lors duquel la France et les Pays-Bas avaient voté contre mais avaient été ignorés par l'Union européenne, l'amiral se veut réaliste :
«Le choix des Français et des Néerlandais a été complètement contourné par la suite et aujourd'hui, il n'en reste absolument rien. Le traité de Lisbonne a obligé la France à admettre tout ce que le peuple français avait refusé.
On peut alors imaginer que le vote [du jeudi 23 juin] n'aura pas de grandes conséquences. Je souhaite que les Britanniques ne soient pas floués par leurs dirigeants, comme les Français l'ont été par les leurs.»

L'ombre américaine

Dans une vision très gaullienne, l'amiral lie intimement la question de la relation du Royaume-Uni à l'UE à celle de son appartenance à l'OTAN : 
«Depuis les origines de la construction européenne, les Etats-Unis ont tout fait pour faire [de l'Europe] un fournisseur de supplétifs, pour que les Etats-Unis fassent la politique de Défense et que les pays européens fournissent les contingents de tirailleurs qui iraient à la boucherie s'il le faut.» 
Se laisser occuper par des forces armées étrangères en temps de paix n'est pas excusable
Le Brexit serait donc une épine dans le pied des Etats-Unis, qui cherchent à l'heure actuelle à renforcer l'OTAN en Europe, dans un processus que l'amiral voit affecter la France :  
«C'est tout à fait possible que la France accueille bientôt de nouveau des bases de l'OTAN sur son territoire. C'est possible depuis que notre président a commencé à engager des conversations avec l'OTAN pour qu'on revienne sur ce qui avait été fait du temps du Général de Gaulle en 1966, lorsque la France a fait sortir de son territoire tous les contingents étrangers qui n'avaient rien à y faire.
Avoir des accords avec des Etats étrangers est absolument concevable, mais se laisser occuper par des forces armées étrangères en temps de paix n'est pas excusable. C'est un travail qui a été commencé avec Jacques Chirac, qui a été poursuivi sous Nicolas Sarkozy et qui est en train d'être achevé par François Hollande. Une nouvelle fois, les élites se moquent de l'intérêt supérieur de la patrie et du vote de leurs citoyens.
Le peuple, on ne lui demande pas son avis. On ne lui a demandé son avis ni lorsque le service national a été supprimé, ni lorsqu'il a refusé la constitution européenne. Il n'y a rien de nouveau. Dès la création de la Communauté européenne de Défense (CED), qui est un projet des européens d'alors et des Américains de toujours, le projet était de réarmer l'Allemagne et d'utiliser les nations composées de pays membres de l'UE pour les mettre au service d'une politique de défense étrangère, celle de l'impérium américain.» 

France de 2016, France de 1946 : même combat ?

L'amiral Debray a pu appeler à la constitution d'un nouveau CNR, ou Comité National de la Résistance, organe qui coordonnait la résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale. Car, selon lui :
«Aujourd'hui la France n'est plus menacée par les divisions blindées de Hitler, mais par la volonté d'hégémonie des Etats-Unis.
Lorsque vous voyez que l'Union européenne - qui était une union économique, et qui est aujourd'hui une union sans adjectif qualificatif - condamne la France parce qu'il n'y pas de syndicat dans l'armée française... Qui commande quoi, en France ?
Un pays doit avoir la volonté de se doter de ses propres moyens de défense, voilà ma conviction.» 
Alors que le Premier ministre Manuel Valls a déclaré l'état d'urgence, que le plan vigipirate est à son niveau maximum et que la présence de soldats se fait plus que jamais sentir, les propos de l'amiral pourraient surprendre. Il est pourtant catégorique. 
«Il n'y a pas de militarisation en France depuis qu'on a supprimé le service national. Cela ne me concerne plus mais je le regrette profondément.
Le service national est pour moi un service que le France rendait à ses enfants. [...] La république manque aujourd'hui de moyens militaires.» 

Garder le contrôle de la capacité nuclaire, impératif de l'armée française

Mais, au-delà du service militaire, il y a, pour lui, un autre élément primordial à préserver afin que l'Etat protège la souveraineté nationale : le feu nucléaire. 
«L'armée française se porte très mal en grande partie depuis qu'on a supprimé le service national et du fait des diminutions des ressources qu'elle subit. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni, il faut le dire, ont une obsession de contourner la volonté française de disposer de sa propre dissuasion nucléaire. C'est pour eux un objesctif perpétuel : empêcher la France de se remettre au niveau où elle était parvenue à se mettre avec sa force de dissuasion nucléaire.
La France doit pouvoir disposer de ses propres forces armées comme elle le souhaite et refuser de se faire inféoder par quelque organisme supranational que ce soit
Il ne faut pas rêver à la disparition des forces de dissuasion nucléaire. Ni les Russes, ni les Américains, ni Israël, ni l'Inde ou le Pakistan ne se sépareront de leurs armes nucléaires. L'intérêt de [cette] arme est justement de ne pas être employée. Elle agit par la menace de son emploi, en arme justement dissuasive.
Il faut donc qu'elle existe, qu'elle soit en bon état et que nous la maîtrisions complètement. La force nucléaire française existe toujours et elle est en bon état [...] La défense doit être nationale et une défense nationale ne se traduit pas par une armée commune avec d'autres pays. La France doit son statut de membre permanent au conseil de sécurité de l'ONU à sa capacité nucléaire. Il faut que nos dirigeants en soient conscients.»

Les conflits par nations interposées

Garder le contrôle est d'autant plus essentiel, pour lui, que le monde de la guerre évolue et que la France semble se faire entraîner vers des terrains bien éloignés de ses propres intérêts.
Qu'il s'agisse de privatisation...
«Le monde évolue, demain il ne sera plus celui qu'il était hier. Les conflits qui se présentent ne ressemblent pas à ceux que nous commémorons cent ans après Verdun, mais certaines caractéristiques me gênent énormément.
Les sociétés militaires privées ? C'est un oxymore. Un état ne doit pas s'adresser à des gens qui veulent gagner de l'argent en vendant de la sécurité. Le rôle de l'Etat c'est de défendre son peuple et on défend son peuple avec une armée qui dépend de l'Etat et non pas avec des sociétés privées. [...] En France on sous-traite, privatise et externalise dans tous les domaines. Les militaires vont bientôt être formés par des civils.»
... de concurrence d'autres Etats...
«Le Japon est en train de manœuvrer pour avoir une armée alors qu'ils ne sont pas censés en avoir. L'Allemagne, sans rien dire commence à agir à l'extérieur de ses frontières, alors qu'il est écrit noir sur blanc qu'elle ne doit pas le faire.»
... ou de problématique stratégique, la France étant amenée à faire le travail pour d'autres nations :
«On agit par Etats interposés [...] La France est allée bombarder la Libye avec une énorme violence sur ordre des américains - et au mépris d'ailleurs des décisions prises au conseil de sécurité. L'armée française a fort bien rempli sa mission et l'a remplie pratiquement sans pertes, ce qui est totalement à son honneur. Mais on peut se demander quel intérêt avait la république française à entreprendre cette action. Pour le compte de qui avons nous agi ?
La France est allée bombarder la Libye avec une énorme violence sur ordre des américains et au mépris des décisions prises au conseil de sécurité
Contrairement à la Libye, dans le cœur de l'Afrique, la France a des raisons d’intervenir pour le bien des populations avec lesquelles nous avons des accords depuis de nombreuses années, au Mali, en Centrafrique, au Congo-Brazzaville [République du Congo]... 
C'est là que les populations ont besoin de notre appui. Nous ne pouvons refuser de leur apporter notre soutien militaire sous prétexte que les Etats-Unis dans des guerres qui ne nous concernent pas. C'est une question de souveraineté nationale et celle-ci ne passe que par une armée qui obéit uniquement à la volonté des responsables nationaux.»
______________

29 juin 2016

Istanbul :Terrible attentat à l'Aéroport Atatürk Mardi soir - 41 personnes tuées - 239 personnes blessées - (information et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

Dans les articles sélectionnés en REVUE DE PRESSE,  les informations qui sont données par les médias sur le sinistre attentat de l'Aéroport Atatürk de mardi soir,   au cours duquel 41 personnes ont perdue la vie et  plus de 239 personnes on été gravement blessées , évoquent différentes hypothèses quand à l'origine  de cette attaque terroriste, perpétrée par trois kamikazes,  qui se sont ensuite fait sauter ,certains parlent d'un groupe djihadiste de l'Ei, d'autres de rebelles kurdes. 

Pour essayer de comprendre ce qui c'est produit  dans une Turquie en proie  à des mouvements de rébellion et d'opposition à la politique du Président Erdogan, les médias se livrent à différentes interrogations en rapportant  que les autorités Turques ,  ont pointé du doigt notamment  le groupe djihadiste sunnite  de État islamique après l'attentat à l'aéroport international, mais d'autres hypothèse sont envisagées et commentées.

Nous avons noté    sur Europe 1 Midi  une excellente analyse de Ali Kazancigil, politologue franco-turc et directeur de la revue géopolitique Anatoli,  ce spécialiste  élargi la réflexion, pour lui  ces attaques s’expliquent par les choix politiques maladroits du président turc.


Attentat à Istanbul : "Erdogan a fait une... par Europe1fr


 Nous reprenons ci dessous  son intervention telle qu'elle est relatée  sur le site  de Europe 1 :
* copié/collé : 
"INTERVIEW
L’attentat qui a frappé dans la nuit de mardi l’aéroport d’Istanbul a fait au moins 41 morts, dont 13 ressortissants étrangers, et plus de 239 blessés. L’ombre du groupe Etat islamique plane sur l’attaque, même si pour l’heure aucune revendication n’a été formulée. En l’espace d’un an, la Turquie a été frappée par dix attentats.
Le double jeu d'Erdogan. Pour Ali Kazancigil, politologue franco-turc et directeur de la revue géopolitique Anatoli, ces attaques s’expliquent par les choix politiques maladroits du président turc. "Erdogan a fait une erreur stratégique énorme, parce qu’il est obsédé par l’éventualité d’une indépendance kurde en Turquie et en Syrie. Il a donné l’impression de demander à Daech d’attaquer les Kurdes. C’était une folie. Du coup, il y a eu des cellules djihadistes en Turquie même, et ils ont peut-être retourné un certain nombre de jeunes citoyens. Ces gens-là passent à l’action de temps en temps", explique ce spécialiste au micro d'Europe Midi. Il rappelle que quelques attentats ont toutefois été commis par des Kurdes radicalisés.
Une punition. "Le dernier attentat pourrait être une sorte de punition pour le rapprochement entre la Turquie et Israël", analyse Ali Kazancigil qui évoque l’amélioration des relations diplomatiques entre ces deux Etats stables au milieu du chaos qui frappe le Moyen-Orient ces dernières années.
Le même schéma qu'à Bruxelles. Pour autant, le groupe Etat islamique n’a jamais revendiqué aucune action en Turquie. Un silence face auquel les spécialistes n’ont pas d’explication, relève le politologue. Certaines attaques néanmoins, et notamment celle qui a frappé l’aéroport Atatürk, porte la marque de l’entité djihadiste : "C’est exactement une copie conforme de ce qui s’est passé à Bruxelles ; trois kamikazes, on tire sur les gens et on se fait exploser "..........."
 ( fin de la reproduction )
REVUE DE PRESSE 

Relation avec Daech : la Turquie "a joué avec... par Europe1fr

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La Turquie et l'EI : vers une guerre totale ?

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F.F.. Publié le 29.06.2016 à 18:39; Mis à jour le 29.06.2016 à 18:39. L'attentat d'Istanbul nous promet-il des jours sombres pour clôturer le ramadan ? Dès l'annonce de l'attaque à l'aéroport Atatürk mardi soir, nombreux ont été ceux à reprendre une 

Image pour le résultat associé aux actualités
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La communauté internationale a multiplié les messages de soutien à la Turquie alors que le président turc Tayyip Erdogan a appelé à une "lutte commune à mener, avec en tête les pays occidentaux, sur toute la planète contre les organisations terroristes".