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16 mai 2012

Passation de pouvoirs à Matignon entre François Fillon et Jean-Marc Ayrault, nouveau Premier Ministre

Éditorial de lucienne magalie pons



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    François Fillon, Premier ministre depuis 2007, et son épouse, ont quitté mercredi 16 mai l'Hôtel de Matignon ...
  5. Passation de pouvoirs à Matignon: Ayrault succède ...

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  6. Passation de pouvoirs à Matignon: Ayrault succède ...

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  7. video Passation de pouvoirs à Matignon: Ayrault ...

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    La cérémonie de passation des pouvoirs entre l'ancien Premier ministre François Fillon et son successeur ...

15 mai 2012

François Hollande en partance pour Berlin a du changer d'avion

Éditorial de lucienne magalie pons



En partance pour Berlin le Président François Hollande avait  quitté Villacoublay. Son avion avait  décollé peu après 17 heures de la base aérienne de Villacoublay (Yvelines) à bord d'un Falcon 7X présidentiel pour prendre la direction de Berlin,  mais l'avion de Hollande a été  touché par la foudre et a dû faire demi-tour, selon les agences de presse, François Hollande est monté dans un nouvel appareil. Il devrait arriver à Berlin à 20h30. 

 Le Président François Hollande rencontrera, comme prévu, la chancelière allemande Angela Merkel en début de soirée.

Jean-Marc Ayrault nommé Premier Ministre par François Hollande

Éditorial de lucienne magalie pons




Enfin un homme souriant à Matignon !


Jean-Marc Ayrault est nommé Premier ministre
15/05/2012

Le président de la République, François Hollande, a nommé Jean-Marc Ayrault Premier ministre, le mardi 15 mai 2012.

Sur la proposition du Premier ministre, le Président nommera demain les membres du Gouvernement, conformément à l'article 8 de la Constitution de la Ve république.

Investiture : Hommage à Jules Ferry, par François Hollande , Président de la République Française

Éditorial de lucienne magalie pons

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François Hollande : Son discours d'Investiture - 15 Mai 2012 -

Éditorial de lucienne magalie pons


"Mesdames et Messieurs les présidents, Mesdames et Messieurs,

En ce jour où je suis investi de la plus haute charge de l'Etat, j'adresse aux Français un message de confiance. Nous sommes un grand pays qui, dans son histoire, a toujours su affronter les épreuves et relever les défis qui se présentaient à lui. A chaque fois, il y est parvenu en restant lui-même ; toujours dans l'élévation et l'ouverture, jamais dans l'abaissement et le repli.

Tel est le mandat que j'ai reçu du peuple français le 6 mai : redresser la France dans la justice, ouvrir une voie nouvelle en Europe, contribuer à la paix dans le monde comme à la préservation de la planète.

Je mesure aujourd'hui même le poids des contraintes auxquelles notre pays fait face : une dette massive, une croissance faible, un chômage élevé, une compétitivité dégradée et une Europe qui peine à sortir de la crise. Mais je l'affirme ici : il n'y a pas de fatalité, dès lors qu'une volonté commune nous anime, qu'une direction claire est fixée, et que nous mobilisons pleinement les forces et les atouts de la France.
Ils sont considérables : la productivité de nos travailleurs, l'excellence de nos chercheurs, le dynamisme de nos entrepreneurs, le travail de nos agriculteurs, la qualité de notre service public, le rayonnement de notre culture et notre langue. Sans oublier la vitalité de notre démographie et la patience de notre jeunesse.

La première condition de la confiance retrouvée, c'est l'unité de la Nation. Nos différences ne doivent pas devenir des divisions, nos diversités des discordes. Le pays a besoin d'apaisement, de réconciliation, de rassemblement. C'est le rôle du président de la République d'y contribuer : faire vivre ensemble tous les Français sans distinction d'origine, de parcours, de lieu, de résidence, autour des mêmes valeurs, celles de la République, tel est mon impérieux devoir.

Quel que soit notre âge, quelles que soient nos convictions, où que nous vivions dans l'Hexagone ou dans les Outre-mers, dans nos villes, dans nos quartiers, dans nos territoires ruraux, nous sommes la France. Une France non pas dressée contre une autre, mais une France réunie dans une même communauté de destin. Et je réaffirmerai en toute circonstance nos principes intangibles de laïcité, comme je lutterai contre le racisme, contre l'antisémitisme et contre toutes les discriminations. 

La confiance, c'est l'exemplarité. Président de la République, j'assumerai pleinement les responsabilités exceptionnelles de cette haute mission. Je fixerai les priorités mais je ne déciderai pas de tout, pour tout et partout.

Conformément à la Constitution, le gouvernement déterminera et conduira la politique de la Nation. Le Parlement sera respecté dans ses droits. La justice disposera de toutes les garanties de son indépendance. Le pouvoir au sommet de l'Etat sera exercé avec dignité mais simplicité, avec une grande ambition pour notre pays et une scrupuleuse sobriété dans notre comportement.

L'Etat sera impartial, parce qu'il est la propriété de tous les Français et qu'il n'appartient donc pas à ceux qui en ont reçu, pour un temps limité, la charge. Les règles des nominations des responsables publics seront encadrées. Et la loyauté, la compétence et le service de l'intérêt général seront les seuls critères pour déterminer mes choix pour les grands serviteurs de l'Etat.

La France a la chance de disposer d'une fonction publique de grande qualité. Je veux lui dire ma reconnaissance et l'attente que je place en elle et en chacun de ses agents.
La confiance, elle est dans la démocratie elle-même. Je crois à la démocratie locale, et j'entends la revivifier par un nouvel acte de décentralisation susceptible de donner des libertés nouvelles pour le développement de nos territoires.

Je crois en la démocratie sociale et de nouveaux espaces de négociations seront ouverts aux partenaires sociaux que je respecterai : aussi bien les représentants de syndicats de salariés, que les organisations professionnelles. Je crois à la démocratie citoyenne, celle des associations et des engagements civiques qu'elle mobilise. Les bénévoles seront soutenus pour leur dévouement pour la République.

La confiance, elle repose sur la justice. Dans les choix. Dans la conception même de la création de richesse. Il est temps de remettre la production avant la spéculation, l'investissement d'avenir avant la satisfaction du présent, l'emploi durable avant le profit immédiat. Il est temps d'engager la transition énergétique et écologique. Il est temps d'ouvrir une nouvelle frontière pour le développement technologique et pour l'innovation.

Mais la justice, elle est aussi dans la répartition de l'effort indispensable. Il ne peut pas y avoir des sacrifices pour les uns, toujours plus nombreux, et des privilèges pours les autres, sans cesse moins nombreux. Ce sera le sens des réformes que le gouvernement conduira, avec le souci de récompenser le travail, le mérite, l'initiative, et de décourager la rente et les rémunérations exorbitantes. La justice, ce sera le seul critère sur lequel chaque décision publique sera prise, au nom de la République. 

Enfin la confiance, c'est à la jeunesse que la République doit l'accorder. Je lui rendrai la place qui doit être la sienne. C'est le fondement de mon engagement pour l'école de la République, car sa mission est vitale pour la cohésion de notre pays, pour la réussite de notre économie et pour la promotion de chacun. C'est la volonté qui m'anime pour rénover la formation professionnelle, pour accompagner les jeunes vers l'emploi et lutter contre toutes les précarités. Ce sera aussi la belle idée du service civique que j'entends relancer.
  
Mesdames, Messieurs, en ce jour, bien des peuples - et d'abord en Europe - nous attendent et nous regardent. Pour surmonter la crise qui la frappe, l'Europe a besoin de projets, elle a besoin de solidarité, elle a besoin de croissance. A nos partenaires, je proposerai un nouveau pacte qui alliera la duction nécessaire des dettes publiques avec l'indispensable stimulation de l'économie.

Et je leur dirai la nécessité pour notre continent de protéger, dans un monde si instable, non seulement ses valeurs mais ses intérêts au nom du principe de réciprocité de nos échanges commerciaux.

La France est une Nation engagée dans le monde. Par son histoire, par sa culture, par ses valeurs d'humanisme, d'universalité, de liberté, elle y occupe une place singulière dans le monde. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen a fait le tour du monde. Nous devons en être, et moi le premier, les dépositaires. Et nous situer aux côtés de toutes les forces démocratiques du monde qui se recommandent de ces principes.

La France respectera tous les peuples, elle sera partout fidèle à la vocation qui est la sienne : défendre la liberté des peuples, l'honneur des opprimés et la dignité des femmes.

En cet instant, et j'en mesure la solennité, où je suis chargé de présider la destinée de notre pays et de le représenter dans le monde, en cet instant je salue mes prédécesseurs. Tous ceux qui avant moi ont eu la responsabilité de conduire la République.

Charles de Gaulle, qui a mis son prestige au service de la grandeur et de la souveraineté de la France. Georges Pompidou, qui fit de l'impératif industriel un enjeu national. Valéry Giscard d'Estaing qui relança la modernisation de la société française. François Mitterrand, pour lequel j'ai une pensée toute particulière aujourd'hui même, qui fit tant pour faire avancer les libertés et le progrès social. Jacques Chirac qui marqua son attachement aux valeurs de la République. Nicolas Sarkozy, à qui j'adresse mes vœux pour la nouvelle vie qui s'ouvre devant lui.

Mesdames, Messieurs, je veux servir une grande cause : le rassemblement, le redressement, le dépassement, et l'espoir d'en être le fil conducteur. Vive la République, et vive la France !


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Investiture du Président de la République Française François Hollande

Éditorial de lucienne magalie pons


Relation résumée de l’investiture de François Hollande

1ère partie  -  Ce matin à L’Elysée  -

Monsieur François Hollande avait souhaitée une cérémonie sobre, son vœu a été exaucé  et la sobriété républicaine  qui a entouré cette cérémonie l’a revêtue  selon les instants,  d’une noble  solennité, et d‘une grande dignité,     qui conviennent  bien à la l’étiquette protocolaire de la République  Française,  que nous avions perdue de vue depuis 2007.

Le nouveau Président devait arriver dans la cour d’honneur vers 10 heures, un long tapis rouge avait été déployé  depuis 7 h 30 du matin  plus de  700 journalistes accrédités arrivaient  et envahissaient progressivement la cour  du Palais de l’Elysée, certains accédant même aux toits du Palais  pour suivre la cérémonie.


Question ambiance  extérieure une mauvaise note de tenue est à décerner à l’UMP, en effet  on remarquait vers 9 heures postés  en face de l’entrée de  l’Elysée   quelques  300 militants de l'UMP tenant des pancartes avec le slogan  "Merci Nicolas",  d’après les médias ils  avaient été sollicités par l’UMP par SMS pour venir applaudir Nicolas Sarkozy à son entrée et à sa sortie sans doute, mais aussi pour crier   leur aversion  à François Hollande ou encore toujours selon les médias pour  éviter que Nicolas Sarkozy  ne quitte pas ses fonctions sous les sifflets  comme en 1981 ce fût le cas   lorsque lors de la  passation de pouvoirs droite-gauche , Valéry Giscard d'Estaing avait essuyé des sifflets en quittant, à pied, le 55 rue du Faubourg Saint-honoré.

Quoiqu’il en soit cette manœuvre de l’UMP de nature politicienne, parfaitement ridicule, n’a eu pour résultat  qu’un minable  battement d’aile de mouche de coche,   en marge de la belle ordonnance de la cérémonie.

A quelques minutes de l’arrivée du Président François Hollande on entendait sur place, diffusée par les hauts parleurs,  l’interprétation musicale  par l’orchestre de la Garde Républicaine, d’un extrait des Indes Galantes de  Jean-Philippe Rameau

Avant que n’arrive François Hollande, les journalistes  assiègent de questions  les personnalités déjà présentes sur les lieux et quelques uns obtiennent des informations qui en principe ne devaient être connues que dans l’après-midi, toutefois avec une certaine réserve dans leurs réponses , mais  on finit par comprendre notamment que ce serait Jean Marc Ayrault qui devrait être nommé Premier Ministre .

Plus que 5  à 7   minutes à attendre la salle des Fêtes de l'Elysée finit de se  remplir  d'invités arrive notamment Pierre Mauroy ancien Premier Ministre,  Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel, Jean Marc Ayrault très entouré  est lui déjà arrivé depuis un bon moment.

On remarque aussi parmi les invités  les dix prix Nobel  français, notamment    François Jacob, Prix Nobel de Médecine en 1965,  Jules Hoffmann, également Prix Nobel de Médecine, mais en 2011.


A l’intérieur le collier de Grand maître de l'ordre de la Légion d'honneur  est déjà  installé  sur une petite table.

Tout est prêt, on attend le  président élu  qui  doit arriver  depuis son domicile personnel à L’Elysée à 10  heures, dans un cortège sans sirène et devant  respecter tous les feux rouges et  la limitation de vitesse à 50km/h., et justement à 9 h 58 les médias audio-visuels annoncent l’arrivée du cortège à l’ Elysée comme imminente.

Vers 10  heures effectivement, tout va très vite,  le nouveau Président élu  emprunte le tapis rouge  et s’avance vers  Nicolas Sarkozy qui descend les marches du perron pour l’accueillir,  les deux hommes se serrent la main puis rentrent immédiatement dans le Palais pour se retirer pour un entretien d’une vingtaine de minutes,   en strict tête à tête, au cours duquel seront d’après les médias, seront transmis  les dossiers délicats,  et les codes nucléaires.

On remarque dans la salle des fêtes les cinq anciens Premiers ministres socialistes et les responsables des grandes centrales syndicales.

 Des invités de marque  ou connus continuent à arriver dans la salle des Fêtes, notamment Mazarine Pingeot fille du feu Président François Mitterrand, à côté d'elle,  Faouzi Lamdaoui, qui était chef de cabinet du candidat socialiste

Et   par ailleurs arrive aussi   le   patron de la CFDT François Chérèque  qui se place au premier rang avec les corps intermédiaire et qui finalement se trouve à coté de Laurence Parisot Présidente du MEDEF et en  attendant  le retour  de François Hollande dans la salle des Fêtes de l'Elysée, François Chérèque (CFDT) et Laurence Parisot (Medef)  entament  un dialogue animé et souriant, au premier rang des invités de la cérémonie.

Pendant ce temps sur  les Champs-Elysées, les médias constatent que  deux camions de gendarmes mobiles sont garés devant le Fouquet's, et que des gendarmes, en grande tenue et  gants blancs, sont postés tout le long de l'avenue que doit remonter  le nouveau président en fin de matinée.

Revenons dans  la salle des fêtes de l’Elysée,  sous quelques effluves musicales,  Jean-Marc Ayrault  parle  avec Jérôme Cahuzac, ils sont  rejoints par Jean-Louis Debré,  Dalil Boubakeur, Pierre Bergé,  Martine Aubry, Claude Sérillon, Pierre Lescure, Catherine Ceylac, Bruno Masure, et on apperçoit aussi  Laurent Fabius, Lionel Jospin, Pierre Mauroy, Pierre  Moscovici, Pierre Méhaignerie, Michel Charasse ,  Louis Giscard d'Estaing et bien d’autres célébrités politiques ,  mais nous ne pouvons les citer tous.


Vers 10 h 40 , les caméras nous montrent sur les écrans François Hollande et Nicolas Sarkozy qui viennent de terminer leur entretien discuter brièvement dans les couloirs de l’Elysée, leurs compagnes respectives sont là et en fait ils se font leurs adieux , et très vite on voit Nicolas Sarkozy et son épouse quitter l’Elysée main dans la main par le tapis rouge au bas duquel leur voiture les attend, Carla avant d’arriver à la voiture fait un signe de la main, Nicolas Sarkozy monte dans la voiture et fait un signe de la main pendant qu’elle démarre.


4 minutes après , le départ de Nicolas Sarkozy, dans une des salles de l’Elysée,  François Hollande reçoit l'insigne de Grand maître de l'Ordre de la Légion d'honneur et signe un registre, puis  entouré du président du Sénat et du président de l'Assemblée nationale, il rejoint   la salle des fêtes où l'attendent tous ses invités.

 Tout aussitôt, Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel, investit officiellement François Hollande.


 "Vous incarnez la France", affirme-t-il avant de "féliciter" le nouveau président.

A 10H47  Le nouveau Président de la République François Hollande entame son premier discours de président. Nous résumons ci-après les éléments essentiels de son discours, il  et promet de "redresser la France dans la justice, d’ouvrir une voie nouvelle à l'Europe et contribuer à la paix du monde"."Nos différences ne doivent pas devenir des divisions, nos diversités des discordes", poursuit le nouveau président pour qui "la France a besoin d'apaisement, de réconciliation, de rassemblement". "C'est le rôle du président d'y contribuer, faire vivre ensemble tous les Français sans distinction autour des mêmes valeurs, celles de la République, tel est mon impérieux devoir".

François Hollande est très applaudi après son discours  qui a été écouté avec une attention extrême et dans un silence remarquable,.

C’est le moment pour François Hollande de venir saluer et remercier les corps constitués, les anciens Premiers ministres socialistes, et les corps constitués. Madame Valérie Trierweiler fait de même quelques mètres après lui.

(Quand nous disposerons du texte complet du discours nous le publierons dans notre blog.)

 Pendant de temps des personnalités quittent l’Elysée, notamment Henri Guaino que l’on voit sur les écrans répondre  à des journalistes,  très ému semble-t-il  d’après les dires d’  un journaliste  qui s’étonne de lui voir des larmes dans les yeux, ce que pour notre part nous n’avons vu à l’écran, par contre nous l’avons vu à la sortie du Palais serrer des mains de militants UMP qui lui crient « Merci, Merci » pour le remercier de ce serrement de mains, et qui ensuite mission accomplie s’en vont en chantant « on est dans la merde » ! , ce qui mesure le niveau lamentable  et plus que vulgaire de leur militantisme.

Mais pour le Président de la République il est temps maintenant de passer les troupes en revue,  à cet effet,  se rend dans le jardin de l’Elysée, les honneurs lui sont rendus au son de la Marseillaise, un moment très émouvant, et ensuite il passe les troupes en revue au moment même aux Invalides 21 coups  de canon sont tirés.

Pendant ce temps dans  les salons de  L’Elysée  les invités dégustent des petits fours et bavardent entre eux, ont peut voir sur les écrans   Lionel Jospin et son épouse discuter  avec Jérôme Cahuzac, Mazarine Pingeot avec quelques journalistes.

Mais il  est déjà 11 heures presque 30, pendant ce temps à l’Arc de triomphe François Hollande est attendu,  et pour faire  passer le temps  la fanfare   joue la musique des Dîners du roi de Lully. Il se met pleuvoir …mais   François Hollande est attendu, par une foule de plus en plus nombreuse.


Nous reprendrons la relation de cet article dès que nous aurons fini de résumer la suite des  manifestations officielles de la journée, notamment   François Hollande doit remonter les Champs-Elysées dans une Citroën DS5 décapotable et rendre hommage au Soldat inconnu à l'Arc de Triomphe. Après un déjeuner privé à l'Elysée avec les anciens premiers  ministres, il se  rendra ensuite aux Tuileries pour rendre hommage à Jules Ferry, puis   à l'Institut pour célébrer Maie Curie   double prix Nobel. Enfin les médias écrivent qu’il devrait ensuite se rendre en visite à l’Hôtel de Ville de Paris où sera reçu par Bertrand Delanoë, le Maire socialiste de Paris.

Notre suite sera intitulé : "Investiture  de François Hollande - deuxième partie-" et nous espérons disposer d'ici là des vidéos retraçant cette journée historique.

Revue de Presse :

François Hollande a été investi président de la République

Les Échos -
François Hollande investi président ce mardi matin a rendu hommage cet après-midi à Jules Ferry et à Marie Curie. Après une cérémonie à l'Hôtel-de-Ville de Paris, le nom de son Premier ministre sera dévoilé. Ce soir, le chef de l'Etat rencontrera ...

Hollande sur Ferry : "La défense de la colonisation fut une faute ...

Le Point -
Le président a rendu hommage au grand ministre de l'Instruction publique, mardi, peu après son investiture. Le nouveau président, François Hollande, a condamné la défense de la colonisation par Jules Ferry, qualifiée de "faute morale et politique", ...


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