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Intervention de Jean-Luc Mélenchon à l'Assemblée nationale le 27 mai 2020 dans le cadre du débat sur la mise en place de l'application « Stop Covid » censée permettre de lutter contre le Coronavirus.
Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a dénoncé une application inefficace compte tenu du fait que pour l'être, il faudrait qu'elle soit installée par 50 à 60% de la population alors même que 25% des Français n'ont pas de smartphone - une proportion qui monte à deux tiers pour les plus de 70 ans.
Il a surtout dénoncé le danger contenu dans cette application. Les failles de sécurité liées au bluetooth et au Captcha, d'abord. Mais aussi et surtout l'ère du contrôle permanent et de la restriction des libertés individuelles que celle-ci ouvrirait. Jean-Luc Mélenchon a ainsi expliqué qu'il ne voulait pas d'un monde où l'on pouvait savoir à proximité de qui chacun avait été pendant 15 minutes. Il a qualifié de « totalitaires » les usages qui pourraient être faits d'une application qui rentre dans l'intime, expliquant que «tout ce qui est possible techniquement n'est pas forcément souhaitable».
Déconfinement économique : Macron marchand de voitures ?
SOURCE : 27 mai 2020 JEAN-LUC MELENCHON
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Le 27 mai 2020, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Caroline Roux. Il a dénoncé l’absence de planification écologique dans la gestion du dossier Renault par Emmanuel Macron et a expliqué que chaque mise en circulation d’un million de voitures électriques représentait l’équivalent en consommation électrique d’une nouvelle centrale nucléaire. Concernant les aides données à Renault, le député insoumis a dénoncé le fait qu’aucune garantie n’était demandée à cette entreprise et notamment pas le fait que les sites de productions soient maintenus en France. Une décision qu’il estime dangereuse compte tenu du fait que le plan d’économies de Renault de 2 milliards d’euros représente le montant des dividendes qu’elle a versés en 2020.
Jean-Luc Mélenchon était également interrogé sur l’application « Stop Covid ». Il a dénoncé une application inefficace puisque les personnes les plus âgées qui sont les plus vulnérables au coronavirus sont aussi les moins équipées en smartphones. Il a aussi expliqué ne pas vouloir d’un monde de la surveillance généralisée où nos téléphones seraient en contact permanent avec les drones de la police.
Enfin, le président du groupe « La France insoumise » était interrogé sur la déclaration de François Ruffin qui s’est dit « prêt à ramasser le drapeau » pour l’élection présidentielle de 2022 s’il devait tomber. Jean-Luc Mélenchon a expliqué qu’il y avait 23 parlementaires insoumis et d’autres insoumis qui devaient avoir cet état d’esprit pour continuer le fil de ce qu’incarnent les insoumis dans l’Histoire.
📺 [10h12h] Débat - Valérie Expert
- Assemblée Nationale : vers une dissolution ?
- StopCovid : efficace ou liberticide ?
- Didier Raoult : fait-il de la politique ?
Avec Nicolas Corato, Genevieve Goetzinger , Arnaud Benedetti et Sandra Regol
Coronavirus : l'Etat aux ordres du privé - Politique & Eco n°256 avec Valérie Bugault - TVL
SOURCE :
25 mai 2020
Chaîne officielle de TVLibertés
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Valérie Bugault de retour sur TVLibertés ! L'invitée de "Politique & Eco" revient sur les origines, la gestion gouvernementale et les conséquences économiques et sociales de la pandémie de coronavirus. Pour elle, le pouvoir a joué au pompier pyromane en aidant la crise sanitaire à s'installer pour ensuite se présenter en sauveur devant les Français. Face à la contestation populaire qui s'annonce, Valérie Bugault évoque aussi la notion de "reset monétaire", sorte d'apocalypse économique.
POUR INFORMATION : Un point de vue parmi d'autres au sujet de la dernière hémorragie du Groupe LarEM à l'Assemblée Nationale ( source Journal de l'Humanité )
25 Mai 2020 Journal l'Humanité
Frédérique Dumas, députée "Libertés et Territoires" des Hauts de Seine, a quitté en 2018 le groupe la République en marche qui vient de perdre la majorité absolue à l'Assemblée nationale. Le groupe LaREM est passé de 314 députés en 2017 à 288 aujourd'hui.
"Au delà de son éloignement des promesses de campagne du mouvement, LaRem est un groupe très autoritaire qui ne traite pas bien les députés humainement", souligne la parlementaire. Entretien.