06 octobre 2018

La lettre du Rassemblement National du 05 octobre 2018 -

Éditorial de lucienne magalie

RELAIS D'INFORMATIONS

* Copié/collé  

- de source🔻


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 DU 05 OCTOBRE 2018
ULTRA-RICHES ET MIGRANTS : LA PRIORITÉ DE MACRON !
Décidément, Emmanuel Macron n'en a que pour les ultra-riches et les migrants.
Les premiers, déjà fortement avantagés par la suppression de l’impôt sur la fortune mobilière, la déconstruction de notre système de protection sociale, jubilent à l'idée de privatisations annoncées des Aéroports de Paris (ADP) et de la Française des Jeux.
Les seconds, bénéficiant d'un suivi médical gratuit dont le budget explose grâce à l'Aide Médicale d'Etat, d'hébergements gratuits, vont bientôt avoir la priorité à l'emploi avec la mise en place d’un budget de 15 millions d’euros destiné à la formation gratuite des clandestins.
Au même moment, les retraités descendent dans la rue pour protester contre la hausse de la CSG et le gel des pensions de retraite qui minent gravement leur pouvoir d’achat. Au même moment, la hausse des taxes sur les carburants brutalise 75% des Français qui utilisent leur véhicule pour se rendre à leur travail.

Cette profonde injustice est inacceptable !
En France, l’Etat doit se soucier des Français en priorité.
Justice sociale pour les Français, j'adhère ››
Je signe la pétition ››
› DÉMISSION DE COLLOMB : la réaction de Marine Le Pen
Vidéo : « En expliquant que dans certains quartiers, on est au bord de la guerre civile, Gérard Collomb a de fait décrit son échec et celui d’Emmanuel Macron "
Marine Le Pen,
Présidente du RN
Invitée de Punchline sur Cnews
(03/10/2018)
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Réactions des cadres du RN sur Twitter :
› DANS LES MÉDIAS : "Macron casse tout sur son passage", David RACHLINE
Vidéo : « Monsieur Macron casse les services public, la SNCF, les retraites des retraités. Il produit misère et pauvreté en faisant les mauvais choix économiques !"
David Rachline,
Maire de Fréjus
(05/10/2018)
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Tribune de Marine Le Pen : "60 ans de la Constitution: sauver les nations pour sauver l'Europe" 
Tribune : « La liberté des peuples n’existe que par l’exercice de leur souveraineté, seule garante de leur indépendance nationale »
Marine Le Pen,
Présidente du RN 
(04/10/2018)
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› Communiqués et tribunes
La sécurité des médecins : NON au tabou, OUI à l’action !
Notre pays s’illustre jour après jour dans la rubrique de la violence faite aux médecins et aux personnels de santé. Après avoir fait les unes nationales avec l’équipement en gilets pare-balles des  [...]
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Migrants, Francophonie : la France sans vision pour l’Afrique
« Sur le long terme, les investissements réduiront à la fois le désir [des Africains] de quitter [leurs] pays et feront baisser la pression démographique pour atteindre un niveau stable » rétorquait Bill Gates à l’Américain [...]
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ALENA 2.0 et CETA : les producteurs européens se font traire par les producteurs nord-américains !
Selon les premiers éléments disponibles, cette nouvelle mouture de l’ALENA 2.0 (Accord de libre-échange nord-américain) qui vient d’être signé entre  [...]
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› Agenda
Vendredi 05 octobre à 22h30 : Julien Sanchez, Porte-parole du RN et Maire de Beaucaire, sera l’invité de Cyril Hanouna dans « Balance ton post » sur C8.
Samedi 06 octobre à 10h00 : Réunion à huis-clos du Bureau National du Rassemblement National.
Lundi 08 octobre à 10h30 – Rome (Italie) : Conférence de Marine Le Pen et de Matteo Salvini au siège de l’UGL : « La croissance économique et les perspectives sociales dans une Europe des Nations ».
Lundi 08 octobre à 22h00 : Sébastien Chenu, Porte-parole du RN et Député du Nord, sera l’invité de Cnews.
Jeudi 11 octobre à 07h35 : Marine Le Pen sera l’invitée des « 4 Vérités » sur France 2.
Jeudi 11 octobre à 19h00 : Sébastien Chenu, Porte-parole du RN et Député du Nord, sera l’invité d’Anna Cabana sur I24News.
Retrouvez toutes les dates du RN ››
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Démission de Gérard Collomb : les rats quittent le navire - Source :site internet de Jacques Bompard

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION 

 - DE SOURCE DU SITE INTERNET DE jACQUES BOMPARD


Démission de Gérard Collomb : les rats quittent le navire 
Publié le  par 
" La République en marche patine de plus en plus, et ses cadres de la première heure ont décidé de prendre la poudre d’escampette avant qu’il ne soit trop tard. Comme le remarque l’observateur Gabriel Robin, le désormais ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb possède un flair politique certain : soutien de la première heure de Ségolène Royal, il avait été un des premiers à sentir le vent tourné en 2007 ; puis de même avec François Hollande dont il avait senti avec lucidité l’incapacité à gouverner et à pourvoir conserver le pouvoir. C’est pourquoi l’ex-futur maire de Lyon s’était rallié avec célérité à la candidature d’Emmanuel Macon, dont il abandonne le navire avant la perdition probable.
Il faut avouer que le Lyonnais a sans doute eu du mal à se voir impliqué dans l’affaire Benalla. On a beau aimé les coiffes, on peut avoir regret à porter le chapeau. Gérard Collomb s’était montré distant et critique vis-à-vis de l’exécutif lors de la commission d’enquête parlementaire et les réunions de crise qui ont suivi. Sa mise à l’écart volontaire, l’incertitude de pouvoir revenir dans la capitale des Gaules en 2020, ont décidé l’un des doyens du gouvernement Philippe à quitter la place Beauveau au plus vite. Cette démission rocambolesque, refusée puis accordée par le président de la République, ne s’est pas faite sans heurts : un coup de théâtre a même marqué l’incroyable passation de poste entre Gérard Collomb et l’intérimaire Philippe.
Sur le perron du ministère le 3 octobre, Gérard Collomb patiente. Le Premier ministre impose une humiliation protocolaire au déserteur, et ce dernier décide alors de « passer un message » au chef du gouvernement. Sur le départ, l’ancien ministre revêt une dernière fois le costume de « premier flic de France » en se faisant le porte-parole de troupes inquiètes et désemparées. Alors qu’Emmanuel Macron a posé joyeusement aux côtés d’un dealer et d’un braqueur lors de sa visite aux Antilles le week-end précédent, Gérard Collomb met en garde sur un avenir proche qui s’annonce sombre. « Je suis allé dans tous ces quartiers. La situation est très dégradée. On ne peut plus continuer à travailler commune par commune, il faut une vision d’ensemble pour recréer de la mixité sociale », avance prudemment cet ancien cacique du Parti socialiste qui, à l’instar du maire de Lille Martine Aubry, déplore aujourd’hui les effets des causes qu’il a tant chéries. Puis, engaillardi par sa froide éviction, le Lyonnais crache le morceau : « Aujourd’hui, on vit côte à côte. Moi, je le dis toujours : je crains que demain on vive face à face ».
En somme, Gérard Collomb affirme une vérité trop longtemps non-dite mais sue par tous : la dissociété multiculturelle est un terreau fertile de la discorde civile. Défavorisée mais justifiée par une immigration de masse essentiellement africaine et musulmane depuis 40 ans, la fameuse mixité sociale est un leurre lexical. 
En réalité, il serait plus honnête de parler d’un projet de mixité ethnique, mais lui-même n’a jamais pu vraiment voir le jour malgré les injonctions permanentes et vaines à la fraternité républicaine.
Surtout, notons qu’aucun media hors Cnews n’a repris cette information capitale et ne l’a traitée avec commentaires et analyses.
Maintenant, que faire ? Si un homme, malgré son passé politique et le lourd prêt-à-penser dû à sa fonction, en vient à tenir un discours qui valide les analyses d’Eric Zemmour avec la connaissance des dossiers de police et du renseignement intérieur, alors il faut s’interroger gravement sur l’imminence de la discorde civile. Celle-ci existe déjà, de manière latente et par soubresauts, mais elle n’est pas encore actée. Les paroles de Gérard Collomb sont d’une gravité exceptionnelle, bien éloignées du soap-opera macronien. Il s’agit ni plus ni moins d’une alerte et d’une mise en garde sur l’état de péril imminent de la République de moins en moins française.
Ces paroles lourdes de sens devraient en appeler à un gouvernement de salut public qui devrait viser en priorité à assurer la sécurité des populations au plus vite, comme la Hongrie et même l’Italie nous le montrent chaque jour, en sachant que la France hérite d’un contexte bien plus dangereux.

05 octobre 2018

Marine Le Pen sur CNEWS (04/10/2018) - vidéo de l'émission -

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'IFORMATION :



SOURCE DE LA VIDEO :

Marine Le Pen

Marine Le Pen était l'invitée de CNEWS  le 4 octobre 2018

Jacques Myard : "Billet constitutionnel ; Eloge de la Minerve cervicale "

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATIONS

Lire ou relire  le  "  Billet  constitutionnel  : Eloge de la Minerve cervicale" de Jacques Myard de  Source  du site internet Le  Cercle Nation et République🔻

* Copié/collé 🔻

cid:Q05SLnBuZw$1599862$133042@club-internet



BILLET CONSTITUTIONNEL :
ELOGE DE LA MINERVE CERVICALE

de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République




Le 4 Octobre 2018

A/S : La Vème République : une constitution jeune et pleine d'entrain !

Nous célébrons aujourd'hui  le soixantième anniversaire de la Constitution de la Vème République, c'est une jeunette comparée aux constitutions américaine ou suisse.

On trouvera toujours des politiques adeptes des propos du café du commerce pour clamer qu'il faut prendre sa retraite à soixante ans au mépris des réalités démographiques et proposer que l'on enterre la Vème pour passer à la VIème République.

Leur critique est basique : l'actuelle Constitution serait d'une nature monarchique en raison de l'élection au suffrage universel direct du Président de la République qui lui donnerait ainsi des pouvoirs excessifs sans pouvoir être contrôlés .

En réalité paradoxalement, ces critiques illustrent de la part de leurs auteurs leur aversion pour la démocratie représentative, habités par l'esprit des potaches "anars" de 1968 où le pouvoir doit être remis en cause de façon permanente. Comme si la gestion publique pouvait se faire à travers ces assemblées générales étudiantes sans agenda et proclamant la remise en cause permanente des décisions précédentes .

La force de la Vème République est justement de permettre la stabilité institutionnelle du gouvernement à travers l'élection du Président de la République dont la légitimité est donnée par le peuple.

C'est là un acquis fort. Il est vrai, la constitution a permis à des présidents faibles de se maintenir en fonction; elle a fonctionné comme une sorte de minerve cervicale qui a maintenu droite la tête présidentielle qui vacillait sous les coups politiques : François Hollande en est l'exemple et Emmanuel Macron va en bénéficier très rapidement.

Face à ce constat les critiques redoublent : pourquoi garder des présidents incompétents ou qui se comportent de façon autoritaire et atteint d'hubris ?

C'est oublier que la Vème République est aussi une démocratie parlementaire, certes le système ne peut pas fonctionner si le Parlement et plus singulièrement l'Assemblée nationale est dans une posture de conflit permanent avec le Président et son gouvernement.

Si tel est le cas, on est dans une crise de régime qui se terminera par une dissolution, des élections, et de deux choses l'une: le Président a une majorité ou ne l'a pas et devra partir !

Mais sans aller aussi loin dans cette voie d'opposition entre le Parlement et l'exécutif, c'est l'honneur du député de penser et d'agir par lui même !

En réalité la crise de la Vème République, s'il y a une crise, c'est la crise du Parlement plus exactement des députés qui se considèrent aux ordres de l'exécutif.

On a souvent fait griefs aux députés gaullistes d'être des "godillots" Voilà une contre-vérité historique car les députés de la majorité bataillaient et souvent imposaient leurs points de vues .

Personnellement je suis souvent monté à la tribune pour défendre par exemple le septennat contre le quinquennat , dire non au protocole de Londres sur les brevets qui fait la part belle à la langue anglaise ou refuser le Traité constitutionnel européen voire la modification de la constitution voulue par Nicolas Sarkozy .

Le problème aujourd'hui réside dans le fait que les députés hologramme de Macron siègent à l'Assemblée en n'ayant pour légitimité réelle que d'avoir été choisis par Jupiter.

A ce titre, le projet de réforme de la Constitution d'Emmanuel Macron a pour objectif essentiel de renforcer la tutelle du Président sur les Parlementaires avec l'introduction d'une dose de proportionnelle, la baisse du nombre des députés élus dans des circonscriptions qui vont doubler d'importance, la réduction du nombre des mandats et du droit d'amendement !

C'est un retour en arrière de la démocratie représentative impardonnable, qu'il convient d'expliquer sans relâche à nos concitoyens, qui ne doivent pas tomber dans le panneau des démagogues.

Notre Constitution est un atout pour la République et ne doit pas être dévoyée par des députés qui ne font pas leur travail.
Il convient de rappeler Jupiter aux réalités du quotidien loin de l'Olympe.




Gardons à l'esprit le conseil de Montesquieu " Ne toucher aux lois que d'une main tremblante ".

Notre Constitution nous a donné 60 années de stabilité politique, elle a résisté à tous les a-coups. ne jouons pas les apprentis sorciers !

Ne jetons pas aux orties cette minerve constitutionnelle garante de nos institutions !


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Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, était l'invité du "19h20 politique" sur franceinfo le 4 octobre 2018

Éditorial de lucienne magalie pons


Nicolas Dupont- Aignan, Président de Debout La France  ,  était l'invité de politique de Franceinfo , dans  l'émission "19h20 politique"  du 4 octobre 2018.

Ci-dessous voir ou revoir la  vidéo de l' entretien de Jean-Jérôme Bertolus et Nicolas Dupont-Aignan que nous venons de recevoir en communication : 





"Emmanuel Macron passe sa vie à se plaindre de son propre peuple", estime Nicolas Dupont-Aignan

Source de la vidéo :
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, est l'invité du 19h20 politique sur france

04 octobre 2018

Compte rendu du Conseil des Ministres du 3 octobre 2018 par Benjamin Griveaux - vidéo -

Éditorial de lucienne magalie

Tout finit par arriver ! Voici plusieurs mois que le compte rendu du Conseil des ministres n'était publié qu'avec plusieurs jours de retard, mais aujourd'hui le Conseil des Ministres du 3 octobre 2018 est déjà publié sur le site officiel de l'Elysée.

     


Mon commentaire : 



Benjamin Griveaux dans son   exposé  a placé  en premier plan l'Europe et a fait passer au second plan le départ de Gérard Collomb du Gouvernement . Sa  mission ce matin  était de banaliser ce départ et de faire savoir que le Gouvernement n'était pas  " en crise politique "..   en effet dès les premières minutes de l'ouverture du point de presse, à la graduation 00:30   Benjamin Griveaux a   balayé brièvement   le départ de Gérard Collomb du Gouvernement comme s'il s'agissait d'un question tout à fait secondaire   , nous le citons :

" Bonjour à toutes et à tous, je suis heureux de vous voir nombreux dabs ce compte-rendu du Conseil des Ministres, nous allons parler d'Europe,  c'est la raison pour laquelle j'ai à mes côtés Nathalie Loiseau qui vous parlera de la communication qu'elle a faite ce matin en Conseil des ministres et qui évidemment répondra aux questions que vous voudrez bien lui poser; notamment sur la question du Brexit, puisque c'est raison pour laquelle elle est à mes côtés."

" Je reviendrai brièvement en introduction de ce compte-rendu  sur les propos du,Président de la République , qu'il a tenus en introduction de ce  Conseil des Ministres, il est revenu notamment sur  le départ de Gérard Collomb du Gouvernement, il a souligné que c'était un choix qui appartenait à Gérard Collomb, il a rappelé aux membres du Gouvernement les liens personnels qu chacun connait, entre lui-même et Gérard Collomb, et force était de constater que dès la fin de l'été Gérard Collomb  s'était tourné vers Lyon et vers les lyonnais, et de ce fait s'était placé lui-même dans la position de démissionner. Le Président de la République aux membres du Conseil qu'être ministre  ce n'est pas une charge, dont nous serions dépositaires, et que chacun d'entre nous doit être pleinement concentré à sa tâche, car les français le mérite , il a enfin souligné que rien de ce que nous traversons depuis 48 heure ne s'apparente à une crise politique,, que ça fonctionne,  des transformations sont engagées, le gouvernement est parfaitement à sa tâche,, dans ce que nous traversons il y a des sujets strictement personnels, et il a appelé chacun des membres du Gouvernement à savoir s'élever au-dessus des intérêts particuliers"

Encore une fois nous voyons que ce laïus  de Benjamin Griveaux  qui n'a duré que  2 minutes 38 secondes était destiné à  banaliser le départ de M. Gérard Collomb et à nous présenter les propos du Président de la République comme la relation  d'un simple choix et de faits strictement personnels qui ne s'apparentaient pas à une crise politique. Nous avons aussi remarqué  les propos à connotations pédagogiques du Président de la République qui a appelé chacun des membres du Gouvernement "à savoir s'élever au-dessus des intérêts particuliers" 

Il y aurait beaucoup à dire sur cette présentation mais chacun des auditeurs voit très bien que ça ne correspond pas à ce que nous avons appris dans les médias à travers les propos de Monsieur Gérard Collomb dans le Figaro notamment.

Le porte-parole du Gouvernement s'est cru délivré de cette question embarrassante, du moins l'espérait-il, après s'être donc exprimé brièvement sur le départ de Gérard Collomb il a  abordé d'autres sujets de l'introduction du Président de la République pendant 3 minutes 57 secondes, puis  il a passé la parole à Madame Nathalie Loiseau -, Ministre auprès du Ministre de l'Europe et sur des Affaires Etrangères , chargée des Affaires Européennes -, qui s'est exprimée  sur le Brexit et des questions européennes,  et a répondu ensuite longuement aux  questions des journalistes, et enfin  Benjamin Griveaux a repris la parole et poursuivi son exposé pendant encore quelques 9   minutes ce qui ne laissait plus que 9 minutes avant la fin de la séance aux nombreux journalistes  pour poser leurs questions.

Les journalistes pressés par le temps -,  comme il fallait s'y attendre-,  ont surtout posé des questions sur le départ de Gérard Collomb, sur la position d'intérim de l'Intérieur d'Edouard Philippe,  sur le remplacement de Gérard Collomb  sur la crise politique : si ce n'est pas une crise qu'est-ce que c'est   ?, seule l'avant dernière question a porté sur un autre sujet ..


Benjamin Griveaux pour répondre sur Gérard Colomb et questions liées a répondu en s'en tenant à ses explications d'ouverture...  c'est-à -dire en noyant le poisson ......

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...