03 août 2018

Adrien Pérez 26 ans tué d'un coup de couteau en plein cœur par deux barbares le 29 juillet à Meylan ( Isère ) à la sortie d'une boite de nuit

Éditorial de lucienne magalie pons

Je ne trouve pas  dans notre vocabulaire de   mots assez forts pour relater la mort dramatique d'Adrien Pérez, un jeune homme de 26 ans,  qui a été poignardé à Grenoble  , par deux frères Younès et Yanis El Habib,   et    c'est pourquoi avec un grand respect ,  je préfère partager avec mes lecteurs les paroles  déchirantes et le cri d'alarme  des parents d'Adrien lesquels  brisés  par les circonstances de la mort de leur enfant , ont préféré  prononcer  des paroles d'une grande dignité qui sortent de leur âme, de leur cœur,  c'est avec respect et  une grande émotion que    nous partageons leur douleur et leur sainte  colère, et   nous soutenons aussi  leur cri  d'alarme quand ils  interpellent les pouvoirs publics pour que ce drame ne se reproduise pas.

 C'est  dans un article du Parisien publié sur son site Internet,  intitulé " Le déchirant cri d'alarme des parents d'Adrien, poignardé à mort"  que les parents d'Adrien ont témoigné  de la mort de leur fils, et pour ne pas déformer leurs propos ,  j'ai choisi de reproduire ci-dessous en intégralité l'article de Serge Pueyo   correspondant à Grenoble de "Le Parisien"

Copié/collé 🔽
de source du site Le Parisien logo


" Le déchirant cri d’alarme des parents d’Adrien, poignardé à mort
>Faits divers|Propos recueillis par Serge Pueyo, correspondant à Grenoble (Isère)| 02 août 2018, 19h05 |


" Adrien Perez, 26 ans, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, le 29 juillet. DR


Leur garçon de 26 ans a été tué alors qu’il protégeait des amis qui se faisaient agresser. Ses parents crient leur douleur et interpellent les pouvoirs publics pour que ce drame ne se reproduise pas.

Ce sont des parents brisés par le chagrin, mais aussi en colère, qui ont décidé de témoigner après la mort injuste de leur fils, Adrien. Le 29 juillet, ce jeune homme sans histoire, apprécié de tous, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, devant le « Phoenix », une boîte de nuit de Meylan (Isère), dans la banlieue de Grenoble.

Adrien Perez était venu fêter ses 26 ans dans cette discothèque avec des amis. Dans la soirée, une jeune femme du groupe a été importunée par plusieurs individus. Puis, à la sortie de l’établissement, Adrien s’est interposé pour défendre Thibault, son meilleur copain, agressé par les mêmes hommes. « Il est mort en héros », clame aujourd’hui Bruno et Patricia Perez, ses parents, qui veulent dénoncer cette violence aveugle, gratuite, qui brise des vies, des familles. Trois hommes ont été arrêtés. Parmi eux, deux frères, Younes, 20 ans, mis en examen pour « meurtre » et Yanis, 19 ans, pour « tentative de meurtre » sur un copain d’Adrien, qui a été gravement blessé aux poumons. Tous deux ont été écroués.

L’annonce de la mort de votre fils dimanche a été pour vous un terrible choc…

Patricia Perez (en pleurs). Adrien, c’était ma fierté, mon trésor, mon bonheur. Ils nous l’ont enlevé, ils nous l’ont pris. Ils ont brisé notre vie. Ils ont brisé une famille entière. Ils ont brisé des amis. Adrien, c’était mon petit, mon bébé, que je ne verrai plus. Chaque fois qu’il quittait la maison, je lui disais : « Fais attention à toi ». Et il me répondait : « T’inquiète maman, que veux-tu qu’il m’arrive ? ». Les malheurs n’arrivent pas qu’aux autres. La preuve. Aujourd’hui, c’est nous qui sommes touchés dans notre chair. Je ne pardonnerai jamais à ceux qui ont fait ça. C’est impardonnable. Je les hais. Je le dis du plus profond de mon cœur.

Le geste de votre fils, qui est intervenu pour défendre son meilleur copain, vous a surpris ?

Patricia Perez. Non. C’est Adrien. Cela fait partie de son éducation. On ne peut pas rester brinquebalant devant l’agresseur de quelqu’un. Que ce soit son meilleur ami ou un passant. Ce n’est pas possible. Ce serait inhumain de ne pas porter secours. Et mon petit n’était pas comme ça. Oui, il est mort en héros.

Adrien Perez a été tué le 29 juillet dernier devant la boite de nuit « Le Phoenix », à Meylan (Isère)./LP/Serge Pueyo"

Pour vous, son agresseur avait l’intention de tuer ?

Bruno Perez. Evidemment. Mon fils a été tué d’un coup de couteau en plein cœur. Lorsqu’on vise le cœur, c’est une volonté de tuer. C’est un meurtre. Ils n’ont pas essayé de viser un bras ou une jambe. Et puis que faisaient ces gens avec des couteaux dans une boîte de nuit ? Ma vie s’est arrêtée dimanche avec la mort de mon fils. Adrien avait tout pour réussir sa vie. Il avait décroché une licence à l’université Joseph-Fourier de Grenoble. Depuis deux ans, il travaillait pour Clauger, une société lyonnaise spécialisée dans le froid industriel et le traitement d’air. Il était apprécié par tous ses collègues. Lorsqu’ils ont appris sa mort, beaucoup ont pleuré. Adrien, c’était un très bon garçon, gentil, pas agressif. Il avait toujours le sourire. Il était tout le temps de bonne humeur. Il faisait rire tout le monde. Nous voulons que ses obsèques soient publiques. Tous ceux qui le veulent peuvent venir y assister vendredi, à l’église Saint-André de Grenoble à 14h30.

Vous dénoncez ces drames qui se succèdent, avec le sentiment que rien ne change…

Bruno Perez. Plusieurs jeunes ont été tués ces dernières années dans l’agglomération grenobloise. Il y a des marches blanches, et puis ça recommence. Il y a une minorité ultra-violente, des racailles, qui terrorisent les pauvres gens. Et on a l’impression que l’Etat ne fait rien. C’est une violence sans fin.

Patricia Perez. Je crie ma révolte. Ça suffit. Stop ! Aujourd’hui, c’est nous. Et demain qui encore ? Je ne veux pas faire de politique. Je parle en tant que maman. Une maman à qui on vient d’enlever son enfant. Je veux que ça cesse. J’en appelle à tous les politiques, de tous bords. Faites quelque chose. Notre pays sombre dans la violence. Il faut arrêter ça. Sauvez nos enfants, bon sang ! Sauvez nos enfants !
 - fin du copié/collé -

Dans la vidéo ci-dessous nous entendons  le témoignage émouvant de  la maman d'Adrien  qui après avoir parlé des souhaits de son fils,  crie sa révolte ... ça suffit Stop "



Nous avons repris aussi sur le site du  média ( France Bleu" ) presque les mêmes  propos de cette maman brisée, qui nous ont  émus et touchés au plus profond du cœur nous tous qui l'avons écouté dans sa douleur, voici ce qu'écrit France Bleu , extrait : "J'ai retrouvé un questionnaire de Proust auquel il avait répondu. A la question, quel est votre rêve de bonheur? Adrien avait répondu : « Une femme, deux ou trois gosses, un chien et une belle maison au soleil.» Vous voyez ça ? C'était le souhait de ma vie. Avoir des petits-enfants, m'en occuper, profiter de la vie avec eux. Ils nous ont enlevé tout ça ! Ils ont brisé une famille entière, des amis ! C'est impardonnable!"



Adrien avait fêté à Grenoble la victoire des Bleus, lors de la Coupe du monde de foot -

Patricia Perez sort une photo de son fils de son sac. "Chaque fois qu'il quittait la maison, je lui disais de faire attention. Il me disait : «T'inquiètes, Maman. Que veux tu qu'il m'arrive ?» Je ne leur pardonnerai jamais, jamais ! Hier c'était les autres, aujourd'hui c'est nous. Et demain, qui ? Y 'en a marre, je crie ma révolte. J'en appelle à tous les politiques, de tous bords. Faites quelque chose ! Mais regardez, notre pays sombre dans la violence. Il faut arrêter ça ! Sauvez nos enfants !!!" ...... France Bleu cite encore : "Patricia s'écroule en larmes. ....... Son mari reprend la parole : "Ils sont rentrés en boîte de nuit avec des couteaux sur eux, ils avaient l'intention de s'en servir ! Moi, mon fils n'a jamais été armé. Ces dernières années, dans l'agglomération grenobloise, il y a eu des jeunes qui sont morts pour rien. Kevin et Sofiane, Grégory... A chaque fois, il y a eu des marches blanches. Ça n'a servi à rien ! Il y a une minorité violente et on a l'impression que l'Etat ne fait rien." 
Il est aussi indiqué dans l'article de France Bleu : " Vendredi après-midi, les obsèques d'Adrien seront célébrées à Grenoble. "On veut qu'il y ait un maximum de monde dans l'église, pour rendre hommage à notre fils. Il ne faut pas qu'on l'oublie" dit Bruno, dans un soupir 
- fin de l'extrait - 
 ___________________________//

Avant de passer en Revue de Presse, nous voulons saluer  ces parents meurtris par le chagrin mais  qui ont aussi pensé aux autres , et donné leur avis  avec courage , nous citons le père d'Adrien    "  ....... Il y a une minorité violente et on a l'impression que l'Etat ne fait rien." 

REVUE DE PRESSE :

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Avis de décès de Adrien PEREZ paru le 02/08/2018 dans Le ...

https://www.libramemoria.com/.../perez-adrien-/360a92971f0b4d6a9ec00b231d64b5...

Adrien PEREZ. survenu à l'âge de 26 ans. La cérémonie aura lieu le vendredi 3 août 2018 à quatorze heures trente en l'église Saint-André à Grenoble, suivie ...

02 août 2018

Affaire Benalla - Encore des révélations : Le mystère du coffre-fort ( vidéo BFMTV International - vidéo du 1 Août 2018 )

Éditorial de lucienne magalie pons



Affaire Benalla: le mystère du coffre-fort

SOURCE  : 

Ajoutée le 1 août 2018

Jacques Bompard : " Quelques observations à la suite de l'affaire Benalla " ( source : site de Jacques Bompard - Député du Vaucluse - Maire d'Orange )

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION 

* Copié/collé de  SOURCE :🔻


Jacques  Bompard

Jacques Bompard: Le bon sens au service du bien commun

https://www.jacquesbompard.fr/

               Député du Vaucluse 
           Maire d'Orange 



Quelques observations à la suite de l’affaire Benalla


L’uberisation de la paranoïa
Maintenant que l’emballement médiatique reprend son souffle et que la présidence s’est décidée à sortir d’un silence aussi long que suspect, preuve irréfutable de la portée du coup, il s’agit de considérer l’affaire Benalla avec l’esprit d’analyse nécessaire à quelques enseignements pour l’avenir.

L’augmentation exponentielle des dépenses de la présidence en matière de sécurité démontre que le jeune président jupitérien est atteint d’une pathologie classique du pouvoir : la paranoïa. La menace terroriste n’est qu’une justification bancale mise à mal justement par la présence d’un Benalla dans la garde rapprochée. En effet, les effectifs de sécurité ont augmenté de manière suffisamment sensible pour que la Cour des Comptes s’en inquiète dans son rapport annuel. Ce « besoin » immédiat de recrutement, au risque des doublons mais au prétexte de la fatigue des troupes militaires et de police, se chiffre à plus d’un million d’euros. La sécurité représente un tiers de la masse salariale de l’Elysée. Le comble résidant dans l’opacité totale de ces emplois puisqu’il apparaît que le traitement d’un Benalla n’est même pas comptabilisé dans ces nouveaux coûts.
Peut-être Emmanuel Macron a-t-il voulu privatiser la sécurité de la présidence de la République au regard des millions dépensés sur ce seul poste… Par-delà les rumeurs de police politique ou d’espionnage, Alexandre Benalla n’est finalement que l’incarnation d’une forme d’uberisation de la paranoïa présidentielle, laquelle en valorisant des profils atypiques espère sans doute engendrer une saine concurrence dans un domaine réservé. Comme le remarque le sociologue Antonio Casilli, « Dans un État moderne, les forces de l’ordre ont le monopole de la violence. Dans une startup-nation, n’importe quel Benalla peut aspirer à uberiser ce monopole. » De la SNCF au GSPR, Emmanuel Macron met un terme aux régimes spéciaux quitte à froisser les fonctionnaires, et il est certain que la sortie de l’affaire Benalla est en partie due à des vexations internes. De chauffeur pour cacique d’un Parti Socialiste moribond, le jeune Benalla a su prendre le train En Marche pour devenir le Monsieur Sécurité du CEO de la République : derrière le bling-bling, les Français aperçoivent la réalité d’un vigile de banlieue en guise de garde du corps de l’ambitieux du Touquet.
Une situation de blocage sans précédent
Un autre aspect du scandale repose sur la profonde défiance existant entre la haute fonction publique et l’entourage du président de la République. Nul doute que nous assistons à un règlement de compte dans lequel Benalla n’est que le talon d’Achille d’un Jupiter en mauvaise posture. D’ailleurs Benalla le dit lui-même dans Le Monde : « Je suis le maillon faible, je le sais. »
Alexandre Benalla devrait être renvoyé pour son absence de discrétion, une faute professionnelle au regard de ses missions. Là aussi, cet exhibitionnisme est somme toute très contemporain et très problématique.
Outre les manquements déontologiques de Benalla, il faut voir que le président de la République a perdu beaucoup de crédit auprès de ceux qui le servent en promouvant un tel homme. L’heure de la vengeance ayant sonné, souvenons-nous du général de Villiers, il est à craindre un plus grand fossé entre une présidence claquemurée dans sa tour d’ivoire et une administration fonctionnant au ralenti. Méfiance et défiance caractériseront les prochaines années du pouvoir.
De plus, l’impunité avancée par Alexandre Benalla et Emmanuel Macron a désorienté les Français. Celui qui se donnait pour mission de redonner un sens à la verticalité du pouvoir a affiché une déconsidération des institutions qui ne manque pas de lui porter préjudice.
Complot ?
Enfin puisque nous sommes en politique, doit-on voir une main invisible derrière les révélations d’Ariane Chemin ? Sans doute, Benalla n’est-il qu’un scandale résultant d’une conspiration politique, elle-même fortement teintée de corporatisme comme je viens de le souligner plus haut. Il n’en reste pas moins qu’Emmanuel Macron n’a jamais été aussi sérieusement ébranlé dans sa magnificence qu’avec cette affaire qui a vu l’ensemble de ses soutiens médiatiques et politiques douter de son génie. En quelques jours, la façade s’est lézardée et il a fallu peu de temps pour que la Macronie révèle sa fragilité. Jupiter n’est pas encore monté à l’Olympe, Benalla montre qu’il n’est que d’argile.
Cette affaire d’été marque la fin de l’esbroufe, et renforce tous les arguments en faveur du localisme comme seul rempart à la dérive autocratique de nos institutions et comme contre-pouvoir légitime et populaire face à un Etat livré aux bandes et aux mafias.
Le scandale Benalla n’est que l’un des nombreux épisodes de la dérive autocratique inscrite dans les textes et coutumes de la Vème république. Lorsque j’emploie le qualificatif d’autocratique, je le pense dans sa forme arbitraire et antidémocratique, non dans une perspective de commandement légitime. Je le dis avec assez peu de vergogne et sans mitterrandisme à rebours, car j’ai eu à subir dès sa genèse cette république tant vantée parmi les constitutionnalistes de notre pays. Et que sont les constitutionnalistes si ce n’est des juristes du pouvoir, prêts à changer de doctrine avec celui-ci ?



Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...