27 mars 2018

Billet de Jacques Myard du 26 Mars 2018 _ " Terrorisme islamique :lucide colère "

Éditorial de lucienne magalie pons

De source :

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Billet de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République

Le 26 Mars 2018

A/S : Billet : Terrorisme islamiste : lucide colère.

Un islamiste terroriste a tué de sang-froid à Carcassonne et à Trèbes quatre Français dont le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame qui a eu un geste héroïque en prenant la place d'un otage.

L'assassin était inscrit au fichier des individus radicalisés (F.S.P.R.T.) et suivi par les services spécialisés, sa compagne aussi.

Selon François Molins, Procureur de la République de Paris, rien ne laissait présager qu'il pouvait passer à l'acte.

Il convient, à ce stade, de préciser que le F.S.P.R.T, Fichier des Signalements pour la Présomption de Radicalisation à caractère Terroriste, comporte plus de 12 000 noms à charge pour tous les services de la communauté du renseignement  et le service du renseignement territorial (le S.R.T), la Gendarmerie, la sécurité publique de la Police Nationale, de surveiller ces radicalisés ;  autant dire mission impossible en raison du nombre de radicalisés.

L'assassin de Trèbes est donc passé sous les radars tout en étant fiché et suivi par la D.G.S.I.

Une situation de ce type, dont des exemples similaires ont eu lieu à l'étranger, était malheureusement prévisible et on ne peut reprocher aux agents des services d'avoir failli.

Les instructions du Président de la République à tous les Préfets des départements afin qu'ils redoublent de vigilance dans la coordination des services pour surveiller les radicalisés sont louables mais il faut être lucide et poser le problème autrement qu'en termes de surveillance, toujours faillible.

La Constitution a consacré le principe de précaution et en l'occurrence, il faut avoir le courage politique de ne prendre aucun risque avec des radicalisés qui peuvent passer à l'acte d'un jour à l'autre et même à tout instant.

La question relève de la seule responsabilité du politique ; elle est simple : doit-on accepter la présence sur le sol national de terroristes potentiels fichés pour leur radicalisation et dont la dangerosité est établie ?

Le radicalisé a un comportement en violation de l'ordre public dans toutes ses composantes ; il constitue un danger permanent.

En conséquence, le radicalisé se place de lui-même hors la communauté nationale qu'il veut détruire pour lui substituer la charia et ses dogmes.

La communauté nationale est en état de légitime défense.

Il appartient aux décideurs politiques d'adopter des règles de droit pour protéger nos concitoyens.

Trois cas de figure se présentent :

- l'étranger radicalisé : il doit être expulsé, qu'il ait des attaches en France ou non (enfant né en France).
- le binational radicalisé : déchéance de nationalité, annulation du décret de naturalisation et expulsion.
- le Français radicalisé : placement en rétention administrative s'il est en France, déchéance des droits civiques et si engagement dans une organisation terroriste, type Etat-islamique, application de l'article 23-8 du Code Civil sur la déchéance de nationalité et interdiction d'entrer en France.

En outre, il convient de rétablir des contrôles stricts à nos frontières, véritables passoires aujourd'hui.

On entend déjà les bien-pensants hurler et s'indigner, autant de preuves de leur naïveté complice et coupable face à ces barbares qui n'ont pas leur place sur le territoire national.

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Point de Presse de Bernard Griveaux à l'issue du Conseil des Ministres du 21 mars 2018 ( Vidéo )

Éditorial de lucienne magalie pons


Pour information : Point  de Presse du porte-parole du Gouvernement Bernard Griveaux à l'issue du Conseil des Ministres du 21 mars 2018

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Compte rendu du Conseil des ministres du 21 mars 2018

SOURCE :DE LA VIDEO PUBLIÉE PAR DAILYMOTION 

Souvenir de la Fusillade du 26 mars 1962 à Alger _ Devoir de mémoire -

Editorial de lucienne magalie pons 

MES SOUVENIRS DE LA  FUSILLADE DU 26 MARS 1962

Texte écrit  à la demande de mes amis  une première fois le mercredi 8 février 2006, et publié depuis périodiquement sur différents sites.

LE 26 MARS 1962 un climat lourd d’inquiétude, d’indignation et de colère règne sur l’Algérie.

Le quartier de Bab El Oued  à Alger, cerné par les forces de l’ordre depuis plusieurs jours résiste et dans l’après-midi le drame éclate,  frappant la manifestation de soutien organisée à Alger.... Vu et vécu par l’auteur qui se trouvait sur les lieux.
En ce matin du 26 mars 1962, en dépit d’un beau soleil printanier, un climat lourd d’inquiétude, d’indignation et de colère contenue régnait sur l’Algérie et dans nos cœurs.
Les accords d’Evian qui faisaient la part belle au FLN sans aucun ménagement pour la sécurité et les intérêts moraux et matériels des français et des harkis, venaient d’être signés le 19 mars  par le Gouvernement et les tenants de l’Indépendance de l’Algérie, et pour nous  partisans de l’Algérie Française il n’y avait plus d’autre alternative que la valise ou le cercueil.
L’étau de la répression se resserrait autour de nous. En effet le Gouvernement qui tenait à faire passer les accords d’Evian, vis à vis de l’opinion française et vis à vis de l’opinion internationale, comme une entente de bonne envergure souhaitée par la totalité des habitants de l’Algérie, mettait en place les mesures coercitives nécessaires pour endiguer toutes manifestations de protestations ou de désaveu à l’encontre de sa politique d’abandon.  Or nous protestions en actes, en paroles, en écrits, par articles et par tracts et le quartier de Bab El Oued fût désigné comme cible expiatoire par les forces répressives qui y commirent leurs pires méfaits.

En effet, les habitants de Bab El Oued qui n’avaient jamais cessé depuis le début de la guerre d’Algérie de clamer leur attachement à l’Algérie Française dans les manifestations et en faisant connaître leurs opinions par tous moyens et qui soutenaient fidèlement l’OAS, se trouvaient dans le collimateur du pouvoir répressif et leur quartier, un des plus attachant et pittoresque d’Alger, se trouvait cerné et assiégé depuis plusieurs jours par des CRS et des Gardes Mobiles nouvellement affectés en Algérie. Un véritable blocus interdisait à ses habitants de circuler dans les rues, le couvre feu était institué avec interdiction d’ouvrir les persiennes, les rues du quartier étaient sillonnées par les forces de l’ordre armées jusqu’aux dents, toutes circulations, communications et approvisionnements étaient contrôlés, interdits et réprimés. Les habitants étaient soumis à des perquisitions de jour et de nuit sans aucun ménagement, comme s’il se fût agi de sévir contre des malfaiteurs ; les forces répressives armées et menaçantes entraient dans les appartements, renversaient le contenu des meubles sur le sol, endommageant le linge, les vêtements, la vaisselle, les objets et les produits d’alimentation, et même les matelas ouverts au couteau ne furent pas épargnés.
Le Général Ailleret, de triste mémoire, n’avait pas hésité à faire mitrailler les immeubles et les terrasses de ce quartier par les forces aériennes, au prétexte que ses habitants armés, selon lui, se livraient à des fusillades et que le quartier était en état d’insurrection permanente !  Or, pour rétablir les faits, s’il est vrai que quelquefois des fusillades s’entendaient au coin des rues ou provenaient des terrasses, la majorité des habitants ne possédaient pas d’armes et le quartier quoique bouillonnant n’était pas en état d’insurrection, mais dans un état d’insécurité entretenu par les provocations des forces répressives. Après les mitraillages par les forces aériennes qui provoquèrent une profonde indignation, un acte odieux déclencha une colère générale, ce fût l’exécution, commise par un CRS ou un Garde Mobile par une rafale de balles, d’une petite fille de dix ans qui avec l’insouciance de son âge avait ouvert les persiennes de son balcon, ce qui était formellement interdit aux habitants pendant ce triste siège. Ce drame fût ressenti comme un assassinat.

Une manifestation fût décidée et annoncée pour le 26 mars 1962, en vue de témoigner notre indignation sur ce forfait, de porter notre soutien aux Habitants de Bab El Oued, d’obtenir la libération du quartier, et de manifester notre désapprobation unanime sur la politique pro-algérienne du Gouvernement, les organisateurs de la manifestation insistaient particulièrement sur le caractère pacifique de la manifestation prévue.
Dès la veille après-midi, des annonces faites à la radio et par voitures sillonnant les rues tentèrent de décourager la population de manifester. Il était annoncé par les pouvoirs en place, tous des sbires au service du Maître de l’heure ainsi que l’avait baptisé le FLN (je veux parler du Général de Gaulle) que des mesures seraient prises pour interdire toutes manifestations, réunions ou regroupements publics et des barrages furent mis en place pour interdire et refouler toutes circulations automobile sur toutes routes dans les régions, et dans toutes les rues des Villes et Villages d’Algérie.
Visiblement le pouvoir ne voulait pas subir de retour de vague face à son action incessante "sur le vent de l’histoire" qu’il entendait faire souffler pour porter un projet falsifié et utopique de "grandeur nationale", alimenté par les discours dithyrambiques du Chef de l’état et de ses ministres, tous vendus à la cause de l’indépendance, tous traîtres envers nous, tous prêts comme un seul homme à livrer l’Algérie aux rebelles après nous avoir promis de la garder Française, en s’abritant sous des slogans éventés tel que "le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes",( quel peuple ?...) le tout sans imposer à "ce peuple" des garanties ne serait-ce que morales pour les français d’Algérie et les harkis.
Tout en début de l’après-midi du 26 mars 1962, déterminées à rejoindre la manifestation, nous partîmes d’Hydra à pieds avec quelques amies pour rejoindre Alger en passant par le quartier du Golf pour ensuite rejoindre le Centre d’Alger.
 Plusieurs fois arrêtées et contrôlées en cours de routes, nous atteignîmes enfin par des circuits détournés le centre d’Alger et  fûmes bloquées sur le Plateau des Glières, en dessous de la statue de Jeanne d’Arc,à proximité du Plateau des Glières par un détachement militaire des forces du maintien de l’ordre qui était positionné sur tous les pourtours de la place et des rues, en alignement sur les trottoirs, leurs armes en position de combat. Je fus assez surprise de constater que tout ce détachement important était composé de militaires arabes et j’ai pu observer qu’il n’y avait pas un seul militaire français parmi eux, du moins parmi ceux qui se trouvaient à ma proximité sur une ligne de quelques mètres  sur ma gauche et qui barraient la rue  depuis la statue de Jeanne d’Arc jusqu’à la place du Gouvernement général.
Nous fûmes maintenues sur place avec d’autres manifestants, empêchés de circuler par les militaires qui se montraient de plus en plus nerveux nous menaçant d’un air féroce, sans pouvoir rejoindre par la rue d’Isly le gros de la manifestation ( 150 000 personnes environ), qui s’étendait jusqu’aux  abords du quartier de Bab El Oued, alors que des annonces par micros provenant de voitures de police qui parcouraient la ville, se succédaient invitant les participants à rentrer chez eux avant telle heure (j’ai oublié l’heure) qui était toute proche, sous peine de répression , en quelque sorte un ultimatum ... qui pourrait porter à réflexion et analyse au vu du drame qui a suivi.
Dans la foule les visages étaient graves et sévères nous manifestions dans le silence et la dignité sans provocations, mais fermement décidés à passer coûte que coûte, quand soudain nous entendîmes des coups de feu et nous vîmes immédiatement des personnes qui couraient vers nous venant de la Rue d’Isly  en criant "ils ont tiré, ils on ouvert le feu ... il y des morts et des blessés, protégez-vous, protégez-vous..." Il n’en était plus temps, j’ai entendu des coups de feu, des rafales de fusils mitrailleurs ou de mitraillettes et j’ai vu des gens tomber devant moi aux abords du plateau des Glières, près de la Grande Poste d’Alger, la foule se dispersait en tout sens, je n’ai pas vu qui tirait, certaines personnes se jetaient au sol, un homme m’a projetée à terre, un militaire tirait ou faisait mine de tirer dans notre direction, mes amies emportées par le mouvement de foule n’étaient plus là, des ambulances commençaient à circuler pour porter du secours dans une stupeur et un affolement général,  les cris douloureux des blessés et les cris d’indignation des manifestants présents sur les lieux. Je me suis relevée et faisant quelques pas j’ai vu, de mes yeux vu, un jeune homme en blouse blanche , qui portait secours à une victime étendue sur le trottoir de la Grande Poste, abattu lui même par derrière, tué sur le coup et achevé de plus sur la victime. Je l’ai appris par la suite, il s’agissait d’un jeune médecin. Les militaires tiraient même sur les ambulances, sur les infirmiers et les médecins.
J’avais l’impression de me trouver subitement dans un autre univers et là, dans ma mémoire j’ai comme un grand trou noir, un passage à zéro.  Aujourd’hui  encore je ne me souviens pas comment la foule s’est dispersée autour de moi, comment je me suis retrouvée seule dans une rue au bout d’un moment, dont je ne peux évaluer la distance que j’avais parcourue depuis la fusillade comme dans un état second , me dirigeant vers l’Hôpital d’Hussein-Dey. Avant d’arriver à l’Hôpital j’ai vu un homme qui marchait devant moi dans la rue tomber sur le trottoir, abattu d’un coup de revoler par un individu surgit d’une sortie d’immeuble. Crime ?, vengeance ?, règlement de compte .. ?  je ne le saurai jamais. Je les ai regardé  comme une somnambule, l’agresseur m’a fixé l’espace d’une demie seconde de son regard dur et s’est effacé rapidement en courant. J’ai vu des gens qui venaient très vite vers la victime en criant...partez.. partez, Madame, partez vite, ne restez pas dans la rue... ne restez pas ici... partez ! Je continuais à marcher dans un état d’absence totale de conscience.
Puis je suis arrivée à l’Hôpital d’Hussein-Dey où un spectacle de désolation régnait dans tous les espaces ; les malades habituels se trouvaient dans les  jardins, en pyjamas ou chemises de nuit, ayant laissé leurs lits pour les blessés ; des ambulances arrivaient les unes après les autres, les infirmiers étendaient immédiatement les blessés sur des brancards alignés aux pieds des bâtiments ; en attendant d’être pris en charge,  certains blessés couverts de sang gémissaient, certains agonisaient, d’autres victimes étaient déjà mortes, jeunes filles et jeunes hommes pour la plupart, car comme je l’ai appris par la suite c’est le début du cortège où se trouvaient des étudiants et des jeunes qui avait été visé en premier lieu. J’ai vu aussi un homme arabe d’une quarantaine d’années qui se vidait de son sang et de sa vie sur un brancard, le visage livide, mais les yeux encore pleins de vie qui me regardait tristement  comme avec regret. Ami, ennemi ... je ne savais pas, mais j’étais née sur la même terre que lui et c’est humainement, tout naturellement, que j’ai soutenu avec douceur la main qu’il tendait vers moi.
Je ne sais pas combien de temps je suis restée errante dans l’hôpital où les parents des victimes pleuraient, certains en silence la tête dans leurs mains, d’autres en sanglotant ou en poussant des cris déchirants et se tordant les mains de désespoir. J’étais dans un cauchemar ... j’allais me réveiller... J’avançais consternée, comme une ombre, d’un brancard à l’autre, n’entendant pas ce que les gens me disaient, redoutant de trouver des parents, une amie, un ami, morts ou blessés. Je ne souviens pas non plus comment j’ai quittée l’hôpital et à quelle heure ; je me suis retrouvée sur la route me dirigeant vers Hydra et je n’ai aucun autre souvenir personnel de cette dramatique journée, même pas de la façon dont je suis entrée dans ma maison et me suis endormie ce soir là.

Dans les jours qui ont suivi, j’ai pu lire les circonstances du drame dans les journaux, différentes hypothèses sur "qui avait ouvert le feu en premier ?" ... les militaires ?... un civil ? ...un barbouze ? ... un provocateur.... ? étaient  avancées . On relatait aussi le cri de ce jeune officier, fraîchement arrivé de France, chef d’un détachement et qui avait ordonné à plusieurs reprises d’une voix forte "Halte au feu... Halte au feu ... Halte au feu ..." sans être obéit par les militaires qui se trouvaient sous son commandement. Existe-t-il encore ?... Je me souviens avoir entendu il y a quelques années ici en France, diffusé par une radio privée, le contenu d’une cassette enregistrée lors de la fusillade où l’on entend les coups de feu, les protestations des manifestants et très clairement la voix déchirante du jeune officier ordonnant à plusieurs reprises "Halte au feu" !.
La lumière n’a jamais été faite officiellement sur la fusillade du 26 Mars 1962. Je me souviens qu’une rumeur circulait à Alger quelques jours après le drame : certains manifestants étaient persuadés que les militaires arabes qui se trouvaient dans les forces de maintien de l’ordre ce jour là du 26 mars 1962 étaient en fait des rebelles de la Willaya 4, habillés de tenues militaires françaises, qui à la suite de la signature des accords d’Evian du 19 mars 1962 auraient été intégrés dans les rangs de l’Armée Française pour assurer le maintien de l’ordre et prendre la relève peu à peu en attendant l’Indépendance qui devenaient imminente. Nous n’avons pas de preuve, nous ne saurons jamais la vérité. Seuls les assassins et leurs complices qui ont ouvert le feu la connaisse.
Et aujourd’hui encore je me questionne : Où est la vérité... ? Un silence de chape s’est établie pendant des décennies sur ce drame gênant pour le pouvoir de l’époque qui a son prolongement jusqu’à nos jours. Un journaliste du journal télévisé de 13 heures le 26 mars 2002, soit quarante ans après, a rappelé cette fusillade en indiquant que "des tirailleurs algériens de l’Armée Française avaient ouvert le feu sur les manifestants". Je me suis permis de lui écrire en lui faisant rapport de la rumeur concernant le possible "rattachement" des FLN de la Willayia 4. Je n’ai reçu aucune réponse.
Je n’en attendais pas du reste.  Plus de quarante ans après nous sommes toujours Français d’Algérie et Harkis censurés sur nos souffrances, on ne nous entend pas, on ne nous lit pas , on ne veut pas nous voir, même si l’on nous écorche au besoin, dans les sphères de l’intelligentsia politico-journalistique et son prolongement de faux intellectuels vaseux, la vérité pour eux n’est pas bonne à entendre , même si pour nous elle est bonne à dire. Les chiffres officiels font état de 46 morts et environ 150 blessés, les avis sont partagés, mais les informateurs évitent d’en parler ; les informations locales de l’époque faisaient état de plus de 100 morts et plus de 150 blessés. Comment pourrions- nous le vérifier après toute  la désinformation, la dénaturation et le brouillage des faits ?
Quant à certains d’entre  ceux des anciens combattants communistes et de gauche qui ont servi à contre cœur en Algérie,  généraux et militaires, qui croient de bon ton de venir périodiquement à la télévision, s’inféodant à l’air du temps, faire la larme à l’œil et la voix tremblante leur mea culpa, pour avoir torturé des criminels FLN et leurs complices, je les méprise ouvertement, ils feraient mieux de passer leur temps à dire la vérité sur les crimes odieux commis par les rebelles FLN sur les civils français et sur les Harkis et leurs familles, hommes égorgés, femmes et enfants violés et tués et mis en croix, et nos militaires, surpris en embuscades, cruellement, sauvagement mutilés et émasculés avant d’être achevés , égorgés à l’arme blanche par ces barbares infâmes qui ne respectaient  aucune loi de guerre et n’ont aucun honneur.
Pour moi je n’ai aucune haine, seulement un profond écœurement, du mépris et encore du mépris, pour tous ces assassins et leurs complices et pour ceux qui leur offrent des excuses en faisant leur mea culpa politicien, je sais qu’ils ont déjà rejoint tous ensembles, même s’ils sont encore vivants, les ténèbres et l’enfer de leurs consciences où ils demeurent liés à leurs crimes et mensonges pour toute éternité.
Les hommes d’honneur font tout pour prévenir la guerre mais quand elle devient inévitable il faut la faire avec honneur et courage c’est le prix du sang.
 Vaincus par trahison politique en 1962, les Français d’Algérie et les Harkis  pleurent   dans  leurs cœurs et leurs  mémoires dignement  et en silence  leurs  morts.
Pour en revenir à mon évocation du 26 mars 1962, j’ai écrit cet article sans me référer à aucun texte ni aucun écrit, mon récit est certainement incomplet, sommaire et partial, mais c’est le vécu qui subsiste en moi  et  je l’ai restitué fidèlement avec ses clartés et ses ombres.
Aujourd’hui 56 ans après la fusillade du  26 mars 1962 je publie  à nouveau mon témoignage sur ma page  et je tiens à désapprouver  les cérémonies de commémoration des accords d’Evian  qui viennent de se tenir récemment en France le 19 mars, c’est un coup de poignard  de plus dans le dos de nos militaires et civils tués et assassinés en Algérie de 1954 à 1962.


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Avertissement : peu à peu de nombreux articles depuis quelques années ont été publiés sur Internet relatant ce drame, je tiens à avertir mes lecteurs qui ne seraient pas exactement informés, que certains de ces articles ont été écrits par nos détracteurs et qu'ils   comportent de nombreux mensonges,   de même certains livres sur la guerre d'Algérie sont écrits par des auteurs notamment de gauche, communistes et socialistes  et même des gaullistes de tendances gauchiste,   qui étaient favorables aux rebelles et qui aussi sont mensongers et  falsificateurs, certains de ces livres sont même écrits par des auteurs qui n'ont pas vécu sur place la guerre d'Algérie et qui font oeuvre de propagande contre les Français d'Algérie et les Harkis  sans aucune référence crédible contre les français  et les Harkis 




26 mars 2018

Jean-Pierre Pernaut a abordé dans son JT de 13 h 00 du 26 mars 2018 l'attentat terroriste perpétré par Lakdim _ déclarations de sa compagne en garde à vue "à faire froid dans le dos "

Éditorial de lucienne magalie pons

 Dans son JT de 13 heures sur TF1 Jean-Pierre Pernaut a exposé pendant  près de 25 minutes  l'affaire terroriste de  Carcassonne et Tèbres, avec la participation de différents intervenants, décrivant  notamment les  personnalités des  victimes avec différents témoignages rendus  et ensuite  à  l'auteur des attentats et son entourage,  les placements en garde à vue et l'ambiance tendue de la Cité Ozanam de Carcassonne ou habitait Redouane Lakdim..

Au cours de son émission, Jean-Pierre Pernault a questionné Pierre Berreti sur les gardes à vue en cours et prolongées de la compagne de Lakdim  et d'un ami et colocataire du même personnage.

 Ensuite après avoir abordés différents aspects de ce drame, il est revenu avec Georges Bernier sur les gardes ç vue et es déclarations de la compagne de Lakdim.

Nous sommes absolument révoltés par les  déclarations de la compagne  aux questions  qui lui ont été posées par les  enquêteurs  au cours de sa garde à vue,    déclarations qui ont été scrupuleusement rapportés dans le JT en deux points de la vidéo par Pierre Baretti,  et ensuite par Georges Bernier à tel point que Jean-Pierre Pernault a pu dire " ça fait froid dans le dos" .

Sous  la vidéo nous avons transcris en texte ces déclarations qui nous laisse penser que cette fille  ne possède plus  le  moindre sentiment humain, voilà les ravages que  peuvent produire sur des personnages  ces perversions religieuses extrémistes et islamistes ,  à moins  que ces personnages comme le parait cette jeune femme française  ne soient diaboliques  et trouvent d'eux -mêmes  leur place  dans ces mouvements criminels .



- Retranscription  des passages concernant les gardes à vue  et des déclarations de la jeune femme en garde vue :

* point 32-15 / 37-25 de la vidéo JJP et Pierre Baretti  :


JPP : ... on en arrive à  l'enquête qui continue, 2 personnes sont toujours en garde à vue, Pierre Baretti vous êtes sur place, des gardes à vue pourraient être prolongées bien sûr ?

PB : absolument Jean-Pierre , comme vous le savez dans le cadre de la loi antiterroriste  la garde à vue peut durer jusqu'à 4 jours, on est entré dans le 3me. jour de garde à vue ici, pour 2 personnes, 2 gardes à vue qui se déroulent  bien ici à Carcassonne, la 1ére. personne entendue c'est la compagne de Redouane Lakdim,  Marine 18 ans, une jeune convertie, elle était fichée S parce qu'elle était active sur des réseaux sociaux islamistes, elle n'a pas de liens directs avec l'attentat, ce qu'elle répond posément aux enquêteurs, aux questions qui sont posées , c'est que simplement elle comprend l'attentat  perpétré, c'est pour elle une risposte, dit-elle, tout simplement, à ce qui a pu se passer  et aux pertes subies par Daech au Ghouta, pour venger les "frères", ..... la 2ème. ( personne) c'est un colocataire et un ami sans doute de Redouane Kakmi, sans autre détail et sans déclarations particulières. Ces deux personnes devraient être rapatriées ce soir  de Carcassonne vers Levallois-Perret à la Direction de la DGSI, pour la poursuite de  leur garde à vue.

JPP : Merci Pierre Baretti ..

 Note : JPP poursuit  sur d'autres aspects   de la même affaire en évoquant notamment la cité Ozanam de Carcassonne où des jeunes ont agressés violemment  samedi des équipes de journalistes dans une ambiance très tendues , et où se trouvent localement trois intervenants ... vous verrez dans la vidéo ce passage très important aussi.

Puis après celà JJP revient sur les placements  et placès en  gardes à vue avec Georges Bernier :

* point 29-18 / 37.25 de la vidéo :

JJP :  ...  les gardes à vue de la compagne et de l'ami de Lakdim ont été prolongées  hier soir ... Voilà de  Lakd im qui était fiché S , sa compagne qui l'était aussi également , Georges Bernier, Pierre Beretti l'évoquait tout à l'heure , elle semble pas du tout  regretter ce  qu'à fait son presque conjoint et ses déclarations font froid dans le dos !

GB : exactement ! bon elle tient des propos franchement  très franchement glaçants , d'après nos informations , elle a expliqué à plusieurs reprises,  depuis le début de sa garde à vue,  qu'elle cautionnait tout d'abord les attentats en France, notamment ceux de l'année 2017 contre Charli Hebdo, contre l'hyper cacher ou ceux du 13 novembre bien sûr, elle regrette n'y ait pas eu vendredi plus de victimes, elle affirme que  si elle avait été au courait du projet d'attentat de son compagnon , elle ne l'aurait pas dénoncé, à la police, elle explique qu'elle aurait  d'ailleurs participé  s'il lui avait demandé  de le faire, je cite, n'aurait pas ouvert le feu mais qu'elle aurait défoncé  celui qui a abattu Lakdim vendredi matin.

JPP : et elle a quel âge?

GB :  elle a 19 ans, elle est fiché depuis plus d'un an , parce qu'elle postait sur Facebook des messages pro-daech , elle explique d'ailleurs  ( on a vu qu'elle est convertie ) "qu'un bon musulman doit savoir , je cite , " savoir se défendre"

Fin de la retranscription

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Trèbes : La caissière du super U, otage de Radouane Lakkim , immobilisée canon sur la nuque pendant plus d'une heure, témoigne aujourd'hui ( vidéo et commentaire ) - 26 -03-2018 -

Éditorial de lucienne magalie pons

Les otages sont fortement  traumatisés, mais peu à peu ils peuvent s'exprimer pour témoigner du calvaire qu'ils ont vécu :



Source : BFMTV
commentaire figurant sous la vidéo sur le site BFMTV🔽

Trèbes: Julie, caissière du Super U, otage de Radouane Lakdim pendant plus d’une heure

La caissière du Super U de Trèbes est restée plus d’une heure otage du terroriste. Pendant 30 minutes, Radouane Lakdim a collé le canon de son arme sur sa nuque. Selon nos informations, le terroriste lui a dit qu’il ne lui ferait pas de mal et qu’il ne la tuerait pas. Son otage serait alors restée calme et aurait gardé son sang-froid. La femme de 40 ans, mère d’une petite fille de 2 ans et demi, affirme que le seul moment où elle a eu peur, c’est lorsque l’échange avec le gendarme Arnaud Beltrame a eu lieu. Depuis, elle pense beaucoup au lieutenant-colonel de gendarmerie, mort des suites de ses blessures.

Mise en ligne le 26/03/2018























Attentat de Trèbes : révélation la compagne du terroriste (qui se trouve en garde à vue depuis vendredi soir est fichée S depuis 1 an

Éditorial de lucienne magalie pons

Pour illustrer notre sujet nous commençons par publier une vidéo de RMC :



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Dans cette affaire terroriste,  les médias vont de découvertes en découvertes qui confortent  la thèse que Redouane Lakmi fiché S,  était entouré d'amis fiché S ou encore radicalisés  ou en voie de radicalisation.

-  parenthèse : 
Du coup  les  politiques   et les médias dans leurs déclaration et écrits   qualifient maintenant  Redouane Lakmi carrément de "terroriste" ou de "djihadiste"  et parlent nettement d'attentat terroriste", au lieu de "petit délinquant " et " d'attentat  semble-t-il terroriste"  comme ils  le faisaient  encore vendredi dans la journée , pour autant certains responsable politiques persistent à affirmer  avec une certaine  insistance  stupidité  que : ....."Surveillé depuis 2014, il n'avait pas été identifié comme potentiellement dangereux avant l'attentat "

Ces responsables politiques  pensaient donc avant l'attentat  que Redouane Lakmi  fiché S, surveillé, et  déjà condamné   à plusieurs reprises pour détention d'armes , vols, et trafic de stupéfiants ne passerait pas à l'acte terroriste, c'est faire preuve d'un défaut  de flair évident pour ne pas dire d'aveuglement et d'incompétence dans leurs  appréciations  s'imaginaient-ils que la détention d'armes  le trafic de stupéfiants sont des occupations banales , ou pour faire des collections d'armes ou de test de stupéfiants   en solitaire  pour passer le temps ?

Aujourd'hui encore ils en sont à s'intérroger ; " A-t-il bénéficié de complicités ? ... 
    
 - fin de la parenthèse -

Pour en revenir au sujet de mon éditorial, les médias aujourd'hui indiquent que : 

-  la jeune femme de 18 ans , " francaise convertie" ( ndrl : à l'islam je suppose ?) ,   est fichée S  depuis 1 an et qu'elle était "fortement endoctrinée",  

- qu' elle est suivie par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) 

- d' après les services de renseignement, la jeune femme avait fait l'apologie de l'organisation djihadiste Daech sur les réseaux sociaux.

-  sur sa photo de profil Facebook, on voit les yeux d'une femme qui porte un niqab.

- dimanche, sa garde à vue a été prolongée, tout comme celle d'un jeune homme de 17 ans, présenté comme un proche du terroriste.

les enquêteurs exploitent les éléments retrouvés lors de la perquisition de son domicile, à Carcassonne : il  s'agit de savoir qui a pu lui fournir une arme,  qui était éventuellement au courant de ses projets.. 

 Avant de passer en Revue de presse pour compléter "le tableau" des récentes révélations nous reprenons ici quelques informations résumées  que j'avais déjà inscrites dans mon précédent éditorial de ce matin :

-  l'autopsie du lieutenant-colonel Arnaud Bertrand a révélé une plaie gravissime de la trachée et du larynx par arme blanche et que le lieutenant colonel aurait succombé des lésions par arme blanche  au niveaux du coup  , et selon la même source que des blessures par balles au pied et au bras ont également été découvertes.
- Un hommage national sera organisé en l’honneur du lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame, a annoncé samedi 24 mars l’Elysée à l’issue d’un conseil restreint de défense.
- Au cours des investigations, trois engins explosifs avec mèches apparentes ont été découverts au Super U. Les premières analyses laissent entendre qu'il s'agit d'un mélange de poudres explosives.
- Gardes à vue  prolongées dimanche soir  pour deux proches de l'assaillant Radouane Lakdim : il  s'agit d'un jeune homme de 17 ans présenté comme un ami de l'assaillant, et de la jeune femme de 18 ans compagne de feu l'attaquant.
- Lors d'une messe en l'église de Saint-Etienne  à Trèbes, la ville a rendu dimanche  hommage au gendarme ainsi qu'aux trois autres victimes abattues par Radouane Lakdim. 
- Mise en garde à vue de l 'ancien candidat de La France insoumise   aux législatives dans le Calvados :  Stéphane Poussier , qui avait publié deux tweets se réjouissant de la mort du lieutenant-colonel  Arnaud Beltrame  a été placé en garde à vue ce dimanche pour apologie d’actes terroristes. 
Des jeunes de la cité Ozanam s'en sont pris violemment à plusieurs journalistes en tentant de les intimider pour les faire fuir :  plusieurs équipes de journalistes se sont trouvés samedi 24 mars au matin dans la Cité Ozanam à Carcassonne dans une situation très tendue,  des jeunes du quartier faisaient le guet, les médias rapportent que deux journalistes de France 3 Occitanie  ont été agressés  par des jeunes du quartier, dont l'un leur  lance : "Casse-toi, casse-toi je vais t'éclater"., _........ un  journaliste au Monde,a  fait part sur Twitter des menaces qu'il a subies de la part de "deux jeunes en voiture". L'un d'eux lui a lancé : "T’es journaliste ? Barre-toi d’ici ou je te casse les jambes..., des  journalistes de France 3, BFMTV et d'une télévision suisse-italienne ont également été violemment pris à partie par deux jeunes hommes, d'après un témoignage d'un  journaliste de France 3. "Ils ont commencé à nous bousculer et à prendre nos pieds de caméras en les lançant sur nous", Il explique que  quelques minutes après, ils sont revenus à la charge en s'en prenant plus particulièrement à l'équipe de la télévision suisse-Italienne, qu'ils ont frappée. Par ailleurs ,,une retraitée habitant dans ce petit quartier sensible témoigne et résume  : "C'est une minorité qui pourrit le quartier, ils ont pris le pouvoir. Avant, il y faisait bon vivre, mais maintenant c'est craignos." 


REVUE DE PRESSE :

Attentat de Trèbes : la compagne du terroriste est fichée S

www.ledauphine.com/france.../attentat-de-trebes-la-compagne-du-terroriste-est-fichee...



Il y a 2 heures - La compagne de Radouane Lakdim, le terroriste qui a commis les attaques de Carcassonne et Trèbes vendredi, est fichée Sdepuis un an.

Faits divers | Attentat de Trèbes : la compagne du terroriste est fichée S

www.leprogres.fr/faits.../03/.../attentat-de-trebes-la-compagne-du-terroriste-est-fichee-...



Il y a 1 heure - La compagne de Radouane Lakdim, le terroriste qui a commis les attaques de Carcassonne et Trèbes vendredi, est fichée Sdepuis un an.

Trèbes: la compagne de Radouane Lakdim fichée S depuis un an

rmc.bfmtv.com/emission/trebes-la-compagne-de-redouane-lakdim-fichee-s-depuis-un-a...

Il y a 2 heures - Information RMC - Deux proches de l'auteur de l'attentat deTrèbes sont encore en garde à vue ce lundi. Selon nos informations, sacompagne est d'ailleurs fichée S et suivie par la DGSI de l'Aude depuis un an.

Trèbes : La compagne du terroriste Radouane Lakdim est fichée S ...

https://actu17.fr/trebes-la-compagne-du-terroriste-radouane-lakdim-fichee-s-depuis-u...



Il y a 10 minutes - La compagne Radouane Lakdim est fichée S depuis un an et suivie par les services de la Direction Générale de Sécurité Intérieure (DGSI). La jeune femme avait fait l'apologie de l'EI sur Facebook notamment, selon les services du renseignement explique BFMTV qui indique que cette dernière apparaît ...

Trèbes: la compagne de Radouane Lakdim fichée S pour radicalisation

https://www.huffingtonpost.fr/.../trebes-la-compagne-de-radouane-lakdim-fichee-s-po...



Il y a 19 minutes - Trèbes: la compagne de Radouane Lakdim fichée Spour radicalisation. La jeune femme de 18 ans est en garde à vue depuis les attentats. Le HuffPost avec AFP. Regis Duvignau / Reuters. Trèbes: la compagne de Radouane Lakdim fichée S pour radicalisation.TERRORISME - La compagne de ...

Attaques de Carcassonne et Trèbes : la compagne du terroriste e ...

www.lindependant.fr/.../attaques-de-carcassonne-et-trebes-la-compagne-du-terroriste-...



Il y a 6 minutes - Attaques de Carcassonne et Trèbes : la compagne du terroriste e fichée S. La compagne de l'assaillant jihadiste Radouane Lakdim, placée en garde à vue après l'attaque vendredi qui a fait quatre morts dans l'Aude, est fichée pour radicalisation, a-t-on appris ce lundi. Cette jeune femme de 18 ans est ...

Attentat de Trèbes : la compagne de l'assaillant était fichée S pour ...

https://francais.rt.com/france/49138-attentat-trebes-compagne-assaillant-etait



Il y a 20 minutes - La compagne de Radouane Lakdim, le terroriste deTrèbes, était fichée S et suivie par les services de renseignement, selon une source proche de l'enquête.

EN DIRECT - Attentats dans l'Aude : la compagne du terroriste est ...

https://www.lci.fr › FRANCE › FAITS DIVERS

Il y a 1 heure - Dans la commune meurtrie, une messe en l'hommage des victimes leur a été dédiée ce dimanche. 2018-03-26T05:37:00.000Z La rédaction de LCI. Live. 07:53 Urgent. ATTAQUE DE TREBES. Une source judiciaire confirme à LCI que la compagne du terroriste, actuellement en garde à vue, est fichée S.

Redouane Lakdim , le petit délinquant de Carcassonne devenu un ...

https://www.ladepeche.fr/.../2765715-qui-etait-le-terroriste-de-trebes-et-carcassonne-red...

Il y a 3 jours - Hier, cette violence dénoncée par de nombreux habitants dans cette cité s'est muée en terrorisme de proximité mais avec des cibles bien précises : les forces ... Redouane Lakdim, 25 ans, fiché S et suivi par les services de renseignements, a tué trois personnes et en a blessé grièvement deux autres ce.



Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...