Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

Translate

06 juin 2013

Des élèves de Sciences PO protestent contre la Théorie du Genre qui a envahi leur Etablissement, une réaction salutaire des jeunes contre l'imposture de la Théorie du genre

Éditorial de lucienne magalie pons

J'ai reçu ce matin un mail de l'un de mes correspondants  qui attire mon attention sur l'action de propagande qui se généralise dans les écoles, les lycées, les collèges, les universités et les grandes écoles en faveur de la Théorie du Genre Il va de soi que je milite aussi activement contre la Théorie du Genre une imposture soutenue y compris dans les rangs ministériels,  dans les médias de nombreux articles, écrits et vidéo en font foi pour consulter il suffit de les rechercher par le moteur de recherche google. Mon correspondant m'a reproduit dans son mail une protestation contre la théorie du genre qui a envahi Sciences Po depuis sous l’impulsion notamment de feu Richard Descoing, son ancien directeur, qui ne se cachait pas de son homosexualité et de son militantisme en faveur de l'homosexualité, de la théorie des genres et questions liées au sein même de Sciences P0, et aussi à l'extérieur, en conférences dans plusieurs villes en France et à l’Étranger. Voici ci-dessous cette réaction salutaire d'Astrid et Nicolas étudiants à Sciences P0, contre l'endoctrinement de la jeunesse a la Théorie du Genre :

De :
Envoyé : mercredi 5 juin 2013 15:19
À :  Objet : TR: Au secours ils sont devenus fous

Objet : Au secours ils sont devenus fous !
Quand on vous dit qu'ils étudient.... Ou comment pervertir la jeunesse.... en relation avec la "Queer theory", qui constitue l'aboutissement extrême du Gender !!! "Grave", comme disent les jeunes... N'hésitez pas à le faire savoir, car ce genre "d'évènements" semble être encouragé par l'action ministérielle ! 
Voici le témoignage d'Astrid et Nicolas, élèves à Sciences Po Paris :

Queer Week à Sciences Po, ou l’endoctrinement de la jeunesse

« Encourager les étudiants à se rapprocher d’une association LGBT de leur établissement pour y trouver un accompagnement », voici l’une des préconisations du premier programme d’action interministérielle du gouvernement Ayrault, le 31 octobre 2012. Les étudiants de Sciences Po Paris ont pu voir une application concrète de l’idéologie « progressiste » de ce type d’associations lors de la Queer Week de mars 2013. Films pornographiques, distribution de sex toys, atelier de travestissement, vente de contes « non sexistes » pour enfants… : cette initiative étudiante est en cohérence parfaite avec la politique de l’école et son programme de recherche et d’enseignement sur le genre (Presage).
La Queer Week, organisée depuis quatre ans à Sciences Po Paris, est destinée à promouvoir la théorie « queer », plus radicale encore que les théories du genre « traditionnelles ». Ces dernières considèrent qu’il est possible de choisir un genre à loisir, sans cohérence avec son sexe biologique. Selon la théorie « queer », c’est le sexe, et non plus seulement le genre, qui est construit socialement. Judith Butler et ses disciples nient toute distinction homme/femme : « Ni le désir sexuel, ni le comportement sexuel, ni l’identité de genre ne sont dépendants des structures anatomiques, des chromosomes ou des hormones. D’où l’arbitraire des rôles sexuels » (I. Lôwy, Cahiers du genre).
Le thème de cette quatrième édition de la Queer Week est l’art « queer ».
En entrant dans le hall, on est frappé d’emblée par des bandes-dessinées faisant la promotion de la transsexualité : par exemple, une femme témoigne de son « bonheur » après avoir fait une opération d’ablation des seins. On remarque aussi un panneau intitulé « L’hétérosexualité n’existe pas », car cette notion renvoie à une altérité que les queers considèrent comme fictive. On nous apprend que ce concept « patriarcal » empêche les individus de vivre pleinement leur humanité. Sur notre gauche, des étudiants organisateurs de la Queer Week tiennent des stands et vendent des contes, entre autres Princesse aime princesse de Lisa Mandel, ou Histoire du petit garçon qui était une petite fille de Didier Herlem. La présence de héros transsexuels ou homosexuels a pour but d’inculquer la théorie « queer » aux enfants dès leur plus jeune âge : ce qui nous rappelle la crèche Bourdarias de Saint-Ouen, certifiée LGBT, ou encore l’histoire de David Reimer. Et dire que la FSU, premier syndicat de l’enseignement, fait pression sur le gouvernement pour qu’il accélère l’intrusion de ces théories dans nos écoles primaires (rapport de mai 2013) ! À côté de ces contes, des « pisse-debout » sont proposés, pénis artificiels permettant aux filles de faire pipi comme les hommes, pour l’égalité.

« Au-delà de ces abominations, ce qui nous a le plus frappés dans les descriptifs des événements de la Queer Week est l’absence du mot « amour » (nous l’avons cherché pourtant !), et la séparation entre sexualité, plaisir et amour. »

Dans l’amphithéâtre principal, ouvert à tous, un film pornographique « féministe » ainsi que des court-métrages « queers » sont projetés et commentés par des experts pour la journée cinéma. Sur le tract distribué aux étudiants, une citation de l’actrice pornographique féministe Annie Sprinkle : « La réponse au mauvais porno, ce n’est pas la fin du porno, mais plus de porno ». Vingt étudiantes volontaires ont pu également imiter la virilité masculine dans un atelier « Drag King ». « Trois B », autrement dit trois étapes pour se métamorphoser : « Bite », c’est-à-dire greffage d’un pénis en coton, « Bounding », pour aplatir la poitrine, et « Beard », pour augmenter sa pilosité. Ensuite, l’éducatrice sexuelle Louis(e) de Ville a appris aux étudiantes transformées physiquement à adopter les codes sociaux considérés comme masculins. Les clichés sur les hommes, caricaturés et animalisés, se sont multipliés. Quelques conférences, données par des spécialistes « queer », ont également ponctué la semaine. Nous avons par exemple pu assister à une conférence de critique littéraire « lesbienne, féministe et post-coloniale ». Pour clore la semaine, une soirée est organisée dans la discothèque gay et lesbienne « Le Tango », avec, parmi d’autres festivités, strip-tease, spectacle de travestis et distribution de sex toys.
Au-delà de ces abominations, ce qui nous a le plus frappés dans les descriptifs des événements de la Queer Week est l’absence du mot « amour » (nous l’avons cherché pourtant !), et la séparation entre sexualité, plaisir et amour.
Devant cette peur de l’altérité et ce mensonge organisé, proposons un vrai progrès pour la société : épanouissons-nous à partir d’une complémentarité homme/femme faisant des différences une richesse. ONLRJJJ !
Astrid et Nicolas, étudiants à Sciences Po Paris
_________________________________________________/

Nous reprenons notre éditorial pour rappeler de longue date sous l'impulsion militante active de feu Richard Descoing  qui fut depuis 1966 jusqu'à sa mort  directeur de l' l'Institut d'études politiques de Paris (IEP) et administrateur de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP,)  lequel  ne se cachait pas de son homosexualité  active et militante (  personnage depuis décédé  retrouvé  suicidé dans une chambre d'hôtel à New-York), rappelons  aussi qu’à Sciences Po, une chaire spécialement dédiée aux gender studies a vu le jour en 2010 (alors que l’institution refuse toujours la création d’une chaire d’économie sociale et solidaire, chacun ses priorités…) sous l’impulsion de feu Richard Descoings, créateur de la première Queer Week.

Dans leurs réactions Astrid et Nicolas  se disent frappés par l'absence du mot amour  dans les descriptifs de cet évènement ( Queer Week 2013 à Sciences PO) , je comprend leur réaction mais finalement ce que je dis moi c'est que le mot amour est absent justement du programme de la Queer Week parce que c'est la fornication qui est mise en vedette  dans ce programme : 

Cette année la Queer Week  2013 organisée à Sciences PO s'est déroulée selon le programme suivant :
  
LUNDI 11 MARS 2013 : BANDE DESSINEE
- 19h15- 21h15 : Cocktail et vernissage de l’exposition de bande dessinée, dans le hall du 13 rue de l’Université.
- 17h-19h : Atelier Bande dessinée avec Julie Maroh à Sciences Po (C921), 10€.
- 17h-19h : Conférence inaugurale “Décryptages de Foucault et Wittig” avec Anne Garréta (amphi Caquot).
MARDI 12 MARS 2013 : CINEMA
-  17h-19h : Conférence-débat “Le cinema porno feministe” avec David Courbet et Jennifer Lyon Bell (amphi Jean Moulin).
-  19h15-21h15 : Festival de court-métrages à Sciences Po (amphi Boutmy).
-  19h15-21h15 : Atelier Drag King avec Louis-e de Ville à Sciences Po (salle Eugène D'Eichthal), 10€

MERCREDI 13 MARS 2013 : LITTERATURE
-  14h45-16h45 : Atelier Ecriture avec Anne Garréta (salle S13 - 13 rue de l'Université).
-  17h-19h : Projection et commentaire du film XXY à Sciences Po (amphi Jean Moulin).
-  19h15-21h15 : Conférence “Littérature lesbienne, feministe et post-coloniale” avec Jules Falquet et Marie-Hélène Bourcier (amphi Jean Moulin).


JEUDI 14 MARS 2013 : ARTS SCENIQUES
-  14-16h : Atelier Danse avec Elsa Zanzibar au Centre LGBT
-  16h30- 18h30 : Conférence “Performances scéniques : espaces de subversion” avec Hélène Marquié et Philippe Reigné au Centre LGBT.
-  22h30-3h : soirée de clôture au Tango

revu de presse :

mercredi 5 juin 2013


Najat Vallaud-Belkacem militante de la théorie du genre

Éditorial de lucienne magalie pons
  1. Les coeurs exacerbés » Queer Week 2013 - Julie Maroh

    www.juliemaroh.com/2013/03/11/queer-week-2013/
    Queer Week 2013. 11 mars 2013. Ça commence ce lundi, pour une belle semaine thématique!! Et j'ai bien trop d'honneur d'en être la marraine cette année.

  2. Queer Week - Semaine des Genres et Sexualités

    queerweek.com/
    En mars 2010, un groupe d'étudiants lance la première édition de la Queer Week à Sciences Po. Première semaine de réflexion autour du genre et des ...

  3. Queer Week Sciences Po | Facebook

    https://fr-fr.facebook.com/pages/Queer-Week...Po/221143071314043
    http://www.sexerotisme.com/2013/03/la-queer-week-jour-4-bilan/ ... Le récit de notre dernière et folle journée à la Queer Week 2013 de Sciences Po!

  4. Queer Week Sciences Po | Facebook

    https://fr-fr.facebook.com/pages/Queer-Week.../221143071314043?...0
    http://www.sexerotisme.com/2013/03/la-queer-week-jour-4-bilan/ · La Queer ... Le récit de notre dernière et folle journée à la Queer Week 2013 de Sciences Po!

  5. La Queer week | Sciences Po

    www.sciencespo.fr/node/9097
    Accueil » La Queer week ... Sciences Po réforme les modalités d'entrée au Collège universitaire à l'horizon 2013 · Sciences Po fait du Sénégal et de l'Afrique, ...

  6. QUEER WEEK 2013 | Portail du Collège universitaire de Sciences Po

    college.sciences-po.fr/node/162
    1 mars 2013 – du 11/03 | 09h00 au 14/03 | 21h00. Queer : re-présentations, Le queer dans les arts. LUNDI 11 MARS 2013 : BANDE DESSINEE - 19h15- ...

  7. Queer Week 2013 : "Soyez artistes, soyez queers !" - Scissors Mag

    www.scissors-mag.com/article-queer-week-re-presentations-le-queer-dan...
    5 mars 2013 – Du 11 au 14 mars, la Queer Week revient ! C'est quoi ? C'est ça ! Et c'est ouvert à toutes et à tous. Pour cette quatrième édition, les ...

  8. Tout savoir sur la quatrième Queer week de Sciences Po | Causeur

    www.causeur.fr/sciences-po-queer-week,21677
    15 mars 2013 – Tout savoir sur la quatrième Queer week de Sciences Po. Déconstruction des stéréotypes dominants et pipi debout. Publié le 15 mars 2013 à ...

  9. QUEER WEEK 2013 - Foleffet.com

    www.foleffet.com › Accueil du siteAUJOURD'HUI
    7 mars 2013 – Du 11 mars à 09h00 au 14 mars à 21h00, trois journées Queer : re-présentations, Le queer dans les arts à Science-Po. Au programme : BD ...

  10. Queer Week (queerweek) on Twitter

    https://twitter.com/queerweek
    The latest from Queer Week (@queerweek). La semaine du Genre ... Du 11 au 14 mars 2013! ... La Queer Week 4 dans le dernier numéro d'Alumni Magazine!





 

Aucun commentaire: