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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Un évènement heureux va couronner prochainement le bonheur du jeune couple ! Il est temps pour Monsieur Nicolas Sarkozy de se préparer à l'art d'être Grand Père.
article de lucienne magalie pons
A boudie ! le temps qui ne s'arrête jamais se plait à brouiller les images !
Un premier brouillage, l'invincible hyperactif se révèle vulnérable, comme tous les humains : Malaise vagal, malaise lipothymique d’effort, coup de fatigue, panne d’essence ? Ils en ont beaucoup parlé, mais on ne nous a pas tout dit ! Nous restons dans les suppositionset en conclusion la Transparence dont le pouvoir se gargarise et fait état n’a filtré ni démenti aucun diagnostic même les plus foireux.
La profusion de déclarations des unset des autresa rendu cette transparence tellementbrouillée qu’en fait nous ne savons rien de précis ni de sérieux.
Sinon à imaginer que l’andropause peut provoquer ce genre de malaise quand le sujet quinquagénairese prend toujours pour un « d’jeune ! » et force sur les galipettes dans le parc de la lanterne ou ailleurs.
Enfin un dernier coup du sort (très heureux cette fois) vient la-dessus une deuxième fois, coup sur coup, de brouiller l’image du « jeune président hyperactif très grand sportif» (sic) : les médias viennent de nous annoncer que le Président va devenir prochainement Grand-père, par suite de la réussitedu bonheur conjugaldu jeune couple Jean Sarkozy-Jessica Sebaoun Darty.
Grand père une image classique valorisante certes, mais qui cadre mal avec un homme qui n'a cessé de vouloir nous persuader qu'il incarnait le renouveau, la jeunesse du pouvoir, par rapport à ses prédécesseurs.
Mémé Carlita ou Mamy Carla,Pépé Sarko ou Papy Nicolas ? .... nous ne savons pas encore comment les médias peoples baptiseront le Président et son épouse, lorsque surviendra l’évènement, mais cela va encore donner du boulot aux conseillers en communication pour rajeunir leur image présidentielle et cette fois "c'est du sérieux" !
A 54 ans, Nicolas Sarkozy va donc devenir grand-père pour la toute première fois. Jean Sarkozy, âgé de 22 ans, conseiller général des Hauts-de-Seine et ...
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Bilan : c'est chaud, très chaud, le président de la République va être un heureux grand-père et Carla Bruni/Sarkozy une heureuse grand-mère riche et célèbre ...
Je soutiens moralement Monsieur de Villepin en reproduisant à l'occasion dans mon présent blog les informations qui nous éclairent ou font le point sur l'affaire Clearstram. C'est dans cet esprit que je vous propose de prendre connaissance de l'analyse ci-dessous que j'ai trouvé sur le site de "Libération.fr"et sous la rubrique "Société"
Avant Clearstream, Sarkozy veut s’immuniser contre Villepin
Analyse
Protégé par la Constitution, le locataire de l’Elysée redoute néanmoins d’éventuelles poursuites en appel.
Par RENAUD LECADRE
Photo d'archives : Le Premier Ministre Dominique de Villepin et le Ministre (à l'époque) de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, à l'Hotel Matignon le 9 Février 2006
La justice française ne va pas chômer cet été. Enjeu : l’immunité présidentielle de Nicolas Sarkozy. De toute urgence, la cour d’appel de Versailles vient d’être saisie d’un appel diligenté conjointement par Sarkozy et le parquet de Nanterre (ou officie, comme procureur, Philippe Courroye, intime du président de la République), suite à un jugement de première instance à Nanterre.
Pirates. Le 7 juillet, le tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre décidait de «surseoir à statuer» sur la plainte déposée en septembre 2008 par Nicolas Sarkozy contre des pirates bancaires (lire ci-contre). Une décision de principe. Primo : elle reconnaît «la faculté pour tout citoyen d’accéder à un tribunal», fut-il président de la République. La plainte de Sarkozy est donc jugée «recevable». Secundo : en cas de relaxe des pirates, ces derniers seraient privés de «toute demande reconventionnelle à l’encontre du président de la République». C’est en effet un grand classique : X porte plainte contre Y ; Y est relaxé et dépose à son tour plainte contre X pour dénonciation calomnieuse ou procédure abusive. Sauf qu’en l’espèce, Y (le pirate) n’a pas le droit de porter plainte contre X (le Président, protégé par son immunité). D’où, tertio : il y a «atteinte au principe de l’égalité des armes» dans la mesure où l’article 67 de la nouvelle Constitution indique que le locataire de l’Elysée «ne peut, durant son mandat et devant aucune juridiction, être requis de témoigner, non plus que de faire l’objet d’un acte d’instruction ou de poursuite». Et le TGI de surseoir «jusqu’à un délai d’un mois suivant la cessation des fonctions de président de la République de M. Nicolas Sarkozy».
Retour de bâton. Cerise sur le gâteau, sa présidente, Isabelle Prévost-Desprez, ajoute que le Président préside aussi le Conseil supérieur de la magistrature et signe, à ce titre, les nominations des juges : «Ce lien peut laisser croire aux justiciables qu’ils ne bénéficieraient pas d’un tribunal impartial.»
C’est peu dire que ce jugement a semé la consternation en haut lieu. Président décomplexé, Sarkozy se croyait autorisé - à la différence de ses prédécesseurs - à porter plainte contre la Terre entière. Mais il n’imaginait pas ce retour de bâton. Passe encore pour l’affaire des pirates à Nanterre - ils ont malgré tout été condamnés à de la prison ferme, les autres parties civiles étant indemnisées. Mais cela pose un énorme problème à l’approche du procès Clearstream, qui doit s’ouvrir en septembre. Car, à la différence des pirates bancaires, Dominique de Villepin a de bonnes chances d’être relaxé (si ce n’est en première instance, ce sera en appel, en cassation ou devant la Cour européenne des droits de l’homme, la plupart des juristes en conviennent).
De quel droit Villepin serait privé de contre-attaquer Sarkozy ? D’où l’urgence de saisir la cour d’appel de Versailles pour annuler le jugement de Nanterre. Avant Clearstream. Son procureur général est actuellement en vacances, mais il n’est pas encore question de le rapatrier en hélicoptère.
----------------------------------------------------------------------------------------------- Information sur un autre sursis à statuer dans le cadre d'une autre affaire judiciaire, cliquez sur le lien bleu :
Bien entendu le message que je viens d'adresser à LCPan ( chaîne parlementaire) n'engage que moi-même.
Mais j'estime que sa publication dans mon blog s'impose. Je ne sais quelle réponse me feront parvenir les responsables de cette chaîne parlementaire, ou bien même s'il me répondront.
Quoiqu'il en sera, voici ci-dessous reproduit le texte du message que je viens de leur adresser :
"Mesdames, Messieurs,
Il m'arrive de suivre vos émissions
je suis particulièrement critique envers les annonces orales qui entrecoupent vos différentes séquences d'informations ( voix féminines sans images) chuchottées sur le mode de la séduction "glamour" , des voix de petites lolitas qui susurrent des sortes de petites litanies sur le mode de la séduction sensuelle pour ne pas dire plus, et qui à mon avis et à bien d'autres déclassent le sérieux de votre chaîne.
Avec un peu d'imagination on pourrait s'imaginer que ces "charmantes lolitas" se trouvent en coulisses pour distraire des vieux messieurs de leurs tâches austères législatives et parlementaires
Il serait temps de revenir à un peu plus de sérieux et de laisser ces pratiques orales à d'autres chaînes dont c'est la vocation d'entretenir la libido de téléspecteurs débiles. fin du message
précisions pour mes lecteurs : je ne sais s'il s'agit de jeunes ou de moins jeunes "lolitas" mais à l'oreille on a l'impression qu'elles suçent des bonbons et qu'elle jouent aux petites filles averties trop vite et trop bien dans la pratique de la séduction et des avantages qu'elle rapporte.C'est tout bonnement scandaleux de nous imposer ça !. Ca me rappellent singulièrement une ancienne chanson de variétés où une jeune chanteuse chantait ,prétendument en toute innocence, "Annie, aime les sucettes, les sucettes à l'anis" etc.....
Photo : Panne d'essence ou pas Monsieur le Président sait qu'il peut s'appuyer sur l'épaule de ses Ministres en cas de défaillance imprévue
article de lucienne magalie pons
La Transparence : Un grand jogging politique et médiatique savamment bricolé pour aller du malaise vagal à « la panne d’essence » en gommant le "malaise lipothymique d'effort" !
Le malaise de Nicolas Sarkozy qui n’avait donné lieu qu’à de brefset sobres communiqués de la part de l’Elysée de Dimanche à Lundi avait été par contre, accompagné et suivi par denombreuses déclarations en cascades de la part des proches politiques du Président, banalisant "l'incident", et comme telles largement reprises et commentées dans les médias.
Pour Monsieur Balkany , à mes yeux le plus crédible, puisqu'il s’était informé directement aux sources familiales les plus proches, il s’agissait d’un malaise vagal.
A la suite des hommes politiques de l’UMP soucieux de soutenir l’image de marque d’un Chef d’Etat « invincible "hyperactif et « très grand sportif ",n’ont cessé de nous bassiner chacun à leur tour en nous présentant leur diagnostic personnel, allant de décrescendo en décrescendo quand à la nature du malaise.
C’est ainsi qu’en partant du malaise vagal (le plus crédible certainement) puisque Monsieur Balkany avait reçu des informations de Carla Bruni Sarkozy directement), ces messieurs de l’UMP , dans leurs nouveaux rôles de Dia-Foirus du diagnostic à distance, se sont efforcés de banaliser et de minimiser l’incident en parlant de malaise d’effort, malaise de fatigue, malaise bénin, coup de fatigue, coup de chaleur, petit coup de chaud, desoleil , petit incident bénin, sans cause ni conséquence, (je n’invente rien lisez toute la presse et rebranchez vous sur les sites radios et télévisions pour écouter toutes ces » âneries »).
A aucun moment on ne nous a dit que Monsieur Sarkozy était malade ou souffrant, mais on s'est efforcé de nous "rassurer" qu’il avait simplement ressenti un étourdissement, sans perte de connaissance**et on nous assuraitprogressivement d’heures en heures que le sujet allait mieux, allait bien, allait très bien , pouvait parler avec ses médecins et les personnels soignants , se tenaient en relation avec ses collaborateurs, avec la volonté implicite de nous faire admettre qu’il n’y avait aucune atteinte à son efficacité et par conséquent aucune vacance du pouvoir présidentiel.
** sans perte de connaissance pour les uns, avec perte de connaissance pour certains témoins.
A la limite avec un peu d’humour malsain, sous cette profusion de diagnostic foireux bien que très rassurants et optimistes,on pouvait s’attendre à une déclaration de simple « petite fatigue » ou de « petite sieste au sol à l’ombre des grands arbres de l’Allée du Parc ,suivie d’un séjour ludique confortable à l’hôpital pour quelques examens de routine, pour rentabilisercette mini hospitalisation de pure forme, quand malencontreusement Monsieur Frédéric Lefebvrea parlé de malaise cardiaque en conférence, en l’évoquant tout simplement dans sa phrase comme une supposition, ce qui n’a pas manqué de faire rebondir la question, à tel point qu’il a du s’en expliquer en se rétractant pour faire refroidir la chaudière médiatique qui recommençaient à carburer en démenti et supputations diverses, cette fois saupoudrées desoupçons de querelles politiques larvées !
Il n’est pas surprenant mais parfaitement ridicule que les médias aient pu reprendre toutes les déclarations et les termes de ces nouveaux Dia-Foirus, visiblement coordonnés entre euxpour banaliser le malaise, le neutraliser legommeret le rendre pratiquement inexistant pour l’opinion publique. On peut penser que certains médias branchés étaient dans le coup, mais d’autres aussi ont suivis pour naturellement faire du papier.
Là-dessus est survenu la sortie de l’Hôpital de Nicolas Sarkozy Lundi vers 11 heures et le dernier communiqué de l’Elyséepublié le Lundi27-07-2009 à 11 h 04 annonçait que le déplacement programmé (pour le Mardi 28-07-2009) au Mont Saint-Michel étaitreporté à une date ultérieure et pour la première fois, dans le corps de ce communiqué, le malaise était désormais identifié comme « un malaise lipothymique d’effort ».
Voici reproduit ci-dessous ce communiqué :
« En accord avec les autorités médicales qui ont pris en charge le Président de la République à l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, la Présidence de la République communique :
La surveillance cardiologique du Président de la République s’est terminée ce matin. Une coronarographie a été effectuée tôt ce matin. Il ressort de cette surveillance et de ces examens complémentaires que le malaise n’a aucune cause cardiologique non plus qu’aucune conséquence cardiologique. Aucun élément électro cardiographique évocateur d’un trouble du rythme n’a été décelé.
Il est confirmé par ailleurs (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM cérébrale) qu’il n’y a ni cause ni conséquence neurologique ou métabolique.
Le diagnostic est donc celui d’un malaise d’effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante.
Aucun traitement médical n’a été prescrit. Un repos relatif de quelques jours lui a été conseillé. Dans ces conditions, le déplacement programmé demain au Mont Saint-Michel est reporté à une date ultérieure.
Le Chef de l’État sortira en fin de matinée de l’hôpital. Comme prévu, il présidera le Conseil des ministres mercredi matin. »
(Fin de la reproduction du communiqué)
Par la suite, l’intéressé lui-même, Monsieur Nicolas Sarkozy, a tenu à remercier ses supporters sur Facebook pour leurs messages de soutien, maisne reprenant pas les termes du communiqué de l’Elysée (malaise lipothymique d’effort ) il nous informe qu'il va très bien et s’explique sur le « petit incident de dimanche » :
" Je vais très bien après le petit incident de dimanche, qui m'incite à prendre du repos cet été. ** Merci pour vos encouragements et témoignages, qui me touchent beaucoup. Parmi tous les messages que j'ai pu recevoir les vôtres me tiennent particulièrement à cœur. Votre sympathie et votre spontanéité sur Facebook font vivre un lien précieux entre nous "
** adroitement le Président parle du « repos cet été* comme s’il partait en vacances sans avoir eu à se reposer quelques jours à la lanterne.
Hier Mercredi 29Juilleten sortant du Conseil des Ministres, Le Président de la République s’est adressé aux Français pourconfirmer que sa santé était bonne, qu’il avait eu un coup de fatigue,que c’était « une panne d’essence qui arrive à chacun » dont il ne connaît pas la cause … « est-ce que c'était dû à la déshydratation, à la chaleur, je ne le sais pas. J'ai couru des milliers de fois comme ça sans qu'il ne se passe quoi que ce soit". Le Président a aussi évoqué le silence sur son ancien « problème à la gorge »,… « bien mal m'en a pris, j'aurais bien mieux fait de le dire. (...) Je pensais que ça n'intéressait que peu de monde. Mais quand on ne dit pas les choses ça les complique. J'ai décidé que dorénavant les choses seront parfaitement claires et si je fais l'objet d'une hospitalisation ou d'un examen, je le dirai".
Ndlr : dire que l’on est hospitaliséou que l’on fait l’objet d’un examen, c’est tout de même un peu court, lavéritable transparence voudrait que l’on nous dise la raison de l’hospitalisation, ses causes,lediagnostic exact et s’il en ressort une incompatibilité provisoire ou définitive à l’exercice du pouvoir suprême.
Voici reproduit ci-dessousun extrait des grandes lignes de la déclaration de Monsieur Sarkozy :
- "Je voulais dire aux Français que ma santé était bonne, que j'avais eu un coup de fatigue et que quand le président a un problème, il est tout à fait normal que les Français en soient informés".
- L'incident: "c'est l'Elysée qui l'a révélé". S'il y avait "quoi que ce soit" à l'issue des examens subis, "il eût été de mon devoir de le dire".
"Je dois cette transparence. Je ne l'avais pas fait quand j'avais eu un problème à la gorge, bien mal m'en a pris, j'aurais bien mieux fait de le dire. (...) Je pensais que ça n'intéressait que peu de monde. Mais quand on ne dit pas les choses ça les complique. J'ai décidé que dorénavant les choses seront parfaitement claires et si je fais l'objet d'une hospitalisation ou d'un examen, je le dirai".
- "Je voulais d'abord remercier le personnel infirmier, hospitalier, ceux qui se sont si bien occupés de moi au Val-de-Grâce".
- Le président remercie également les Français pour "les milliers de messages" qu'il a reçus et "les innombrables boîtes de chocolats" qui lui ont été envoyées: "je crois qu'il me faudrait plusieurs vies pour pouvoir les consommer".
- "C'est une panne d'essence qui arrive à chacun". "Est-ce que je crains que ça se reproduise ? Je ne suis pas au dessus des règles physiques. Je suis un être humain, j'ai eu un coup de fatigue: est-ce que c'était dû à la déshydratation, à la chaleur, je ne le sais pas. J'ai couru des milliers de fois comme ça sans qu'il ne se passe quoi que ce soit".
- "Depuis sept ans entre les campagnes électorales, le ministère de l'Intérieur, le ministère des Finances, la présidence de l'UMP, la présidence de la République, certainement que ça a été rude"
………
(Fin de reproduction)
Le Président très « famille » autre point de son image de marque qu’il se plait à mettre en évidence, n’a pas manqué aussi d’insister sur son style de vie familial et sur ses vacances méritées :
..... "Au fond, je n'avais pas une vie de patachon. Avec mon épouse, nous ne sortons jamais le soir. Nous n'allons jamais dans les dîners. Je ne bois pas. Je ne fume pas de cigarette, même si j'ai une faiblesse pour un cigare de temps en temps. Je n'ai pas à faire de changements structurels considérables."
"Depuis 2002, quand je suis rentré au ministère de l'Intérieur, ça fait sept ans maintenant, je n'ai pas eu beaucoup de répit. Nous allons partir avec Carla, les enfants, en vacances, dans le Midi, chez nous, et on va s'y tenir tranquilles, si l'actualité veut bien nous laisser tranquilles", a-t-il poursuivi.
Nicolas Sarkozy doit partir jeudi après-midi au cap Nègre dans le Var,pour "deux semaines de vacances" qu'il a qualifiées de "méritées", d’après les médias.
Comme nous l’avions pressenti dans nos articles précédents,ce malaise à nos yeux assez important et sérieux si nous tenons compte de la déclaration de Monsieur Balkany, la seule quiparait la plus crédible, en l’absence de diagnostic officiel des médecins soignants,ce malaise qui a nécessité une hospitalisation et de nombreux examens, a été progressivement rétrogradé en finalparl’intéressé lui-même au rang «depetit incident de dimanche »de coup de fatigue,de « panne d’essence »
Il ne s’agit donc pas de transparence mais d’opacité savamment orchestrée.
Enfin pour plus d’informations voici « le petit incident où la « panne d’essence » vue par un témoin qui se trouvait sur les lieux :
Reproduction :
« Selon un témoignage publié sur le Site internet 20 minute.frsous le Titre TEMOIGNAGE,Laurent Plagne, 43 ans, commercial, a croisé le Président dimanche en plein jogging dans le parc du château de Versailles, quelques minutes seulement avant son malaise.
Il a été frappé de le voir aussi mal en point. Il raconte à 20minutes.fr :
«Comme chaque dimanche, je pratique mon jogging autour du grand canal à Versailles. En apercevant une moto devant moi, j’ai compris que le Président devait être pas très loin, puis j’ai aperçu quatre personnes de la sécurité autour de lui, et un cycliste.
Je suis arrivé à sa hauteur, il était 12h15, nous étions à 300 mètres environ de la Lanterne. Il avait du faire déjà un tour du Grand Canal, soit 45 minutes de jogging. Il faisait environ 23 degrés mais comme une partie du parcours est à l’ombre sous les arbres, la chaleur était tout à fait supportable.
Il aurait dû s'arrêter
J’ai remarqué qu’il était particulièrement marqué, une foulée heurtée, un maillot trempé, le visage des mauvais jours, il était complètement carbonisé, je pense avoir été le dernier à le dépasser. Il était voûté, la tête basse, il avait une toute petite cadence. Il parlait avec ses officiers de sécurité.
Cinq minutes plus tard, il faisait un malaise. J’estime que vu son état cinq minutes auparavant, les personnes de la sécurité auraient dû lui proposer de s’arrêter... Lors de mon deuxième tour, j’ai assisté à la mise en place du périmètre de sécurité. Il était dans le Samu, qui a du arriver à peine un quart d’heure après son malaise. Ce qui était plutôt rassurant, c’est que l’hélicoptère, pourtant basé non loin de là, n’est arrivé qu’une heure après.» (recueilli par Laure de Charette)
(fin de reproduction)
Malaise vagal, malaise bénin, malaise lipothymique d’effort, coup de fatigue, panne d’essence ? On nous offre le choix, mais en réalité nous restons dans les suppositionset en conclusion la Transparence, dont le pouvoir se gargarise et fait état, n’a filtré ni démenti aucun diagnostic même les plus foireux et ne nous rien révélé de précis.
La profusion de déclarations des uns et des autres a rendu cette transparence tellement brouillée qu’en fait nous ne savons rien;
conclusion : s'il faut en croire tout ce qui nous a été dit, il ne mène pas une vie de patachon, il ne sort jamais le soir. Il ne va jamais dans les dîners. Il ne boit pas. Il ne fume pas de cigarette, même s'il a une faiblesse pour un cigare de temps en temps et il n'aurai n'ai pas à faire de changements structurels considérables.
Une vie monacale en quelque sorte!
Pour le tabac (à part le cigare de temps en temps) et l'alcool c'est vrai, pour les sorties du soir et les dîners nous voyons périodiquement et assez souvent les magazines peoples nous relater les sorties du couple présidentiel à Paris et même à l'étranger, et voilà comment on se refait une petite réputation d'homme tranquille et casanier après une "panne d'essence" !
Carla a tué Nicolas Sarkosy - Ecololand par libertus ... un voyage éclair de 48h à New York pour écouter sa belle chanter lors d'un concert en l'honneur de Mandela. Conclusion: le sport à haute dose et l'amour avec Carla Bruni ne font pas bon ménage avec la fonction présidentielle... (vt) ... Ecololand - http://ecolonews.blog.fr/
C'est en marchant, main dans la main avec son épouse Carla Bruni-Sarkozy, que le chef de l'Etat, souriant, saluant les badauds et remerciant ses médecins, est sorti peu après 11h, lundi 27 juillet, dans la cour de l'hôpital militaire du ... SITE CATHOLIQUE DES PORTUGAIS D'ORLEANS - http://www.wmaker.net/portorl/
Il faut penser que non! puisque les communiqués officiels n'évoquaient qu'un malaise, chacun pouvait supposer les accidents les plus plausibles que pouvait recouvrir le mot" malaise". Du reste, les politiques qui se sont succédés pour commenter l'incident y ont vu pour chacun d'entre eux un différent malaise : un malaise vagal, un malaise du à la fatigue ou au stress, un malaise d'effort, un malaise bénin, un coup de chaleur ( pourquoi pas un coup de soleil ?) etc... chacun avec sa propre suggestion psychologique et sa faconde verbale personnelle.
Peut-on leur en vouloir d'avoir voulu dans un concert toucher apaiser l'opinion publique en brouillant les cartes ? Quand on ne sait rien de précis faute d'information officielle , on peut tout imaginer subjectivement.
Pendant une conférence de presse, Monsieur Lefebvre pour sa part, avait parlé d'un "accident cardiaque" à propos du malaise de Nicolas Sarkozy.
"Pendant les questions, un journaliste l'avait relancé trois fois en lui disant : 'A vous entendre, est-ce qu'il s'agit d'une alerte?'. Et Frédéric Lefebvre a répondu: 'Si personne ne considère qu'un accident cardiaque est une alerte, qu'est-ce qui peut être une alerte ?'"
Mais une heure et demie environ après sa conférence, Monsieur Frédéric Lefebvre, tout aussi bien ou plutôt tout aussi mal informé que l'opinion publique qui se trouvait soumise depuis des heures à la diversité des déclarations provenant des uns et des autres en cascade, a préféré se rétracter et s'expliquer :«J'ai évoqué la nécessité pour tout citoyen de tenir compte d'une telle alerte. C'est à cette occasion que j'ai employé le terme cardiaque en l'élargissant à tous les Français», explique-t-il .... «Je n'entends pas, évidemment, me substituer aux médecins qui, à la suite des examens effectués, ont constaté que les qualificatifs de vagal ou cardiaque, pour définir le malaise du président, n'étaient pas appropriés».
Le malaise sarkozien se trouve de plus en plus réduit à une question de marque et de communication par l'Elysée et l'UMP qui s'évertuent de communiqués en déclarations à neutraliser et banaliser l'incident pour revaloriser l'image "invincible" du Président !
Pendant sa campagne présidentielle et depuis son accession à la Présidence de l’Etat Français Nicolas Sarkozyroulait sur son image de marque d’hyperprésident toujours actif et invincible, doué d’une hyperactivité chronique déployée dans tous les domaines nationaux et internationaux , sûr de lui et de l’excellence de ses convictions politiques nationales et internationales,convaincu qu’il était indispensable sur tous les fronts, au point d’intervenir à la place de son premier ministres, des ministres et des secrétaires d’Etat , et pour couronner le tout pratiquant le sport , jogging et vélo, en plus de séances de remises en forme et d’un régime pour « tenir la forme » et sans doute la « ligne ».
Toutes ces qualités et performances savamment mises en évidence et orchestréespar les services de communication del’Elysée, s’étalaient largement dans les médias presses ,radios et télévions pour nous persuader, ici et à l’étranger, que nous avions affaire pratiquement à un alpha hyperprésident, un surhomme invincible, père de famille de surcroit, situé au-dessus de la fatigue ordinaire des lambdas etdes problèmes de santé communs aux mortels, un surhomme toujours clean, le meilleur dans tous les domaines ettoujours prêt à remplir ses devoirs et à servir le libéralisme sur tous les fronts de la planète, promoteur du Nouvel ordre Mondial du 21me siècle !
Il y avait bien euun premier couac public, un premier accroc dans cetteimage : souvenez de sa prestation au sommet du G8 de Juin 2007 où il était apparuavec beaucoup de retard,le souffle court etdéphaséderrière un micro en conférence de presse, manifestementdéconnecté….. cherchant à rassembler ses idées et àtrouver ses mots ……..Bon tout le monde avait pensé à l’époque qu’il était « bourré » et qu’il avait du boire de la vodka dans un entretien privé avec Poutine, mais cela ne pouvait en être lacause puisque tout le monde sait que notrePrésident de la République ne boit pas d’alcool ! Les choses en étaient restées là à l’époque, nous n’avions pas été informés de la cause réelle de cette attitude affligeante et comme la vidéo se passait de site en siteune rigolade générale avait couvert toute inquiétude !
Il y avait bien eu aussi un échec sentimental, son divorce d’avec sa deuxième épouse Cécilia le 15 octobre 1957, qui démentait aussi cette image de jeune famille présidentielle parfaitement soudée.
Et puis, un deuxième incident de santé : Nicolas Sarkozy avait été hospitalisé le 21 octobre 2007 à l’hôpital militaire parisien du Val-de-Grace , dans la plus totale discrétion, pour l’ablation d’un abcèsà la gorge, trois jours après l’annonce de son divorce officielle de son divorce avec Cécilia , mais cette intervention,tenue secrète par l’Elysée n'avait été connuedans les médiasqu'en janvier 2008 lors de la publicationd’ un livre consacré à Cécilia, son ex-femme, livre intitulé "Cécilia, la face cachée de l'ex-première dame". Selon les auteurs du Livre Nicolas Sarkozyaurait subi"une intervention afin de résorber le phlegmon avec staphylocoques dorés résultant de son angine"
Cette intervention n'a jamais été démentie ni confirméepar l'Elysée, mais avait été confirmée par des « proches » du chef de l'Etat.
On chuchote aussi que le président au cours d’une visite à l’étranger et aussi lors d’un déplacement à Vesoul aurait essuyé une légère fatigue de quelques instants, mais aucune source sérieuse ne permet de le confirmer
Quoiqu’il en soit, le Pouvoir ayant opté pour la transparence en ce qui concerne l’Etat de santé du Président de la République, cette fois l’information officielle a été couvertes en 4 communiqués officiels de l’Elysée, assez réducteur dans le sens de la banalisation de l’incident,qui au fond ne nous aurait pas appris grand-chose sur les causes médicales de ce malaise !
Pour lire ces communiqués cliquez sur "LIRE" :
27-07-09: Déplacement programmé demain au Mont Saint-Michel est reporté à une date ultérieure
En accord avec les autorités médicales qui ont pris en charge le Président de la République à l’hôpital militaire du …
26-07-09: Communiqué de la Présidence de la République
Alors qu’il faisait du sport, le Président de la République a eu aujourd’hui un malaise. Il a été immédiatement pris en charge par …
Reprise de l'article de lucienne magalie pons :
Mais parallèlement une campagne de communication savamment orchestrée par les proches politiques et médias partisans du Président nous laissait supposer de decrescendo en décrescendo qu’il s’agissait d’un malaise vagal, d’un malaise du à l’effort, d’un malaise du à la fatigue, d’un malaise bénin, (on osait déjà presque penser qu’ils nous feraient gober qu’ilne s’agissait que d’une « une petite sieste dominicale ») maisen final le corps médical à fait savoir qu’il s’agissait d’un malaise d’un « malaise lipothymique d’effort », une « sorte de coup de chaud »avec baisse de tension momentanée,…… alors qu’il faisait un footing par plus de 30 degrés, « dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante ».
Ainsi de déclarations en déclarations le poisson a été noyé, d’un malaise vagal au début on termine en banal « coup de chaud » !
La neutralisation et la banalisation de l’incident a été parfaitement programmée et maîtrisée par les responsables de la « transparence » élyséenne.
Depuis les proches du Président se réjouissent de sa sortie de l’Hôpital et ne parlent plus que d’un incident « bénin », ce qui est légitime pour son rétablissement, mais parfaitement coupable pour qualifier d’incident bénin une lipothymie.
On nous assure de ci delà avec laxisme qu’il devra lever le pied quelques jours pour un repos « relatif » (What ?), mais qu’il assistera au Conseil des Ministres de Mercredi 29 Juillet pour ensuite partir pour trois semaines de vacances dans la propriété de son épouse au Cap Nègre dans le Var.
On n’insiste pas trop sur le fait qu’il a du annuler sa présenceLundi àla cérémonie de la signature des accords sur les crédits aux entreprises etse faire remplacer par Christine Lagarde, sa « messagère » selon elle-même qui a tenu à souligner qu’on ne remplace pas le Président, et on n’insiste pas non plus sur l’annulation d’un déplacement que le Président devait effectuer au Mont Saint Michel Mardi.
Ce n’est pas par hasard que Madame Lagarde (qui se réjouit à tout propos dans ses interventions alors que bien souvent il n’y a pas de quoi) a déclaré en insistant qu’ « on ne remplace pas le Président », en effet remplacer voudrait dire qu’il y a vacance du pouvoir présidentiel. La déclaration de la Ministre va dans la ligne de l’ELYSEEqui n’a pas manqué d’insister sur le fait que le Président s’était tenu constamment en relation avec ses collaborateurs et au courant de l’actualité, ceci pour bien marquer qu’il n’existait aucune vacance du pouvoir présidentiel. Dans le même ordre d'idée on ne cesse de nous répéter que le président va très bien et qu'il assistera mercredi, soit demain, au conseil des Ministres.
Comme on le voit « tous ensemble » ils nous mènent en bateau sous couvert de transparence : Pas de conséquence politique, pas de conséquences médicales, pas de traitement spécifique que, un repos relatif, tout va pour le mieux en Sarkoland :le tour est joué !
La presse régionaleen quelquesarticles osesouligner qu’un malaise lipothymique est à prendre en considération et que ses véritables causes devraient être soigneusement décelées, des médecins aussi insistent (timidement) et font connaître qu’une lipothymie peut être soit bénigne soit indicatrice de troubles sérieux, selon le cas et les sujets, mais dans l’ensemble des grands médias presses et radios tout le monde tend à banalisercet incident « bénin ».
Tout au contraire, la presse internationale, notamment la Tribune de Genève et le Guardian de Londres, pour ne citer que ces deux médias, n’hésitent pas à aborder franchement une question cruciale que l’UMP devrait se poser sans attendre l’approche de la présidentielle de 2012,à savoir le risque d'une altération de l'image construite par le chef de l'Etat.
"Depuis sa prise de pouvoir, l'omniprésident s'est montré d'une hyperactivité sans égale. …… Ce malaise bénin constitue pour lui un avertissement sans frais. Saura-t-il passer de l'omniprésidence à la présidence tout court ?", s'interroge La Tribune de Genève.
"L'image du 'Speedy Sarkozy' en super-forme en prend un coup", note le Guardian de Londres, rappelant que le chef de l'Etat français "a délibérément construit son image de président jeune et dynamique en invitant les télévisions à le filmer lors de ses éreintants joggings matinaux".
De son côté le quotidien londonien « The Independent » titre : « Diriger la France et garder Carla : trop de tension pour Sarkozy ? » et souligne dans son article que « l’impact politique pourrait être plus embarrassant que ses conséquences médicales pour l’hyper président qui s’est vendu aux Français et au reste du monde comme l’inépuisable et actif successeur des chefs d’états d’un certain âge qui l’ont précédé durant vingt-six ans
.Pour le Times "Le danger est qu'il (Nicolas Sarkozy) pourrait devoir ralentir sa folle allure, devenue sa marque de fabrique, et que les Français découvrent qu'ils ont à leur tête 'un homme' plutôt qu''un surhomme' (en français dans le texte)".
Ndlr : que le Times se rassure, il y a longtemps que certains Français avisés se sont rendus compte que le Président n’était qu’un petit homme !
Nicolas et Carla quittent l'hôpital du Val-de-Grâce lundi 27 juillet vers 11h. Accompagné de trois médecins, d'une infirmière et de Claude Guéant, secrétaire général de l'Élysée, Nicolas Sarkozy a fait quelques pas, de la sortie du bâtiment jusqu'au bout du parking, avant de monter dans sa voiture avec son épouse.
Le président de la République a salué par la fenêtre de son véhicule les journalistes et les quelques dizaines de badauds présents.
article de lucienne magalie pons
Tous les médias nous avaient annoncé que Nicolas Sarkozy sortirait de l’hôpital dans la journée de Lundi , c’est chose faite, nous venons d’apprendre qu’il a quitté l’hôpital « à pied » ce matin vers 11 heures après avoir passé une bonne nuit. un repos de quelques jours lui aurait été conseillé par ses médecins, mais aucun traitement spécifique ne lui aurait été prescrit.
Au journal de 13 heures de TF1 nous apprenons que son déplacement prévu pour le Mardi 28 juillet au Mont Saint Michel a été annulé et reporté à plus tard, on nous informe qu'il pourrait assister au Conseil des Ministres de Mercredi, et on confirme que le Président qui est rentré directement de l'Hôpital à sa résidence de La Lanterne devra se reposer quelques jours.
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Banalisation :
Depuis Dimanche l’Elysée par ses rares communiqués, et le corps médical, se sont montrés assez discret set certains médias voient dans cette discrétion une volonté de banaliser l’incident. L’Elysée en effet avait annoncé hier un malaise sans mentionner une perte de connaissance,mais cette affirmation donne lieu déjà à un début de polémique dans les médias dont certains restentpersuadés qu’il y a eu un effondrement sur le sol suivi d’uneperte de connaissance.
Toujours dans le sens de la banalisation de l’incident, ce matin les médecins soignants parlaient de « malaise de l’effort » en évitant le terme « malaise vagal » qui pourtant avait été largement utilisé et commenté dans les médias à la suite de la déclaration de Monsieur Balkany qui proche du président avait bien utilisé semble-t-il à bon escient un « malaise vagal ».
Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, s'était en tous cas montré rassurant, dimanche: Nicolas Sarkozy «va bien» et «parle normalement avec le personnel soignant» tenait-il à souligner.
Plusieurs politiques proches de Nicolas ont aussi joué la carte de la banalisationen assurant qu’il allait bien et qu’il n’avait été victime que d’un simple malaise d’ordre mineur, qu’il n’y aurait pas de danger et de traitement.
Ndlr : en cas de malaise mineur, tout un chacun aimerait bien bénéficier aussi d’un transport en urgence en hélicoptère et bénéficier de la même attention et des mêmes soins hospitaliers que le chef de l’état, mais il faut bien reconnaître que nous sommes loin du compte, quand il faut attendre des heures une ambulance ou aux urgences, surtout quand on voit périodiquement des Sdf croupir etexpirer au sol dans la solitude et l’indifférence générale,sans aucun secours aussi bien des passants citoyens que des pouvoirs publics.
Toute cette exagération verbale politique tendant à banaliser l’incident n’est pas convenable, cela pourrait inciter le Président de la République à multiplier ses challenges et à continuer à manifester une suractivité qui pourrait gravement lui porter préjudice en matière de santé.
Le plus clair bon sens et surtout une amitié sincère de la part de ses conseillers, amis et proches,devraient au contraire l’inviter fermement à adopter un rythme de vie plus conforme à celle d’un homme qui va sur ses 55 ans.
Les vainqueurs du Tour de France, soit dit en passant, n’approchent même pas la trentaine et il est ridicule de s’imaginer qu’un homme de cinquante cinq ans simple amateur sportif pourraient les suivre sur le terrain.
Certains ont beau dire pour le flatter que le Président de la République est un « très grand sportif » , il peut l’être en esprit et même en amateur , mais entre la pratique coutumière d’un amateur et l’exploit d’un très grand sportif, il y a une margeà ne pas franchir, même dans le cirage de pompes.
Quand on a sur les épaules les affaires d’un Etat à gérer, fonction importante, que le Président Sarkozy avait lui-même qualifié de « surhumaine », il convient de ne pas oublier que la condition humaine, physique et intellectuelle et mentale, a des limites fixées par la nature et qu’il convient de les respecter pour éviter de tomber dans les pommes.
Malaise, malaise d'effort, malaise mineur on finira par nous persuader qu'il n'y a pas eu de malaise mais simplement un petit somme au sol et un petit repos pour un examen de routine à l'hôpital
Dans le même sens de minoration , Patrick Devedjian n'y voit quant à lui qu'un "malaise de fatigue"
Le ministre de la Relance, Patrick Devedjian, ce matin avant la sortie de l’hôpital de Nicolas Sarkozy s’était lui aussi montré très rassurant en confirmant sur RTL,« Les nouvelles du corps médical sont bonnes».
« Il s'engage beaucoup. Il est hyperactif, tout le monde le voit …. ce n’est pas son tempérament de s'économiser….il a une formule »a déclaré Patrick Devedjianen rappelantdes propos du Président de la République : "parfois les gens me reprochent que j'en fasse trop, moi je trouve que je n'en fais pas assez" ……
L'intervention de Monsieur Devedjian ,ci dessous l'information RTL (son et vidéo)
conclusion de la rédaction du présent blog : En fait seul Monsieur Balkany a fait des recommandations franches et sincères à la mesure de son amitié pour le Président et à la mesure de l'incident en assurant : «J'espère pour lui que ce sera une alerte salutaire pour qu'il modère un peu plus ses efforts», ……. A 54 ans on ne peut pas non plus avoir un régime sévère sans arrêt», a-t-il estimé ».
Un évènement heureux va couronner prochainement le bonheur du jeune couple ! Il est temps pour Monsieur Nicolas Sarkozy de se préparer à l'art d'être Grand Père.
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Le ministre de la Relance économique répondait aux questions de Marc Tronchot
Patrick Devedjian invité de RTL (27/07/09)
